La fin d'internet d'ici 3 ans
Publié : jeu. févr. 25, 2010 6:23 pm
Bonjours, voila ce que j'ai lu ce matin sur un site web de repportage....
Bon OK ce titre est affreusement racoleur, mais pas si faux que ça …
En effet, même si Internet est ouvert, le réseau mondial est limité par une chose : la capacité d’adressage ! Le réseau
actuel est adressé par le protocole IPv4, vous savez ces adresses du style 192.168.0.5.
Le problème : au niveau mondial, ce protocole est déjà utilisé à 85% de sa capacité, et avec l’expansion d’internet, on risque de le remplir d’ici 2011.
Bien évidemment tous ceux qui ont un minimum de connaissances sur les réseaux vont me parler de l’IPv6
qui permet un nombre d’adresses très largement supérieur (de l’ordre de 10^38, contre 10^9 pour IPv4)
Mais le souci c’est qu’IPv6 n’est pas encore assez utilisé ! En effet d’après Karine Perset du OECD (Organization for Economic Co-operation),
passer à ce nouveau protocole prend du temps et les entreprises ne mettent pas à niveaux leur système assez rapidement>.
A l’heure actuelle, très peu d’entreprises, comme Google par exemple, ont franchi le pas.
Un mouvement de dernière minute risquerait d’entrainer une mise en place instable mettant en danger le fonctionnement d’Internet,
un risque que l’on ne peu pas prendre avec l’importance actuelle du réseau.
Bon OK ce titre est affreusement racoleur, mais pas si faux que ça …
En effet, même si Internet est ouvert, le réseau mondial est limité par une chose : la capacité d’adressage ! Le réseau
actuel est adressé par le protocole IPv4, vous savez ces adresses du style 192.168.0.5.
Le problème : au niveau mondial, ce protocole est déjà utilisé à 85% de sa capacité, et avec l’expansion d’internet, on risque de le remplir d’ici 2011.
Bien évidemment tous ceux qui ont un minimum de connaissances sur les réseaux vont me parler de l’IPv6
qui permet un nombre d’adresses très largement supérieur (de l’ordre de 10^38, contre 10^9 pour IPv4)
Mais le souci c’est qu’IPv6 n’est pas encore assez utilisé ! En effet d’après Karine Perset du OECD (Organization for Economic Co-operation),
passer à ce nouveau protocole prend du temps et les entreprises ne mettent pas à niveaux leur système assez rapidement>.
A l’heure actuelle, très peu d’entreprises, comme Google par exemple, ont franchi le pas.
Un mouvement de dernière minute risquerait d’entrainer une mise en place instable mettant en danger le fonctionnement d’Internet,
un risque que l’on ne peu pas prendre avec l’importance actuelle du réseau.