LE DOMAINE BLEU

D’une poche à l’autre
Le Journal de Montréal, p. 25 / Nathalie Elgrably-Lévy, 11 mars 2010


Québec est dans le rouge et assainir les finances publiques est une tâche qui s’annonce ardue. Selon le Comité consultatif sur l’économie et les finances publiques, il faudrait limiter la croissance des dépenses à 2,5% par année, et augmenter les recettes de l’État de 5,6 milliards pour espérer rétablir l’équilibre budgétaire en 2013-2014. Pour y arriver, les Québécois devront consentir, entre autres, à une hausse de la TVQ et des tarifs. Admettons que cette rigoureuse discipline budgétaire suffise à rétablir l’équilibre. Serons-nous alors tirés d’affaire? C’est ce qui reste à voir!

Il faut également tenir compte des revendications du Front commun syndical du secteur public. Il demande des hausses salariales de 11,25% sur 3 ans, ce qui est nettement supérieur à la croissance maximale de 2,5% recommandée par le comité consultatif. Or, si l’État consent pareilles augmentations sans sabrer radicalement d’autres postes de dépenses, il devient mathématiquement impossible de revenir à l’équilibre budgétaire. I-M-P-O-S-S-I-B-L-E! Malgré nos efforts et nos sacrifices, nous essuierions quand même un déficit de 1 milliard $.

Et que fera Québec pour se libérer d’un déficit persistant et tenace? Nous ne le savons que trop : il se financera en augmentant de nouveau les taxes, les impôts, et les tarifs. En d’autres termes, étant donné sa situation financière, si Québec veut remplir les poches des syndiqués de la fonction publique, il devra nécessairement vider celles des contribuables québécois. C’est triste, mais c’est la réalité!

Pire encore, ils s’évertuent à nier catégoriquement que leurs demandes impliquent une redistribution de la richesse des contribuables vers les employés de l’État. Mme Claudette Carbonneau affirme d’ailleurs ne pas vouloir alourdir le fardeau de la classe moyenne. Très touchant! Mais alors qui paiera? Ah oui, il suffit de taxer les riches. N’est-ce pas d’ailleurs le leitmotiv de Mme Carbonneau qui voit en eux une piñata inépuisable?

Or, qui sont les riches? S’il s’agit des contribuables touchant un revenu de 150 000$ ou plus, le Québec en compte à peine 70 500, soit 1,2% des 5,9 millions de déclarants. Actuellement, chaque «riche» envoie à Québec 51 600$ par année. Pour obtenir un milliard de dollars supplémentaires, il faudrait que leur contribution individuelle grimpe à 65 900$, soit une hausse de 14 300$, ou 28%!

Ce que Mme Carbonneau oublie, c’est qu’on peut imposer les riches tant qu’on veut, mais on ne peut ni les forcer à travailler autant, ni les obliger à rester au Québec. L’Histoire abonde d’exemples où une hausse importante du fardeau fiscal provoque des résultats contraires à ceux escomptés. New York, la Californie, le New Jersey et le Maryland ont récemment vécu l’expérience. Dans le cas du Maryland, l’impôt payé par les plus riches a diminué de 6,7%! La raison en est fort simple : les riches sont particulièrement mobiles. Au-delà d’un certain niveau de taxation, ils nous quittent, ce qui occasionne une réduction des recettes fiscales. De plus, le départ des riches nuit incontestablement à certaines industries qui voient leurs ventes fondre, ce qui accentue à également l’érosion des recettes fiscales. Ce n’est pas tout. Quand le nombre de riches aura diminué, c’est vers la classe moyenne que l’État se tournera pour renflouer ses coffres.

«Faire payer les riches» pour une meilleure «justice sociale» n’est qu’un slogan sensationnaliste destiné à amadouer, voire à chloroformer la classe moyenne. Mais, ultimement, c’est cette classe qui fera les frais des revendications syndicales. Il est important qu’elle en prenne conscience!

Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.

* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.

© 2010 IEDM |

Pauvres riches vraiment, faut les traiter avec beaucoup d'égards d'un coup ils sacreraient leur camps. Pendant ce temps payons pour eux, enrichissons les ils sont tellement plus méritants que nous.

Ce que Mme Egralby oublie dans son texte c'est de nous mentionner les abris et les paradis fiscaux dont les riches se servent pour mieux engranger au détriment de la classe moyenne.

Quant aux revendications syndicales qui semblent tant l'outrée que cette grande économiste nous donne le pourcentage d'augmentation reçue par la fonction publique au cours des vingt dernières années.

Malike a écrit : Pauvres riches vraiment, faut les traiter avec beaucoup d'égards d'un coup ils sacreraient leur camps. Pendant ce temps payons pour eux, enrichissons les ils sont tellement plus méritants que nous.

Comment ça payons pour eux??????????
Ils payent déja plus que leurs pars.
Que l'on respecte les riches ou non il faut savoir a quel moment une mesure nous nuis collectivement alors que l'on croyais qu'elle allait nous aider.

Beppo a écrit : Ce que Mme Egralby oublie dans son texte c'est de nous mentionner les abris et les paradis fiscaux dont les riches se servent pour mieux engranger au détriment de la classe moyenne.

Quant aux revendications syndicales qui semblent tant l'outrée que cette grande économiste nous donne le pourcentage d'augmentation reçue par la fonction publique au cours des vingt dernières années.

Malike a écrit : Pauvres riches vraiment, faut les traiter avec beaucoup d'égards d'un coup ils sacreraient leur camps. Pendant ce temps payons pour eux, enrichissons les ils sont tellement plus méritants que nous.

Ben voyon...c'est pas en se frustrant de la sorte contre les ''méchants riches'' qu'on va arriver à qqchose.

l'article présenté cite clairement qu'un individu qui fait 150,000$ par année remet à Quebec 51 600$...au provincial seulement. Cet individu est aussi taxé au fédéral, ne l'oublions pas. Ils paient leur part comme toi et moi, selon un pourcentage qui est supérieur à ce que nous payons.

Je vais te dire ben franchement que si j'avais une job qui paye 150,000 par année (donc que j'ai fait les études et les sacrifices pour en arriver là) et qu'il faille que j'en donne la moitié aux gouvernements. J'y penserait peut-être moi aussi à regarder ce qui se passe ailleurs.

Si seulement on avait un système de santé digne de ce nom, ou un système d'éducation dans lequel on pourrait avoir confiance.

Ca m'enrage ben plus de voir les petites passes qui se font au niveau corporatif; des compagnies qui viennent s'installer parce qu'ils ont des clauses qui fait en sorte qu'ils ne seront pratiquement pas taxées. Des abris fiscaux ridicules pour soit-disant faire en sorte que les grosses usines viennent s'implanter...mais c'est leurs employés qui en paieront la note.

.anthurium. a écrit : [...]


Comment ça payons pour eux??????????
Ils payent déja plus que leurs pars.
Que l'on respecte les riches ou non il faut savoir a quel moment une mesure nous nuis collectivement alors que l'on croyais qu'elle allait nous aider.

Beppo a écrit : Ce que Mme Egralby oublie dans son texte c'est de nous mentionner les abris et les paradis fiscaux dont les riches se servent pour mieux engranger au détriment de la classe moyenne.

Quant aux revendications syndicales qui semblent tant l'outrée que cette grande économiste nous donne le pourcentage d'augmentation reçue par la fonction publique au cours des vingt dernières années.

Mais on s'entend que les paradis fiscaux, c'est pas pour le père de famille qui fait 150,000 par année.

C'est pour les PDG des grosses boîtes pour qui $150,000 c'est leur petit bonus de fin d'année...et ceux-là y'en a pas beaucoup.

J'en connais du monde qui font un salaire au dessus de la moyenne et qui vivent confortablement, qui, une fois les impots, les taxes, l'hypothèque, la voiture, le cout de la vie, etc payés, arrivent à en mettre de coté dans des REER. Mais les paradis fiscaux, c'est pas pour cette classe-là c'est certain.

Faut faire une distinction entre ce que j'appelerais les 'bien nantis' et les 'riches' parce que c'est clair qu'on peut pas mettre tous ce monde dans le même panier.

edna a écrit : [...]


Ben voyon...c'est pas en se frustrant de la sorte contre les ''méchants riches'' qu'on va arriver à qqchose.

l'article présenté cite clairement qu'un individu qui fait 150,000$ par année remet à Quebec 51 600$...au provincial seulement. Cet individu est aussi taxé au fédéral, ne l'oublions pas. Ils paient leur part comme toi et moi, selon un pourcentage qui est supérieur à ce que nous payons.

Je vais te dire ben franchement que si j'avais une job qui paye 150,000 par année (donc que j'ai fait les études et les sacrifices pour en arriver là) et qu'il faille que j'en donne la moitié aux gouvernements. J'y penserait peut-être moi aussi à regarder ce qui se passe ailleurs.

Si seulement on avait un système de santé digne de ce nom, ou un système d'éducation dans lequel on pourrait avoir confiance.

Ca m'enrage ben plus de voir les petites passes qui se font au niveau corporatif; des compagnies qui viennent s'installer parce qu'ils ont des clauses qui fait en sorte qu'ils ne seront pratiquement pas taxées. Des abris fiscaux ridicules pour soit-disant faire en sorte que les grosses usines viennent s'implanter...mais c'est leurs employés qui en paieront la note.

Perso, je ne m'offusque pas du tout contre les riches... zéro.... plusieurs méritent tout à fait leurs conditions et font les choses tout à fait correctement....

La seule chose, il ne faut pas que tu oublies que celui qui fait 40 000 par année, en donne aussi la moitié à l'état... le pourcentage d'imposition entre la classe moyenne et les classes bcp plus aisées n'est pas très grand.

Perso, je ne trouve pas qu'ils font plus ou moins pitiés que quiconque.... et les systèmes à améliorer... on les payes tous, et on les subis tous.....

Personnellement, la guéguerre, riches, pauvres, classe moyenne, ne m'a jamais bcp parlé...

La seule chose que je déteste, c'est la démagogie utilisé dans ce genre de débat... ça, ce me tappe vrai...

edna a écrit : [...]


Ben voyon...c'est pas en se frustrant de la sorte contre les ''méchants riches'' qu'on va arriver à qqchose.

l'article présenté cite clairement qu'un individu qui fait 150,000$ par année remet à Quebec 51 600$...au provincial seulement. Cet individu est aussi taxé au fédéral, ne l'oublions pas. Ils paient leur part comme toi et moi, selon un pourcentage qui est supérieur à ce que nous payons.

Je vais te dire ben franchement que si j'avais une job qui paye 150,000 par année (donc que j'ai fait les études et les sacrifices pour en arriver là) et qu'il faille que j'en donne la moitié aux gouvernements. J'y penserait peut-être moi aussi à regarder ce qui se passe ailleurs.

Si seulement on avait un système de santé digne de ce nom, ou un système d'éducation dans lequel on pourrait avoir confiance.

Ca m'enrage ben plus de voir les petites passes qui se font au niveau corporatif; des compagnies qui viennent s'installer parce qu'ils ont des clauses qui fait en sorte qu'ils ne seront pratiquement pas taxées. Des abris fiscaux ridicules pour soit-disant faire en sorte que les grosses usines viennent s'implanter...mais c'est leurs employés qui en paieront la note.

On ne parle manifestement pas des mêmes riches. Une personne qui fait un salaire annuel de 150K en ce qui me concerne ce n'est pas un "riche" dans le sens où je l'entend, on parle plutôt d'aisé. Je trouve qu'elle a là un mauvais exemple puisque oui ces gens paient des impôts au pourcentage de leur salaire, au même titre que nous tous. Mais il y a cette autre catégorie qui eux n'en paient pas assez d'impôt, ceux là qui bénéficient d'abris fiscaux et de subventions pour faire prospérer leurs affaires. Ces entreprises richès à milliards qui opèrent avec nos fonds, nos impôts! Je ne suis contre toute hausse d'impôt pour les travailleurs, mais certainement pas de les baisser pour une catégorie de gens plus aisés au détriment de la classe moyenne qui est elle la plus mise à contribution. Que tous paient à la hauteur de leurs revenus, tous!

Placeress a écrit : [...]



Perso, je ne m'offusque pas du tout contre les riches... zéro.... plusieurs méritent tout à fait leurs conditions et font les choses tout à fait correctement....

La seule chose, il ne faut pas que tu oublies que celui qui fait 40 000 par année, en donne aussi la moitié à l'état... le pourcentage d'imposition entre la classe moyenne et les classes bcp plus aisées n'est pas très grand.

Perso, je ne trouve pas qu'ils font plus ou moins pitiés que quiconque.... et les systèmes à améliorer... on les payes tous, et on les subis tous.....

Personnellement, la guéguerre, riches, pauvres, classe moyenne, ne m'a jamais bcp parlé...

La seule chose que je déteste, c'est la démagogie utilisé dans ce genre de débat... ça, ce me tappe vrai...

OK, alors on pense à peu près pareil.

Mon commentaire était en réponse à un post très sarcastique que j'ai trouvé plutot condescendant.

edna a écrit : [...]


OK, alors on pense à peu près pareil.

Mon commentaire était en réponse à un post très sarcastique que j'ai trouvé plutot condescendant.

Personnellement, je comprend qu'un commentaire sarcastique soit fait en réponse à cette journaliste... qui est tellement mérpisante face à tout ce qui n'a pas un signe de $..... je n'aime pas du tout cette femme. Toutes ses interventions me font généralement, ou rire, ou me font pitié, ou encore... peuvent me facher... bref, je la trouve plus ou moins intélligente en fait.... généralement, elle écrase tout sur son passage plutôt que d'apporter des solutions applicables et concrètes qui porte à réflechir.

edna a écrit : [...]


OK, alors on pense à peu près pareil.

Mon commentaire était en réponse à un post très sarcastique que j'ai trouvé plutot condescendant.

Condescendant envers qui? Je réagissais à un article, écrit par une "journaliste" plutôt condescendante et réductrice la plupart du temps. Qui fesse toujours sur le même clou et qui préconise toujours de fouiller dans les mêmes poches. Désolée que ca t'offusque mais moi quand je la lis c'est ce que ca mon ressenti.

Malike a écrit : [...]


On ne parle manifestement pas des mêmes riches. Une personne qui fait un salaire annuel de 150K en ce qui me concerne ce n'est pas un "riche" dans le sens où je l'entend, on parle plutôt d'aisé . Je trouve qu'elle a là un mauvais exemple puisque oui ces gens paient des impôts au pourcentage de leur salaire, au même titre que nous tous. Mais il y a cette autre catégorie qui eux n'en paient pas assez d'impôt, ceux là qui bénéficient d'abris fiscaux et de subventions pour faire prospérer leurs affaires. Ces entreprises richès à milliards qui opèrent avec nos fonds, nos impôts! Je ne suis contre toute hausse d'impôt pour les travailleurs, mais certainement pas de les baisser pour une catégorie de gens plus aisés au détriment de la classe moyenne qui est elle la plus mise à contribution. Que tous paient à la hauteur de leurs revenus, tous!

Ben là on est tout à fait d'accord alors....mais la définition dans le texte de Mme Egralby c'est justement ca. Dans son 1.2% de la population qui serait considérée 'riche', c'est de ces contribualbe-là qu'elle parle. Tout ce beau monde-là dans le même panier.

edna a écrit : [...]


Mais on s'entend que les paradis fiscaux, c'est pas pour le père de famille qui fait 150,000 par année.

C'est pour les PDG des grosses boîtes pour qui $150,000 c'est leur petit bonus de fin d'année...et ceux-là y'en a pas beaucoup.

J'en connais du monde qui font un salaire au dessus de la moyenne et qui vivent confortablement, qui, une fois les impots, les taxes, l'hypothèque, la voiture, le cout de la vie, etc payés, arrivent à en mettre de coté dans des REER. Mais les paradis fiscaux, c'est pas pour cette classe-là c'est certain.

Faut faire une distinction entre ce que j'appelerais les 'bien nantis' et les 'riches' parce que c'est clair qu'on peut pas mettre tous ce monde dans le même panier.

Demande donc à la madame économiste combien paie une personne qui gagne 150 000 et plus d'impôt? Elle va t'écrire que sur la table d'impôt cette personne paie 51 600$. C'est ronflant pas mal. Mais combien cette personne paie dans la réalité suite à toutes les déductions qui lui sont permises et qu'elle reçoit en retour de son impôt payé? Mettons que le montant va être différent. Bien beau jeter ça de même à la face du monde mais que la madame ait l'honnêteté de nous mentionner l'impôt net payé.

.anthurium. a écrit : [...]


Comment ça payons pour eux??????????
Ils payent déja plus que leurs pars.
Que l'on respecte les riches ou non il faut savoir a quel moment une mesure nous nuis collectivement alors que l'on croyais qu'elle allait nous aider.

Je crois qu'ici, on parle des entreprises qui produisent des millions vs des milliards de profis et qui recoivent tout de même des subventions, payés par nos impots et non taxes.... plus, des insitatifs en crédits d'impot.

edna a écrit : [...]


Ben là on est tout à fait d'accord alors....mais la définition dans le texte de Mme Egralby c'est justement ca. Dans son 1.2% de la population qui serait considérée 'riche', c'est de ces contribualbe-là qu'elle parle. Tout ce beau monde-là dans le même panier.

Pourtant y a une foutue différence entre un Paul Desmarais et ti-clin Tremblay qui a un revenu de 150K par année. Justement pourquoi j'ai une sainte horreur des textes de cette femme, elle ne fait absolument pas dans la nuance. On ne peut pas mettre ces gens-là dans le même panier alors quand on suggère de les chouchouter pour les garder ici, on s'entend que c'est pas de monsieur salarié qu'on parle.

Placeress a écrit : [...]



Personnellement, je comprend qu'un commentaire sarcastique soit fait en réponse à cette journaliste... qui est tellement mérpisante face à tout ce qui n'a pas un signe de $..... je n'aime pas du tout cette femme. Toutes ses interventions me font généralement, ou rire, ou me font pitié, ou encore... peuvent me facher... bref, je la trouve plus ou moins intélligente en fait.... généralement, elle écrase tout sur son passage plutôt que d'apporter des solutions applicables et concrètes qui porte à réflechir.

Je dois avouer ne pas être familière avec les écrits de la Madame. J'ai peut-être lu 2 ou 3 articles d'elle (dont je ne me souviens pas très bien) Si je comprend bien, c'est son style pour faire réagir le monde.

Alors elle nous a eu ...

Malike a écrit : [...]


Pourtant y a une foutue différence entre une Paul Desmarais et ti-clin Tremblay qui a un revenu de 150K par année. Justement pourquoi j'ai une sainte horreur des textes de cette femme, elle ne fait absolument pas dans la nuance. On ne peut pas mettre ces gens-là dans le même panier alors quand on suggère de les chouchouter pour les garder ici, on s'entend que c'est pas de monsieur salarié qu'on parle.

....ok, ok....elle m'a vraiment eue

Malike a écrit : [...]
On ne parle manifestement pas des mêmes riches. Une personne qui fait un salaire annuel de 150K en ce qui me concerne ce n'est pas un "riche" dans le sens où je l'entend, on parle plutôt d'aisé. Je trouve qu'elle a là un mauvais exemple puisque oui ces gens paient des impôts au pourcentage de leur salaire, au même titre que nous tous. Mais il y a cette autre catégorie qui eux n'en paient pas assez d'impôt, ceux là qui bénéficient d'abris fiscaux et de subventions pour faire prospérer leurs affaires. Ces entreprises richès à milliards qui opèrent avec nos fonds, nos impôts! Je ne suis contre toute hausse d'impôt pour les travailleurs, mais certainement pas de les baisser pour une catégorie de gens plus aisés au détriment de la classe moyenne qui est elle la plus mise à contribution. Que tous paient à la hauteur de leurs revenus, tous!

Exactement...J'en ai connu aussi quelques uns dont les enfants avaient full prêts et bourses(ils s'en vantaient en plus) devant leurs amis. Je ne sais pas comment ils s'arrangeaient. Insultant, pour ceux qui n'avaient pas réussi à en avoir malgré le salaire très moyen de leurs parents.