LE DOMAINE BLEU

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Une nouvelle que j'ai lu au resto ce midi, j'en ai été fâchée toute le reste du midi ..

Un individu de 53 ans de Lévis a été condamné à 90 jours de prison, mardi matin, au palais de justice de Québec, après avoir été reconnu coupable d’une agression sexuelle sur la fille de sa conjointe.


Les faits reprochés à l’homme remontent en 2003 alors que la fillette n’avait que dix ans. Alors qu’il en avait la garde, l’individu s’est adonné à des attouchements aux seins et à la vulve de l’enfant, sous ses vêtements.

L’homme, qui nie toujours sa culpabilité, a été reconnu coupable au terme d’un procès de deux jours au cours duquel la fillette a été appelée à témoigner.

Au moment de la dénonciation des faits, la mère de l’enfant a préféré croire l’accusé plutôt que la fillette, tant et si bien que l’homme et la femme vivent toujours ensemble tandis que la victime demeure aujourd’hui en famille d’accueil.

Bien qu’il ait été admis que la fillette présentait de nombreux problèmes comportementaux, le juge André Plante, qui présidait le procès, a cru la version de l’enfant.

« Je suis innocent, votre honneur. Je ne sais pas qui a fait ça, mais je vais le trouver », a laissé tomber l’accusé au moment du prononcé de la peine.

L’âge de la victime et la situation d’autorité dans laquelle se trouvait l’accusé au moment de faits ont été considérés comme aggravant par le juge Plante, qui a également souligné les séquelles − dislocation de la famille − sur l’enfant.

En admettant qu’il ne s’agissait pas du pire cas d’agression sexuelle, le juge Plante s’est rangé aux arguments de la défense représentée par Me Fabien Jean en imposant une peine de 90 jours à purger de façon discontinue. Me Nadine Dubois, pour la Couronne, demandait plutôt une peine de neuf mois d’emprisonnement.

La peine est assortie d’une probation de trois ans pendant laquelle il sera interdit à l’accusé de communiquer avec la victime ou de se trouver en compagnie d’une personne de moins de 16 ans sauf s’il est accompagné d’un adulte. L’homme devra également verser un don 3 000 $ à l’organisme Viol-Secours, être inscrit au registre des délinquants sexuels pour une période de 20 ans et suivre toute thérapie sexologique que son agent de probation jugera à propos.

// Je trouve que la petite fait tellement pitié là dedans.. Je "comprend" que la mère doit être en amour, mais sti elle délaisse son enfant pour croire son chum

C'est aberrant et en plus c'est la victime qui est placée en famille d'accueil. Il en arrive encore trop de ces injustices et la mère là-dedans...

Anya a écrit : C'est aberrant et en plus c'est la victime qui est placée en famille d'accueil. Il en arrive encore trop de ces injustices et la mère là-dedans...

Pauvre petite Elle témoigne, et elle n'a même pas le soutien de sa maman

Anya a écrit : C'est aberrant et en plus c'est la victime qui est placée en famille d'accueil. Il en arrive encore trop de ces injustices et la mère là-dedans...

L'injustice, ce n'est pas qu'elle ait été placée, c'est que sa mère ne l'ai pas crue... Dans ce cas-là, il n'y avait pas tellement d'autre choix...

Nikki a écrit : [...]


L'injustice, ce n'est pas qu'elle ait été placée, c'est que sa mère ne l'ai pas crue... Dans ce cas-là, il n'y avait pas tellement d'autre choix...

C'est probablement mieux pour elle, en fait je n'ai aucun doute là dessus, qu'elle ai été placé.. Mais elle n'a même pas le soutien de sa mère. Elle a 10 ans, passe en cour (disons que ça doit être stressant) et sa mère ne l'a crois même pas, alors que normalement on a besoin du soutien de notre mère.. Il a juste 3 mois en plus, ce qui veut dire que sa mère aime plus croire son chum et perdre la garde de sa fille

C'est révoltant, nous l'avons vécu dans notre famille mais pour de la violence pas d'agression sexuel, ma filleul et son frere, la mere a un nouveau chum et il cris apres eux et un moment donné il a ramassé ma filleul et l'a pris par le col et la monté apres le mur elle avait 14 ans la pauvre ensuite quelques temps plus tard il donné un coup de poing a son frere qui avait 13 ans.

La mere n'a jamais rien fait et a dit que les enfants l'avait chercher, ils ont déménagé chez leur pere et le garcon a porté plainte mais pas ma filleule.

J'ai trouvé tout cela tellement triste une mere qui renie ses enfants me semble que ca fait tellement pas de sens, heureusement qu'ils avaient leur pere pour prendre la releve.

Nikki a écrit : [...]
L'injustice, ce n'est pas qu'elle ait été placée, c'est que sa mère ne l'ai pas crue... Dans ce cas-là, il n'y avait pas tellement d'autre choix...

Je me suis peut-être mal exprimée, je voulais dire que c'est aberrant comme histoire, l'injustice c'est que ça arrive encore trop souvent ces histoires, que les mères ne croyent pas leurs filles et "qu'en plus" c'est la fille qui sort de la maison, quant à moi se serait le conjoint qui partirait...

c vraiment epouvantable je trouve que la mere ne croit pas son enfant et se range du coté de son mari

Je ne comprends pas les mères qui croyent leur conjoint au lieu de leurs enfants Gluk

Aveuglement volontaire .....Jalouses de leur propres filles ? Tordu et Dégeux.

Les séquelles pour l'enfant seront d'autant plus graves parce qu'elle n'a pas été crue. Elle a demandé de l'aide et elle ne l'a pas eu. Qu'est-ce que ça envoie comme message à une enfant sur le monde, sur la vie? Ça lui enverra comme message que dans la vie, elle est vulnérable, qu'elle n'est pas digne d'être crue, d'être aidée, qu'on ne peut l'aider. Comment être capable de faire confiance aux gens après ça, aux adultes , aux hommes plus tard dans sa vie?

C'est un ensemble de circonstances qui fait qu'un abus sexuel peut être pire qu'un autre: le lien avec l'agresseur, le fait d'être crue ou non , la répétition dans le temps, l'âge de l'enfant, le soutien qu'on lui accorde etc. J'espère que la famille d'accueil saura lui apporter le soutien dont elle aura besoin pour lui permettre de faire à nouveau confiance aux gens, à la vie et pour qu'il y ait réparation de ce traumatisme (l'abus et le fait de ne pas être crue).

Pauvre p'tite puce.

Autre point:

Il est mentionné dans l'article: L’homme devra également verser un don 3 000 $ à l’organisme Viol-Secours, être inscrit au registre des délinquants sexuels pour une période de 20 ans et suivre toute thérapie sexologique que son agent de probation jugera à propos.

L'homme en question n'avoue même pas les faits! Il nie! Donc aucun remords, aucun sentiment de culpabilité. On part de loin là pour une thérapie. Pour qu'une thérapie fonctionne il faut être motivé, être souffrant, pour vouloir changer.

Cela dit, je crois que le juge a raison de lui "imposer" une thérapie sexologique mais dans les faits je ne suis pas certaine du résultat final.

L'attitude de la mère Vraiment pas fort.... elle préfère se ranger du bord de son conjoint...

Un autre cas d'inceste à Québec...


Publié le 30 avril 2010 à 09h53 | Mis à jour à 09h57
Elle aurait été le jouet sexuel de ses parents

Guy Benjamin
Le Soleil

(Québec) Les accusations portées contre le père et la mère d'une adolescente de 13 ans permettent de croire que la jeune fille serait depuis trois ans le jouet sexuel de ses parents.

Le père de 37 ans est détenu depuis une semaine et fait face à une accusation d'inceste et à deux accusations de contacts sexuels.

La mère de 36 ans fait à son tour face à la justice pour sa complicité dans les gestes posés par son conjoint, et pour ne pas avoir pris les moyens pour protéger sa fille.

Les gestes reprochés aux parents se sont déroulés entre le 1er janvier 2007 et la semaine dernière. L'enfant avait alors entre 10 et 13 ans.

La mère fait face à six chefs d'accusation, dont celui de ne pas avoir rempli son devoir de protection en omettant de fournir les choses nécessaires à l'existence de sa fille. Les choses nécessaires peuvent aussi bien être physiques que psychologiques.

S'ajoute une accusation de corruption en participant à une immoralité sexuelle ou à toute autre forme de vice mettant en danger les moeurs de l'enfant ou en rendant la demeure impropre à la présence d'un enfant. La mère doit aussi répondre d'une accusation de négligence criminelle causant des lésions corporelles, puisqu'elle n'aurait pas pris les mesures pour protéger sa fille contre les gestes du père.

Les trois autres accusations sont de s'être fait la complice du père lors des crimes d'inceste, d'attouchement sexuel et d'agression sexuelle.

Les parents demeurent détenus au moins jusqu'au 14 mai, date à laquelle ils tenteront d'obtenir une liberté provisoire en attendant la tenue de leur procès

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/act ... ECRAN1POS3" onclick="window.open(this.href);return false;

Houlala, ca me fait mauditement penser a un cas que je connais et qui est en train de se régler actuellement, maudit que ca m'encourage au moins que si la maman est trop conne pour agir la justice va le faire a sa place ! Je peux pas comprendre esti (désolée) peuve rester aveugle a se genre de choses, chercher des excuses (du genre''il était pas dans son état normal'') et meme d'aller jusqu'a persuader son enfant que c'est pas si grave, c'était juste un accident. Je suis obligée de prendre mon trou actuellement pis en maudit je vous jure parce que je fesserais fort en sale mais bon avec ses 2 exemples j'oses esperer que la justice leur donneras la punition que je ne peux pas !

mon dieu comment un mere peut avoir aussi peu de coeur faut etre déranger psychologiquement pour laisser une te chose se produire sans rien faire, pauvre enfant .

Justice
Trois ans pour avoir abusé une fillette pendant 10 ans
Sylvain Trépanier
04/05/2010 22h12

QUÉBEC - Un individu de 64 ans, de Québec, a écopé d’une peine de trois ans de pénitencier, au palais de justice de Québec, après avoir agressé sexuellement la fillette de sa conjointe pendant une dizaine d’années, de 1973 à 1983.

Ayant maintenant 40 ans, la victime a affirmé lors du procès que les agressions ont commencé alors qu’elle n’avait que trois ans et demi et n’ont cessé que dix ans plus tard à la séparation de l’accusé d’avec sa mère.

À six ans, après trois ans d’agressions à des fréquences pouvant atteindre 15 fois par mois, la fillette s’est confiée à sa mère, qui a préféré croire la version de l’accusé, allant même jusqu’à installer une chaîne sur la porte de la chambre de la fillette. Un an après que la fillette se fut ouverte à sa mère, cette dernière s’est mariée avec l’accusé.

Comme l’accusé était en chômage l’hiver, la mère de la victime lui en avait confié la garde pendant qu’elle allait travailler. «Ça se passait n’importe où, n’importe quand», a témoigné la victime au procès, malgré la lutte et les hurlements de la fillette. «Finalement, elle lâchait prise et son esprit s’en allait», a rappelé le juge Rémi Bouchard.

Si elle est parvenue à reprendre une vie à peu près normale au fil des ans, les choses se sont détraquées chez la victime, lorsqu’elle a elle-même donné naissance à un enfant. Problème de consommation de drogue, tentatives de suicide multiples, troubles psychiatriques.

«Une enfance gâchée, une adolescence perturbée et une vie adulte anéantie par les séquelles. Même si elle a aujourd’hui 40 ans, la victime peut encore dire qu’elle a été agressée pendant le quart de sa vie», a résumé le magistrat.

À peu près tous les facteurs aggravants applicables ont été retenus par le juge Bouchard au moment de prononcer la peine. L’âge de la victime, l’abus d’autorité et de confiance, la fréquence des gestes commis, la gravité de ceux-ci, la période pendant laquelle ils se sont produits, l’usage de la force pour les perpétrer et les séquelles subies par la victime ont été pris en considération.

«L’accusé sait qu’il a des problèmes et qu’il existe des ressources. Il sait qu’il cause un tort grave à la victime, mais il continue, a souligné le juge Bouchard. Il instrumentalise une enfant sans défense pour assouvir des pulsions sexuelles.»

À la décharge de l’accusé, la juge Bouchard a retenu qu’il a reconnu les faits, qu’il s’est inscrit à une thérapie en 1990 et qu’il n’a pas commis d’autres agressions par la suite, qu’il a exprimé certaines préoccupations à l’endroit de la victime, qu’il éprouve remords et regrets devant l’ampleur des torts causés à sa victime et qu’il est aujourd’hui un actif pour la société.

«Mais les principes de réprobation et d’exemplarité dans la détermination d’une peine plaident en faveur de l’incarcération en raison des facteurs aggravants», a ajouté le juge Bouchard, en penchant du côté de la procureure qui réclamait une peine de trois ans.

Pour sa part, la défense réclamait une peine à purger dans la collectivité.
L’accusé devra en outre s’inscrire au Registre des délinquants sexuels pour une période de dix ans.

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Ca m'écoeure! pas d'autre mot pour décrire cet horreur. C'est dégueulasse avoir de tel envie, ca me donne envie de vomir! Comment peut on avoir des envies sexuel pour un enfant de cet age?? Castration rien de moins et meme ca ca changera pas grand chose ca l,empechera pas de faire des attouchements, je ne crois absoluement pas qu'un homme ayant eu des pulsions pour un enfant aussi longtemps puisse dire un jour qu'il n'en a plus grace a une thérapie, je n'y crois pas du tout.

ca"/$%?&U*&*( que sa aucun espèce de bon sens !!!
poves tites filless

Pédophiles
Se comparer pour se consoler
Kathleen Frenette
Agence QMI
17/05/2010 05h02


Les pédophiles rencontrés, tout comme l'ensemble de la société, affirment qu'ils sont en faveur de la répression de cette déviance.

Questionnés sur des prédateurs sexuels, comme Camil Girard, fondateur de l'Association des Grands Frères du Saguenay et reconnu coupable de 13 chefs d'accusation de nature sexuelle, de possession et de distribution de matériel de pornographie juvénile, les neuf hommes s'animent et déplorent que la société prenne en exemple des cas spectaculaires pour en faire la norme.

"Pour moi, Girard, c'est comme une pomme qui pourrit l'ensemble du panier et qui nous fait tous passer pour des récidivistes ", a dit Lidoire.

Comment des êtres qui ont commis les mêmes gestes que Girard peuvent-ils en arriver à le juger si sévèrement? C'est la question qui surgit lorsque de tels propos sont énoncés.

"Tout simplement parce que ce sont des êtres humains aussi", explique Mario Larrivée-Côté, sexologue-clinicien et expert en délinquance sexuelle. Selon lui, il ne faut pas s'étonner, puisque "tous les êtres qui veulent se reconstruire trouveront toujours pire qu'eux", dit-il.

Retrouver l'estime

De manière consciente ou inconsciente, ils joueront au jeu des comparaisons, dans l'espoir de se redonner un peu d'estime d'eux-mêmes.

"Celui qui abuse d'une fille dira que c'est moins pire que d'abuser d'un garçon. Celui qui abuse d'une ado de 14 ans dira que c'est moins pire que celui qui en agresse une de sept ans. Celui qui fait une victime se trouvera moins pire que celui qui en a fait huit", a illustré le sexologue-clinicien.

À certains égards, il donne même raison aux pédophiles qui jugent de manière très sévère les autres.

"Des cas comme Camil Girard ou Pierre Defoy, c'est extrêmement rare, mais c'est tout ce qu'on voit dans les médias. La grande majorité des études disent que dans 75 % à 80 % des cas, les abuseurs se limitent à des attouchements sexuels. Même que généralement, les pédophiles commenceront leur excitation avec l'enfant et la termineront seuls", a-t-il dit, précisant qu'il ne faut cependant pas banaliser ces gestes.

Et Internet?

En ce qui concerne la publication du profil des pédophiles sur Internet, très peu des neuf hommes questionnés sont contre l'initiative, mais ils ajoutent beaucoup de bémols à leur discours.

"Je pense qu'on pourrait signaler les prédateurs sexuels. Par contre, quand un gars veut s'en sortir et qu'il prend les moyens pour le faire, c'est un peu comme renfoncer le clou", a dit Carl, en étant approuvé par les autres.

Selon eux, il faut également faire attention aux débordements qui, bien souvent, peuvent faire plus de tort que de bien. "Quand ça m'est arrivé, mes chums se sont éloignés, et il y a des gens de ma famille qui ont mis le mot "pédo" sur ma porte. Mais ils l'ont mis aussi sur la porte chez ma mère et même sur celle chez la victime", a dit Simon, qui a trouvé la situation déplorable, surtout pour la victime.

Ils ne sont donc pas contre cette pratique, pourvu qu'elle soit encadrée et qu'elle touche principalement les récidivistes.

"Toutefois, c'est facile de dire où les pédophiles habitent pour dénoncer, mais moi, j'ai encore plus peur de ceux qui ne se sont jamais fait prendre", a dit Pierre en terminant. Questionné à ce sujet, l'expert en délinquance sexuelle dit ne pas croire en ces "remèdes miracles". Selon lui, il n'y a que la motivation qui puisse garantir une forme de succès.

"Les bracelets GPS, les photos sur Internet, la castration chimique... Je ne crois pas à ça. Parce qu'un gars qui a envie de passer à l'acte passera à l'acte", dit-il.

Un peu comme un alcoolique, le pédophile ne sera jamais "véritablement guéri", mais il apprendra plutôt à vivre avec sa déviance.

"Le véritable test pour les gars qui sortent de thérapie, ce sera le jour où ils seront confrontés au même genre de situation difficile qui les a menés à agir la première fois", dit le spécialiste en terminant.

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