Nouvelle tendance : Le vajazzling
Publié : jeu. juil. 08, 2010 10:30 pm
Publié le 08 juillet 2010 à 05h00 | Mis à jour à 09h08
Le vajazzling: se décorer le pubis avec des cristaux
Marie-Josée Nantel, collaboration spéciale
Le Soleil
(Québec) Même le pubis n'échappe pas aux tendances. Surtout depuis que l'actrice américaine Jennifer Love Hewitt en a parlé en janvier lors de l'émission Lopez Tonight, diffusée aux États-Unis. Le vajazzling, l'art de se décorer le pubis avec des cristaux pour des raisons esthétiques, est devenu la tendance du moment chez nos voisins du sud.
Instituée par le spa Completely Bare, à New York, depuis quelques années, le vajazzling est une contraction des mots vagina (vagin) et bedazzling (éblouissement). Une fois le pubis épilé ou rasé complètement, on y colle des cristaux selon le motif désiré : fontaine, coccinelle, étoile, etc. Maintenant en vogue dans les grandes villes américaines comme Los Angeles ou Miami, le vajazzling est surtout pratiqué pour une occasion spéciale comme une nuit de noces ou la Saint-Valentin, selon Completely Bare Spa.
Faite par une esthéticienne, une pose coûte environ 100 $ et la tenue des cristaux est garantie cinq jours. Les poils pubiens n'ont donc pas le temps de repousser avant que les cristaux ne se détachent par eux-mêmes. Celles qui souhaitent le faire elles-mêmes peuvent acheter un ensemble de cristaux Swarovski pour une cinquantaine de dollars, comme sur le site
http://www.vajazzling.com" onclick="window.open(this.href);return false;.
Pas encore au Québec
Le propriétaire de ce site, Mark Ryder, précise qu'il n'a jamais posté d'ensemble au Québec. Seules les provinces de l'Alberta et de la Colombie-Britannique auraient trouvé preneurs. «Notre client le plus important est de loin l'Australie, souligne M.?Ryder. Mais comme le Canada est notre voisin, on vise ce marché. Il faut comprendre que le vajazzling n'en est qu'à ses débuts», croit-il.
En effet, au Québec, la vingtaine d'esthéticiennes contactées par Le Soleil n'avaient même jamais entendu parler de cette pratique. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'est pas non plus répandue dans les boîtes de strip-tease contactées par Le Soleil. «J'ai vu seulement deux filles de Montréal qui avaient ça, au cours des six derniers mois», a affirmé l'un des employés du Cabaret Carol.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/viv ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Le vajazzling: se décorer le pubis avec des cristaux
Marie-Josée Nantel, collaboration spéciale
Le Soleil
(Québec) Même le pubis n'échappe pas aux tendances. Surtout depuis que l'actrice américaine Jennifer Love Hewitt en a parlé en janvier lors de l'émission Lopez Tonight, diffusée aux États-Unis. Le vajazzling, l'art de se décorer le pubis avec des cristaux pour des raisons esthétiques, est devenu la tendance du moment chez nos voisins du sud.
Instituée par le spa Completely Bare, à New York, depuis quelques années, le vajazzling est une contraction des mots vagina (vagin) et bedazzling (éblouissement). Une fois le pubis épilé ou rasé complètement, on y colle des cristaux selon le motif désiré : fontaine, coccinelle, étoile, etc. Maintenant en vogue dans les grandes villes américaines comme Los Angeles ou Miami, le vajazzling est surtout pratiqué pour une occasion spéciale comme une nuit de noces ou la Saint-Valentin, selon Completely Bare Spa.
Faite par une esthéticienne, une pose coûte environ 100 $ et la tenue des cristaux est garantie cinq jours. Les poils pubiens n'ont donc pas le temps de repousser avant que les cristaux ne se détachent par eux-mêmes. Celles qui souhaitent le faire elles-mêmes peuvent acheter un ensemble de cristaux Swarovski pour une cinquantaine de dollars, comme sur le site
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Pas encore au Québec
Le propriétaire de ce site, Mark Ryder, précise qu'il n'a jamais posté d'ensemble au Québec. Seules les provinces de l'Alberta et de la Colombie-Britannique auraient trouvé preneurs. «Notre client le plus important est de loin l'Australie, souligne M.?Ryder. Mais comme le Canada est notre voisin, on vise ce marché. Il faut comprendre que le vajazzling n'en est qu'à ses débuts», croit-il.
En effet, au Québec, la vingtaine d'esthéticiennes contactées par Le Soleil n'avaient même jamais entendu parler de cette pratique. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle n'est pas non plus répandue dans les boîtes de strip-tease contactées par Le Soleil. «J'ai vu seulement deux filles de Montréal qui avaient ça, au cours des six derniers mois», a affirmé l'un des employés du Cabaret Carol.
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Je ne connaissais pas ça, je vais me coucher moins niaiseuse ce soir. 
She bedazzel her 'va-jay-jay' 
Et c'est sûrement moins douloureux que se faire faire un prince albert, quoique si une ampoule pète...