LE DOMAINE BLEU

Politique fédérale
Un nouveau mouvement politique sur le point d’éclore
Canoë Texte: TVA Nouvelles
06/10/2010 16h58



L’échiquier politique québécois pourra compter sur un nouveau joueur cet automne: TVA Nouvelles a appris qu’un mouvement de centre-droit devrait voir le jour sous peu sous l’impulsion de l’ancien ministre péquiste François Legault.

Voyez le reportage complet de Robert Plouffe au TVA Nouvelles de 18 heures.

Ce mouvement pourrait porter le nom de Force Québec.

Il écarterait la question nationale pour se concentrer sur ce qu’il considère comme les grands défis du Québec, notamment la dette croissante, le système de santé engorgé et l’éducation, particulièrement le problème du décrochage. Il espère réunir souverainistes comme fédéralistes.

Un autre ancien ministre péquiste, Joseph Facal, pourrait également faire partie de cette coalition.

Selon les informations de TVA Nouvelles, d’autres figures de proue ont également été approchées. L’homme d’affaires Charles Sirois, qui a fait sa fortune dans les télécommunications, a participé à quelques rencontres. Le président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette, était également dans la mire des organisateurs de la coalition, mais il ne se lance pas dans le projet pour l’instant.

Le professeur de politique appliqué de l’Université Sherbrooke Jean Herman Guay, qui a suggéré lors du conseil national du PQ de 2003 d’abandonner l’option souverainiste, a aussi été approché.

Lorsqu’il avait quitté l’Assemblée nationale, le 25 juin 2009, l’ancien ministre de l’Éducation et de la Santé François Legault avait établi un diagnostic brutal de la situation politique québécoise, parlant même d’un «déclin tranquille».

Le groupe à l’origine du mouvement espère maintenant pouvoir renverser ce constat. Il doit entreprendre une tournée à travers le Québec pour parler aux citoyens. Si celle-ci se déroule bien, un futur parti politique pourrait même voir le jour.
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Politique fédérale

Un nouveau mouvement politique sur le point d’éclore

Canoë Texte: TVA Nouvelles
06/10/2010 16h58 - Mise à jour 06/10/2010 20h13
© Agence QMI

QUÉBEC – L’échiquier politique québécois pourra compter sur un nouveau joueur cet automne: un mouvement de centre-droit devrait voir le jour prochainement sous l’impulsion de l’ancien ministre péquiste François Legault , a rapporté TVA Nouvelles mercredi soir.

Ce mouvement pourrait porter le nom de Force Québec.

Il écarterait la question nationale pour se concentrer sur ce qu’il considère comme les grands défis du Québec, notamment la dette croissante, le système de santé engorgé et l’éducation, particulièrement le problème du décrochage. Il espère réunir des souverainistes comme des fédéralistes.

Un autre ancien ministre péquiste, Joseph Facal, pourrait également faire partie de cette équipe.

D’autres figures de proue ont également été approchées. L’homme d’affaires Charles Sirois, qui a fait sa fortune dans les télécommunications, a participé à quelques rencontres. Le président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette, était également dans la mire des organisateurs du parti, mais il ne se lancera pas dans le projet pour l’instant.

Le professeur de politique appliqué de l’Université Sherbrooke Jean Herman Guay, qui a suggéré lors du conseil national du Parti québécois de 2003 d’abandonner l’option souverainiste, a aussi été approché.

Lorsqu’il avait quitté l’Assemblée nationale, le 25 juin 2009, l’ancien ministre de l’Éducation et de la Santé François Legault avait établi un diagnostic brutal de la situation politique québécoise, parlant même d’un «déclin tranquille».

Le groupe à l’origine du mouvement espère maintenant pouvoir renverser ce constat. Il doit entreprendre une tournée à travers le Québec pour parler aux citoyens. Si celle-ci se déroule bien, un futur parti politique pourrait même voir le jour.

L’ancien conseiller politique de Lucien Bouchard et actuel directeur exécutif du Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal, Jean François Lisée, voit ce projet comme l’occasion de «créer une nouvelle ADQ avec un peu plus de coffre, avec un peu plus de vedettes».

Le nouveau mouvement devra cependant faire ses preuves. « La question c’est: qu’est-ce qu’ils vont faire de différent des libéraux et de l’ADQ? », dit Jean-François Lisée, qui ne participe pas aux travaux du futur parti Force Québec.

Ils en ont dit :

- Sébastien Lépine, porte-parole du chef de l’ADQ Gérard Deltell : «C’est inquiétant pour le Parti québécois. Ce sont deux ténors de ce parti, François Legault et Joseph Facal, qui lanceraient ce mouvement. De notre côté, nous accueillons cela assez favorablement. Gérard Deltell a toujours dirigé le parti avec beaucoup d’ouverture. Nous portons donc un regard intéressant et intéressé à ce qui se passe.»

- Éric Caire, député indépendant de La Peltrie : «Je n’ai pas été approché, mais c’est certainement très intéressant. Ce sont des gens avec qui j’ai un accord politique. On va suivre ça de près et voir quelle forme ils veulent donner à ça.»

- Marc Picard, député indépendant des Chutes-de-la-Chaudière. «C’est très rafraîchissant pour la politique québécoise. Comme mouvement de centre-droit, c’est ma place. Je salue l’initiative. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour aucun des partis politiques présents à l’Assemblée nationale.»

- Françoise David, présidente de Québec solidaire. «Je ne suis pas surprise. Ils essaient de tester l’intérêt pour leurs idées. Toute contribution est la bienvenue. Mais connaissant les idées de MM. Facal et Legault, je ne serai pas d’accord avec eux. C’est prématuré de dire à quels partis ils enlèveraient des votes. Tôt ou tard, ils vont se frapper à l’écueil de la question nationale. Ils ne peuvent pas en faire l’économie. Ce serait comme décréter que l’hiver n’existe pas au Québec et fermer les yeux pendant six mois!»

- Les libéraux ne voulaient pas commenter la nouvelle.

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Blogues Le blogue de Michel Hébert
Un nouveau parti?
5 octobre 2010

Ça n’arrive pas souvent au Québec. En France, on voit ça régulièrement, des intellectuels de la même chapelle qui se crêpent le chignon poliment mais ici, c’est plus rare.

On assiste en ce moment à un de ces précieux moments impliquant les experts parmi les mieux cotés de la chronique politique québécoise: Jean-François Lisée, ancien compagnon d’armes de Lucien Bouchard, maintenant chroniqueur et blogueur à l’Actualité, Michel David, le chroniqueur étoile du Devoir, et Joseph Facal, prof aux HEC, ex ministre du PQ et actuellement au centre de supputations l’envoyant à un parti politique à naître. Un nouveau parti politique!

Presque cinq ans jour pour jour après la publication du Manifeste pour un Québec lucide, Lucien Bouchard et François Legault, selon Lisée, auraient convaincu Joseph Facal de joindre un mouvement de centre-droite qui devrait mener à la création d’un parti «lucide».

Ce scénario ne soulève pas l’enthousiasme chez les partisans de l’indépendance, on comprend pourquoi. Un nouveau parti initié par d’ex péquistes porterait un coup très dur au PQ… On reproche d’ailleurs déjà à Joseph Facal de renier ses convictions premières et, sous prétexte d’«ouvrir un nouveau cycle politique», d’envoyer le projet souveraniste aux calendes grecques.

S’estimant mal compris, Facal sermonne Lisée et David avec un certain plaisir, ce qu’un politicien ne peut généralement pas faire. Profitant toujours d’un statut de chroniqueur au Journal de Montréal, M. Facal sort sa règle pour corriger les critiques dans sa colonne de lundi. Il y confirme notamment que des discussions ont cours actuellement autour de la création «d’une coalition de fédéralistes et de souverainistes qui, devant notre incapacité à régler la question nationale, s’attaquerait aux autres problèmes du Québec»….

De quoi s’agit-il au fait? De l’incapacité présumée de Pauline Marois à gouverner le Québec hors du statu quo, de la nécessité de fonder parti moins radical que l’ADQ mais plus actif que le PQ dans la remise en question du modèle québécois.

Les Lucides pourraient rouvrir le débat bientôt.

M. Facal prononcera un important discours au Lion d’Or, à Montréal, le 28 octobre prochain. Bénéficaire de la soirée, L’Action nationale en parle comme du «rendez-vous de l’automne».

À suivre.

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Les "en-attendantistes"
Josée Legault
Voir - http://www.voir.ca" onclick="window.open(this.href);return false;
mercredi 6 octobre 2010

Le phénomène est fascinant. D’un côté, les sondages indiquent depuis des mois que le PQ remporterait une victoire majoritaire s’il y avait élection.

De l’autre, Pauline Marois est de plus en plus critiquée pour son incapacité à "profiter" de la déconfiture du gouvernement Charest…

Pis encore pour elle, une rumeur persiste quant à la création d’un mouvement politique ou groupe de réflexion de centre-droit par les ex-ministres péquistes Joseph Facal et François Legault. Pavant possiblement la voie à la fondation d’un parti, il serait "neutre" sur la question nationale en proposant de vaquer exclusivement aux questions de gouvernance. On dit même que l’idée aurait reçu la bénédiction urbi et orbi du Lucide-en-chef, Lucien Bouchard.

Bref, beaucoup de conditionnel dans tout ça…

Or, cette semaine, à C’est bien meilleur le matin, André Pratte de La Presse, lui-même un membre originel des Lucides, parlait du "mouvement Legault-Facal" et ajoutait ceci : "il semble de plus en plus possible que les revenants vont revenir"…

Méchante soirée d’Halloween en perspective cette année au PQ !

Car si cela s’avérait, Mme Marois se demanderait quel péché elle aurait bien pu commettre pour mériter une telle chose au moment où une majorité de Québécois rêvent éveillés au départ de Jean Charest.

Pour le PQ, ce serait un croc-en-jambe majeur parce que venu des "siens". Ce serait aussi faire une offre de service étonnante à une ADQ moribonde qui n’en demande pas tant. Pour bien des Québécois, ce serait assister à la naissance d’un parti de plus à s’inscrire dans une droite politique montante, ici et ailleurs en Occident.

Tenez. Même Michael Fortier, ex-ministre non élu de Harper et un autre agent libre de la droite, propose justement un référendum obligatoire tous les 15 ans, question de permettre aux souverainistes et fédéralistes, en attendant le prochain, de siéger dans un même gouvernement. Quelle belle coïncidence.

Le fantasme de la mythique "troisième voie"

Ce qui, par un autre hasard, rappelle également un certain Lucien Bouchard qui, en 1991, alors qu’il était chef du Bloc, avait tenté en vain d’amener un certain Claude Béland, du Mouvement Desjardins, à créer un nouveau parti au Québec. Son but : concurrencer un PQ que M. Bouchard jugeait trop "radical"… (voir le 3e tome de la biographie de Jacques Parizeau par Pierre Duchesne, pages 191-196.)

Aujourd’hui, il y a légère nuance. Chez ces ex-ministres péquistes de droite, on semble aussi y voir l’occasion de faire autre chose "en attendant" le Grand Soir…

Comme l’expression revient sans cesse et de plus en plus, je les ai donc baptisés les "en-attendantistes".

Ce qui rappelle tout autant l’"approche" du même Lucien Bouchard en 1996. Alors premier ministre, il mettait l’option du PQ en veilleuse au nom d’un "déficit zéro" qu’il disait justement vouloir réaliser "en attendant" ses "conditions gagnantes" auxquelles, tenez donc, il n’allait pourtant jamais vraiment travailler.

C’est aussi ce qu’avait fait Pierre-Marc Johnson, un autre "en-attendantiste" convaincu. C’est même pas mal ce que le PQ a continué de faire après M. Bouchard en disant attendre, cette fois-ci, l’"assurance morale de gagner" avant de tenir un référendum.

Et donc, avec le temps, ces diverses formules "en-attendantistes" auront contribué à nourrir l’idée d’une souveraineté de moins en moins "réalisable" sans une victoire gagnée d’avance. Ce qui, pourtant, est un non-sens en démocratie. Et d’autant plus si l’on considère les moyens démesurés dont dispose le Canada en campagne référendaire.

Résultat : les sondages montrent depuis quelques années qu’une majorité de Québécois voient la souveraineté comme faisable, mais pensent de moins en moins qu’elle se réalisera un jour. C’est que la philosophie "en-attendantiste" a un petit côté contagieux…

Au point où on se demande même pourquoi d’ex-ministres péquistes voudraient créer un deuxième parti "en-attendantiste" en plus du PQ ? À moins que le but ne soit simplement d’affaiblir ce dernier au moment où son retour au pouvoir devient possible.

Or, il se peut aussi que ce nouveau mouvement ou groupe de réflexion, sûrement armé, lui aussi, de son petit manifeste, serve surtout à faire circuler encore plus certaines idées dites autonomistes et conservatrices "en attendant" la suite des choses au Québec.

Auquel cas, tout cela ferait plutôt penser à un exercice de positionnement d’éventuels aspirants à la succession de Mme Marois au cas où elle devait échouer à prendre le pouvoir ou encore, à le conserver par la suite. Une autre forme d’"en-attendantisme" qui risque en effet de pousser quelques ambitieux hors-PQ à commencer à se positionner, discrètement ou non.

Car si Facal & Legault le font à droite, d’autres, à l’opposé, se moussent comme des gardiens born again de la social-démocratie, de l’indépendance et de l’Identité avec un "i" majuscule…

Mais attendons la suite des choses avant de conclure. Qui sait ? Elle pourrait être surprenante.

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Argh...........François Legault...... qu'est-ce qu'il vient faire là lui ?

J'y fais autant confiance qu'en Charest celui-là.....

ben pour lui et ca gang le rlq fait pas sérieux surement

Publié le 07 octobre 2010 à 10h51 | Mis à jour à 10h51
Legault et Facal larguent Marois, dit Charest

Tommy Chouinard
La Presse

(Québec) En envisageant de lancer un nouveau mouvement politique, François Legault et Joseph Facal «larguent» la chef péquiste Pauline Marois, estime le premier ministre Jean Charest.

«Je constate que deux anciens ministres péquistes et collègues de Pauline Marois ont décidé de larguer le Parti québécois et Mme Marois et de fonder un mouvement politique. Tant mieux au Québec si on a un débat d'idées, c'est toujours bon», a-t-il affirmé ce matin à l'entrée d'une réunion du caucus de son parti.

Quant à savoir si, selon lui, ce mouvement représenterait une menace sérieuse pour le PQ ou remettrait en question le leadership de Mme Marois, M. Charest a dit : «on verra». Mais «une chose est sûre : si j'ai bien compris, Francois Legault et Joseph Facal ne seront pas au prochain conseil national du PQ».

En plus de Joseph Facal, François Legault, initiateur du projet, aurait également approché des fédéralistes comme Michael Fortier et Philippe Couillard, selon différents médias. «Je n'en vois pas» de fédéralistes au sein de ce mouvement, a répondu M. Charest. «Chez nous au Parti libéral, on va continuer d'être un parti qui représente tous les Québécois», a-t-il ajouté, répétant que «tant mieux s'il y a des débats d'idées».

Ce mouvement politique, de centre-droit, mettrait de côté la question nationale pour donner la priorité à des enjeux comme l'économie, la santé et l'éducation. De l'aveu même de François Legault, le mouvement est loin d'être prêt à faire sa première sortie publique.

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C'est sûr que Charest trouve ça bon... Ça va diviser le vote des autres partis et lui donner de bonnes chances d'être ré-élu...


Yé.

Mimosa a écrit : C'est sûr que Charest trouve ça bon... Ça va diviser le vote des autres partis et lui donner de bonnes chances d'être ré-élu...


Yé.

Hum je ne suis pas certaine que cela ne lui nuira pas. Avant il ramassait les votes des fédéralistes + ceux de droite qui trouvaient L'ADQ trop bric à brac. Avec ce nouveau parti s'il voit le jour, il va perdre les anciens adéquistes ainsi que les libéraux qui même tanné du parti libéral ne serait pas allé jusqu'à voter PQ. Pour ce dernier il y a ceux qui aimaient Legault qui vont possiblement le suivre mais comme il a pas été capable de passer la convention pour devenir chef, ils doivent pas être des masses, par contre comme ce nouveau parti rejette la motion de séparation, le vote péquiste va se confirmer et continuer à se diviser avec Amir et son parti, ce qui fait que le PQ passerait mais minoritaire probablement.

À moins que malgré le fait que Legault soit le chef de ce nouveau parti ( crime que ça serait dommage ) qu'ils raflent tout les insatisfaits pour x raisons : tanné des libéraux, tanné de la tiédeur du PQ, tanné des politiciens actuels quoi et qu'il passerait en laissant le PQ à l'opposition.....comme la flambée qui a faillit porter l'ADQ au pouvoir dans une élection précédente.
Mais je ne crois pas que Charest pourrait réussir même dans 3 ans à se faufiler entre le PQ et un autre parti de centre-droit pour reprendre le pouvoir. Les québécois sortent peut-être pas dans la rue pour exiger sa démission mais dès qu'ils auront une chance il va prendre le bord assez raide merci !

tuberale a écrit : [...]


Hum je ne suis pas certaine que cela ne lui nuira pas. Avant il ramassait les votes des fédéralistes + ceux de droite qui trouvaient L'ADQ trop bric à brac. Avec ce nouveau parti s'il voit le jour, il va perdre les anciens adéquistes ainsi que les libéraux qui même tanné du parti libéral ne serait pas allé jusqu'à voter PQ. Pour ce dernier il y a ceux qui aimaient Legault qui vont possiblement le suivre mais comme il a pas été capable de passer la convention pour devenir chef, ils doivent pas être des masses, par contre comme ce nouveau parti rejette la motion de séparation, le vote péquiste va se confirmer et continuer à se diviser avec Amir et son parti, ce qui fait que le PQ passerait mais minoritaire probablement.

À moins que malgré le fait que Legault soit le chef de ce nouveau parti ( crime que ça serait dommage ) qu'ils raflent tout les insatisfaits pour x raisons : tanné des libéraux, tanné de la tiédeur du PQ, tanné des politiciens actuels quoi et qu'il passerait en laissant le PQ à l'opposition.....comme la flambée qui a faillit porter l'ADQ au pouvoir dans une élection précédente.
Mais je ne crois pas que Charest pourrait réussir même dans 3 ans à se faufiler entre le PQ et un autre parti de centre-droit pour reprendre le pouvoir. Les québécois sortent peut-être pas dans la rue pour exiger sa démission mais dès qu'ils auront une chance il va prendre le bord assez raide merci !

Mmm, moi je suis quasi certaine que Charest se rendra pas au prochaine élection. Normandeau se voit déjà première ministre du Québec.

la droite en a deja peur de ce mouvement la dont la cliques dirrigeante du rlq

qui pour eux le mouvement de legault c'est des faux droitiste

7 Octobre 2010
17:52 pm, Richard Martineau
Question quiz

Donc, un CINQUIÈME parti provincial risque de voir le jour, sous la férule de François Legault et Joseph Facal.

Question quiz du jour:

Quel parti existant va en prendre plein la gueule si jamais cette formation voit le jour?

A) LE PQ

B) L'ADQ

C) LE PLQ

D) QUÉBEC SOLIDAIRE

E) TOUTES CES RÉPONSES

F) LE VOTE VA SE MORCELER, ET CHAREST VA SE FAUFILER ENTRE LES QUATRE AUTRES PARTIS

Votre réponse?

http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/1 ... ion_quiz_6" onclick="window.open(this.href);return false;

Anya a écrit : 7 Octobre 2010
17:52 pm, Richard Martineau
Question quiz

Donc, un CINQUIÈME parti provincial risque de voir le jour, sous la férule de François Legault et Joseph Facal.

Question quiz du jour:

Quel parti existant va en prendre plein la gueule si jamais cette formation voit le jour?

A) LE PQ

B) L'ADQ

C) LE PLQ

D) QUÉBEC SOLIDAIRE

E) TOUTES CES RÉPONSES

F) LE VOTE VA SE MORCELER, ET CHAREST VA SE FAUFILER ENTRE LES QUATRE AUTRES PARTIS

Votre réponse?

http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/1 ... ion_quiz_6" onclick="window.open(this.href);return false;

Je trouverais intéressant de faire un sondage ici même dans un nouveau topic en reprenant cette question... Tu voudrais le faire, Anya?.. Sinon, fais-le moi savoir, je le ferai... Merci à toi!

L'ADQ rejoint Force Québec,
PLQ et PQ perdent pas mal de plumes (électeurs!), QS gagne 1 ou 2 députés = gouvernement minoritaire.....PQ. C'est ce que je prédis

Nikki a écrit : [...]


Je trouverais intéressant de faire un sondage ici même dans un nouveau topic en reprenant cette question... Tu voudrais le faire, Anya?.. Sinon, fais-le moi savoir, je le ferai... Merci à toi!

D'accord Nikki, je vais ouvrir un nouveau topic sur la question.

Ely a écrit : [...]



Mmm, moi je suis quasi certaine que Charest se rendra pas au prochaine élection. Normandeau se voit déjà première ministre du Québec.

Je ne pense pas car elle ne parle pas anglais

celsim a écrit : L'ADQ rejoint Force Québec,
PLQ et PQ perdent pas mal de plumes (électeurs!), QS gagne 1 ou 2 députés = gouvernement minoritaire.....PQ. C'est ce que je prédis

Je suis un peu de cet avis......

Je prédis par contre que le PQ va vouloir changer de chef..... probablement Gilles Duccepe....

Placeress a écrit : [...]



Je suis un peu de cet avis......

Je prédis par contre que le PQ va vouloir changer de chef..... probablement Gilles Duccepe....

J'aimerais tellement voir Gilles Duceppe Débarqué je suis persuadé qu'il ferais un bon premier ministre au Québec

cowgirls a écrit : [...]


J'aimerais tellement voir Gilles Duceppe Débarqué je suis persuadé qu'il ferais un bon premier ministre au Québec

Le leadership de Marois ne lève pas du tout dans la population...... même en plein Bastarache et avec de plus en plus de preuves de corruption, le PQ n'a que 8 % de plus que le PLQ....... donc, avec un 5 ieme parti, si on fait une rétro du comportement du PQ envers leurs chefs..... je ne pense pas qu'il reste bien longtemps à Pauline Marois.

Je trouve ça triste personnellement pour elle, et je la trouve bien compétente... mais je pense que c'est une question de temps. En contre parti, je pense aussi que Gilles Duceppe ferais un bon PM.

Politique
Legault veut «aboutir» d'ici quelques mois
Mathieu Turbide
Le Journal de Montréal
08/10/2010 04h01



L'ex-ministre péquiste François Legault espère pouvoir sortir de l'ombre avec son mouvement politique au cours des prochains mois. Loin d'être mort-né, le mouvement s'active et continue de multiplier les rencontres, a-t-il assuré en entrevue au Journal de Montréal.

Même s'il ne sait pas encore quelle forme cela prendra, François Legault confirme qu'il entend lancer prochainement un mouvement politique qui cherchera à «contribuer au débat public».

«On a des rencontres de prévues au cours des prochaines semaines. On essaie d'aboutir au cours des prochains mois», a-t-il indiqué, en ajoutant ne pas être prêt à se lancer tout de suite dans la mêlée.

«La journée où je ferai une sortie publique, je la ferai et j'exprimerai exactement ma vision, puis les discussions que je propose», a-t-il dit.

M. Legault confirme qu'il a rencontré plusieurs personnes, de milieux différents, afin de les convaincre de participer à sa démarche.

«J'ai rencontré au cours des derniers mois un certain nombre de personnes pour discuter de la possibilité de contribuer au débat public. Il y a toutes sortes de personnes qu'on rencontre, de différents milieux, autant des fédéralistes que des souverainistes, qui sont évidemment déçus de la situation politique au Québec», a-t-il précisé.

Des propositions concrètes

L'ex-président d'Air Transat assure que, même si son mouvement est identifié au centre-droit, les discussions ne sont pas limitées à la seule question économique. Des rencontres ont eu lieu avec des acteurs importants de plusieurs secteurs d'activité, afin d'établir des positions et, surtout, de proposer des projets et des réformes concrètes.

«On ne parle pas seulement d'économie, là, dit-il. On parle aussi d'éducation, de culture, de langue. Et [les gens qu'on rencontre] ce ne sont pas seulement des politiciens de carrière. Ce sont des gens, des citoyens qui s'intéressent à la situation du Québec.»

Un parti ?

M. Legault n'a pas nié qu'il demeure possible que ce mouvement devienne un parti politique un jour. Mais il trouve qu'il est prématuré pour le moment de spéculer. «Ça va très loin, ce qui circule dans les médias», tempère-t-il.

Mais, du même souffle, il fait remarquer qu'il faut agir plutôt que de simplement commenter. «Moi, je suis plus un gars d'action qu'un gérant d'estrade», a-til lancé.

Plusieurs sources, qui ont rencontré M. Legault, nous ont toutefois confié que, lors de ces discussions, la possibilité de transformer un jour le mouvement en parti politique, était bel et bien évoquée, tout dépendant de l'accueil que recevraient les propositions du groupe.

Pas Force Québec

Selon ce que TVA Nouvelles avait appris -et qui nous a été confirmé par plusieurs sources -, le nom retenu jusqu'à il y a quelques semaines était bel et bien Force Québec. Mais le groupe a décidé de ne pas se lancer sous ce vocable.

«Ce ne sera pas Force Québec, précise François Legault. Oui, nous avons un autre nom, mais on préfère ne pas le dévoiler pour le moment», a expliqué l'instigateur du projet.

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