LE DOMAINE BLEU

gazzoux1 a écrit : Oui ça prouve que les enquêtes se pourvuivent .

Voici son facebook

http://www.facebook.com/#!/profile.php? ... 70&sk=info" onclick="window.open(this.href);return false;

Je suis curieuse et j'aime ça d'même .

lolilou a écrit : Moi la seule chose qui m'est venue à l'esprit, c'est tout ce qu'il a pu faire sur d'autres enfants durant toutes ces années...

gazzoux1 a écrit : [...]


Si c'est le cas, ça va ressortir, j'aimerais savoir comment ils en sont venus à savoir que c'était lui. On voit sur son facebook qu'il a un vocabulaire très enrichi. Maudite ordure

Lison48 a écrit : [...]


À l'époque, il était déjà suspect, il venait de sortir de prison pour des cas d'agressions sexuelles. Ensuite il est encore retourné en prison. Maintenant avec les nouvelles technologies, les policiers ont pu l'accusé avec son ADN.

gazzoux1 a écrit : [...]
Merci de l'information Lison J'aimerais qu'il fasse le lien avec d'autres enfants disparus, c'est peut-être le cas on sait jamais

MME C a écrit : Voici un jugement rendu par la Cour d'appel du Québec le 18 mars 1994. Cette demande a été rejetée finalement.

Il avait été sentencé en mai 1993 pour menaces de mort, agressions sexuelles et séquestration. Il avait 18 ans lors des infractions. Il avait déjà un antécédent judiciaire devant la Chambre de la jeunesse, mais c'était sa première peine en tant qu'adulte.

Le juge l'avait condamné à: 2 ans de prison, traitement pour délinquant sexuel à Pinel durant son incarcération, thérapie pour son problème d'alcool et de toxicomanie.

Il aurait suivi ses traitement soi-disant et a eu un rapport semble-t-il positif du psychiatre qui l'a suivi lorsqu'il a demandé sa libération conditionnelle.

En 1994, il a été en appel devant les juges Tyndale, Mailhot et Jish.

Il était libre en 1995 puisqu'il a tué Joleil Campeau cette année-là.

Si ça peut vous donner une idée de comment a été perçue sa demande d'aller en appel pour ce crime, voici: (c'est un peu long, je m'excuse, mais ça vaut la peine...)
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COUR D'APPEL
PROVINCE DE QUÉBEC
GREFFE DE MONTRÉAL
No: 500-10-000194-934
(500-01-005285-926)

Le 18 mars 1994

CORAM: LES HONORABLES TYNDALE
MAILHOT
FISH, JJ.C.A.

SA MAJESTÉ LA REINE,
APPELANTE - (poursuivante)

c.

ÉRIC DAUDELIN,
INTIMÉ - (accusé)

LA COUR, statuant sur le pourvoi contre la sentence imposée le 12 mai 1993 par M. le juge Roger Vincent (Cour du Québec, Chambre criminelle et pénale, district de Montréal) après que l'intimé eut déposé un plaidoyer de culpabilité à des accusations de menaces de mort, agressions sexuelles et séquestration (art. 264.1(1)a)(2), 271(1)a) et 279(2) du Code criminel);

CONSIDÉRANT que l'intimé a plaidé coupable après l'enquête préliminaire mais avant que la date définitive pour la tenue du procès n'ait été fixée;

CONSIDÉRANT que malgré la gravité des délits commis par l'intimé et l'antécédent judiciaire devant la Chambre de la jeunesse , le juge de première instance est venu à la conclusion que dans ce cas, "le plus important serait un suivi probatoire important" et que "à cause de l'article 731(1)b) C.cr., [il] a restreint la sentence à deux ans d'emprisonnement afin de lui imposer une période de probation de trois ans, accompagnée de l'obligation de voir un agent de probation une fois par mois afin de discuter avec ce dernier des problèmes d'alcool et de stupéfiants dont l'accusé souffrait et également de voir à ce qu'il puisse être traité quant à ses relations avec d'autres personnes du sexe opposé ";

CONSIDÉRANT que le juge de première instance a imposé à l'intimé, outre la peine de deux ans, qu'il suive, pendant son incarcération, un traitement pour délinquant sexuel à l'Institut Pinel ainsi qu'une thérapie pour son problème d'alcool et de toxicomanie ;

CONSIDÉRANT que dans les faits l'intimé suit ses traitements et qu'il a fait voir un certain désir de s'aider , tel que le fait voir le document daté du 18 novembre 1993 provenant de la Commission nationale des libérations conditionnelles et le rapport d'évolution signé par le psychiatre, le 2 février 1994;

CONSIDÉRANT l'âge de l'intimé (18 ans lors des infractions) et le fait qu'il s'agit de la première peine imposée à l'intimé dans le système des adultes;

CONSIDÉRANT que compte tenu de la détention préventive et de la longue période de suivi probatoire, la peine imposée par le juge de première instance équivaut à plus de six ans de contrainte et de vigilance;

CONSIDÉRANT que malgré la gravité des délits et l'impact important qu'ils ont produit à l'égard des victimes, nous sommes d'avis qu'il n'y a pas lieu, dans les circonstances, d'intervenir dans la discrétion exercée par le juge de première instance, la sentence n'étant pas déraisonnable au point qu'il faille intervenir.

PAR CES MOTIFS:

ACCUEILLE la requête pour permission d'appeler, mais REJETTE le pourvoi.

gazzoux1 a écrit : [...]
C'est peut-être long mais très intéressant .

MME C a écrit : [...]


Oui, c'est long en effet, mais oui, ça vaut la peine.

Car ça veut dire qu'à même pas 18 ans, il avait passé devant le Tribunal de la Jeunesse - on saura jamais pourquoi.

À 18 ans, en 1993, il menace de mort, séquestre et agresse sexuellement. Il a 2 ans de sentence nanane. Il demande un appel mais ne l'obtient pas.

Il sort en 95. Il a été perçu comme un bon ti garçon. Mais il enlève, séquestre, agresse sexuellement et tue Joleil Campeau. Il échappe à la justice. Et il remet ça pour une autre de 17 ans, mais ne la tue pas heureusement.

C'est ça qui m'exaspère et me met hors de moi!!!

En 1993, il a eu un maigre 2 ans!!!! Esti! Deux ans plus tard, dans la même maudite année, il a enlevé, séquestré, agressé sexuellement, violé 2 jeunes, 10 et 17 ans, et en a tué une!!!
Pis il a recommencé en 2000 aussitôt sorti de prison!

Kessé ça???? Ça prend un meurtre pour l'arrêter de faire ça? Où sont les bons jugements?????

Lollita a écrit : Il y a un Yve Lavigeur dans ses amis sur son facebook ,

Pi sur le facebook a yve lavigeur , il y a une Daudelin qui dit à yve salut cousin