Transmission du VIH : Johnson Aziga, criminel dangereux
Publié : mar. août 02, 2011 7:31 pm
Transmission du VIH : Johnson Aziga, criminel dangereux

Photo: La Presse Canadienne /HO, Hamilton Spectator
Johnson Aziga
Le premier Canadien reconnu coupable de meurtre pour avoir transmis volontairement le VIH est déclaré criminel dangereux.
La Cour supérieure de l'Ontario estime que Johnson Aziga a fait preuve d'un manque de jugement et qu'il est probable qu'il blesse ou tue de nouveau.
En 2009, Johnson Aziga, qui se savait séropositif depuis 1996, a été reconnu coupable de meurtre prémédité pour avoir transmis le VIH lors de relations sexuelles non protégées avec sept femmes.
Deux de ses victimes sont mortes.
L'homme de 54 ans d'origine ougandaise a présenté des excuses en mai, disant regretter d'avoir caché sa séropositivité.
Mais la justice s'est rangée aux arguments de la Couronne qui avait affirmé que le père de trois enfants avait exprimé peu de remords à l'égard des victimes.
Johnson Aziga sera surveillé jusqu'à la fin de ses jours, lorsqu'il aura purgé sa peine, pour éviter une récidive.
http://www.radio-canada.ca/regions/Onta ... -vih.shtml" onclick="window.open(this.href);return false;

Photo: La Presse Canadienne /HO, Hamilton Spectator
Johnson Aziga
Le premier Canadien reconnu coupable de meurtre pour avoir transmis volontairement le VIH est déclaré criminel dangereux.
La Cour supérieure de l'Ontario estime que Johnson Aziga a fait preuve d'un manque de jugement et qu'il est probable qu'il blesse ou tue de nouveau.
En 2009, Johnson Aziga, qui se savait séropositif depuis 1996, a été reconnu coupable de meurtre prémédité pour avoir transmis le VIH lors de relations sexuelles non protégées avec sept femmes.
Deux de ses victimes sont mortes.
L'homme de 54 ans d'origine ougandaise a présenté des excuses en mai, disant regretter d'avoir caché sa séropositivité.
Mais la justice s'est rangée aux arguments de la Couronne qui avait affirmé que le père de trois enfants avait exprimé peu de remords à l'égard des victimes.
Johnson Aziga sera surveillé jusqu'à la fin de ses jours, lorsqu'il aura purgé sa peine, pour éviter une récidive.
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