LE DOMAINE BLEU

Publié le 21 septembre 2011 à 11h32

Outrage au cadavre de Valérie Leblanc: le dossier entre les mains de la Couronne


Le dossier d'outrage au cadavre de Valérie Leblanc est maintenant dans les mains d'un procureur de la Couronne, qui décidera si des accusations formelles seront déposées contre une des quatre personnes qui ont découvert la victime sans vie derrière le Cégep de l'Outaouais, le 23 août dernier.
La police de Gatineau a confirmé mercredi matin qu'elle avait confié le dossier au bureau des poursuites criminelles et pénales.

Cette enquête est parallèle à la principale, celle du meurtre de la jeune femme retrouvée dans un boisé de la Commission de la capitale nationale, derrière le campus Gabrielle-Roy.

Plus de détails dans LeDroit du jeudi 22 septembre 2011 ou sur ledroitsurmonordi.ca

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Meurtre sordide en Outaouais
«J'ai vraiment peur» - la mère de Valérie Leblanc
30 septembre 2011 à 09h28



C'est une femme à la fois ébranlée et déterminée qui fait confiance à la police, mais qui tente d'aider à retrouver celui qui a tué sa fille de 18 ans le 23 août dernier derrière le cégep de l'Outaouais, qui s'est confiée à LCN.

Valérie Leblanc était aux dires de tous une étudiante sans histoire qui mordait dans la vie. Sa mère, Julie Charron, l'a dépeinte comme une jeune femme souriante et joyeuse.

«Elle avait fait de bons choix, s'était entourée de bons amis. Elle aimait beaucoup le théâtre, la musique. Valérie était tout. C'était une bonne fille », raconte Julie Charron d'une voix douce.

Le meurtrier de sa fille, qui venait à peine d'entrer dans l'âge adulte, n'a toujours pas été arrêté. En plus de son deuil, Mme Charron vit dans la crainte de ne pas savoir qui a pu s'en prendre à son enfant de façon aussi ignoble.

«J'ai vraiment peur, c'est stressant, je n'ose pas trop sortir de la maison, je surveille ma fille aussi. J'essaie de vivre avec ça, je n'ai pas le choix, il faut que je continue ma vie, mais j'ai de grandes faiblesses. Et j'ai demandé à Valérie qu'elle me supporte là-dedans.»

Julie Charron peut aussi compter sur le soutient de ses proches et de son conjoint, mais trouve difficile que les enquêteurs de la police de Gatineau ne communiquent pas avec elle aussi souvent qu'elle le souhaiterait.

«Il n'y a rien qui se passe, nous sommes au courant de rien. [...] Je sais que ce sont de bons policiers, de bons enquêteurs. Je ne suis pas inquiète pour ça, mais c'est long.»

Collecte de fonds pour Valérie

Bouleversée par la mort de Valérie Leblanc qui travaillait à sa boutique et qu'elle décrit comme un petit bout-en-train, Danielle Soucy, propriétaire de Fêtes en boite aux Promenades de l'Outaouais, a décidé d'organiser une collecte de fonds.

«Nous somme tombés dans une espèce de trou noir, de tristesse. Valérie nous dirait: “On ne peut pas rester là à pleurer!” Nous avons décidé de faire quelque chose. J'en ai parlé à Julie sa mère qui a accepté pour la collecte de fonds.»

Mme Soucy a fait faire des sucres d'orges qui seront vendus un dollar chacun ce week-end aux Promenades de l'Outaouais. Les profits des ventes seront remis à l'Association des familles de personnes assassinées ou disparues (AFPAD).

Julie Charron sera présente à la collecte de fonds. «On dirait que c'est Valérie qui m'encourage à faire ça. On ne sait pas c'est qui [son meurtrier]. Ça pourrait être votre voisin, votre collègue de travail ou l'un de vos amis.»

Résolue la maman de Valérie espère que le fait de rencontrer des gens lors de la vente des sucres d'orge puisse aider à trouver le meurtrier de sa fille.

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsd ... 92811.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Anya a écrit : Meurtre sordide en Outaouais
«J'ai vraiment peur» - la mère de Valérie Leblanc
30 septembre 2011 à 09h28



C'est une femme à la fois ébranlée et déterminée qui fait confiance à la police, mais qui tente d'aider à retrouver celui qui a tué sa fille de 18 ans le 23 août dernier derrière le cégep de l'Outaouais, qui s'est confiée à LCN.

Valérie Leblanc était aux dires de tous une étudiante sans histoire qui mordait dans la vie. Sa mère, Julie Charron, l'a dépeinte comme une jeune femme souriante et joyeuse.

«Elle avait fait de bons choix, s'était entourée de bons amis. Elle aimait beaucoup le théâtre, la musique. Valérie était tout. C'était une bonne fille », raconte Julie Charron d'une voix douce.

Le meurtrier de sa fille, qui venait à peine d'entrer dans l'âge adulte, n'a toujours pas été arrêté. En plus de son deuil, Mme Charron vit dans la crainte de ne pas savoir qui a pu s'en prendre à son enfant de façon aussi ignoble.

«J'ai vraiment peur, c'est stressant, je n'ose pas trop sortir de la maison, je surveille ma fille aussi. J'essaie de vivre avec ça, je n'ai pas le choix, il faut que je continue ma vie, mais j'ai de grandes faiblesses. Et j'ai demandé à Valérie qu'elle me supporte là-dedans.»

Julie Charron peut aussi compter sur le soutient de ses proches et de son conjoint, mais trouve difficile que les enquêteurs de la police de Gatineau ne communiquent pas avec elle aussi souvent qu'elle le souhaiterait.

«Il n'y a rien qui se passe, nous sommes au courant de rien. [...] Je sais que ce sont de bons policiers, de bons enquêteurs. Je ne suis pas inquiète pour ça, mais c'est long.»

Collecte de fonds pour Valérie

Bouleversée par la mort de Valérie Leblanc qui travaillait à sa boutique et qu'elle décrit comme un petit bout-en-train, Danielle Soucy, propriétaire de Fêtes en boite aux Promenades de l'Outaouais, a décidé d'organiser une collecte de fonds.

«Nous somme tombés dans une espèce de trou noir, de tristesse. Valérie nous dirait: “On ne peut pas rester là à pleurer!” Nous avons décidé de faire quelque chose. J'en ai parlé à Julie sa mère qui a accepté pour la collecte de fonds.»

Mme Soucy a fait faire des sucres d'orges qui seront vendus un dollar chacun ce week-end aux Promenades de l'Outaouais. Les profits des ventes seront remis à l'Association des familles de personnes assassinées ou disparues (AFPAD).

Julie Charron sera présente à la collecte de fonds. «On dirait que c'est Valérie qui m'encourage à faire ça. On ne sait pas c'est qui [son meurtrier]. Ça pourrait être votre voisin, votre collègue de travail ou l'un de vos amis.»

Résolue la maman de Valérie espère que le fait de rencontrer des gens lors de la vente des sucres d'orge puisse aider à trouver le meurtrier de sa fille.

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J'ai du en manquer un bout, comment savent-ils quel âge il avait s'ils ne savent pas c'est qui??

Je pense qu'ils parlent de Valérie qui venait juste d'entrer dans l'âge adulte, pas le meurtrier.

La tournure de phrase est pas idéale, mettons

Pantera72 a écrit : Je pense qu'ils parlent de Valérie qui venait juste d'entrer dans l'âge adulte, pas le meurtrier.

La tournure de phrase est pas idéale, mettons

Je pense que tu as raison... Non mais quelle mauvaise tournure de phrase, en effet...

Nikki a écrit : [...]


Je pense que tu as raison... Non mais quelle mauvaise tournure de phrase, en effet...

Je l'ai relue 3-4 fois avant de réaliser qu'ils parlaient de la jeune femme !

C'était clair pour moi en tout cas


EDIT: Mais à la relecture, y'a une virgule de trop... celle après fille.

Les policiers ont du nouveau, ils parleront aux médias demain.

Publié le 12 octobre 2011 à 16h36 | Mis à jour à 16h36
Mort de Valérie Leblanc: nouvelles informations jeudi



Le Droit

La police de Gatineau serait sur le point de rendre publiques de nouvelles informations dans son enquête sur le meurtre de Valérie Leblanc.

Le porte-parole du corps policier a convié les représentants des médias à une conférence de presse, jeudi matin, dans le secteur Hull.

Selon nos informations, il est fort probable que les policiers émettent un portrait-robot dans cette affaire.

Rappelons que le meurtre de Valérie Leblanc a fait couler beaucoup d'encre depuis le mois d'août. Le corps de la collégienne de 18 ans a été retrouvé dans le boisé longeant le campus Gabrielle-Roy du Cégep de l'Outaouais le 23 août dernier.

Depuis le début de leur enquête, les policiers n'avaient pas encore rendu public de portrait-robot.

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Je comprends la maman de Valérie Leblanc d'être inquiète et d'avoir peur pour son autre fille vu que le meurtrier court toujours et ce, depuis un mois et demi! L'idée de la collecte de fonds pour l'AFPAD est une très belle idée.

En tout cas, sans vouloir juger le travail des policiers de Gatineau (je juge un p'tit peu, là...), il était grand temps qu'ils émettent un portrait-robot... !!!! Non, mais quasiment 2 mois plus tard, j'en reviens pas, mettons, surtout qu'il y avait une description très détaillé pas longtemps après...

Vivement qu'on le retrouve car c'est insensé de savoir qu'il est en liberté et que ça peut être n'importe qui. Brrrr...

La conférence de presse aura lieu à 11h. Julie Charron, la mère de Valérie Leblanc, participera au point de presse. Elle doit livrer un témoignage concernant le meurtre de sa fille.

Selon la description alors fournie, le jeune homme de race blanche serait âgé de 20 à 30 ans et mesurerait 1,83m (6 pieds). Pesant environ 90 kilogrammes (200 livres), il a été aperçu sur le lieu de la découverte du cadavre, le 23 août, selon ce qu'ont rapporté les témoins. Très bronzé, le teint «tirant sur l'olive», il est joufflu, a le nez et le menton pointus ainsi que les cheveux noirs et courts.

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Meurtre de Valérie Leblanc
Le portrait-robot d'un témoin important dévoilé
Agence QMI
13/10/2011 11h25



GATINEAU – La police de Gatineau a diffusé jeudi un portrait-robot du principal suspect responsable du meurtre de Valérie Leblanc, cette jeune étudiante du cégep assassinée en août.

L’homme recherché est blanc, et il serait âgé de 20 à 35 ans. Il s'exprimerait également en français sans accent. Il mesurerait entre 1,78 à 1,83 mètre et pèserait 200 livres (90 kg). Il portait une casquette noire le 23 août dernier lorsque le cadavre de cette femme de 18 ans a été découvert par un groupe de jeunes dans un boisé situé tout près du Cégep de l'Outaouais.

«Il avait un regard intimidant et inquiétant», a affirmé Jean-Paul Lemay, porte-parole de la police de Gatineau en conférence de presse. «Il pourrait avoir changé son apparence depuis», a-t-il ajouté.

Présente, la mère de la victime, Julie Charron, a demandé l'aide du public pour retrouver l'assassin de sa fille. «Regardez vos voisins, les amis de vos enfants, les cyclistes ou les randonneurs que vous croisez dans le parc de la Gatineau», a-t-elle dit.

La mère de la cégépienne a mentionné que «les dernières semaines ont été difficiles».

Grâce à des dons du public, l’organisme Jeunesse au soleil offre une récompense de 10 000 $ à toute personne qui fournira des informations menant à une arrestation clef dans ce dossier.

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C'est bizarre, le gars sur le portrait-robot me fait penser à Étienne dans OD.

Tinker-Belle a écrit : C'est bizarre, le gars sur le portrait-robot me fait penser à Étienne dans OD.

Moi aussi je trouve ça

Anya a écrit : La conférence de presse aura lieu à 11h. Julie Charron, la mère de Valérie Leblanc, participera au point de presse. Elle doit livrer un témoignage concernant le meurtre de sa fille.

Selon la description alors fournie, le jeune homme de race blanche serait âgé de 20 à 30 ans et mesurerait 1,83m (6 pieds). Pesant environ 90 kilogrammes (200 livres), il a été aperçu sur le lieu de la découverte du cadavre, le 23 août, selon ce qu'ont rapporté les témoins. Très bronzé, le teint «tirant sur l'olive», il est joufflu, a le nez et le menton pointus ainsi que les cheveux noirs et courts.

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200 livres pour 6 pieds, et ils le disent joufflu... Ça me semble contradictoire un peu comme information...

Je ne connais pas beaucoup la région de Gatineau. On dit tout le temps que le suspect serait de Gatineau ou de Hull. Mais est-ce qu'il est exclu qu'il puisse venir d'Ottawa? Est-ce trop loin du Parc de la Gatineau pour traverser un des ponts - possiblement en vélo - et s'y rendre ?

Autre question que je me pose. On parle du teint "olivâtre" du type sur le portrait-robot. J'ai entendu que certaines personnes pensent qu'à cause de ça, il s'agirait d'uine personne en mauvaise santé. Mais ça pourrait être aussi querlqu'un d'un groupe ethnique qui a cette caractéristique de couleur de peau (ex: Méditerrannéens)?

MME C a écrit : Je ne connais pas beaucoup la région de Gatineau. On dit tout le temps que le suspect serait de Gatineau ou de Hull. Mais est-ce qu'il est exclu qu'il puisse venir d'Ottawa? Est-ce trop loin du Parc de la Gatineau pour traverser un des ponts - possiblement en vélo - et s'y rendre ?

Ca pourrait être fort possible qu'il vienne de la région d'Ottawa aussi, c'est pas si loin que ça non plus!

Tinker-Belle a écrit : C'est bizarre, le gars sur le portrait-robot me fait penser à Étienne dans OD.

Quand j'ai vu sa photo, son visage me disait qq chose mais j'arrivais pas a voir qui, mais effectivement, il ressemble a Etienne

MME C a écrit : Autre question que je me pose. On parle du teint "olivâtre" du type sur le portrait-robot. J'ai entendu que certaines personnes pensent qu'à cause de ça, il s'agirait d'uine personne en mauvaise santé. Mais ça pourrait être aussi querlqu'un d'un groupe ethnique qui a cette caractéristique de couleur de peau (ex: Méditerrannéens)?

J'ai pensé la même chose que toi. Puis, après coup, j'ai réfléchi et je me suis dit qu'advenant qu'il aurait été témoin du meurtre, se pourrait-il que cela l'ait rendu malade au point de vomir et que son teint aurait viré à celui qu'il avait lorsqu'il a été aperçu?