Page 1 sur 3

Décès de Steve Jobs

Publié : mer. oct. 05, 2011 8:04 pm
par MayClo
Steve Jobs est mort
Nicolas Bérubé, La Presse (Los Angeles)
05 octobre 2011 | 20 h 00

Image
Le co-fondateur d'Apple, Steve Jobs, est décédé aujourd'hui.

«Nous sommes profondément attristés d'annoncer que Steve Jobs est décédé aujourd'hui, a dit Apple par voie de communiqué. Son talent, sa passion et son énergie ont été à l'origine d'un nombre incalculable d'innovations qui ont enrichi et amélioré nos vies. Le monde est un meilleur endroit grâce à Steve.»

«Son amour le plus grand, il le portait à sa femme, Laurene, et à sa famille. Nos pensées sont avec eux, et avec tous ceux qui ont été touchés par ses talents extraordinaires.»

Plus de détails à venir.

Re: Décès de Steve Jobs

Publié : mer. oct. 05, 2011 8:05 pm
par MayClo
C'était un visionnaire qui a changé le visage de la technologie informatique, téléphonique et musicale depuis plus de 25 ans...

RIP Mr Jobs

Re: Décès de Steve Jobs

Publié : mer. oct. 05, 2011 8:12 pm
par quebecd
je viens de l'apprendre je suis tellement triste même si cela devait arriver. quitter son poste était clairement un signe précurseur.. rip steve, courage à la famille

Publié : mer. oct. 05, 2011 8:15 pm
par Anya
Cofondateur d'Apple
Steve Jobs rend l'âme

5 octobre 2011 à 19h44

Image

L'ex directeur général et cofondateur de la compagnie Apple, Steve Jobs, est mort.

Un jour seulement après le lancement du nouvel iPhone 4S, le président directeur général d'Apple s'est éteint à l'âge de 56 ans.

Le cerveau derrière les objets qui ont révolutionné les dernières années en terme de technologie et de design est une perte énorme pour la compagnie qu'il a fondée en 1976 dans son garage.

Apple a tenu a écrire un mot officiel, en voici une traduction libre :

«Nous sommes profondément attristés d'annoncer que Steve Jobs nous a quittés aujourd'hui.

Son génie, sa passion et son énergie étaient la source d'innombrables innovations qui ont amélioré et enrichi nos vies. Le monde sera sans conteste un monde meilleur grâce à lui.

Son amour pour sa femme, Laurene, et sa famille l'honore. Nos pensées leur sont dirigées à eux et à tous ceux qui ont été touchés de près ou de loin par ses talents extraordinaires.»

M. Jobs était atteint d'un cancer du pancréas et son état de santé s'est déterioré au cours de la dernière année. Il avait quitté ses fonctions le 24 août dernier, laissant la dirrection de la compagnie aux mains de Tim Cook.

Il a non seulement créé le premier ordinateur Macintosh, le iPod, le iPhone et développé avec ses équipes plusieurs applications qui facilitent les vies de plusieurs, il a changé la façon dont les films sont créés, dont la musique est vendue et a changé la façon dont les gens interagissent entre eux, et ce, à travers le monde.

Pour plusieurs experts, c'est l'homme qui a rendu les ordinateurs plus humains, plus accessibles. Sa vision était de rendre ces «machines» non seulement faciles à utiliser, mais agréables à utiliser. Remettant sans cesse en question leurs fonctionnalités pour les améliorer, encore et encore.

http://tvanouvelles.ca/lcn/economie/arc ... 94448.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Décès de Steve Jobs

Publié : mer. oct. 05, 2011 8:49 pm
par Mortine
Ah non... :( J'ai vu les photos de lui après qu'il ait démissionné, j'en étais troublée tant il était maigre...

Publié : mer. oct. 05, 2011 10:17 pm
par Anya
L'héritage de Steve Jobs en 10 moments-clés
Alain McKenna, Collaboration spéciale, La Presse
05 octobre 2011 | 20 h 09

Image
En janvier 2010, Steve Jobs présente lors d'une conférence une photo de Steve Wozniak et lui prise dans leurs jeunes années.

Voici, en dix moments-clés, l'héritage d'une des plus importantes icônes de la Silicon Valley.

1er avril 1976 : Apple Computer est fondée par Jobs, Steve Wozniak et Ronald Wayne.

24 janvier 1984 : Présentation du premier ordinateur Macintosh. La publicité télé qui l'entoure, surnommée Big Brother, entre immédiatement dans le livre d'histoire du marketing en s'en prenant directement à IBM et son fameux PC.

1985 : Steve Jobs se fait montrer la sortie par le conseil d'administration d'Apple. Bien que le Macintosh vende bien, Lisa, un projet tout aussi ambitieux datant de l'année précédente, est un échec cuisant.

1996 : Apple achète NeXT, une société fondée par Jobs quelques années plus tôt, et le réengage comme PDG. Ça coûte cher à Apple, qui traverse une mauvaise période : 400 millions de dollars

Août 1997 : Bill Gates et Microsoft viennent en aide à Jobs et Apple en investissant 150 millions de dollars dans l'entreprise et en promettant de développer une version d'Office et d'Internet Explorer pour Mac.

1998 : Jobs dévoile l'iMac, un ordinateur tout-en-un intégré à un tube cathodique. L'appareil est offert dans un boîtier translucide de différentes couleurs et se vend plutôt bien.

23 octobre 2001 : Jobs dévoile le premier iPod, un baladeur entièrement numérique. L'iPod et iTunes deviendront rapidement l'icône d'une décennie axée sur une transition vers le numérique dans tout le secteur du divertissement.

2002 : Mac OS X, un système dérivé de NeXT et basé sur Unix, est installé sur tous les nouveaux Mac. C'est le fondement de tous les appareils à venir d'Apple, du MacBook au iPad, iOS en étant lui aussi un dérivé.

9 janvier 2007 : introduction du premier iPhone, exclusif à AT&T, et surtout, de l'App Store, une boutique virtuelle transformant complètement l'industrie du sans fil et créant une industrie aujourd'hui plus que milliardaire.

27 janvier 2010 : introduction du iPad, extension logique du iPhone, et lui aussi acteur largement dominant dans son créneau.

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvell ... de-0-box-0" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : mer. oct. 05, 2011 10:19 pm
par Anya
Apple sans Steve Jobs: à quoi s'attendre?
Alain McKenna, Collaboration spéciale, La Presse
05 octobre 2011 | 20 h 24

Apple sans Steve Jobs ne sera certainement plus la même. La seule période dans l'histoire de l'entreprise où Jobs n'était pas à sa tête, elle a frôlé la faillite. Signe du pouvoir de persuasion de cet homme, c'est Bill Gates qui aura sauvé Apple. Quel avenir pour le géant informatique maintenant que son visionnaire s'est éteint?

Cette fois sera certainement différente. Après tout, Apple préparait la succession de son ex-PDG depuis plusieurs mois déjà, probablement avec son aide. En fait, Jobs lui-même a embauché en 2008 une équipe de professeurs qui ont étudié de près les méthodes qui ont fait d'Apple un modèle de mise en marché, afin d'en produire un rapport destiné aux futurs gestionnaires de l'entreprise.

Quand Jobs a quitté le poste de PDG l'hiver dernier, des membres de la direction d'Apple ont amorcé une discussion sur son éventuel remplaçant à long terme, au cas où Tim Cook, un as bureaucrate, mais un gestionnaire plus pragmatique qu'inventif, dit-on, ne suffirait pas à la tâche. Un haut dirigeant d'une autre société technologique aurait même été approché, sans qu'on sache de qui il s'agissait.

Or, voilà, tout cela sert à combler le vide laissé par Jobs au niveau des opérations quotidiennes, mais qu'en sera-t-il de son côté sans cesse innovateur? Qui poursuivra dans les traces d'inventions comme les premiers Mac, l'iPod et maintenant la gamme d'appareils iOS?

Difficile à dire. À l'heure où les grandes sociétés informatiques se réorientent massivement de la production d'appareils informatiques vers l'offre de services web intangibles, aucun créateur ni gestionnaire ne semble avoir encore cumulé une série de succès digne d'en faire un successeur potentiel à Steve Jobs.

En même temps, qui aurait pu prédire que Jobs, un enfant mis à l'adoption par son père à son plus jeune âge, deviendrait un personnage plus grand que nature? Personne. C'est pourquoi sans doute son successeur, s'il doit jamais y en avoir un, ne suivra pas les traces laissées par son prédécesseur.

Après tout, s'il doit lui ressembler le moindrement, il devra être en mesure de laisser sa propre marque non seulement au sein de son entreprise, mais au-delà même de son industrie. Il lui faudra transcender la technologie, le marketing, et quoi encore, afin de devenir un des personnages les plus marquants de son époque.

Repose en paix, Steve Jobs. Le monde n'est pas près de t'oublier.

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvell ... tendre.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : mer. oct. 05, 2011 10:21 pm
par Anya
Tim Cook: prolonger l'héritage de Steve Jobs, sans imiter son style
Glenn Chapman, Agence France-Presse (San Francisco)
05 octobre 2011 | 22 h 09

Image

Le directeur général d'Apple Tim Cook, aux commandes depuis la démission en août du co-fondateur du groupe Steve Jobs, décédé mercredi, venait de montrer mardi en présentant le nouvel iPhone qu'il entendait prolonger l'héritage de son mentor, sans pour autant imiter son style.

Tout en saluant mercredi soir en Steve Jobs «un visionnaire et un créateur de génie», ainsi qu'un «incroyable être humain», M. Cook, fidèle à sa réputation de travailleur sérieux, s'est engagé à «rendre hommage à son souvenir en nous consacrant à la poursuite de l'oeuvre qu'il aimait tant».

Tim Cook, 50 ans, s'était livré mardi à sa première performance de maître de cérémonie pour une présentation de nouveau produit, en l'occurence l'iPhone 4S.

Privilégiant comme Steve Jobs le noir et le jean --mais arborant une chemise plutôt qu'un col cheminée, ainsi que des lunettes-- il s'était mis relativement en retrait, après avoir énuméré les succès déjà accomplis, laissant le directeur marketing Phil Schiller expliquer les fonctions du nouveau téléphone.

Beaucoup d'observateurs ont regretté que l'événement soit sans relief, voire ennuyeux, en l'absence des qualités d'homme de scène de Steve Jobs, mais l'analyste Frank Gillett, chez Forrester Research, avait noté que, «plus que le précédent directeur général, il laisse briller son équipe».

«Vu son passé, je pense qu'il nous a montré son style: il est le type qui s'occupe des grandes lignes, et laisse l'équipe entrer dans les détails», avait ajouté M. Gillett.

En prenant ses fonctions, M. Cook avait promis une chose: «vous pouvez être sûrs qu'Apple ne va pas changer».

«Steve a construit une entreprise et une culture qui ne ressemblent à aucune autres dans le monde et nous allons rester dans cette lignée, c'est dans notre ADN», avait-il assuré.

Tim Cook est un ingénieur industriel, fils d'un ouvrier de chantier naval, qui a grandi dans l'Alabama, dans le Sud des Etats-Unis. Il a travaillé douze ans chez IBM avant de rejoindre pour quelques mois Compaq puis Apple en 1998, en tant que responsable des opérations mondiales.

Rick Devine, un chasseur de têtes, était chargé à l'époque de présenter des candidats à Steve Jobs. La plupart ne sont restés que quelques minutes. Puis est arrivé Tim Cook. «Le type portait la barbe et collectionnait les fauteuils de barbiers. Steve cherchait quelqu'un avec qui il serait en phase du point de vue émotif», a-t-il raconté au Wall Street Journal.

Tim Cook, désormais glabre et grisonnant, la silhouette sportive, a travaillé en coulisses pour délocaliser les usines, coordonner la distribution et renforcer les profits que tire Apple de la vente de ses iPods, iPhones, iPads et autres iMacs en s'assurant que les produits frappés de la pomme ne croupissaient pas dans des entrepôts.

A son crédit, il y a aussi la négociation des contrats avec les fournisseurs pour maintenir des coûts concurrentiels. Cook, enfin, est considéré comme l'architecte de la stratégie commerciale d'Apple et notamment du lancement réussi des «Apple stores» partout dans le monde.

«Si Jobs était haut en couleur et une star des médias capable de générer du buzz, Cook, de son côté était le type calme concentré sur les opérations, qui s'assurait que la machine tournait bien dans la salle des moteurs», a noté récemment l'analyste Carmi Levy.

Steve Jobs, qui en avait fait son numéro deux avec le titre de directeur d'exploitation, lui avait déjà confié les rênes de l'entreprise pendant son long congé maladie en 2009, puis en début d'année, avant qu'il ne lui succède au poste de directeur général en août.

Cet homme très discret sur sa vie privé et non marié, travailleur infatigable est aussi connu pour être fan du cycliste Lance Armstrong, qu'il cite abondamment.

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvell ... -style.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : mer. oct. 05, 2011 10:33 pm
par GI.Joe
Ça fait bizarre. Pour avoir assez bien suivi l'évolution de la micro-informatique, c'est triste cette nouvelle. Si vous en avez l'occasion, visionnez le film "Pirates of Silicon Valley" pour avoir une bonne idée des étapes que messieurs Jobs et Gates ont eu à franchir.

http://www.imdb.com/title/tt0168122/" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : mer. oct. 05, 2011 10:49 pm
par Capuchino
C'est triste. En plus il n'était vraiment pas vieux. RIP Steve Jobs.

Re: Décès de Steve Jobs

Publié : jeu. oct. 06, 2011 12:04 am
par Klouzo
je suis sous le choc........... :( :(

Publié : jeu. oct. 06, 2011 12:17 am
par Anya
Le départ de l’homme au col roulé noir
Le blogue de Sophie Cousineau
Mercredi 5 octobre 2011 | Mise en ligne à 23h11

Une fois n’est pas coutume, je mets en ligne dès ce soir la chronique sur le décès de Steve Jobs qui sera publiée dans La Presse de demain. Cela s’intitule : «Le roi n’est plus».

* * * * *

Il n’y a pas de bon moment. Il n’y a pas de bon endroit pour apprendre la mort de Steve Jobs, même si tous soupçonnaient que l’homme au col roulé noir était condamné.

Lorsque le téléphone a sonné, je me trouvais dans une salle de réception de HEC Montréal. Au lancement du dernier livre du professeur Jacques Nantel, qu’il a coécrit avec ma collègue et amie Ariane Krol.

«On veut votre bien et on l’aura : la dangereuse efficacité du marketing.» C’est le titre de cet ouvrage – que je n’ai pas encore lu. Mais, par une coïncidence tordue, cela semblait tout indiqué.

À cette école des affaires, la nouvelle de son décès s’est propagée comme un feu de broussailles. Et tous ou presque de sortir leur iPhone pour en informer un collègue ou pour tweeter la nouvelle.

On peut le dire sans se tromper. Sous la direction de Steve Jobs, Apple a mis au point la machine marketing la plus efficace de la planète.

Il suffit d’égratigner le cofondateur d’Apple dans un commentaire pour le savoir. Apple a des légions de fans indéfectibles. Au point où Steve Jobs aurait stylisé un manche à balai et mis une pomme dessus que des milliers de consommateurs l’aurait acheté au gros prix, en se fermant les yeux. Et je caricature à peine.

Comme l’écrasante majorité des journalistes économiques au pays, je n’ai jamais eu le privilège d’interviewer ce PDG qui contrôlait ses interventions avec un souci maniaque du détail. Mais lui me connaissait, moi et tous les autres utilisateurs de bidules électroniques qui ont en horreur le langage hermétique des experts informatiques.

Là où tous les autres fabricants nous imposaient de s’adapter à leurs machines, Apple s’est adaptée à nous en mettant au point des appareils ludiques et faciles à manipuler. Les fonctions sont si intuitives que mon fils de 5 ans peut presque tout faire sur le iPad de son papa, maintenant beurré de petits doigts.

C’est ainsi que Steve Jobs a chamboulé l’industrie du PC avec des tablettes iPad ludiques et des ordinateurs portables aussi minces que du carton. C’est ainsi qu’il a révolutionné l’industrie de la musique avec l’iPod et le détaillait de musique iStore. C’est ainsi qu’il a refaçonné les forces en présence dans les télécoms avec le iPhone, l’un des appareils les plus rentables de l’histoire.

Ce qui est presque comique, en rétrospective, c’est que les nouvelles aventures de Steve Jobs étaient souvent accueillies avec scepticisme. Un fabricant informatique qui se lance dans le commerce de détail ? Il va se casser la gueule ! «iPad ou iPatate ?», ai-je même écrit au sujet de cette tablette qui, au premier coup d’œil, paraissait bien grosse !

Mais Steve Jobs savait où il s’en allait. Il dirigeait à l’instinct, pas au focus group. Et sur cette route où il filait fin seul, il ne tolérait aucun détour. Il était intransigeant comme le sont tous les grands PDG, me faisait remarquer Jacques Nantel, sur le coup de la nouvelle.

La mort de Steve Jobs survient au lendemain du lancement du iPhone 4S. Cet appareil a déçu plusieurs analystes. Exception faite des nouvelles commandes vocales, il paraît trop semblable au modèle précédent. Ce téléphone ne s’est d’ailleurs pas mérité le nom de iPhone 5.

D’aucuns établiront un lien entre cette déception et le départ prématuré de Steve Jobs, qui a souffert d’un cancer du pancréas et qui a reçu une greffe du foie. D’aucuns diront que cela augure mal pour l’avenir sous la direction de Tim Cook.

L’après Steve Jobs ? On s’en reparlera plus tard. Permettez qu’on prenne une journée pour pleurer le plus grand entrepreneur des 50 dernières années.

http://blogues.cyberpresse.ca/lapressea ... ECRAN1POS2" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : jeu. oct. 06, 2011 12:23 am
par Zarmela
GI.Joe a écrit : Ça fait bizarre. Pour avoir assez bien suivi l'évolution de la micro-informatique, c'est triste cette nouvelle. Si vous en avez l'occasion, visionnez le film "Pirates of Silicon Valley" pour avoir une bonne idée des étapes que messieurs Jobs et Gates ont eu à franchir.

http://www.imdb.com/title/tt0168122/" onclick="window.open(this.href);return false;
One more thing... voir aussi l'excellent documentaire de PBS, The Triumph of the Nerds: The Rise of Accidental Empires

http://www.imdb.com/title/tt0115398/" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : jeu. oct. 06, 2011 8:40 am
par GI.Joe
Zarmela a écrit : [...]


One more thing... voir aussi l'excellent documentaire de PBS, The Triumph of the Nerds: The Rise of Accidental Empires

http://www.imdb.com/title/tt0115398/" onclick="window.open(this.href);return false;
Excellent documentaire effectivement. :top:

Ce serait bien si RadioCan ou autre le présenterait.

Publié : jeu. oct. 06, 2011 9:12 am
par Anya
Mort de Steve Jobs
Fleurs et bougies à la boutique de Montréal

6 octobre 2011 à 05h32

Image

La mort de Steve Jobs, le cofondateur d'Apple, touche énormément les gens et les hommages sont nombreux.

Après l'annonce du décès de Jobs, des personnes ont commencé à déposer des lampions ainsi que des fleurs devant la boutique Apple de la rue Sainte-Catherine, à Montréal, à la mémoire de celui qui a révolutionné le monde de l'informatique.

Image

Un individu a même déposé une pomme avec une bougie. Des gens sont aussi venus s'y recueillir.

Image

TVA Nouvelles est devant la boutique Apple de Montréal ce matin pour recueillir vos réactions.

Des scènes semblables sont observées dans de nombreux magasins de l'entreprise à travers le monde, entre autres à New York, Tokyo, Pékin et Shanghai, alors que des gens y déposent des lampions, des lettres ainsi que des gerbes de fleurs.

Forte réaction sur les réseaux sociaux

Dès l'annonce du décès de Steve Jobs, les réseaux sociaux ont aussi été inondés de réactions et d'hommages. Plusieurs personnalités publiques ont d'ailleurs utilisé Twitter et Facebook pour y aller de leur hommage personnel à Jobs.

Le septuple vainqueur du Tour de France cycliste, Lance Armstrong, s'est dit «dévasté» par la nouvelle sur son compte Twitter.

«Je suis dévasté par la disparition de Steve Jobs, je suis béni d'avoir pu passer du temps avec lui à plusieurs occasions. Qu'il repose en paix», a dit le cycliste américain, qui a fait de la lutte contre le cancer -dont il a survécu- son cheval de bataille.

Le président russe Dmitri Medvedev a lui aussi utilisé Twitter pour affirmer que les «gens comme Steve Jobs changent notre monde». «Mes condoléances sincères à ses proches et à tous ceux qui appréciaient son intelligence et son talent», a-t-il ajouté.

De son côté, le président français Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Steve Jobs sur sa page Facebook.

«Je veux rendre hommage à Steve Jobs, qui fut un très grand entrepreneur, un grand innovateur et un acteur majeur de la révolution numérique que nous vivons», soutient Sarkozy. Il ajoute que la capacité de Jobs «à révolutionner des secteurs économiques entiers par le pouvoir de l'imagination et de la technologie est une source d'inspiration pour les millions d'ingénieurs et d'entrepreneurs à travers le monde».

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/region ... 53234.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : ven. oct. 07, 2011 8:29 am
par Anya
Dans ce discours prononcé à l’université de Stanford en 2005, Steve Jobs, fondateur d’Apple et de Pixar partage avec nous 3 histoires qu’il a vécu, à propos de l’importance de faire des liens, de la passion et des risques de perdre, et de la mort.
Cette vidéo est connue mais personne ne l’avait encore sous-titrée en Français. C’est désormais chose faite.

(Vidéo située au début de la page)

http://www.des-livres-pour-changer-de-v ... ment-12531" onclick="window.open(this.href);return false;

*******

La publicité réalisée par Ridley Scott pour le Macintosh. Lancée à l’occasion du Superbowl 1984, elle ne sera diffusée qu’une seule fois.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=OYecfV3ubP8[/youtube]

http://7jours.canoe.ca/vedettes/nouvell ... 71-7j.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : ven. oct. 07, 2011 8:45 am
par Anya
Image

Publié : ven. oct. 07, 2011 10:20 pm
par Anya
Steve Jobs a été enterré en privé
Agence France-Presse
07/10/2011 17h20

Image

SAN FRANCISCO - Les obsèques de Steve Jobs ont été organisées en privé vendredi, deux jours après la mort du légendaire co-fondateur d'Apple, selon une personne informée citée dans l'édition en ligne du Wall Street journal.

Par respect pour la famille de Steve Jobs, ni l'heure exacte ni le lieu de cette petite cérémonie privée n'ont été indiqués.

Steve Jobs, qui vivait au coeur de la Silicon Valley, au sud de San Francisco , est mort mercredi à l'âge de 56 ans des suites d'un cancer du pancréas qu'il avait révélé en 2004.

Apple avait indiqué mercredi qu'une célébration de «la vie extraordinaire de Steve» aurait lieu ultérieurement pour les employés du groupe, mais aucun projet de cérémonie publique n'a été révélé, même si les admirateurs ont été invités à adresser condoléances et hommages à une adresse courriel.

http://fr.canoe.ca/infos/international/ ... 72036.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : ven. oct. 07, 2011 10:22 pm
par Anya
STEVE JOBS
La biographie autorisée lancée le 26 octobre

07-10-2011 | 15h45

Image

MONTRÉAL – La biographie autorisée du créateur d’Apple, Steve Jobs, décédé plus tôt cette semaine, sera lancée en français le 26 octobre au Québec.

L’auteur Walter Isaacson, PDG de l’Institut Aspen, qui a dirigé CNN et Time Magazine, a écrit le livre avec la complicité de M. Jobs, dont la mort a créé une immense vague de sympathie à travers le monde depuis le 5 octobre.

Déjà reconnu comme un visionnaire ayant modifié le cours de nos vies avec les produits iPod, iPhone et iPad, M. Jobs a été salué depuis l'annonce de sa disparition comme un génie et un entrepreneur de la trempe d'Henry Ford.

M. Jobs aurait souhaité que la biographie soit un lègue à ses enfants et une source d’inspiration pour la planète.

Le livre, dont le titre est simplement Steve Jobs, sera publié aux Éditions Jean-Claude Lattès.

http://fr.canoe.ca/divertissement/livre ... 1-qmi.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : sam. oct. 08, 2011 8:18 am
par GI.Joe
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/ ... ueil_POS19" onclick="window.open(this.href);return false;

Steve Jobs, un patron à la main de fer

Glenn CHAPMAN
Agence France-Presse


Le cofondateur d'Apple Steve Jobs a mené le groupe d'une main de fer pour le mener au sommet, ne reculant pas devant la dureté dans sa quête de la perfection.

Depuis l'annonce de son décès mercredi, les hommages à son «génie visionnaire» n'ont cessé de pleuvoir, mais ceux qui ont eu l'occasion de l'approcher ont aussi dressé le portrait d'un homme qu'il valait mieux éviter de contrarier.

«Il était comme une rock star, avec une personnalité sur scène, et une autre quand il avait eu une mauvaise journée», se rappelle Jay Elliot, qui fut durant cinq ans directeur des ressources humaines aux débuts d'Apple, et qui a publié en début d'année le livre «The Steve Jobs Way», analyse des méthodes de gestion à la façon Apple.

Le magazine Forbes a classé Steve Jobs, réputé sans pitié et impliqué dans tous les détails de la gestion de l'entreprise, au «Panthéon des patrons tyranniques».


«Il avait un côté cruel», affirme également l'analyste indépendant Rob Enderle. «Malgré tous ses succès, il avait un incroyable complexe d'infériorité, et ne réagissait pas bien quand il se sentait menacé».

Les anecdotes sont légion sur des employés licenciés pour des motifs plus ou moins légers, et les épreuves infligées aux nouvelles recrues.

Un jour on lui avait demandé de remonter le moral d'une équipe d'Apple en difficultés - au lieu de cela, il avait livré un sombre pronostic sur la durée de leur contrat au cas où les choses ne s'amélioreraient pas. L'équipe s'était améliorée.

Pour M. Elliot, ceux qui critiquent Jobs oublient souvent le contexte: s'il y avait des affrontements brutaux avec les employés et une inclination à suivre de très près les projets en développement, c'était pour obtenir le meilleur produit, pas pour viser personnellement ses interlocuteurs.

«Il essayait simplement de faire de son mieux pour améliorer les produits et l'entreprise», ajoute M. Elliot, soulignant qu'Apple est l'une des entreprises du secteur de la high-tech où le taux de renouvellement des employés est le plus faible.

«Sa qualité, qui était de changer le monde avec des produits incroyables, dépassait de très loin ses défauts qui heurtaient des gens», conclut-il.

Notoirement réticent à la philanthropie, il avait supprimé les programmes caritatifs d'Apple lorsqu'il était revenu à la tête de l'entreprise en 1997.

Son goût du secret est bien connu. Il se gardait bien de mettre en scène sa vie privée, et au niveau de l'entreprise, la discrétion était érigée en dogme, si bien que cette semaine encore les causes officielles de sa mort n'ont pas été révélées par le conseil d'administration.

Steve Jobs, qui a eu trois enfants avec sa femme Laurene entre 1991 et 1998, était devenu père d'une fille quand il avait 23 ans, mais il n'a jamais subvenu à ses besoins et a mis des années avant d'admettre sa paternité.

En août dernier, son père biologique Abdulfattah John Jandali, un octogénaire né en Syrie qui dirige aujourd'hui un casino dans le Nevada (ouest), avait déclaré au tabloïde New York Post qu'il ne l'avait jamais connu: sa mère biologique l'avait fait adopter à sa naissance en raison de l'opposition de sa famille à leur mariage. Steve Jobs a été élevé par Paul et Clara Jobs, un couple de Califoriens modestes.

Le cofondateur d'Apple (AAPL), Steve Wozniak, a raconté de son côté qu'il avait fondu en larmes en apprenant a posteriori, plusieurs années plus tard, que Jobs l'avait escroqué au tout début de leur collaboration.

À l'époque, Apple n'existait pas. Les deux hommes avaient été embauchés par Atari pour réduire le nombre de processeurs dans une console de jeux. Steve Wozniak, le meilleur ingénieur des deux, y était arrivé au-delà de toute espérance et Apple avait confié à Jobs 5000 dollars comme prime de réussite. Mais Jobs avait raconté à Steve Wozniak qu'Atari ne lui avait donné que 750 dollars, qu'ils s'étaient partagés.

«Au bout du compte, Steve Jobs était quelqu'un de formidable», conclut M. Enderle. «Souvent c'est le défaut qui est dans le diamant qui en fait la valeur».