Tout lire >>Les filles auront leur pavillon à Brébeuf 
Lisa-Marie Gervais - Le Devoir
En pleine tourmente financière et baisse démographique, plusieurs écoles privées non mixtes ont ouvert leurs portes au sexe opposé. Ce n’est pas le cas du réputé Collège Jean-de-Brébeuf de Montréal qui, pour la première fois de son histoire, accueillera l’an prochain des filles de la première à la cinquième secondaire, mais dans un pavillon « conçu rien que pour elles ».
À l’ombre du Mont-Royal, entourée d’un boisé protégé, l’ancienne résidence des jésuites se dresse dans un décor enchanteur tout en nature et en tranquillité. C’est là, dans ce pavillon Vimont, que 70 jeunes filles feront leur entrée en première secondaire à l’automne 2013. « Fini l’asphalte. Nos filles auront une cour gazonnée », lance fièrement au Devoir le directeur général du Collège Jean-de-Brébeuf, Michel April.

Lisa-Marie Gervais - Le Devoir
En pleine tourmente financière et baisse démographique, plusieurs écoles privées non mixtes ont ouvert leurs portes au sexe opposé. Ce n’est pas le cas du réputé Collège Jean-de-Brébeuf de Montréal qui, pour la première fois de son histoire, accueillera l’an prochain des filles de la première à la cinquième secondaire, mais dans un pavillon « conçu rien que pour elles ».
À l’ombre du Mont-Royal, entourée d’un boisé protégé, l’ancienne résidence des jésuites se dresse dans un décor enchanteur tout en nature et en tranquillité. C’est là, dans ce pavillon Vimont, que 70 jeunes filles feront leur entrée en première secondaire à l’automne 2013. « Fini l’asphalte. Nos filles auront une cour gazonnée », lance fièrement au Devoir le directeur général du Collège Jean-de-Brébeuf, Michel April.


 
 
 On devient trop esclaves de la technologie
  On devient trop esclaves de la technologie  

 ) aux autres.... En tk, moi cette histoire, ça ne remonte pas Brébeuf dans mon estime.
 ) aux autres.... En tk, moi cette histoire, ça ne remonte pas Brébeuf dans mon estime.












 Mais j'ai surtout relue l'article avec des collègues.
  Mais j'ai surtout relue l'article avec des collègues.