Extraits
L’amour est dans le pré, dont la sixième saison est actuellement présentée à V, est inspirée de la téléréalité britannique Farmer Wants a Wife, adaptée dans 32 pays. De passage à Montréal, le producteur exécutif Howard Huntridge nous a parlé du succès mondial de l’émission, grâce à laquelle 47 couples se sont fiancés, 98 couples se sont mariés et 199 bébés sont nés.
Y a-t-il des différences d’un pays à l’autre?
Bien sûr! Chaque adaptation est différente, selon la culture du pays. En Espagne, c’est tout un drame lorsque les prétendantes font face à l’élimination lors de leur séjour à la ferme. En France, chaque saison, nous avons droit à une bonne prise de bec entre les prétendants ou les prétendantes. Dans certains pays, les participants sont plus entreprenants, et ça donne des émissions un peu plus osées. Ici, au Québec, vous êtes dans le romantisme à l’état pur.








 Effectivement. C’est sûr qu’on aime ca quand des couples se forment et durent, c’est déjà surprenant le nombre que ca a fonctionné depuis les débuts parce que rencontrer 3 personnes et trouver l’âme sœur dans ce choix restreint ca laisse pas beaucoup de jeu. Cette année ils voulaient quand même tous trouver une amoureuse et ils étaient sérieux, le reste, l’amour ca ne se commande pas.
 Effectivement. C’est sûr qu’on aime ca quand des couples se forment et durent, c’est déjà surprenant le nombre que ca a fonctionné depuis les débuts parce que rencontrer 3 personnes et trouver l’âme sœur dans ce choix restreint ca laisse pas beaucoup de jeu. Cette année ils voulaient quand même tous trouver une amoureuse et ils étaient sérieux, le reste, l’amour ca ne se commande pas. 
 

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