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Lucky Luke
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J'ai régardé le match à RDS et j'ai entendu les commentaires de madame Pelletier et de monsieur Ponton. Suis-je dans l'erreur en pensant que l'impartialité ne les étouffe pas? Je ne favorisais pas plus l'un que l'autre mais à un moment donné je me suis mis à vouloir une victoire de Nadal pour clore le bec de madame Pelletier.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
--Message edité par Beppo le 2008-07-06 19:32:09--
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
--Message edité par Beppo le 2008-07-06 19:32:09--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritJ'ai régardé le match à RDS et j'ai entendu les commentaires de madame Pelletier et de monsieur Ponton. Suis-je dans l'erreur en pensant que l'impartialité ne les étouffe pas? Je ne favorisais pas plus l'un que l'autre mais à un moment donné je me suis mis à vouloir une victoire de Nadal pour clore le bec de madame Pelletier.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Non, pas du tout J'ai toujours trouvé Hélène Pelletier impartiale, et c'est la raison pour laquelle je préfère écouter les matchs à TSN, lorsqu'il y a diffusion sur les deux postes.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Non, pas du tout J'ai toujours trouvé Hélène Pelletier impartiale, et c'est la raison pour laquelle je préfère écouter les matchs à TSN, lorsqu'il y a diffusion sur les deux postes.
Beppo a écritJ'ai régardé le match à RDS et j'ai entendu les commentaires de madame Pelletier et de monsieur Ponton. Suis-je dans l'erreur en pensant que l'impartialité ne les étouffe pas? Je ne favorisais pas plus l'un que l'autre mais à un moment donné je me suis mis à vouloir une victoire de Nadal pour clore le bec de madame Pelletier.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Je sais pas mais aujourd'hui tu as raison Incroyable, d'autant plus que d'habitude elle aime beaucoup Nadal.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Je sais pas mais aujourd'hui tu as raison Incroyable, d'autant plus que d'habitude elle aime beaucoup Nadal.
tipet a écrit
Je sais pas mais aujourd'hui tu as raison Incroyable, d'autant plus que d'habitude elle aime beaucoup Nadal.
Elle a toujours été comme ça, pas seulement envers Federer. On arrive toujours à déceler pour qui elle a un parti prix ( on écrit ça comment? ). M'enfin, c'est mon avis. Je ne l'apprécie pas vraiment, un peu comme Pierre et Yvon --Message edité par Betta le 2008-07-06 20:19:20--
Je sais pas mais aujourd'hui tu as raison Incroyable, d'autant plus que d'habitude elle aime beaucoup Nadal.
Elle a toujours été comme ça, pas seulement envers Federer. On arrive toujours à déceler pour qui elle a un parti prix ( on écrit ça comment? ). M'enfin, c'est mon avis. Je ne l'apprécie pas vraiment, un peu comme Pierre et Yvon --Message edité par Betta le 2008-07-06 20:19:20--
J'avais une sortie cet après-midi. J'ai placé mon magnétoscope et je viens juste de regarder le match.
Et je viens juste d'arrêter de pleurer. Mais, j'ai encore mal parce que mon champion est triste et a mal.
-------------------
Voici une petite entrevue qu'il a donné après le match:
A la fin du match, il faisait quasiment nuit. Regrettez-vous que le match n'ait pas été interrompu ?
ROGER FEDERER: "C'était impossible de jouer. C'est dur pour moi, de perdre le plus grand tournoi du monde sur une question de lumière. Mais c'est comme ça... (...) Je ne voyais presque plus contre qui je jouais."
Comment expliquez-vous avoir manqué autant de balles de break dans les deux premiers sets (1 sur 12)?
R.F: "Je n'ai pas été heureux des points que j'ai joués dans les deux premiers sets. J'ai souffert en début de match, dans des conditions difficiles et parfois, Rafa a fait des coups formidables."
Ce match restera comme un des plus grands matches de l'histoire, sinon le plus grand...
R.F: "Ce n'est pas à moi de juger si c'est le meilleur match. Cela a été une dure bataille, âpre. On a joué serré jusqu'au bout. Mais il faut un vainqueur et un perdant. Il n'y a pas de match nul."
Est-ce une immense déception?
R.F: "C'est de loin ma plus dure défaite."
Que ressentez-vous, en ce moment?
R.F: (Larmes aux yeux) "Rien. Pas grand chose."
Et perdre contre un joueur comme Nadal, ce n'est pas une consolation?
R.F: "Non. Zéro. Le match est fini, je suis déçu, je suis cassé. C'était sans doute un très beau match à voir. Mais là... Il faut laisser un peu de temps et essayer de recommencer à bien jouer dans le futur."
Vous êtes encore plus déçus qu'après votre défaite à Paris?
R.F: "Il n'y a pas de comparaison possible. Ici, c'est le désastre. A Paris, c'était rien. Au contraire. Vous êtes peut-être contents du match. Pas moi..."
Désormais, Nadal menace votre statut de N.1...
R.F: "Ecrivez ce que vous voulez. Moi je vais essayer de recommencer à bien jouer, de gagner les jeux Olympiques et l'US Open."
----------
Juste horrible cette entrevue. On voit que cette défaite lui a mis un grand coup au moral. Espérons qu'il s'en remettra vite.
Chose certaine, je vais continuer de l'appuyer car il demeure le meilleur joueur "ever".
Et je viens juste d'arrêter de pleurer. Mais, j'ai encore mal parce que mon champion est triste et a mal.
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Voici une petite entrevue qu'il a donné après le match:
A la fin du match, il faisait quasiment nuit. Regrettez-vous que le match n'ait pas été interrompu ?
ROGER FEDERER: "C'était impossible de jouer. C'est dur pour moi, de perdre le plus grand tournoi du monde sur une question de lumière. Mais c'est comme ça... (...) Je ne voyais presque plus contre qui je jouais."
Comment expliquez-vous avoir manqué autant de balles de break dans les deux premiers sets (1 sur 12)?
R.F: "Je n'ai pas été heureux des points que j'ai joués dans les deux premiers sets. J'ai souffert en début de match, dans des conditions difficiles et parfois, Rafa a fait des coups formidables."
Ce match restera comme un des plus grands matches de l'histoire, sinon le plus grand...
R.F: "Ce n'est pas à moi de juger si c'est le meilleur match. Cela a été une dure bataille, âpre. On a joué serré jusqu'au bout. Mais il faut un vainqueur et un perdant. Il n'y a pas de match nul."
Est-ce une immense déception?
R.F: "C'est de loin ma plus dure défaite."
Que ressentez-vous, en ce moment?
R.F: (Larmes aux yeux) "Rien. Pas grand chose."
Et perdre contre un joueur comme Nadal, ce n'est pas une consolation?
R.F: "Non. Zéro. Le match est fini, je suis déçu, je suis cassé. C'était sans doute un très beau match à voir. Mais là... Il faut laisser un peu de temps et essayer de recommencer à bien jouer dans le futur."
Vous êtes encore plus déçus qu'après votre défaite à Paris?
R.F: "Il n'y a pas de comparaison possible. Ici, c'est le désastre. A Paris, c'était rien. Au contraire. Vous êtes peut-être contents du match. Pas moi..."
Désormais, Nadal menace votre statut de N.1...
R.F: "Ecrivez ce que vous voulez. Moi je vais essayer de recommencer à bien jouer, de gagner les jeux Olympiques et l'US Open."
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Juste horrible cette entrevue. On voit que cette défaite lui a mis un grand coup au moral. Espérons qu'il s'en remettra vite.
Chose certaine, je vais continuer de l'appuyer car il demeure le meilleur joueur "ever".
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Rey Cheevas
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Rafael Nadal a remporté Wimbledon pour la première fois de sa carrière en battant le Suisse Roger Federer en cinq manches 6-4, 6-4, 6-7 (5/7), 6-7 (8/10), 9-7, dimanche, au terme d'une finale de légende.
C'est la première fois que le Majorquin, quatre fois titré à Roland-Garros, s'impose dans un tournoi majeur en dehors de la terre battue. Il est le premier à réussir le doublé Roland-Garros/Wimbledon depuis Bjorn Borg en 1980.
"C'est impossible d'expliquer ce que j'ai ressenti sur la balle de match. C'est mon tournoi préféré. C'est un rêve", a dit le vainqueur en recevant le trophée.
Federer avait remporté les cinq précédentes éditions, dont les deux dernières en finale contre Nadal. Il était invaincu sur gazon depuis 2002, soit 65 victoires d'affilée.
La finale a été la plus longue de l'histoire de Wimbledon (4h 48 min) et l'une des plus extraordinaires, tant par le niveau du jeu pratiqué que par les rebondissements.
"C'est toujours dur de jouer contre Roger, le meilleur joueur de l'histoire. Le battre ici après cinq participations, deux finales accrochées...", a dit l'Espagnol, submergé par l'émotion.
Le Majorquin, qui mène désormais 12 à 6 dans ses duels avec le Suisse (4 à 2 dans des finales de Grand Chelem), a appliqué exactement la même tactique que lors de ses victoires sur terre battue.
Il a pilonné le revers de Federer avec son grand coup droit. Le numéro un mondial a d'abord commis trop de fautes en tentant de prendre l'initiative du fond du court.
Échanges monumentaux
Mais le Suisse a retrouvé son jeu après une interruption de plus d'une heure par la pluie au troisième set, alors qu'il menait 5-4, Nadal devant servir.
Les deux sets suivants ont été extraordinairement acharnés, avec des échanges monumentaux de part et d'autre. Le Suisse a sauvé deux balles de matches dans le bris d'égalité de la quatrième manche, dont l'un sur un admirable passing shot de revers.
Le Majorquin a repris le dessus dans le dernier set et a fini par réussir le break décisif à 7-7. Il a conclu à sa quatrième balle de match alors qu'on n'y voyait pratiquement plus rien dans le mythique Central londonien.
Nadal est le premier Espagnol à s'imposer à Wimbledon dans l'ère Open (1968) et le deuxième dans l'histoire du tournoi après Manuel Santana en 1966.
La victoire de Nadal n'est pas une énorme surprise, car l'Espagnol avait donné de nombreux signes de sa montée en puissance, notamment en gagnant son premier tournoi sur herbe au Queen's, juste avant Wimbledon. La déroute de Federer en finale de Roland-Garros, où il n'avait pris que quatre jeux, avait aussi marqué les esprits.
À Wimbledon, les deux hommes s'étaient promenés jusqu'à la finale (aucune set perdu pour Federer, un seul pour Nadal) et le pronostic était pour la première fois très équilibré.
Il est difficile de dire si le succès de Nadal annonce ou pas un changement d'ère. Il confirme les énormes progrès du Majorquin en dehors de sa surface de prédilection, la terre battue, mais Federer a évolué à un tel niveau que le voir rebondir n'aurait rien de surprenant.
Nadal à l'assaut du numéro un
Le Suisse, déjà battu en demi-finale de l'Open d'Australie et en finale de Roland-Garros, n'a remporté aucun titre majeur cette saison. Il a subi sa neuvième défaite de l'année, ce qui est déjà son plus mauvais total depuis le début de sa domination en 2004.
Federer, vainqueur de douze Grands Chelems, reste à deux titres du record détenu par Pete Sampras. Il est évidemment trop tôt pour dire qu'il ne parviendra pas à rejoindre l'Américain. Si certains champions du passé ont entamé un irrémédiable déclin à son âge, 26 ans, comme Bjorn Borg ou John McEnroe, mais d'autres ont continué à gagner passée la trentaine, comme Sampras justement ou Andre Agassi.
"J'ai tout essayé... Rafa mérite sa victoire. C'est le pire des adversaires, sur le meilleur des courts. Mais je serai de retour l'année prochaine", a dit le Suisse.
Nadal, 22 ans, va rester numéro deux mondial derrière Federer malgré sa victoire, mais il peut désormais envisager de prendre le pouvoir avant la fin de la saison, à condition de poursuivre sur sa lancée.
La deuxième moitié de la saison, sur dur, est celle qui lui a pour le moment le moins bien réussi. En 2007, il avait gagné cinq titres (déjà six cette saison), mais aucun après le mois de juillet.
C'est la première fois que le Majorquin, quatre fois titré à Roland-Garros, s'impose dans un tournoi majeur en dehors de la terre battue. Il est le premier à réussir le doublé Roland-Garros/Wimbledon depuis Bjorn Borg en 1980.
"C'est impossible d'expliquer ce que j'ai ressenti sur la balle de match. C'est mon tournoi préféré. C'est un rêve", a dit le vainqueur en recevant le trophée.
Federer avait remporté les cinq précédentes éditions, dont les deux dernières en finale contre Nadal. Il était invaincu sur gazon depuis 2002, soit 65 victoires d'affilée.
La finale a été la plus longue de l'histoire de Wimbledon (4h 48 min) et l'une des plus extraordinaires, tant par le niveau du jeu pratiqué que par les rebondissements.
"C'est toujours dur de jouer contre Roger, le meilleur joueur de l'histoire. Le battre ici après cinq participations, deux finales accrochées...", a dit l'Espagnol, submergé par l'émotion.
Le Majorquin, qui mène désormais 12 à 6 dans ses duels avec le Suisse (4 à 2 dans des finales de Grand Chelem), a appliqué exactement la même tactique que lors de ses victoires sur terre battue.
Il a pilonné le revers de Federer avec son grand coup droit. Le numéro un mondial a d'abord commis trop de fautes en tentant de prendre l'initiative du fond du court.
Échanges monumentaux
Mais le Suisse a retrouvé son jeu après une interruption de plus d'une heure par la pluie au troisième set, alors qu'il menait 5-4, Nadal devant servir.
Les deux sets suivants ont été extraordinairement acharnés, avec des échanges monumentaux de part et d'autre. Le Suisse a sauvé deux balles de matches dans le bris d'égalité de la quatrième manche, dont l'un sur un admirable passing shot de revers.
Le Majorquin a repris le dessus dans le dernier set et a fini par réussir le break décisif à 7-7. Il a conclu à sa quatrième balle de match alors qu'on n'y voyait pratiquement plus rien dans le mythique Central londonien.
Nadal est le premier Espagnol à s'imposer à Wimbledon dans l'ère Open (1968) et le deuxième dans l'histoire du tournoi après Manuel Santana en 1966.
La victoire de Nadal n'est pas une énorme surprise, car l'Espagnol avait donné de nombreux signes de sa montée en puissance, notamment en gagnant son premier tournoi sur herbe au Queen's, juste avant Wimbledon. La déroute de Federer en finale de Roland-Garros, où il n'avait pris que quatre jeux, avait aussi marqué les esprits.
À Wimbledon, les deux hommes s'étaient promenés jusqu'à la finale (aucune set perdu pour Federer, un seul pour Nadal) et le pronostic était pour la première fois très équilibré.
Il est difficile de dire si le succès de Nadal annonce ou pas un changement d'ère. Il confirme les énormes progrès du Majorquin en dehors de sa surface de prédilection, la terre battue, mais Federer a évolué à un tel niveau que le voir rebondir n'aurait rien de surprenant.
Nadal à l'assaut du numéro un
Le Suisse, déjà battu en demi-finale de l'Open d'Australie et en finale de Roland-Garros, n'a remporté aucun titre majeur cette saison. Il a subi sa neuvième défaite de l'année, ce qui est déjà son plus mauvais total depuis le début de sa domination en 2004.
Federer, vainqueur de douze Grands Chelems, reste à deux titres du record détenu par Pete Sampras. Il est évidemment trop tôt pour dire qu'il ne parviendra pas à rejoindre l'Américain. Si certains champions du passé ont entamé un irrémédiable déclin à son âge, 26 ans, comme Bjorn Borg ou John McEnroe, mais d'autres ont continué à gagner passée la trentaine, comme Sampras justement ou Andre Agassi.
"J'ai tout essayé... Rafa mérite sa victoire. C'est le pire des adversaires, sur le meilleur des courts. Mais je serai de retour l'année prochaine", a dit le Suisse.
Nadal, 22 ans, va rester numéro deux mondial derrière Federer malgré sa victoire, mais il peut désormais envisager de prendre le pouvoir avant la fin de la saison, à condition de poursuivre sur sa lancée.
La deuxième moitié de la saison, sur dur, est celle qui lui a pour le moment le moins bien réussi. En 2007, il avait gagné cinq titres (déjà six cette saison), mais aucun après le mois de juillet.
Quelle victoire, non mais quelle victoire!!! Tout simplement malade!! Nadal vient de faire un "statement", il a fait la preuve irréfutable que ce n'est plus seulement qu'un joueur de terre battue! Ça serait trop malade si il arrivant à ravir le titre de no1 à Federer avant la fin de la saison!! Mais ça sera pas facile avec la période sur surface dure qui s'amène, sa plus difficile! On va espérer fort!
VIVE NADAL!!!! --Message edité par Yautja88 le 2008-07-07 13:13:37--
VIVE NADAL!!!! --Message edité par Yautja88 le 2008-07-07 13:13:37--
Je t'aime Pinklily <3
Beppo a écritJ'ai régardé le match à RDS et j'ai entendu les commentaires de madame Pelletier et de monsieur Ponton. Suis-je dans l'erreur en pensant que l'impartialité ne les étouffe pas? Je ne favorisais pas plus l'un que l'autre mais à un moment donné je me suis mis à vouloir une victoire de Nadal pour clore le bec de madame Pelletier.
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Pourtant son petit Nadal cest pas drole , elle le trouve tellement beau
À la toute fin, elle nous déclare qu'elle se trouve face à deux champions. Je regrette mais sur le trophée pour l'année 2008, ma belle, il n'y a qu'un seul nom donc il n'y a qu'un seul champion. La belle Hélène trouve la défaite amère, je présume.
Est-ce que je suis dans l'erreur?
Pourtant son petit Nadal cest pas drole , elle le trouve tellement beau
Betta a écrit
Elle a toujours été comme ça, pas seulement envers Federer. On arrive toujours à déceler pour qui elle a un parti prix ( on écrit ça comment? ). M'enfin, c'est mon avis. Je ne l'apprécie pas vraiment, un peu comme Pierre et Yvon
Jadore Yvan Ponton ... mais est souvent en train de le blaster ou de l'abaisser
Elle a toujours été comme ça, pas seulement envers Federer. On arrive toujours à déceler pour qui elle a un parti prix ( on écrit ça comment? ). M'enfin, c'est mon avis. Je ne l'apprécie pas vraiment, un peu comme Pierre et Yvon
Jadore Yvan Ponton ... mais est souvent en train de le blaster ou de l'abaisser
Yautja88 a écritQuelle victoire, non mais quelle victoire!!! Tout simplement malade!! Nadal vient de faire un "statement", il a fait la preuve irréfutable que ce n'est plus seulement qu'un joueur de terre battue! Ça serait trop malade si il arrivant à ravir le titre de no1 à Federer avant la fin de la saison!! Mais ça sera pas facile avec la période sur surface dure qui s'amène, sa plus difficile! On va espérer fort!
VIVE NADAL!!!!
Le match tu dis? Ouf, vraiment un des plus beaux que j'ai vu de ma vie
En tout cas, si Nadal avait peur de la montée de Djoko concernant son numéro 2, il peut dormir tranquille!
VIVE NADAL!!!!
Le match tu dis? Ouf, vraiment un des plus beaux que j'ai vu de ma vie
En tout cas, si Nadal avait peur de la montée de Djoko concernant son numéro 2, il peut dormir tranquille!
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Rey Cheevas
- Seigneur de la Causerie
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La victoire épique de Rafael Nadal devant Roger Federer en finale du tournoi de Wimbledon lui a permis de réduire de manière significative l'écart avec le premier rang du classement ATP. Le Torontois Daniel Nestor s'est pour sa part hissé au premier rang du classement en double.
Le Suisse Federer est demeuré au sommet de la hiérarchie mondiale pour une 232e semaine consécutive, un record, tandis que Nadal est toujours au deuxième rang pour une 155e semaine d'affilée, aussi un record. Mais l'avance de Federer qui était de 1145 points - 6900 contre 5755 - avant le tournoi sur gazon à été réduite à 545 points - 6600 à 6055 - selon le nouveau classement publié lundi.
L'Espagnol a vaincu Federer 6-4, 6-4, 6-7 (5), 6-7 (8), 9-7, dimanche, lors d'une finale interrompue par la pluie qui a demandé quatre heures et 48 minutes de jeu - la plus longue dans l'histoire de Wimbledon, un tournoi qui a commencé en 1877.
Nestor a uni ses efforts à ceux du Serbe Nenad Zimonjic pour mériter son premier titre en double à Wimbledon au cours du week-end. Nestor a gagné deux rangs, devançant les jumeaux Bob et Mike Bryan, pour s'installer au sommet du classement. Zimonjic occupe le quatrième rang.
Le Suisse Federer est demeuré au sommet de la hiérarchie mondiale pour une 232e semaine consécutive, un record, tandis que Nadal est toujours au deuxième rang pour une 155e semaine d'affilée, aussi un record. Mais l'avance de Federer qui était de 1145 points - 6900 contre 5755 - avant le tournoi sur gazon à été réduite à 545 points - 6600 à 6055 - selon le nouveau classement publié lundi.
L'Espagnol a vaincu Federer 6-4, 6-4, 6-7 (5), 6-7 (8), 9-7, dimanche, lors d'une finale interrompue par la pluie qui a demandé quatre heures et 48 minutes de jeu - la plus longue dans l'histoire de Wimbledon, un tournoi qui a commencé en 1877.
Nestor a uni ses efforts à ceux du Serbe Nenad Zimonjic pour mériter son premier titre en double à Wimbledon au cours du week-end. Nestor a gagné deux rangs, devançant les jumeaux Bob et Mike Bryan, pour s'installer au sommet du classement. Zimonjic occupe le quatrième rang.