Tennis Canada a annoncé mercredi que Venus Williams sera présente à la coupe Rogers qui se déroulera au Stade Uniprix du 26 juillet au 3 août prochain.
Il s'agira d'une première présence à Montréal pour la joueuse de 27 ans qui occupe présentement le huitième rang du classement WTA et qui a remporté 36 tournois en carrière, dont huit du Grand Chelem : Wimbledon quatre fois (2000, 2001, 2005 et 2007) et les Internationaux des Etats-Unis deux fois, en 2000 et 2001.
"Il s'agit d'une belle opportunité pour moi de disputer un tournoi de haut niveau dans une ville que je n'ai jamais visitée", a déclaré Venus.
Justine Henin avait remporté le tournoi en 2007 à Toronto. La Belge ne défendra toutefois pas son titre puisqu'elle s'est retirée de la compétition la semaine dernière.
Williams et la Serbe Ana Ivanovic sont les seules joueuses faisant partie des 10 premières au monde à avoir confirmé leur présence à Montréal jusqu'à présent. Ivanovic occupe présentement le deuxième rang mondial, derrière la Russe Maria Sharapova.
Tennis
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Rey Cheevas
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PARIS - Roger Federer a connu une bonne journée, lundi à Roland-Garros, avec une qualification tranquille pour le deuxième tour; une deuxième journée marquée également par le forfait de Richard Gasquet et l'arrivée de la pluie, qui a empêché Rafael Nadal d'entrer sur le court.
Seules vingt-six rencontres sur cinquante-huit ont pu aller à leur terme à cause des averses tombées en milieu d'après-midi. L'année dernière déjà, la pluie avait considérablement gêné les deux premières journées, avant que le retard occasionné ne soit presque complètement rattrapé dès le lendemain.
Cette année encore, la météo ne s'annonce malheureusement pas très encourageante, laissant craindre des embouteillages importants sur les courts. Raison de plus pour Federer de se réjouir d'avoir pu boucler sa partie lors d'une journée qui n'a pas réservé de surprises notables.
Si la disparition de Gasquet ne constitue qu'un soulagement très relatif pour le no 1 mondial, le fait d'avoir pris de l'avance sur son grand rival Nadal est toujours bon à prendre, même si l'Espagnol ne se fera sûrement pas prendre à l'usure physique.
"Ça n'a pas été trop dur"
Pour Federer, le principal motif de satisfaction réside d'abord dans la façon avec laquelle il a géré son premier tour face à l'Américain Sam Querrey, connu pour avoir servi dix aces d'affilée en 2007 à Indianapolis.
"C'est vrai que ça n'a pas été trop dur, mais je me méfiais car c'est un joueur un peu différent, avec un gros service et un gros coup droit. Bon, il ne gagnera sans doute jamais Roland-Garros, mais sur un jour, on ne sait jamais", a commenté le double finaliste sortant après sa victoire 6-4, 6-4, 6-3.
"Je suis soulagé, il y a toujours beaucoup de pression dans les premiers tours d'un Grand Chelem", a ajouté le Suisse qui, verni par le tirage au sort, ne devrait pas connaître plus de problèmes au prochain tour face à l'Espagnol Albert Montanes ou le Belge Kristof Vliegen. Il ne s'en plaindra pas, après une première moitié de saison décevante.
Coria motivé
Accompagné depuis le début de la campagne sur terre battue par Jose Higueras, il n'a remporté qu'un seul titre cette année, à Estoril (Portugal), et reste sur deux finales perdues à Monte-Carlo et Hambourg contre Nadal.
Si ce dernier est resté aux vestiaires, remplacé sur le Central par deux spectateurs qui se sont vautrés quelques instants sur les bâches sous l'oeil étonnamment bienveillant de la sécurité, un autre Espagnol à surveiller, Tommy Robredo, a gagné son billet pour le deuxième tour.
Quart de finaliste sortant, Robredo a mis une manche à doucher l'enthousiasme renaissant de l'Argentin Guillermo Coria (5-7, 6-4, 6-1, 6-4) qui, au sortir de deux années d'errance, s'est dit motivé comme jamais pour la suite de sa carrière.
Autre succès d'outsider, celui, supersonique, du Tchèque Tomas Berdych sur l'Australien Robert Smeets (6-1, 6-0, 6-0) et celui, à peine plus long, du Chilien Fernando Gonzalez sur l'Uruguayen Pablo Cuevas (6-3, 6-3, 6-1).
Parmi les éliminations du jour figurent celle de l'Argentin Guillermo Canas par l'Américain Wayne Odesnik (7-6 (8), 7-6 (3), 7-6 (8)), et celle du Chypriote Marcos Baghdatis par l'Italien Simone Bolelli (6-2, 6-4, 6-2
Seules vingt-six rencontres sur cinquante-huit ont pu aller à leur terme à cause des averses tombées en milieu d'après-midi. L'année dernière déjà, la pluie avait considérablement gêné les deux premières journées, avant que le retard occasionné ne soit presque complètement rattrapé dès le lendemain.
Cette année encore, la météo ne s'annonce malheureusement pas très encourageante, laissant craindre des embouteillages importants sur les courts. Raison de plus pour Federer de se réjouir d'avoir pu boucler sa partie lors d'une journée qui n'a pas réservé de surprises notables.
Si la disparition de Gasquet ne constitue qu'un soulagement très relatif pour le no 1 mondial, le fait d'avoir pris de l'avance sur son grand rival Nadal est toujours bon à prendre, même si l'Espagnol ne se fera sûrement pas prendre à l'usure physique.
"Ça n'a pas été trop dur"
Pour Federer, le principal motif de satisfaction réside d'abord dans la façon avec laquelle il a géré son premier tour face à l'Américain Sam Querrey, connu pour avoir servi dix aces d'affilée en 2007 à Indianapolis.
"C'est vrai que ça n'a pas été trop dur, mais je me méfiais car c'est un joueur un peu différent, avec un gros service et un gros coup droit. Bon, il ne gagnera sans doute jamais Roland-Garros, mais sur un jour, on ne sait jamais", a commenté le double finaliste sortant après sa victoire 6-4, 6-4, 6-3.
"Je suis soulagé, il y a toujours beaucoup de pression dans les premiers tours d'un Grand Chelem", a ajouté le Suisse qui, verni par le tirage au sort, ne devrait pas connaître plus de problèmes au prochain tour face à l'Espagnol Albert Montanes ou le Belge Kristof Vliegen. Il ne s'en plaindra pas, après une première moitié de saison décevante.
Coria motivé
Accompagné depuis le début de la campagne sur terre battue par Jose Higueras, il n'a remporté qu'un seul titre cette année, à Estoril (Portugal), et reste sur deux finales perdues à Monte-Carlo et Hambourg contre Nadal.
Si ce dernier est resté aux vestiaires, remplacé sur le Central par deux spectateurs qui se sont vautrés quelques instants sur les bâches sous l'oeil étonnamment bienveillant de la sécurité, un autre Espagnol à surveiller, Tommy Robredo, a gagné son billet pour le deuxième tour.
Quart de finaliste sortant, Robredo a mis une manche à doucher l'enthousiasme renaissant de l'Argentin Guillermo Coria (5-7, 6-4, 6-1, 6-4) qui, au sortir de deux années d'errance, s'est dit motivé comme jamais pour la suite de sa carrière.
Autre succès d'outsider, celui, supersonique, du Tchèque Tomas Berdych sur l'Australien Robert Smeets (6-1, 6-0, 6-0) et celui, à peine plus long, du Chilien Fernando Gonzalez sur l'Uruguayen Pablo Cuevas (6-3, 6-3, 6-1).
Parmi les éliminations du jour figurent celle de l'Argentin Guillermo Canas par l'Américain Wayne Odesnik (7-6 (8), 7-6 (3), 7-6 (8)), et celle du Chypriote Marcos Baghdatis par l'Italien Simone Bolelli (6-2, 6-4, 6-2
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Rey Cheevas
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La pluie a très fortement perturbé la troisième journée de Roland-Garros mardi, seules treize rencontres ayant pu aller à leur terme et les rares favoris qui ont pu mettre le nez dehors ont fait vite.
Sur les soixante-douze matches au programme, le public a dû se contenter de quelques miettes, distribuées sur deux sessions de moins de deux heures entre-coupées d'averses.
Les rares qui ont pu jouer se sont dépêchés, sûrement encouragés par les gros nuages noirs qui se formaient au loin. Ainsi Nikolai Davydenko et Stanislas Wawrinka, vainqueurs expéditifs de Thomas Johansson (6-3, 6-3, 6-3) et Philipp Kohlschreiber (6-3, 6-4, 6-3).
On a même eu droit à une petite surprise avec la lourde défaite de l'Argentin Juan Monaco, tête de série no 13 et adversaire théorique de Roger Federer en huitième de finale, face au Suédois Robin Soderling (6-2, 6-3, 6-1).
"Aujourd'hui c'était de l'attente, de l'attente et un petit match au milieu", a résumé Wawrinka, le petit Suisse qui monte et qui permet à Federer de se sentir un peu moins seul au sommet du tennis mondial.
Sur les soixante-douze matches au programme, le public a dû se contenter de quelques miettes, distribuées sur deux sessions de moins de deux heures entre-coupées d'averses.
Les rares qui ont pu jouer se sont dépêchés, sûrement encouragés par les gros nuages noirs qui se formaient au loin. Ainsi Nikolai Davydenko et Stanislas Wawrinka, vainqueurs expéditifs de Thomas Johansson (6-3, 6-3, 6-3) et Philipp Kohlschreiber (6-3, 6-4, 6-3).
On a même eu droit à une petite surprise avec la lourde défaite de l'Argentin Juan Monaco, tête de série no 13 et adversaire théorique de Roger Federer en huitième de finale, face au Suédois Robin Soderling (6-2, 6-3, 6-1).
"Aujourd'hui c'était de l'attente, de l'attente et un petit match au milieu", a résumé Wawrinka, le petit Suisse qui monte et qui permet à Federer de se sentir un peu moins seul au sommet du tennis mondial.
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Clorophile
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Clorophile
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Rey Cheevas
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a favorite russe Maria Sharapova a franchi samedi le 3e tour des Internationaux de tennis de France.
Elle disposé de l'Italienne Karin Knapp, en deux manches de 7-6 et 6-0.
Comme depuis le début du tournoi, la Russe, dont la terre battue n'est pas la meilleure surface, a connu quelques ratés dans cette partie d'une heure et 58 minutes, devant en passer par un bris d'égalité dans la première manche, facilement enlevé 7-4. Il n'y eût pas de match dans un deuxième set expédié 6-0.
La tâche risque de se compliquer encore en huitième de finale pour Sharapova, qui affronte sa compatriote Dinara Safina, tête de série numéro 13 et récemment sacrée à Berlin. La soeur de Marat Safin a éliminé la Chinoise Jie Zheng, 6-2, 7-5.
Svetlana Kuznetsova, tête de série numéro 4, a de son côté facilement dominé sa compatriote Nadia Petrova 6-2, 7-5.
Pour ca part Disputant un match de troisième tour dans un tournoi du Grand Chelem pour la première fois de sa carrière, la Québécoise Aleksandra Wozniak s’est fait abruptement ramener les deux pieds sur terre.
Après avoir disposé de deux joueuses du classement des 50 meilleures en début de semaine, Wozniak a baissé pavillon en deux manches identiques de 6-2 devant la Russe Vera Zvonareva, samedi aux Internationaux de tennis de France.
Zvonareva, 11e tête de série, a complètement dominé l’athlète de Blainville au service, remportant 22 des 26 échanges qu’elle a initiés lorsque sa première balle de service était en jeu. Celle qui a déjà été la neuvième raquette mondiale n’a perdu qu’un seul des 15 échanges qu’elle a initiés sur sa première balle de service en première manche.
"J'ai tout simplement commis trop de fautes directes, a expliqué Wozniak. J'ai eu ma part d'opportunités, mais je tentais de frapper des coups gagnants trop tôt dans les échanges; je ne choisissais pas les bonnes balles pour attaquer. C'est dommage parce que j'ai senti que je pouvais rivaliser avec elle."
Même si elle a été en mesure de briser le deux premiers services de son adversaire en deuxième manche, Wozniak n’a pas été capable de gagner une seule fois le sien. Il faut dire que la Québécoise n’a pas réussi à imposer sa première balle de service tout au long du match, son pourcentage de réussite s’élevant à 50 pour cent.
Zvonereva, qui a réussi le seul as de la rencontre, va croiser le fer en ronde des 16 avec sa compatriote Elena Dementieva (7e), qui a vaincu 6-0, 6-4 la Bélarussienne Olga Govortsova.
Elle disposé de l'Italienne Karin Knapp, en deux manches de 7-6 et 6-0.
Comme depuis le début du tournoi, la Russe, dont la terre battue n'est pas la meilleure surface, a connu quelques ratés dans cette partie d'une heure et 58 minutes, devant en passer par un bris d'égalité dans la première manche, facilement enlevé 7-4. Il n'y eût pas de match dans un deuxième set expédié 6-0.
La tâche risque de se compliquer encore en huitième de finale pour Sharapova, qui affronte sa compatriote Dinara Safina, tête de série numéro 13 et récemment sacrée à Berlin. La soeur de Marat Safin a éliminé la Chinoise Jie Zheng, 6-2, 7-5.
Svetlana Kuznetsova, tête de série numéro 4, a de son côté facilement dominé sa compatriote Nadia Petrova 6-2, 7-5.
Pour ca part Disputant un match de troisième tour dans un tournoi du Grand Chelem pour la première fois de sa carrière, la Québécoise Aleksandra Wozniak s’est fait abruptement ramener les deux pieds sur terre.
Après avoir disposé de deux joueuses du classement des 50 meilleures en début de semaine, Wozniak a baissé pavillon en deux manches identiques de 6-2 devant la Russe Vera Zvonareva, samedi aux Internationaux de tennis de France.
Zvonareva, 11e tête de série, a complètement dominé l’athlète de Blainville au service, remportant 22 des 26 échanges qu’elle a initiés lorsque sa première balle de service était en jeu. Celle qui a déjà été la neuvième raquette mondiale n’a perdu qu’un seul des 15 échanges qu’elle a initiés sur sa première balle de service en première manche.
"J'ai tout simplement commis trop de fautes directes, a expliqué Wozniak. J'ai eu ma part d'opportunités, mais je tentais de frapper des coups gagnants trop tôt dans les échanges; je ne choisissais pas les bonnes balles pour attaquer. C'est dommage parce que j'ai senti que je pouvais rivaliser avec elle."
Même si elle a été en mesure de briser le deux premiers services de son adversaire en deuxième manche, Wozniak n’a pas été capable de gagner une seule fois le sien. Il faut dire que la Québécoise n’a pas réussi à imposer sa première balle de service tout au long du match, son pourcentage de réussite s’élevant à 50 pour cent.
Zvonereva, qui a réussi le seul as de la rencontre, va croiser le fer en ronde des 16 avec sa compatriote Elena Dementieva (7e), qui a vaincu 6-0, 6-4 la Bélarussienne Olga Govortsova.
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Rey Cheevas
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Rafael Nadal et Novak Djokovic se sont qualifiés dare-dare dimanche pour les quarts de finale de Roland-Garros avec une facilité qui a encore une fois illustré le gouffre creusé par les trois fantastiques avec le reste du peloton.
Car, à moins que le Français Julien Benneteau ne crée l'une des plus colossales surprises de la décennie, Roger Federer devrait, lui aussi, rejoindre ses deux grands rivaux lundi.
Entre la tête de série no 3, Djokovic, et la no 19, Nicolas Almagro, vainqueur lui aussi d'un local, Jérémy Chardy (7-6 (0), 7-6 (7), 7-5), il ne resterait plus en course que le seul David Ferrer, un joueur convaincu de son incapacité à troubler la hiérarchie malgré son dossard no 5.
"Mais moi aussi, je crois que ça va se jouer entre trois joueurs. Ils ont montré qu'ils étaient largement au-dessus des autres", avait dit l'Espagnol samedi, après être passé près de la sortie contre l'Australien Lleyton Hewitt.
La situation était quasiment la même au tour précédent, puisque dans cette catégorie intermédiaire censée apporter du piment au tournoi avant le dernier week-end, seule la tête de série no 18, Paul-Henri Mathieu, avait survécu à la première semaine, à l'inverse des Nikolay Davydenko, David Nalbandian, Andy Murray, Stanislas Wawrinka et autres Tomas Berdych.
Nadal roule à gauche
Mathieu, l'un des cinq huitièmes de finalistes français, dont trois ont déjà disparu dimanche, n'a jamais pu croire en la victoire contre Djokovic (6-4, 6-3, 6-4). Dans les rares moments où il a été menacé, le vainqueur de l'Omnium d'Australie a sorti la grosse artillerie au service (14 as).
Le Belgradois va maintenant affronter la révélation du tournoi, le Letton Ernests Gulbis, son ancien camarade d'adolescence à l'académie de tennis de Niki Pilic, en Allemagne. "Il me détruisait à l'entraînement. Je n'arrivais pas à gagner un match. Donc toute la pression est sur lui", a plaisanté Djokovic, qui sera évidemment le super-favori.
Nadal a été encore plus expéditif contre son compatriote Fernando Verdasco (6-1, 6-0, 6-2), le quatrième gaucher qu'il affrontait d'affilée, du jamais-vu en Grand Chelem.
Comme l'année dernière, le Majorquin atteint les quarts de finale sans avoir perdu une seule manche. En quatre matches, il n'a perdu que 22 jeux, soit moins de deux par manche. De tous ses adversaires, le plus gênant a finalement été la pluie, qui a encore interrompu son match dimanche après l'avoir contraint à jouer trois jours de suite en première semaine.
"Je ne sais pas ce que vous voyez de l'extérieur, mais moi je peux vous dire que j'ai l'impression de forcer la machine à chaque match", a dit le no 2 mondial sans trop convaincre.
Car, à moins que le Français Julien Benneteau ne crée l'une des plus colossales surprises de la décennie, Roger Federer devrait, lui aussi, rejoindre ses deux grands rivaux lundi.
Entre la tête de série no 3, Djokovic, et la no 19, Nicolas Almagro, vainqueur lui aussi d'un local, Jérémy Chardy (7-6 (0), 7-6 (7), 7-5), il ne resterait plus en course que le seul David Ferrer, un joueur convaincu de son incapacité à troubler la hiérarchie malgré son dossard no 5.
"Mais moi aussi, je crois que ça va se jouer entre trois joueurs. Ils ont montré qu'ils étaient largement au-dessus des autres", avait dit l'Espagnol samedi, après être passé près de la sortie contre l'Australien Lleyton Hewitt.
La situation était quasiment la même au tour précédent, puisque dans cette catégorie intermédiaire censée apporter du piment au tournoi avant le dernier week-end, seule la tête de série no 18, Paul-Henri Mathieu, avait survécu à la première semaine, à l'inverse des Nikolay Davydenko, David Nalbandian, Andy Murray, Stanislas Wawrinka et autres Tomas Berdych.
Nadal roule à gauche
Mathieu, l'un des cinq huitièmes de finalistes français, dont trois ont déjà disparu dimanche, n'a jamais pu croire en la victoire contre Djokovic (6-4, 6-3, 6-4). Dans les rares moments où il a été menacé, le vainqueur de l'Omnium d'Australie a sorti la grosse artillerie au service (14 as).
Le Belgradois va maintenant affronter la révélation du tournoi, le Letton Ernests Gulbis, son ancien camarade d'adolescence à l'académie de tennis de Niki Pilic, en Allemagne. "Il me détruisait à l'entraînement. Je n'arrivais pas à gagner un match. Donc toute la pression est sur lui", a plaisanté Djokovic, qui sera évidemment le super-favori.
Nadal a été encore plus expéditif contre son compatriote Fernando Verdasco (6-1, 6-0, 6-2), le quatrième gaucher qu'il affrontait d'affilée, du jamais-vu en Grand Chelem.
Comme l'année dernière, le Majorquin atteint les quarts de finale sans avoir perdu une seule manche. En quatre matches, il n'a perdu que 22 jeux, soit moins de deux par manche. De tous ses adversaires, le plus gênant a finalement été la pluie, qui a encore interrompu son match dimanche après l'avoir contraint à jouer trois jours de suite en première semaine.
"Je ne sais pas ce que vous voyez de l'extérieur, mais moi je peux vous dire que j'ai l'impression de forcer la machine à chaque match", a dit le no 2 mondial sans trop convaincre.
Il fallait que je vienne faire un petit tour parce que j'ai pensé à toi, Rey Cheevas, suite à la défaite de Maria Sharapova face à Dinara Safina. Trop bête cette défaite surtout qu'elle a eu ses chances de gagner le 2e set.
Roger passe au tour suivant et je suis bien contente. ))
Roger passe au tour suivant et je suis bien contente. ))
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Rey Cheevas
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nicki a écritIl fallait que je vienne faire un petit tour parce que j'ai pensé à toi, Rey Cheevas, suite à la défaite de Maria Sharapova face à Dinara Safina. Trop bête cette défaite surtout qu'elle a eu ses chances de gagner le 2e set.
Roger passe au tour suivant et je suis bien contente. ))
Tres Heureux de d'avoir de tes nouvelles Nick
A tu tes billets de la coupe Rodgers?? Si oui shoot moi tes dates pour savoir s'y ont y serra en meme temps
Ouais pour Maria ... C'est a croire que le titre de première Mondial soit pas un préocupation trop importante ...
Roger passe au tour suivant et je suis bien contente. ))
Tres Heureux de d'avoir de tes nouvelles Nick
A tu tes billets de la coupe Rodgers?? Si oui shoot moi tes dates pour savoir s'y ont y serra en meme temps
Ouais pour Maria ... C'est a croire que le titre de première Mondial soit pas un préocupation trop importante ...
Non, je n'ai pas encore acheté mes billets. En fait, j'hésite à l'idée de prendre une semaine de vacances et aller voir les hommes jouer à Toronto.
Va falloir que je me décide bientôt mais tant que notre maison ne sera pas vendue, je suis prisonnière et bin tannée de l'être.
De toute façon, je vais te tenir au courant.
Liberté en VR.....
Va falloir que je me décide bientôt mais tant que notre maison ne sera pas vendue, je suis prisonnière et bin tannée de l'être.
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Rey Cheevas
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Rey Cheevas
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PARIS - Pour la troisième année consécutive, Rafael Nadal et Roger Federer se disputeront dimanche, sur le central de Roland-Garros, la suprématie sur la terre battue.
Le numéro un mondial a mis fin au rêve un peu fou caressé par Gaël Monfils, trop irrégulier pour résister au Suisse, vainqueur en quatre sets de 6-2, 5-7, 6-3 et 7-5.
Nadal a pour sa part démoli le vainqueur des Internationaux d'Australie, Novak Djokovic, 6-4, 6-2, 7-6, et sera le grand favori pour un quatrième titre consécutif à Paris.
Usé par Federer en un peu plus de trois heures, Gaël Monfils, qui n'avait remporté que quatre matches avant le début du tournoi, a néanmoins réussi une quinzaine de rêve, et rejoint Richard Gasquet et Jo-Wilfried Tsonga dans un trio de joueurs français promis à un riche avenir.
Contre Federer, le Parisien, 59e mondial, a plié avec les honneurs, prenant un set au meilleur joueur du monde dans un match décousu, où les points sublimes sont rarement venus égayer un festival de bévues.
"Il a été magnifique tout au long de la quinzaine. C'est un gros talent, je l'ai toujours dit, depuis ma première finale contre lui à Doha. Enfin, il a pu monter sur un 'big stage', surtout ici. C'est magnifique, pour lui comme pour moi", a déclaré le Bâlois après 3h05 d'un match indécis.
L'homme aux 12 grands chelems a estimé que "la clef du match avait été le premier jeu de Monfils".
En effet, le Français a pris un départ catastrophique, qui a placé son adversaire sur orbite. Mais "La Monf" n'a pas abdiqué et est parvenu à annuler un bris dans la deuxième manche avant de déstabiliser Federer sur un court lent, battu par un vent froid, et par s'accorder le sursis d'un set.
Dans les deux manches ultimes, la tension était vive, mais Federer a toujours eu un léger ascendant, qui lui a permis de s'en sortir, sans briller mais sans ciller, à sa troisième balle de match.
"C'était très serré sur la fin. Je suis vraiment soulagé de remporter ce match", a avoué le Suisse, qui s'apprête désormais à défier une nouvelle fois le maître des lieux, Rafael Nadal, invaincu sur le court central en 27 rencontres.
"Nous avons fait deux matches fantastiques cette saison à Monte-Carlo et à Hambourg, malheureusement pour moi, il a un niveau fantastique sur ce tournoi. Mais j'espère pouvoir enfin gagner ici", a-t-il dit.
Nadal a avoué avoir tutoyé la perfection dans un remake assez désespérant de sa dernière demi-finale contre Djokovic, l'année dernière.
"Pendant les deux premiers sets, c'était presque le match parfait. Peut-être mon meilleur match à Roland-Garros. C'est fabuleux de jouer comme ça, surtout contre un joueur comme Novak", a déclaré le Majorquin, vainqueur en 2h49 de jeu.
Et il est vrai que, pendant deux manches, l'Espagnol s'est installé comme le taulier d'un court central qui est un peu devenu sa résidence secondaire.
"C'est un court spécial pour moi, chargé de souvenirs inoubliables. C'est toujours un sentiment incroyable de pénétrer sur ce court", a-t-il dit.
Dans le troisième set, en revanche, Djokovic a retrouvé un peu de mordant pour compter une balle de set, aussitôt annulée par le triple tenant du titre, qui a ensuite déroulé dans un bris d'égalité à sens unique.
Le Serbe, pourtant auréolé de sa première victoire en grand chelem à Melbourne à janvier, a dû se contenter d'un constat d'impuissance.
"Il se sent vraiment bien sur ce court, il n'y a jamais perdu. Il joue tous les points comme si c'était une balle de match. Dans les moments décisifs, il est très fort mentalement. Ce n'est pas pour rien qu'il est le triple tenant du titre", a résumé Djokovic.
"Le court central favorise son jeu. Parfois, c'est vraiment frustrant", a-t-il conclu.
Si l'on en juge par les deux matches livrés vendredi sur le central, cette frustration risque de gagner Roger Federer. Pour la troisième fois.
Le numéro un mondial a mis fin au rêve un peu fou caressé par Gaël Monfils, trop irrégulier pour résister au Suisse, vainqueur en quatre sets de 6-2, 5-7, 6-3 et 7-5.
Nadal a pour sa part démoli le vainqueur des Internationaux d'Australie, Novak Djokovic, 6-4, 6-2, 7-6, et sera le grand favori pour un quatrième titre consécutif à Paris.
Usé par Federer en un peu plus de trois heures, Gaël Monfils, qui n'avait remporté que quatre matches avant le début du tournoi, a néanmoins réussi une quinzaine de rêve, et rejoint Richard Gasquet et Jo-Wilfried Tsonga dans un trio de joueurs français promis à un riche avenir.
Contre Federer, le Parisien, 59e mondial, a plié avec les honneurs, prenant un set au meilleur joueur du monde dans un match décousu, où les points sublimes sont rarement venus égayer un festival de bévues.
"Il a été magnifique tout au long de la quinzaine. C'est un gros talent, je l'ai toujours dit, depuis ma première finale contre lui à Doha. Enfin, il a pu monter sur un 'big stage', surtout ici. C'est magnifique, pour lui comme pour moi", a déclaré le Bâlois après 3h05 d'un match indécis.
L'homme aux 12 grands chelems a estimé que "la clef du match avait été le premier jeu de Monfils".
En effet, le Français a pris un départ catastrophique, qui a placé son adversaire sur orbite. Mais "La Monf" n'a pas abdiqué et est parvenu à annuler un bris dans la deuxième manche avant de déstabiliser Federer sur un court lent, battu par un vent froid, et par s'accorder le sursis d'un set.
Dans les deux manches ultimes, la tension était vive, mais Federer a toujours eu un léger ascendant, qui lui a permis de s'en sortir, sans briller mais sans ciller, à sa troisième balle de match.
"C'était très serré sur la fin. Je suis vraiment soulagé de remporter ce match", a avoué le Suisse, qui s'apprête désormais à défier une nouvelle fois le maître des lieux, Rafael Nadal, invaincu sur le court central en 27 rencontres.
"Nous avons fait deux matches fantastiques cette saison à Monte-Carlo et à Hambourg, malheureusement pour moi, il a un niveau fantastique sur ce tournoi. Mais j'espère pouvoir enfin gagner ici", a-t-il dit.
Nadal a avoué avoir tutoyé la perfection dans un remake assez désespérant de sa dernière demi-finale contre Djokovic, l'année dernière.
"Pendant les deux premiers sets, c'était presque le match parfait. Peut-être mon meilleur match à Roland-Garros. C'est fabuleux de jouer comme ça, surtout contre un joueur comme Novak", a déclaré le Majorquin, vainqueur en 2h49 de jeu.
Et il est vrai que, pendant deux manches, l'Espagnol s'est installé comme le taulier d'un court central qui est un peu devenu sa résidence secondaire.
"C'est un court spécial pour moi, chargé de souvenirs inoubliables. C'est toujours un sentiment incroyable de pénétrer sur ce court", a-t-il dit.
Dans le troisième set, en revanche, Djokovic a retrouvé un peu de mordant pour compter une balle de set, aussitôt annulée par le triple tenant du titre, qui a ensuite déroulé dans un bris d'égalité à sens unique.
Le Serbe, pourtant auréolé de sa première victoire en grand chelem à Melbourne à janvier, a dû se contenter d'un constat d'impuissance.
"Il se sent vraiment bien sur ce court, il n'y a jamais perdu. Il joue tous les points comme si c'était une balle de match. Dans les moments décisifs, il est très fort mentalement. Ce n'est pas pour rien qu'il est le triple tenant du titre", a résumé Djokovic.
"Le court central favorise son jeu. Parfois, c'est vraiment frustrant", a-t-il conclu.
Si l'on en juge par les deux matches livrés vendredi sur le central, cette frustration risque de gagner Roger Federer. Pour la troisième fois.
Si Federer perd la finale j'aime mieux que ce soit contre Nadal, le #2.
Et s'il gagne, j'aime mieux aussi que ce soit contre Nadal. Comme ça on ne dira pas: "Si ç'avait été contre Nadal, il n'aurait pas gagné".
J'ai regardé avec joie Nadal battre Djokovic. Il a joué de façon parfaite et je pense qu'il sera très difficile à battre en finale. En tout cas, faudra que Federer joue avec beaucoup de conviction parce que contre Monfils il a fait beaucoup trop d'erreurs.
Mais sait-on jamais? Federer connait bien Nadal.
Et s'il gagne, j'aime mieux aussi que ce soit contre Nadal. Comme ça on ne dira pas: "Si ç'avait été contre Nadal, il n'aurait pas gagné".
J'ai regardé avec joie Nadal battre Djokovic. Il a joué de façon parfaite et je pense qu'il sera très difficile à battre en finale. En tout cas, faudra que Federer joue avec beaucoup de conviction parce que contre Monfils il a fait beaucoup trop d'erreurs.
Mais sait-on jamais? Federer connait bien Nadal.
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La finale hommes: 9h00 dimanche matin, sur TSN.
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