Pico82 a écrit
Je ne braille pas sur le sort de Nathalie Simard, je constate
c'est tout...
Et je suis pas si certaine que ca moi que c'est elle qui
demande a faire les entrevues.
Mais elle a le pouvoir et le choix de dire non , de choisir.
Nathalie Simard abandonne et reprend sa carrière
pouoi accepter
a part faire parler d, elle et le cash
je ne vois pas autres raisons
c, est triste pour le restant de la famille qui eux vivre encore cette publicité d, un menbre de la famille
quand viendra la paix
merci rene de garder le silence tu es tres intelligent surtout avec ta famille qui demande juste de t, aimer
tu es courageux et continue de garder le silence
pour toi cette phrase est importante
a part faire parler d, elle et le cash
je ne vois pas autres raisons
c, est triste pour le restant de la famille qui eux vivre encore cette publicité d, un menbre de la famille
quand viendra la paix
merci rene de garder le silence tu es tres intelligent surtout avec ta famille qui demande juste de t, aimer
tu es courageux et continue de garder le silence
pour toi cette phrase est importante
fleur
Pico82 a écrit
Je ne braille pas sur le sort de Nathalie Simard, je constate
c'est tout...
Et je suis pas si certaine que ca moi que c'est elle qui
demande a faire les entrevues.
S'cuse moi c'est une facon de parler, je voulais dire de manière générale qu'il ne faut pas trop s'en faire pour elle.
Personne n'est vraiment sûr de rien dans cette histoire-là. Reste qu'elle aura mal orchestré sa sortie, c'est le moins qu'on puisse dire.
Je ne braille pas sur le sort de Nathalie Simard, je constate
c'est tout...
Et je suis pas si certaine que ca moi que c'est elle qui
demande a faire les entrevues.
S'cuse moi c'est une facon de parler, je voulais dire de manière générale qu'il ne faut pas trop s'en faire pour elle.
Personne n'est vraiment sûr de rien dans cette histoire-là. Reste qu'elle aura mal orchestré sa sortie, c'est le moins qu'on puisse dire.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
-
EveLaVraie
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6941
- Inscription : mar. oct. 28, 2003 1:00 am
Moi l'histoire de Nathalie me fait penser un peu (pas au même niveau) à celle d'Anne-Marie Péladeau! Un cercle vicieux. Nathalie avec les hommes et anne-Marie avec la drogue.
Très médiatisée...mais personne ne peut rien pour elle, se sont elles les maîtres de leur destin!
Très médiatisée...mais personne ne peut rien pour elle, se sont elles les maîtres de leur destin!
Je fais confiance à la vie :)
-
EveLaVraie
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6941
- Inscription : mar. oct. 28, 2003 1:00 am
Lison48 a écritEt d'après J-L Mongrain, elle n'a pas été payée pour l'entrevue.
Et il a aussi mentionne qu'elle est bombardee de demandes
d'entrevues par les madias si j'ai bien compris...
C'est une chose qu'on ne peut pas douter quand on sait les
cotes d'ecoutes et les ventes de copies de revues que le cas
de Nathalie Simard rapportent.
Et il a aussi mentionne qu'elle est bombardee de demandes
d'entrevues par les madias si j'ai bien compris...
C'est une chose qu'on ne peut pas douter quand on sait les
cotes d'ecoutes et les ventes de copies de revues que le cas
de Nathalie Simard rapportent.
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Jadomo a écrit
Peut-être pas, mais c'est elle qui les accepte.
Oui tu as raison....
Je sais pas c'est quoi qui est vrai et quoi qui ne l'est pas
mais a la radio ce matin Erick Remy a dit que pour le spectacle
final du St-Denis, non seulement elle n'a pas pris l'argent
mais elle aurait aussi mis son propre argent afin que le
spectacle ne soit pas un flop et que la salle soit pleine...
Elle veut peut-etre remettre les pendules a l'heures qui sait...
C'est a voir demain soir a TQS. Et meme si on dit qu'elle aurait
du se fermer la trappe, on va etre beaucoup de monde a l'ecouter
demain devant notre t.v...
Peut-être pas, mais c'est elle qui les accepte.
Oui tu as raison....
Je sais pas c'est quoi qui est vrai et quoi qui ne l'est pas
mais a la radio ce matin Erick Remy a dit que pour le spectacle
final du St-Denis, non seulement elle n'a pas pris l'argent
mais elle aurait aussi mis son propre argent afin que le
spectacle ne soit pas un flop et que la salle soit pleine...
Elle veut peut-etre remettre les pendules a l'heures qui sait...
C'est a voir demain soir a TQS. Et meme si on dit qu'elle aurait
du se fermer la trappe, on va etre beaucoup de monde a l'ecouter
demain devant notre t.v...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Opinion de Nathalie Petrowski dans La Presse de ce matin...
Nathalie Simard: il y avait un jardin... étouffant
Nathalie Petrowski
La Presse
La blague qui circule dans les médias ces jours-ci, c’est que Nathalie Simard devrait donner un cours. Le titre ? Comment bousiller un capital de sympathie populaire en une semaine. Il a en effet fallu moins d’une courte semaine, doublée d’une « vente de feu » et d’une fuite à l’étranger, pour que la petite Nathalie adorée, adulée et vénérée du grand public, enfant chérie et vache à lait des journaux à potins, se mue dans l’esprit populaire en voleuse, en fraudeuse, en sans-cœur, en irresponsable briseuse de ménage et en saccageuse de jardin.
Une petite semaine et c’en était fait du mythe de la victime comme de la sainte. Là où Nathalie avait eu tous les droits, y compris celui de chanter comme une crécelle des chansons poches, tout lui était désormais interdit et, surtout, plus rien ne lui était pardonné. Même son indéfectible ami et biographe, Michel Vastel, s’est joint au chœur contrit des pleureuses pour décrier la mécréante et la vile liquidatrice de patrimoine qui avait osé mettre en vente les droits du Village de Nathalie, cette émission phare qui, à lire Vastel, aurait eu un impact presque aussi important que la Révolution tranquille.
Comme la plupart des gens, j’ignorais que Nathalie Simard détenait les droits sur ces émissions, dont le rose bonbon servait d’écran à la réalité sordide des agressions dont elle était victime. Mais l’étonnant, ce n’est pas qu’elle ait cherché à vendre ce qui, en passant, lui a été offert en compensation par son agresseur lors du règlement à l’amiable, mais qu’elle ait attendu aussi longtemps avant de s’en débarrasser. Si on doit lui reprocher quelque chose, c’est ça et non le contraire.
De la même manière, comment lui en vouloir de liquider la maison que Guy Cloutier lui a offerte pour acheter son silence, encore habitée d’une foule de mauvais souvenirs, y compris cette séance où elle a piégé et enregistré son agresseur en retenant sans doute avec l’énergie du désespoir les torrents de sueur comme de tremblements qui menaçaient de la trahir. Pourquoi au juste devrait-elle s’emmurer vivante dans cette maison pourrie ? Y-a-t-il une loi qui lui interdise de déménager et une autre stipulant que parce qu’elle est Nathalie Simard, elle ne pourra jamais vivre ailleurs qu’au Québec, et ce jusqu’à la fin de sa vie ?
Pour tout dire, j’ai l’impression que, pour une fois, Nathalie a été passablement plus lucide que la famille élargie des amis, des fans et des courtisans hypocrites, qui lui susurraient dans l’oreille qu’elle était une grande artiste pour mieux la traiter de quétaine et de has been dans son dos. Elle a compris qu’elle n’avait ni le talent ni le désir brûlant de se retrouver sur une scène soir après soir et que de tirer sa révérence, c’était en quelque sorte rendre un fier service à l’humanité, qui avait besoin de tout sauf d’une autre chanteuse populaire.
C’est pourquoi on peut difficilement l’accuser d’avoir volé l’argent de son public, puisque ce dernier de toute façon n’était pas au rendez-vous et ne semblait pas disposé à cracher 50 $ pour une boule disco et une danse des canards. Mieux encore, pour éviter la honte et l’humiliation d’une fin en queue de poisson, c’est Nathalie elle-même qui, selon son avocat, aurait en partie financé le spectacle d’adieu au Saint-Denis. Devant la grogne montante de l’équipe, qui menaçait de quitter le bateau si elle n’était pas payée sur-le-champ, Nathalie aurait puisé dans ses propres réserves pour la payer et faire en sorte que le spectacle d’adieu du Saint-Denis ait lieu. Puis, pour combler les trous béants laissés par les sièges invendus, une importante portion des billets a par la suite été donnée aux bénévoles de sa fondation. Bref, pour éviter les dégâts d’une tournée qui courait tout droit à la faillite, elle a préféré une coupure sèche et chirurgicale. Sage décision. Quel péché a-t-elle commis ? Mettre fin à une carrière sans avenir ?
S’enfuir avec un homme marié, père de deux enfants ? À ce que je sache, elle n’a pas kidnappé le monsieur, ne l’a pas forcé à la pointe du couteau à la suivre à Punta Cana.
Dans la rue, les gens se disent déçus de Nathalie Simard. Ce qui les déçoit surtout, c’est que la victime ne soit pas une sainte ni une femme respectable nageant dans un bonheur conjugal béat et vivant d’amour et de jardinage.
Ce qu’ils n’ont pas compris, c’est que Nathalie n’a jamais été une sainte, mais plutôt une figurante dans sa propre vie. Une figurante entraînée malgré elle sous les réflecteurs, et qui n’avait ni le tempérament ni le feu sacré minimum nécessaire pour exercer ce métier. À cet égard, quitter le jardin étouffant du showbiz québécois et envoyer promener tous ceux qui lui disent quoi faire depuis trop longtemps était une sacrée bonne décision. Et pour elle, et pour nous.
Nathalie Simard: il y avait un jardin... étouffant
Nathalie Petrowski
La Presse
La blague qui circule dans les médias ces jours-ci, c’est que Nathalie Simard devrait donner un cours. Le titre ? Comment bousiller un capital de sympathie populaire en une semaine. Il a en effet fallu moins d’une courte semaine, doublée d’une « vente de feu » et d’une fuite à l’étranger, pour que la petite Nathalie adorée, adulée et vénérée du grand public, enfant chérie et vache à lait des journaux à potins, se mue dans l’esprit populaire en voleuse, en fraudeuse, en sans-cœur, en irresponsable briseuse de ménage et en saccageuse de jardin.
Une petite semaine et c’en était fait du mythe de la victime comme de la sainte. Là où Nathalie avait eu tous les droits, y compris celui de chanter comme une crécelle des chansons poches, tout lui était désormais interdit et, surtout, plus rien ne lui était pardonné. Même son indéfectible ami et biographe, Michel Vastel, s’est joint au chœur contrit des pleureuses pour décrier la mécréante et la vile liquidatrice de patrimoine qui avait osé mettre en vente les droits du Village de Nathalie, cette émission phare qui, à lire Vastel, aurait eu un impact presque aussi important que la Révolution tranquille.
Comme la plupart des gens, j’ignorais que Nathalie Simard détenait les droits sur ces émissions, dont le rose bonbon servait d’écran à la réalité sordide des agressions dont elle était victime. Mais l’étonnant, ce n’est pas qu’elle ait cherché à vendre ce qui, en passant, lui a été offert en compensation par son agresseur lors du règlement à l’amiable, mais qu’elle ait attendu aussi longtemps avant de s’en débarrasser. Si on doit lui reprocher quelque chose, c’est ça et non le contraire.
De la même manière, comment lui en vouloir de liquider la maison que Guy Cloutier lui a offerte pour acheter son silence, encore habitée d’une foule de mauvais souvenirs, y compris cette séance où elle a piégé et enregistré son agresseur en retenant sans doute avec l’énergie du désespoir les torrents de sueur comme de tremblements qui menaçaient de la trahir. Pourquoi au juste devrait-elle s’emmurer vivante dans cette maison pourrie ? Y-a-t-il une loi qui lui interdise de déménager et une autre stipulant que parce qu’elle est Nathalie Simard, elle ne pourra jamais vivre ailleurs qu’au Québec, et ce jusqu’à la fin de sa vie ?
Pour tout dire, j’ai l’impression que, pour une fois, Nathalie a été passablement plus lucide que la famille élargie des amis, des fans et des courtisans hypocrites, qui lui susurraient dans l’oreille qu’elle était une grande artiste pour mieux la traiter de quétaine et de has been dans son dos. Elle a compris qu’elle n’avait ni le talent ni le désir brûlant de se retrouver sur une scène soir après soir et que de tirer sa révérence, c’était en quelque sorte rendre un fier service à l’humanité, qui avait besoin de tout sauf d’une autre chanteuse populaire.
C’est pourquoi on peut difficilement l’accuser d’avoir volé l’argent de son public, puisque ce dernier de toute façon n’était pas au rendez-vous et ne semblait pas disposé à cracher 50 $ pour une boule disco et une danse des canards. Mieux encore, pour éviter la honte et l’humiliation d’une fin en queue de poisson, c’est Nathalie elle-même qui, selon son avocat, aurait en partie financé le spectacle d’adieu au Saint-Denis. Devant la grogne montante de l’équipe, qui menaçait de quitter le bateau si elle n’était pas payée sur-le-champ, Nathalie aurait puisé dans ses propres réserves pour la payer et faire en sorte que le spectacle d’adieu du Saint-Denis ait lieu. Puis, pour combler les trous béants laissés par les sièges invendus, une importante portion des billets a par la suite été donnée aux bénévoles de sa fondation. Bref, pour éviter les dégâts d’une tournée qui courait tout droit à la faillite, elle a préféré une coupure sèche et chirurgicale. Sage décision. Quel péché a-t-elle commis ? Mettre fin à une carrière sans avenir ?
S’enfuir avec un homme marié, père de deux enfants ? À ce que je sache, elle n’a pas kidnappé le monsieur, ne l’a pas forcé à la pointe du couteau à la suivre à Punta Cana.
Dans la rue, les gens se disent déçus de Nathalie Simard. Ce qui les déçoit surtout, c’est que la victime ne soit pas une sainte ni une femme respectable nageant dans un bonheur conjugal béat et vivant d’amour et de jardinage.
Ce qu’ils n’ont pas compris, c’est que Nathalie n’a jamais été une sainte, mais plutôt une figurante dans sa propre vie. Une figurante entraînée malgré elle sous les réflecteurs, et qui n’avait ni le tempérament ni le feu sacré minimum nécessaire pour exercer ce métier. À cet égard, quitter le jardin étouffant du showbiz québécois et envoyer promener tous ceux qui lui disent quoi faire depuis trop longtemps était une sacrée bonne décision. Et pour elle, et pour nous.
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
EveLaVraie a écritJ'ai écouteé Mongrain et selon lui Nathalie semble très saine d'esprit. Elle nomme enfin son aggresseur. Mais selon Jean-Luc elle ne semble pas déconnecté.
J'ai hâte de voir l'entrevue à la télé!
Hein%? De quoi elle nomme enfin son aggresseur? On sait tous que c'est Guy cloutier non?
J'ai hâte de voir l'entrevue à la télé!
Hein%? De quoi elle nomme enfin son aggresseur? On sait tous que c'est Guy cloutier non?
[img]http://www.mabinty.com/m-pages/marie_chantal_toupin/3_Marie_Chantal_Toupin_mcta022.jpg[/img]
joanna a écrit
C'est bien ce qu'il a dit, elle n'a reçu aucun cachet pour cette entrevue. Et TQS y a trouvé son compte parce que c'est le genre d'entrevue qu'on a l'intention de faire à l'avenir dans cette station.
Elle recoit rien de TQS... Mais sûrement que La Semaine la paye un gros $$$. Il s'agit d'une entrevue qui se poursuit dans le magasine.
C'est bien ce qu'il a dit, elle n'a reçu aucun cachet pour cette entrevue. Et TQS y a trouvé son compte parce que c'est le genre d'entrevue qu'on a l'intention de faire à l'avenir dans cette station.
Elle recoit rien de TQS... Mais sûrement que La Semaine la paye un gros $$$. Il s'agit d'une entrevue qui se poursuit dans le magasine.