http://www.unhommemort.com/
Un homme mort, la toute dernière série télévisée écrite par Fabienne Larouche, se doublera d’un jeu virtuel indépendant accessible sur le site Web unhommemort.com.
Ce jeu d’enquête policière sera lancé le jour où la série prendra l’affiche au réseau TVA, c’est-à-dire le jeudi 16 février prochain à 21h, mais on peut dès aujourd’hui se rendre sur le site Web pour se familiariser avec son architecture et découvrir les règles du jeu.
Grâce à ce concept original développé par le réseau Canoë en collaboration avec Aetios Productions et TVA, on pourra suivre la série tout en menant soi-même une enquête parallèle!
«Canoë avait déjà développé des sites très élaborés pour des émissions télévisées, mais avec la création de ce site mettant en vedette un jeu virtuel inédit, l’entreprise prend résolument la voie de l’innovation. Cette incursion dans le monde du jeu sur Internet nous permet d’enrichir considérablement notre expertise et d’ajouter une corde à notre arc. À ma connaissance, c’est d’ailleurs la première fois au Québec qu’un site Web de ce type prend son ancrage dans l’univers narratif d’une série télévisée», fait remarquer Bruno Leclaire, président et chef de la direction de Canoë.
Dès le 16 février, les internautes pourront donc poursuivre à leur façon l’enquête menée à la télévision par Paul (Michel Barrette) et Kim (Karine Vanasse), et ce, exactement dans les mêmes décors qu’eux (le quartier général de la police, le bureau et l’appartement de Kim, etc.).
En plus de participer à un jeu enlevant dans un environnement virtuel en symbiose avec la télésérie, on pourra aussi consulter les fiches des personnages et les résumés des épisodes, se plonger dans l’univers des grands crimes financiers et participer à un forum de discussion pour mordus.
«Dans ce mariage d’un nouveau type entre télévision et ordinateur, Internet n’est pas seulement mis à profit comme un moyen de promotion, mais comme un véritable instrument permettant au téléspectateur de prolonger son contact avec les personnages de la série tout en devenant le héros de son propre jeu. L’avenir dira si cette expérience aura engendré une émulation créative entre les télépectateurs-joueurs et la créatrice de la série», explique Michel Trudeau, producteur d’Aetios Productions
Étape 1: se rendre sur le site Web pour découvrir son architecture et les règles du jeu, se choisir une identité et devenir un «agent».
Étape 2: regarder attentivement la série.
Étape 3: rechercher les indices diffusés à la télévision, dans de nombreux médias imprimés et sur les sites du réseau Canoë pendant toute la durée de la série.
Étape 4: à l’aide de ces indices, dénicher sur le site les codes permettant de récolter des points.
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Outre un grand prix tiré au sort à la fin de la saison parmi tous les participants, des prix hebdomadaires seront attribués aux joueurs qui auront les meilleurs scores. La première partie prendra fin le 16 avril, c’est-à-dire exactement 10 jours après la diffusion de la dernière émission de la saison – en attendant la deuxième saison...
Participez à l’enquête... un homme mort(jeu)
Modérateur : Elise-Gisèle
Un homme mort, un puissant suspense à l'américaine
Richard Therrien
Le Soleil
Accrochez-vous, Un homme mort, la nouvelle série de Fabienne Larouche, est dure pour le coeur. Son héroïne, Kim Blanchard, vivra dans les prochaines semaines des aventures dignes de celles de Jack Bauer dans 24 Heures chrono, la série vedette de Télé-Québec. Huit jours en huit épisodes, qui vous tiendront sur le bout de votre fauteuil.
La journée de Kim Blanchard, jouée par Karine Vanasse, commence pourtant à merveille : à peine embauchée par la Banque de commerce internationale, elle se voit offrir un poste de vice-présidente. Elle ignore cependant que dans quelques heures, elle sera plongée dans une éprouvante course au meurtrier, qui la fera croiser l'enquêteur Paul Devault (Michel Barrette). La victime : le mentor de Kim, un ancien professeur de finances, dont le cadavre est trouvé en trois morceaux dans un appartement miteux qu'il s'apprêtait à louer. Certains indices vous laisseront croire qu'il avait prévu sa mort atroce.
Dès le départ, vous serez intrigué par les comportements étranges de chacun des personnages, presque tous désincarnés. Quand Kim revient chez elle, du sang sur la main droite, son amoureux, Martin (Sébastien Delorme), semble trouver la chose presque banale. Même chose quand des hommes détruisent sa voiture à coups de mitraillettes. Aucune panique, peu de sollicitude pour celle qu'il aime, d'une intrigante froideur. Déjà, on se doute que quelque chose cloche chez ce jeune comptable, dont les fréquentations sont doublement louches.
On ne peut d'ailleurs se fier à personne dans cette série. Même pas à l'héroïne, qui commet des gestes insensés, se sauvant de la police et camouflant des preuves, sans qu'on sache encore pourquoi. Quant à ses collègues et à son patron de la Banque, ils semblent tous aussi corrompus les uns que les autres. Seul l'enquêteur Devault parvient à gagner notre confiance, lui qui vient d'apprendre qu'il n'en a plus pour longtemps à vivre. Mais encore là, «les apparences sont trompeuses», prévient Fabienne Larouche, qui coproduit la série avec son mari Michel Trudeau, aussi conseiller aux textes.
Karine Vanasse, qui aurait pu être trop jeune pour le rôle, se débrouille à merveille. On a tiré profit du jeune âge de l'actrice pour exploiter la naïveté de Kim Blanchard, émotivement très fragile. Michel Barrette compose un policier attachant, qui n'écoute que du disco, au grand dam de ses collègues. Ça fait partie des contradictions de cet homme désabusé, qui sait sa fin proche, qui traîne un vieux différend avec sa fille, et qui ne sourit jamais.
Chez les autres acteurs, Isabel Richer et Jean-François Pichette - le conjoint de la réalisatrice - sont parfaitement détestables dans les rôles des collègues dangereusement ambitieux et envieux de Kim. Beau retour à la télé que celui de Michel Dumont dans le rôle diabolique du grand patron de la banque, qui affuble le personnage d'Isabel Richer des surnoms de «p'tite bitch» et de «maudite belle p'tite gueule sale». Disons que je ne lui confierais pas un cent de mes économies.
Si Sophie Lorain ne nous avait pas entièrement convaincu de ses qualités de réalisatrice dans la dernière saison de Fortier, elle dissipe complètement les doutes ici. Sophie Lorain n'a rien d'une simple actrice qui réalise, et démontre les réels talents d'une réalisatrice accomplie. On est loin d'un travail d'amateur. Très surprenant.
Bien sûr, certains y reconnaîtront l'inspiration de séries américaines, particulièrement de 24, mais Un homme mort ne se résume pas à une pâle copie de quoi que ce soit. La réalisation, saccadée et nerveuse, ne laisse aucun répit au téléspectateur. L'omniprésence de la musique de Dazmo - les silences sont quasi inexistants - contribue à amplifier notre angoisse.
Plus grave que dans Fortier - les lignes d'humour sont plus rares dans Un homme mort - , l'écriture de Fabienne Larouche est complexe et extrêmement intrigante. Bien plus qu'un simple polar, la série est notamment une réflexion sur la toute-puissance des banques. On se demande bien à qui on voudra faire confiance après avoir vu cette série. Parce que l'image des banques, déjà très impopulaire dans la population, est bien malmenée par Fabienne Larouche. Disons qu'aucune banque ne se précipitera pour commanditer la série.
Tournée en 35 mm, comme au cinéma, Un homme mort est visuellement ce qui s'est fait de mieux à la télévision dans les dernières années. Avec aussi peu que 850 000 $ par épisode, on peut dire que la réalisatrice et son directeur photo Alexis Durand-Brault ont fait des miracles.
Quand on fait remarquer à Sophie Lorain qu'Un homme mort, la première oeuvre de fiction entièrement réalisée par elle, se rapproche beaucoup du style américain, elle ne s'en formalise pas. Au contraire, elle dit «Merci beaucoup!»
Bien que Sophie Lorain ait reçu quelques propositions pour réaliser des longs métrages, elle n'a aucunement renoncé à son métier de comédienne. «Moi, je vais là où on m'appelle», dit-elle. Par contre, ne lui parlez pas de scénarisation, elle en a bien assez comme ça.
C'est en passant beaucoup de temps sur des plateaux de tournage dès l'âge de 15 ans, comme préposée au café, assistante à la réalisation ou régisseur, que Sophie Lorain a appris son métier de réalisatrice. «Je rêvais secrètement depuis longtemps d'exploiter une créativité encore inconnue chez moi», dit-elle.
Ce n'est pas pour rien non plus qu'on exploite toutes les teintes de gris dans Un homme mort, tant dans le décor que dans les costumes. «Ça me vient de mon passage en Angleterre, où j'ai passé deux ans à étudier le métier d'acteur.»
Un homme mort prendra la même case horaire que Fortier, le jeudi à 21 h, dès le 16 février, à TVA. Le réseau en profite pour attraper l'auditoire pendant que Radio-Canada diffuse les Jeux de Turin. On verra si Louis-José Houde et Marc Labrèche (Fric Show) sauront regagner un public aussi nombreux à leur retour dans cette case, après les Olympiques.
Fabienne Larouche compte raconter son histoire sur une période de six mois. La première série ne s'étalant que sur huit jours, on doit s'attendre à une suite. Tout au long de la série, les internautes pourront faire leur propre enquête sur le site www.unhommemort.com
--Message edité par zurick le 2006-02-08 10:52:25--
Richard Therrien
Le Soleil
Accrochez-vous, Un homme mort, la nouvelle série de Fabienne Larouche, est dure pour le coeur. Son héroïne, Kim Blanchard, vivra dans les prochaines semaines des aventures dignes de celles de Jack Bauer dans 24 Heures chrono, la série vedette de Télé-Québec. Huit jours en huit épisodes, qui vous tiendront sur le bout de votre fauteuil.
La journée de Kim Blanchard, jouée par Karine Vanasse, commence pourtant à merveille : à peine embauchée par la Banque de commerce internationale, elle se voit offrir un poste de vice-présidente. Elle ignore cependant que dans quelques heures, elle sera plongée dans une éprouvante course au meurtrier, qui la fera croiser l'enquêteur Paul Devault (Michel Barrette). La victime : le mentor de Kim, un ancien professeur de finances, dont le cadavre est trouvé en trois morceaux dans un appartement miteux qu'il s'apprêtait à louer. Certains indices vous laisseront croire qu'il avait prévu sa mort atroce.
Dès le départ, vous serez intrigué par les comportements étranges de chacun des personnages, presque tous désincarnés. Quand Kim revient chez elle, du sang sur la main droite, son amoureux, Martin (Sébastien Delorme), semble trouver la chose presque banale. Même chose quand des hommes détruisent sa voiture à coups de mitraillettes. Aucune panique, peu de sollicitude pour celle qu'il aime, d'une intrigante froideur. Déjà, on se doute que quelque chose cloche chez ce jeune comptable, dont les fréquentations sont doublement louches.
On ne peut d'ailleurs se fier à personne dans cette série. Même pas à l'héroïne, qui commet des gestes insensés, se sauvant de la police et camouflant des preuves, sans qu'on sache encore pourquoi. Quant à ses collègues et à son patron de la Banque, ils semblent tous aussi corrompus les uns que les autres. Seul l'enquêteur Devault parvient à gagner notre confiance, lui qui vient d'apprendre qu'il n'en a plus pour longtemps à vivre. Mais encore là, «les apparences sont trompeuses», prévient Fabienne Larouche, qui coproduit la série avec son mari Michel Trudeau, aussi conseiller aux textes.
Karine Vanasse, qui aurait pu être trop jeune pour le rôle, se débrouille à merveille. On a tiré profit du jeune âge de l'actrice pour exploiter la naïveté de Kim Blanchard, émotivement très fragile. Michel Barrette compose un policier attachant, qui n'écoute que du disco, au grand dam de ses collègues. Ça fait partie des contradictions de cet homme désabusé, qui sait sa fin proche, qui traîne un vieux différend avec sa fille, et qui ne sourit jamais.
Chez les autres acteurs, Isabel Richer et Jean-François Pichette - le conjoint de la réalisatrice - sont parfaitement détestables dans les rôles des collègues dangereusement ambitieux et envieux de Kim. Beau retour à la télé que celui de Michel Dumont dans le rôle diabolique du grand patron de la banque, qui affuble le personnage d'Isabel Richer des surnoms de «p'tite bitch» et de «maudite belle p'tite gueule sale». Disons que je ne lui confierais pas un cent de mes économies.
Si Sophie Lorain ne nous avait pas entièrement convaincu de ses qualités de réalisatrice dans la dernière saison de Fortier, elle dissipe complètement les doutes ici. Sophie Lorain n'a rien d'une simple actrice qui réalise, et démontre les réels talents d'une réalisatrice accomplie. On est loin d'un travail d'amateur. Très surprenant.
Bien sûr, certains y reconnaîtront l'inspiration de séries américaines, particulièrement de 24, mais Un homme mort ne se résume pas à une pâle copie de quoi que ce soit. La réalisation, saccadée et nerveuse, ne laisse aucun répit au téléspectateur. L'omniprésence de la musique de Dazmo - les silences sont quasi inexistants - contribue à amplifier notre angoisse.
Plus grave que dans Fortier - les lignes d'humour sont plus rares dans Un homme mort - , l'écriture de Fabienne Larouche est complexe et extrêmement intrigante. Bien plus qu'un simple polar, la série est notamment une réflexion sur la toute-puissance des banques. On se demande bien à qui on voudra faire confiance après avoir vu cette série. Parce que l'image des banques, déjà très impopulaire dans la population, est bien malmenée par Fabienne Larouche. Disons qu'aucune banque ne se précipitera pour commanditer la série.
Tournée en 35 mm, comme au cinéma, Un homme mort est visuellement ce qui s'est fait de mieux à la télévision dans les dernières années. Avec aussi peu que 850 000 $ par épisode, on peut dire que la réalisatrice et son directeur photo Alexis Durand-Brault ont fait des miracles.
Quand on fait remarquer à Sophie Lorain qu'Un homme mort, la première oeuvre de fiction entièrement réalisée par elle, se rapproche beaucoup du style américain, elle ne s'en formalise pas. Au contraire, elle dit «Merci beaucoup!»
Bien que Sophie Lorain ait reçu quelques propositions pour réaliser des longs métrages, elle n'a aucunement renoncé à son métier de comédienne. «Moi, je vais là où on m'appelle», dit-elle. Par contre, ne lui parlez pas de scénarisation, elle en a bien assez comme ça.
C'est en passant beaucoup de temps sur des plateaux de tournage dès l'âge de 15 ans, comme préposée au café, assistante à la réalisation ou régisseur, que Sophie Lorain a appris son métier de réalisatrice. «Je rêvais secrètement depuis longtemps d'exploiter une créativité encore inconnue chez moi», dit-elle.
Ce n'est pas pour rien non plus qu'on exploite toutes les teintes de gris dans Un homme mort, tant dans le décor que dans les costumes. «Ça me vient de mon passage en Angleterre, où j'ai passé deux ans à étudier le métier d'acteur.»
Un homme mort prendra la même case horaire que Fortier, le jeudi à 21 h, dès le 16 février, à TVA. Le réseau en profite pour attraper l'auditoire pendant que Radio-Canada diffuse les Jeux de Turin. On verra si Louis-José Houde et Marc Labrèche (Fric Show) sauront regagner un public aussi nombreux à leur retour dans cette case, après les Olympiques.
Fabienne Larouche compte raconter son histoire sur une période de six mois. La première série ne s'étalant que sur huit jours, on doit s'attendre à une suite. Tout au long de la série, les internautes pourront faire leur propre enquête sur le site www.unhommemort.com
--Message edité par zurick le 2006-02-08 10:52:25--
Jsuis très décue... parce que sur le site c un peu un concour, il faut ramassé des indides dans tous les médias (de québecor) et même sur illico... mais comme je n'ai pas illico et qu'il n'est pas disponible je part déja avec des points en moins...
mais pour le reste ça vraiment l'air super commme concept... de quoi rendre accro bien des gens...
mais pour le reste ça vraiment l'air super commme concept... de quoi rendre accro bien des gens...
~La vie est si fragile........~
Sahoe a écritJsuis très décue... parce que sur le site c un peu un concour, il faut ramassé des indides dans tous les médias (de québecor) et même sur illico... mais comme je n'ai pas illico et qu'il n'est pas disponible je part déja avec des points en moins...
mais pour le reste ça vraiment l'air super commme concept... de quoi rendre accro bien des gens...
Moi non plus je n'ai pas Illico... mais peut être que des forumeur(es) généreux viendront nous les donner ou je vais demander à quelqu'un qui a Illico dans mon entourage de me tenir au courant...
Personnellement, c'est pour le "trip" et je ne veux pas à tout prix gagner... juste jouer le jeu mais je comprends ton point et je seconde.... @$#%?$%@? Québécor!!!!
mais pour le reste ça vraiment l'air super commme concept... de quoi rendre accro bien des gens...
Moi non plus je n'ai pas Illico... mais peut être que des forumeur(es) généreux viendront nous les donner ou je vais demander à quelqu'un qui a Illico dans mon entourage de me tenir au courant...
Personnellement, c'est pour le "trip" et je ne veux pas à tout prix gagner... juste jouer le jeu mais je comprends ton point et je seconde.... @$#%?$%@? Québécor!!!!
Dans 1 jour / votre mission commence
À titre d’agent de notre escouade, vous serez activement impliqué au cours des 8 prochaines semaines. Vous devrez mener votre enquête dans plusieurs médias : revues, magazines, émissions de télévision, sites Internet, et autres...
Vous devrez surtout vous rapporter le plus souvent possible au site www.unhommemort.com pour trouver des indices, des codes et surtout valider ces derniers et en connaître la valeur. Le site web est votre quartier général. Scrutez chaque pièce, chaque coin et chaque bureau. Passez au peigne fin les endroits susceptibles d’avoir été visités par Kim Blanchard et Paul Devault.
Note
Cette semaine votre mission vous donne la chance de ramasser 550 points... et quelques points bonis !
Qui sera le meilleur agent de la semaine ?
Concours
Participez à notre grand concours et courez la chance de gagner un prix hebdomadaire remis au meilleur agent de la semaine comprenant un abonnement au Journal de Montréal, un coffret DVD, un abonnement au magazine de votre choix parmi les magazines suivants : Clin d'œil, Les idées de ma maison, Décoration chez-soi, Femme d'aujourd'hui, Côté cours côté jardin, et bien plus encore !
Un grand prix de participation sera remis à la toute fin de l’enquête. Surveillez notre prochain bulletin pour en connaître les détails... Bonne chance !
Exceptionnellement pour la première semaine, nous vous demandons de conserver précieusement votre code, car vous ne pourrez le valider qu’au lancement du site : le jeudi 16 février dès 22h.
Suite à la mise en ligne officielle, vous pourrez valider au fur et à mesure de votre enquête les codes que vous récolterez un peu partout dans les différents médias.
Vos premiers indices !
Regardez Salut Bonjour, jeudi le 16 février entre 7h15 et 8h – Benoît Gagnon vous livrera un code. Vous pourrez valider votre code au moment du lancement du site le 16 février à 22h.
Comme c’est le tout premier Mémo de la Sûreté que vous recevez, l’escouade se sent généreuse et vous donne droit à un second indice :
Dans le Quartier général...
Trouvez le papier rose, l'indice vous sera utile.
Veuillez prendre note que les agents de l’escouade, dont vous faites partie, qui se rapporteront quotidiennement au quartier général, c'est-à-dire qui viendront chaque jour sur le site, récolteront des points bonis. ( 2 points par jour / par agent )
Bonne enquête!
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Suite à la mise en ligne officielle, vous pourrez valider au fur et à mesure de votre enquête les codes que vous récolterez un peu partout dans les différents médias.
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Comme c’est le tout premier Mémo de la Sûreté que vous recevez, l’escouade se sent généreuse et vous donne droit à un second indice :
Dans le Quartier général...
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Bonne enquête!
Le TVA Express vous donne déjà deux indices :
Demain matin, dans le cadre de Salut Bonjour, Benoît Gagnon vous livrera un code entre 7h15 et 8h. Abonnés Illico, surveillez la pastille qui s'affichera durant la diffusion des épisodes.
Bonne chance dans votre enquête !
Ça serait le fun qu'un abonné Illico vienne nous donner "la pastille" en question
Aussi, si vous écoutez Salut Bonjour...moi à cette heure là, j'ai déja quitté pour le travail ...
Si on se met en "gang" pour la collecte d'indice....qui sait... peut-être que c'est un membre du DB qui sera élu le meilleur enquêteur
Merci à l'avance de votre générosité!
Demain matin, dans le cadre de Salut Bonjour, Benoît Gagnon vous livrera un code entre 7h15 et 8h. Abonnés Illico, surveillez la pastille qui s'affichera durant la diffusion des épisodes.
Bonne chance dans votre enquête !
Ça serait le fun qu'un abonné Illico vienne nous donner "la pastille" en question
Aussi, si vous écoutez Salut Bonjour...moi à cette heure là, j'ai déja quitté pour le travail ...
Si on se met en "gang" pour la collecte d'indice....qui sait... peut-être que c'est un membre du DB qui sera élu le meilleur enquêteur
Merci à l'avance de votre générosité!
ok voici un indice de salut bonjour : "Planification" bonne enquete. euh ya quelqu,un qui a illico... et le journal de montréal je vais l'acheter ce soir voir si yaurait pas d'indice genre... donc ce soir c le grand soir.
2010: j'ai pris la plus grande décision qui a changer mon existence.
2011: J'ai réussit a faire des choses pour moi et ma famille
2012: je vais réaliser mes rêves pour moi.
2011: J'ai réussit a faire des choses pour moi et ma famille
2012: je vais réaliser mes rêves pour moi.
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Wabadabadou
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : lun. mars 28, 2005 1:00 am
