Chambres en ville est de retour!
Modérateur : Elise-Gisèle
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Chambres en ville
DÈS LE 17 OCTOBRE
Mercredi 20 h et Samedi 10 h 30 - 19 h 30
Téléroman diffusé sur le réseau TVA de 1989 à 1996.
Des adolescents et de jeunes adultes habitent à Montréal, dans une pension dirigée par une dame à la fois autoritaire et compréhensive. Enfants du vidéoclip, ces jeunes sont bien de leur temps, fascinés qu’ils sont par l’image, le look. Chacun s’est façonné le sien pour se rassurer, sans pour autant être mieux protégé contres les aléas de la vie. Musiciens, intellectuels ou sportifs, ils partagent l’angoisse de la solitude et l’envie farouche de réussir. Ils s’aiment, s’engueulent, se rejettent et se réconcilient. Mais au-delà de leurs mésententes, toujours ils restent solidaires et chaque épreuve, chaque joie, tissent entre eux des liens toujours plus étroits.
Un excellent téléroman dont les sept années à l'antenne ont permis aux téléspectateurs de rire et de pleurer au gré des émissions.
--Message edité par sycha le 2007-09-16 14:57:53--
DÈS LE 17 OCTOBRE
Mercredi 20 h et Samedi 10 h 30 - 19 h 30
Téléroman diffusé sur le réseau TVA de 1989 à 1996.
Des adolescents et de jeunes adultes habitent à Montréal, dans une pension dirigée par une dame à la fois autoritaire et compréhensive. Enfants du vidéoclip, ces jeunes sont bien de leur temps, fascinés qu’ils sont par l’image, le look. Chacun s’est façonné le sien pour se rassurer, sans pour autant être mieux protégé contres les aléas de la vie. Musiciens, intellectuels ou sportifs, ils partagent l’angoisse de la solitude et l’envie farouche de réussir. Ils s’aiment, s’engueulent, se rejettent et se réconcilient. Mais au-delà de leurs mésententes, toujours ils restent solidaires et chaque épreuve, chaque joie, tissent entre eux des liens toujours plus étroits.
Un excellent téléroman dont les sept années à l'antenne ont permis aux téléspectateurs de rire et de pleurer au gré des émissions.
--Message edité par sycha le 2007-09-16 14:57:53--
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
Sycha a écritChambres en ville
DÈS LE 17 OCTOBRE
Mercredi 20 h et Samedi 10 h 30 - 19 h 30
Téléroman diffusé sur le réseau TVA de 1989 à 1996.
Des adolescents et de jeunes adultes habitent à Montréal, dans une pension dirigée par une dame à la fois autoritaire et compréhensive. Enfants du vidéoclip, ces jeunes sont bien de leur temps, fascinés qu’ils sont par l’image, le look. Chacun s’est façonné le sien pour se rassurer, sans pour autant être mieux protégé contres les aléas de la vie. Musiciens, intellectuels ou sportifs, ils partagent l’angoisse de la solitude et l’envie farouche de réussir. Ils s’aiment, s’engueulent, se rejettent et se réconcilient. Mais au-delà de leurs mésententes, toujours ils restent solidaires et chaque épreuve, chaque joie, tissent entre eux des liens toujours plus étroits.
Un excellent téléroman dont les sept années à l'antenne ont permis aux téléspectateurs de rire et de pleurer au gré des émissions.
j bien hate de le revoir
DÈS LE 17 OCTOBRE
Mercredi 20 h et Samedi 10 h 30 - 19 h 30
Téléroman diffusé sur le réseau TVA de 1989 à 1996.
Des adolescents et de jeunes adultes habitent à Montréal, dans une pension dirigée par une dame à la fois autoritaire et compréhensive. Enfants du vidéoclip, ces jeunes sont bien de leur temps, fascinés qu’ils sont par l’image, le look. Chacun s’est façonné le sien pour se rassurer, sans pour autant être mieux protégé contres les aléas de la vie. Musiciens, intellectuels ou sportifs, ils partagent l’angoisse de la solitude et l’envie farouche de réussir. Ils s’aiment, s’engueulent, se rejettent et se réconcilient. Mais au-delà de leurs mésententes, toujours ils restent solidaires et chaque épreuve, chaque joie, tissent entre eux des liens toujours plus étroits.
Un excellent téléroman dont les sept années à l'antenne ont permis aux téléspectateurs de rire et de pleurer au gré des émissions.
j bien hate de le revoir
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


Le mercredi 10 oct 2007
Chambres en ville a failli finir aux poubelles
Richard Therrien
Le Soleil
Il y a six ou sept ans, Sylvie Payette recevait un appel téléphonique pour le moins sidérant: quelqu'un à TVA s'apprêtait à mettre aux poubelles tous les épisodes de Chambres en ville, son téléroman culte! «À moins que vous les vouliez?», lui a demandé l'interlocuteur.
L'auteure n'allait évidemment pas laisser faire un tel crime, acceptant de reprendre son oeuvre, qui serait en sécurité chez elle. Ironie du sort: Prise 2, une chaîne numérique de TVA, lui a racheté les épisodes de la première saison pour les présenter à son antenne dès mercredi prochain, 20 h, et le samedi à 19h30.
C'était il y a déjà 18 ans. On portait du fluo et des couleurs pastel, à peu près personne ne connaissait Gregory Charles et Anne Dorval, et les cégépiens avaient enfin droit à leur téléroman.
Chambres en ville a fait époque. En ondes à TVA de 1989 à 1996, l'œuvre a conquis un public traditionnellement délaissé par la télévision, de même que leurs parents, surtout leurs mères. Moyenne d'écoute à l'époque: 1,5 million de téléspectateurs. Des chiffres dont ne peuvent pas se vanter beaucoup de téléromans aujourd'hui.
Chambres en ville a certainement vieilli, mais ne méritait pas les poubelles pour autant. Vous rirez assurément en revoyant les tenues et les coiffures des jeunes comédiens, mais aussi leur manque d'assurance, leur jeu souvent articifiel, et la musique tout en synthétiseurs des années 80. N'empêche, les nostalgiques auront un réel plaisir en retrouvant ces personnages qu'ils ont adorés ou haïs passionnément durant toutes ces années, que ce soit Vanessa «la grande fraîche», Annick «le têtard», Marc-André «le spooortif», et bien sûr, le couple légendaire que formaient et déformaient Pete et Lola.
Sylvie Payette sent bien la nostalgie ambiante autour de ses personnages. «Les vrais fans, qui avaient de 15 à 25 ans, ont des carrières aujourd'hui. Ils m'en parlent tous: une infirmière qui me prend ma prise de sang à l'hôpital, mon nouveau gynéco, etc.»
Lorsqu'elle revoit aujourd'hui Lola tenir tête aux gars, et engueuler littéralement sa pauvre co-chambreuse, la naïve et fragile Annick (Valérie Valois), elle se remémore l'apparition d'une nouvelle génération de femmes affirmées. «Ces femmes-là qui émergeaient, je les appelle les louves. Elles affirmaient ce qu'elles étaient, elles ont aujourd'hui des compagnies et ne s'en laissent pas imposer.»
Si Gregory Charles aime se remémorer cette époque qui l'a fait naître à la télé, ce n'est pas pour se revoir dans le rôle de Julien, qui se mettait à chanter au piano à tout instant. «Je pesais 123 livres, et j'avais des lunettes qui me dépassaient de la tête. Comme comédien, j'étais poche», dit-il. Il ne retient pourtant que de bons souvenirs de l'équipe de Chambres en ville, une famille qu'il n'a jamais retrouvée ailleurs.
Même si plusieurs membres de la distribution originale sont tombés dans l'oubli, plusieurs autres ont profité du tremplin qu'a représenté pour eux le téléroman. Particulièrement Gregory Charles, Anne Dorval, Francis Reddy, Patricia Paquin, Vincent Graton et Jasmin Roy, toujours à l'avant-scène aujourd'hui. D'autres travaillent plutôt dans l'ombre, comme Gilbert Lachance, directeur de plateau de doublage, qui gagne très bien sa vie dans ce domaine. Et vous aurez peut-être oublié que la distribution de Chambres en ville comptait des noms aussi illustres que ceux de Pascale Bussières, Marie-Josée Croze, Lucie Laurier, Guillaume Lemay-Thivierge (Corneille!) et Marie-Jo Thério.
À quand la suite?
Sylvie Payette ne le cache plus: elle écrit actuellement la suite de Chambres en ville, qui s'intitulera Les enfants rois. Ce nouveau titre annonce qu'on s'attardera à la progéniture des héros de jadis, une génération de garde partagée, qui n'a pas de vrai chez-soi, et que des parents veulent combler à tout prix, d'un côté comme de l'autre.
S'il voit le jour à TVA, le nouveau téléroman se déroulera 15 ans plus tard. On y retrouvera assurément Loup, le fils de Pete et de Lola, devenu ado. «Mais rien ne dit qu'ils n'ont pas eu d'autre enfant entre-temps», laisse tomber l'auteure. Rappelons qu'à la toute fin de Chambres en ville, Sylvie Payette nous avait laissés sur un semblant de réconciliation entre ses deux héros, après une longue séparation. «Tu peux partir, Pete. Je t'aime», ont été les dernières paroles de Lola à l'éternel adolescent, à l'aube d'un long voyage dans l'ouest du pays.
Pour le reste, rafraichissons-nous la mémoire: les personnages de Chloé et d'Étienne (Caroline St-Onge et Cédric Noël) ont eu trois enfants, Geneviève et Marc-André (Patricia Paquin et Gilbert Lachance) ont adopté deux Chinoises, alors qu'Hélène était enceinte d'Olivier (Patrick Labbé). On devrait revoir tout ce beau monde.
Rappelons aussi que Louise avait transformé sa maison de chambres en résidence pour sidéens. Louise Deschâtelets reviendra dans la suite, mais pas sa maison.
http://www.cyberpresse.ca/article/20071 ... ACTUALITES --Message edité par EmmaC le 2007-10-10 07:11:58--
Chambres en ville a failli finir aux poubelles
Richard Therrien
Le Soleil
Il y a six ou sept ans, Sylvie Payette recevait un appel téléphonique pour le moins sidérant: quelqu'un à TVA s'apprêtait à mettre aux poubelles tous les épisodes de Chambres en ville, son téléroman culte! «À moins que vous les vouliez?», lui a demandé l'interlocuteur.
L'auteure n'allait évidemment pas laisser faire un tel crime, acceptant de reprendre son oeuvre, qui serait en sécurité chez elle. Ironie du sort: Prise 2, une chaîne numérique de TVA, lui a racheté les épisodes de la première saison pour les présenter à son antenne dès mercredi prochain, 20 h, et le samedi à 19h30.
C'était il y a déjà 18 ans. On portait du fluo et des couleurs pastel, à peu près personne ne connaissait Gregory Charles et Anne Dorval, et les cégépiens avaient enfin droit à leur téléroman.
Chambres en ville a fait époque. En ondes à TVA de 1989 à 1996, l'œuvre a conquis un public traditionnellement délaissé par la télévision, de même que leurs parents, surtout leurs mères. Moyenne d'écoute à l'époque: 1,5 million de téléspectateurs. Des chiffres dont ne peuvent pas se vanter beaucoup de téléromans aujourd'hui.
Chambres en ville a certainement vieilli, mais ne méritait pas les poubelles pour autant. Vous rirez assurément en revoyant les tenues et les coiffures des jeunes comédiens, mais aussi leur manque d'assurance, leur jeu souvent articifiel, et la musique tout en synthétiseurs des années 80. N'empêche, les nostalgiques auront un réel plaisir en retrouvant ces personnages qu'ils ont adorés ou haïs passionnément durant toutes ces années, que ce soit Vanessa «la grande fraîche», Annick «le têtard», Marc-André «le spooortif», et bien sûr, le couple légendaire que formaient et déformaient Pete et Lola.
Sylvie Payette sent bien la nostalgie ambiante autour de ses personnages. «Les vrais fans, qui avaient de 15 à 25 ans, ont des carrières aujourd'hui. Ils m'en parlent tous: une infirmière qui me prend ma prise de sang à l'hôpital, mon nouveau gynéco, etc.»
Lorsqu'elle revoit aujourd'hui Lola tenir tête aux gars, et engueuler littéralement sa pauvre co-chambreuse, la naïve et fragile Annick (Valérie Valois), elle se remémore l'apparition d'une nouvelle génération de femmes affirmées. «Ces femmes-là qui émergeaient, je les appelle les louves. Elles affirmaient ce qu'elles étaient, elles ont aujourd'hui des compagnies et ne s'en laissent pas imposer.»
Si Gregory Charles aime se remémorer cette époque qui l'a fait naître à la télé, ce n'est pas pour se revoir dans le rôle de Julien, qui se mettait à chanter au piano à tout instant. «Je pesais 123 livres, et j'avais des lunettes qui me dépassaient de la tête. Comme comédien, j'étais poche», dit-il. Il ne retient pourtant que de bons souvenirs de l'équipe de Chambres en ville, une famille qu'il n'a jamais retrouvée ailleurs.
Même si plusieurs membres de la distribution originale sont tombés dans l'oubli, plusieurs autres ont profité du tremplin qu'a représenté pour eux le téléroman. Particulièrement Gregory Charles, Anne Dorval, Francis Reddy, Patricia Paquin, Vincent Graton et Jasmin Roy, toujours à l'avant-scène aujourd'hui. D'autres travaillent plutôt dans l'ombre, comme Gilbert Lachance, directeur de plateau de doublage, qui gagne très bien sa vie dans ce domaine. Et vous aurez peut-être oublié que la distribution de Chambres en ville comptait des noms aussi illustres que ceux de Pascale Bussières, Marie-Josée Croze, Lucie Laurier, Guillaume Lemay-Thivierge (Corneille!) et Marie-Jo Thério.
À quand la suite?
Sylvie Payette ne le cache plus: elle écrit actuellement la suite de Chambres en ville, qui s'intitulera Les enfants rois. Ce nouveau titre annonce qu'on s'attardera à la progéniture des héros de jadis, une génération de garde partagée, qui n'a pas de vrai chez-soi, et que des parents veulent combler à tout prix, d'un côté comme de l'autre.
S'il voit le jour à TVA, le nouveau téléroman se déroulera 15 ans plus tard. On y retrouvera assurément Loup, le fils de Pete et de Lola, devenu ado. «Mais rien ne dit qu'ils n'ont pas eu d'autre enfant entre-temps», laisse tomber l'auteure. Rappelons qu'à la toute fin de Chambres en ville, Sylvie Payette nous avait laissés sur un semblant de réconciliation entre ses deux héros, après une longue séparation. «Tu peux partir, Pete. Je t'aime», ont été les dernières paroles de Lola à l'éternel adolescent, à l'aube d'un long voyage dans l'ouest du pays.
Pour le reste, rafraichissons-nous la mémoire: les personnages de Chloé et d'Étienne (Caroline St-Onge et Cédric Noël) ont eu trois enfants, Geneviève et Marc-André (Patricia Paquin et Gilbert Lachance) ont adopté deux Chinoises, alors qu'Hélène était enceinte d'Olivier (Patrick Labbé). On devrait revoir tout ce beau monde.
Rappelons aussi que Louise avait transformé sa maison de chambres en résidence pour sidéens. Louise Deschâtelets reviendra dans la suite, mais pas sa maison.
http://www.cyberpresse.ca/article/20071 ... ACTUALITES --Message edité par EmmaC le 2007-10-10 07:11:58--
Emma
JuLondon a écritIl y a de bonnes chances que vous regardiez les reprises et que vous trouviez ça pathétique et mauvais, avec le temps, on se rend compte que ce qu'on aimait avant n'était pas toujours si bon que ça! Je pense que ça va être drôle à regarder, et qu'on va voir que les comédiens là-dedans ne sont pas les plus talentueux!
C'est exactement la réflexion que je me suis faite en revoyant le tout premier épisode dernièrement! Le scénario est tout ce qu'il y a de plus simple (ça pourrait avoir été écrit par un ado), et la moitié des comédiens ne sont absolument pas crédibles.... je pense entre autre à Patricia Paquin, qui avouons-le, même si elle est devenue une excellent animatrice, n'avait pas le talent d'une Anne Dorval!!! Mais ce qu'il y a de plus plaisant à regarder là-dedans ce sont les coiffures et les vêtements de l'époque!!!
C'est exactement la réflexion que je me suis faite en revoyant le tout premier épisode dernièrement! Le scénario est tout ce qu'il y a de plus simple (ça pourrait avoir été écrit par un ado), et la moitié des comédiens ne sont absolument pas crédibles.... je pense entre autre à Patricia Paquin, qui avouons-le, même si elle est devenue une excellent animatrice, n'avait pas le talent d'une Anne Dorval!!! Mais ce qu'il y a de plus plaisant à regarder là-dedans ce sont les coiffures et les vêtements de l'époque!!!
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