Fans de Virginie Ici
Modérateur : Elise-Gisèle
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Je me souviens pas que Cathie Laurendeau était là dans les premières années.
A part Cécile, plus personne était là la saison passée et comme Virginie a levée les pattes, je crois pas que Cécile sera là bien souvent.
J'édite j'ai oublié Hugo, ça fait longtemps qu'il est là lui, au début il était prof. --Message edité par capella le 2008-07-31 00:27:48--
A part Cécile, plus personne était là la saison passée et comme Virginie a levée les pattes, je crois pas que Cécile sera là bien souvent.
J'édite j'ai oublié Hugo, ça fait longtemps qu'il est là lui, au début il était prof. --Message edité par capella le 2008-07-31 00:27:48--
capella a écritJe me souviens pas que Cathie Laurendeau était là dans les premières années.
A part Cécile, plus personne était là la saison passée et comme Virginie a levée les pattes, je crois pas que Cécile sera là bien souvent.
J'édite j'ai oublié Hugo, ça fait longtemps qu'il est là lui, au début il était prof.
Le personnage d'Hugo Lacasse est là depuis le début, mais il était joué par Patrice Bissonnette de 1996 à 2001. Fabien Dupuis a rejoint la distribution en 2002.
A part Cécile, plus personne était là la saison passée et comme Virginie a levée les pattes, je crois pas que Cécile sera là bien souvent.
J'édite j'ai oublié Hugo, ça fait longtemps qu'il est là lui, au début il était prof.
Le personnage d'Hugo Lacasse est là depuis le début, mais il était joué par Patrice Bissonnette de 1996 à 2001. Fabien Dupuis a rejoint la distribution en 2002.
Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
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jujube02 a écritoui Cathie Larendeau est là depuis le début
Cathy Laurendeau est là depuis la saison2 car elle était nouvelle et se faisait cruiser par Daniel Charron, le mari de Lucie Chabot, avant qu'il ne découvre qu'elle était lesbienne!
Maudit que ça fait longtemps!!!
Cathy Laurendeau est là depuis la saison2 car elle était nouvelle et se faisait cruiser par Daniel Charron, le mari de Lucie Chabot, avant qu'il ne découvre qu'elle était lesbienne!
Maudit que ça fait longtemps!!!
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Briny a écritLouise et Hercule sont la depuis le début non ?
Non!
Hercule est arrivé à la saison 3 après le départ de Daniel Charron qui était lui aussi prof d'éduc. Louise Pouliot doit être arrivée aux environs de la 5ème ou 6ème saison car on a vu son fils Éric dans la classe de Virginie un an ou 2 avant de la voir, elle. Si y en a qui ont une meilleure mémoire que moi...
Non!
Hercule est arrivé à la saison 3 après le départ de Daniel Charron qui était lui aussi prof d'éduc. Louise Pouliot doit être arrivée aux environs de la 5ème ou 6ème saison car on a vu son fils Éric dans la classe de Virginie un an ou 2 avant de la voir, elle. Si y en a qui ont une meilleure mémoire que moi...

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*********Mini-spoilers*********
Voilà le communiqué de presse de la nouvelle saison... Donc plus de détails sur ce que sera la prochaine saison...
La saison 2008-2009 de « Virginie »
Nouvelles réalités et nouveaux défis à l’école Sainte-Jeanne d’Arc
La saison 2008-2009 de « Virginie »
Nouvelles réalités et nouveaux défis pour l’école Sainte-Jeanne d’Arc
Montréal, Lundi 4 août 2008 /CTVM.info/ — Chaque nouvelle année scolaire représente un nouveau départ pour ceux et celles qui relèvent les défis quotidiens de l’école Sainte-Jeanne d’Arc. C’est particulièrement vrai en 2008-2009 où, par choix ou par nécessité, plusieurs d’entre eux doivent s’adapter à de nouvelles réalités. Virginie réserve donc bien des émotions à la Télévision de Radio-Canada, du lundi au jeudi à 19 h, à compter du 8 septembre.
L’auteure Fabienne Larouche, qui rencontrait aujourd’hui la presse sur le plateau de l’émission, fait le point sur l’école et ses principaux personnages :
La tornade René Ouellet (Michel Forget) n’a pas tout dévasté sur son passage au cours des deux dernières années. Sainte-Jeanne-d’Arc se remet doucement des initiatives intempestives du directeur de la Commission scolaire, de ses bons comme de ses mauvais coups, pendant que certains membres de l’école bien connue du Centre-sud de Montréal ont à faire face à des changements importants dans leur vie quotidienne.
Virginie Charest (Stéphanie Crête-Blais) est maintenant mariée et elle partage sa vie avec Frédéric Perreault (Maxime Denommée), jeune officier des Forces armées canadiennes. Stella (Marie-Ève Beaulieu), la sœur de Virginie, diminuée par un léger handicap intellectuel, habite avec le couple. La situation n’est pas idéale, mais Virginie sait composer avec les événements pour trouver des solutions de compromis. Sa vie n’est pas celle qu’elle pourrait être. Pourquoi s’imposer de telles exigences quand on a 25 ans, qu’on est fort jolie, dynamique et populaire ? Tout pourrait être beaucoup plus simple. Cette année, Virginie révèlera un peu plus de ses sentiments à ses amis enseignants, surtout à Martine et Hercule. Décidée à faire partie de la grande famille de Sainte-Jeanne-d’Arc, Virginie entreprendra un parcours initiatique caractérisé par l’apprentissage des rites des enseignants, l’affrontement des divergences syndicales entre les générations, et la nécessité de s’adapter quotidiennement aux sempiternels problèmes des élèves ou de leurs parents. Quelques drames personnels viennent bousculer ses certitudes, certains en début d’année...
Michel Rivest (Marcel Leboeuf), directeur bien-aimé, a perdu son poste à la suite des insatisfactions des parents face à l’épineux dossier des Groupes B. Bien pour un mal, sa compagne de vie, Ghislaine Cormier (Louise Deschâtelets), qui jouit d’une envieuse réputation dans le réseau, le remplace cette année à la direction. Rivest retourne à l’enseignement. Ce n’est pas son fort. Autant il gérait l’école avec enthousiasme, doigté et diplomatie, autant il est mauvais pédagogue. Ses élèves en font les frais et l’ancien directeur vivra au cours de l’année des moments difficiles. Ce qui poussera l’ineffable Ouellet à installer le concours du MEILLEUR ENSEIGNANT DE L’ANNÉE et un programme de soutien au PIRE ENSEIGNANT DE L’ANNÉE. Dans cette dernière catégorie, le pauvre Michel Rivest semble déjà, même en septembre, avoir une longueur d’avance. Son idée de lancer l’année 2008-2009 sur le thème « je me souviens » n’a plus la cote. Rivest devra surtout se souvenir comment aider les jeunes à grandir. Il n’est vraiment pas doué.
Louise Pouliot (Pascale Desrochers) n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de prendre des responsabilités qui feraient peur à n’importe qui. Annabelle (Karianne Lafrance), Florence (Maïthé Lemelin) et Claudia (Frédéricque Paré), placées chez elle par la DPJ, lui donnent du fil à retordre, moins par leur attitude que par les difficultés inhérentes à leur croissance. Elles deviennent des femmes dans un contexte pas idéal. Leur apprentissage scolaire s’affermit, mais leur passé familial ne cesse de les hanter. Louise a demandé protection à ses amis motards. Pierre-Paul (Benoit Langlais) continue de flirter avec la criminalité. Maurice (Jean-François Mercier) est débordé à l’école. Amélie (Laurence Hamelin) entame un cours en enseignement et devient pour Louise une alliée inattendue, un support nécessaire dans ce qui s’annonce comme un chaos total. Amélie cache le chagrin que lui cause Sylvain Lajoie (Cédric Pépin) en se dirigeant vers la prêtrise. Smith (Math Boylan) est devenu enseignant d’anglais. Le père de Claudia (Jean Maheux) tente de faire amende honorable de manière douteuse...
Hugo et Cathie (Fabien Dupuis et Joëlle Morin) pourraient filer un amour chaste et parfait, si France Ouellet (Annie Dufresne) et la psychologue n’avaient pas développé une relation passionnelle durant leurs vacances. Hugo croyait pouvoir enfin s’établir comme une famille traditionnelle, avec un papa, une maman et les jumelles. Au lieu de cela, il se retrouve troisième roue du carrosse dans une idylle lesbienne très chaude. Rien de tel pour lui causer du souci alors qu’il doit personnellement soutenir son ancien mentor qui retourne à la pédagogie, pour le plus grand malheur de tous, et fournir à sa nouvelle patronne Ghislaine les informations pertinentes pour bien faire son travail. Hugo traverse une nouvelle crise existentielle qui se résume à une seule phrase : « Pourquoi suis-je toujours victime des circonstances et jamais maître de mon destin ? ». Résolu à se prendre en main, il entre à son tour dans un groupe d’hommes gais à la recherche de leur virilité fondamentale... Rien pour simplifier ses rapports avec Monique Rivest (Annick Bergeron), toujours aussi carrée, qui regarde les dérives personnelles avec un oeil très critique...
Stéphane Lesieur (Peter Miller) a retrouvé la mère de ses enfants au Lac-Saint-Jean et il a été muté à la Sûreté Nationale. Toujours associé au programme Défi-Pacifique, il partage son temps entre Montréal et le Lac. L’attirance pour Véronique (Christine Beaulieu) n’est pas tarie. Reste un mystère : A-t-il véritablement suivi un stage de perfectionnement pendant l’été, ou a-t-il plutôt profité du billet d’avion remis par Véronique à la fin de l’année scolaire ? Quant à la jolie sexologue, elle continue son bon travail à l’école et elle est sujette à recevoir plusieurs propositions galantes. Que faire ? Répondre à ses élans pulsionnels ou mettre définitivement Stéphane de côté pour vivre une vie plus normale ? Un problème important pour une sexologue fort mal chaussée à cet égard.
Phaneuf (Luc Guérin) fait office de figure de proue avec les nouveaux élèves qui composent ses classes. L’enseignant devra montrer aux jeunes à organiser leurs idées puisque « l’essai » est le thème central de l’année. Rose-Marie (Lise Martin) avait deux pères dans sa mire, Jacques et Luc Brassard (Jeff Boudreault), mais ni l’un, ni l’autre ne possède les gènes coupables. Amnésie oblige, Rose-Marie ne se rappelle nullement avoir fait l’amour avec un troisième homme le soir de son incartade. Bobby Rajotte (Hubert Proulx) devrait lui rafraîchir la mémoire...
Au moment où Hercule (Martin Larocque) file le parfait bonheur avec Agathe (Geneviève Néron) et Martin, son fils adoptif, une série de malaises physiques l’envoient chez le médecin... S’agit-il d’une simple question de régime alimentaire où de troubles plus sérieux ? D’une manière ou d’une autre, Hercule sera confronté à des perspectives qui mettront son moral à rude épreuve.
Enfin, les amours de Martine Larose (Ingrid Falaise), la très appréciée enseignante d’arts plastiques, sont toujours fragiles et complexes. Un événement inattendu vient remettre en question sa relation avec le journaliste Bernard Paré (Jean L’Italien). Pauvre Martine ! Si gentille ! Elle mériterait mieux, mais sa vie est une série de hauts et de bas, de fatalités et de joies intenses...
Des développements qu’on suivra avec passion du lundi au jeudi à 19 h à compter du 8 septembre à la Télévision de Radio-Canada.
Voilà le communiqué de presse de la nouvelle saison... Donc plus de détails sur ce que sera la prochaine saison...
La saison 2008-2009 de « Virginie »
Nouvelles réalités et nouveaux défis à l’école Sainte-Jeanne d’Arc
La saison 2008-2009 de « Virginie »
Nouvelles réalités et nouveaux défis pour l’école Sainte-Jeanne d’Arc
Montréal, Lundi 4 août 2008 /CTVM.info/ — Chaque nouvelle année scolaire représente un nouveau départ pour ceux et celles qui relèvent les défis quotidiens de l’école Sainte-Jeanne d’Arc. C’est particulièrement vrai en 2008-2009 où, par choix ou par nécessité, plusieurs d’entre eux doivent s’adapter à de nouvelles réalités. Virginie réserve donc bien des émotions à la Télévision de Radio-Canada, du lundi au jeudi à 19 h, à compter du 8 septembre.
L’auteure Fabienne Larouche, qui rencontrait aujourd’hui la presse sur le plateau de l’émission, fait le point sur l’école et ses principaux personnages :
La tornade René Ouellet (Michel Forget) n’a pas tout dévasté sur son passage au cours des deux dernières années. Sainte-Jeanne-d’Arc se remet doucement des initiatives intempestives du directeur de la Commission scolaire, de ses bons comme de ses mauvais coups, pendant que certains membres de l’école bien connue du Centre-sud de Montréal ont à faire face à des changements importants dans leur vie quotidienne.
Virginie Charest (Stéphanie Crête-Blais) est maintenant mariée et elle partage sa vie avec Frédéric Perreault (Maxime Denommée), jeune officier des Forces armées canadiennes. Stella (Marie-Ève Beaulieu), la sœur de Virginie, diminuée par un léger handicap intellectuel, habite avec le couple. La situation n’est pas idéale, mais Virginie sait composer avec les événements pour trouver des solutions de compromis. Sa vie n’est pas celle qu’elle pourrait être. Pourquoi s’imposer de telles exigences quand on a 25 ans, qu’on est fort jolie, dynamique et populaire ? Tout pourrait être beaucoup plus simple. Cette année, Virginie révèlera un peu plus de ses sentiments à ses amis enseignants, surtout à Martine et Hercule. Décidée à faire partie de la grande famille de Sainte-Jeanne-d’Arc, Virginie entreprendra un parcours initiatique caractérisé par l’apprentissage des rites des enseignants, l’affrontement des divergences syndicales entre les générations, et la nécessité de s’adapter quotidiennement aux sempiternels problèmes des élèves ou de leurs parents. Quelques drames personnels viennent bousculer ses certitudes, certains en début d’année...
Michel Rivest (Marcel Leboeuf), directeur bien-aimé, a perdu son poste à la suite des insatisfactions des parents face à l’épineux dossier des Groupes B. Bien pour un mal, sa compagne de vie, Ghislaine Cormier (Louise Deschâtelets), qui jouit d’une envieuse réputation dans le réseau, le remplace cette année à la direction. Rivest retourne à l’enseignement. Ce n’est pas son fort. Autant il gérait l’école avec enthousiasme, doigté et diplomatie, autant il est mauvais pédagogue. Ses élèves en font les frais et l’ancien directeur vivra au cours de l’année des moments difficiles. Ce qui poussera l’ineffable Ouellet à installer le concours du MEILLEUR ENSEIGNANT DE L’ANNÉE et un programme de soutien au PIRE ENSEIGNANT DE L’ANNÉE. Dans cette dernière catégorie, le pauvre Michel Rivest semble déjà, même en septembre, avoir une longueur d’avance. Son idée de lancer l’année 2008-2009 sur le thème « je me souviens » n’a plus la cote. Rivest devra surtout se souvenir comment aider les jeunes à grandir. Il n’est vraiment pas doué.
Louise Pouliot (Pascale Desrochers) n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de prendre des responsabilités qui feraient peur à n’importe qui. Annabelle (Karianne Lafrance), Florence (Maïthé Lemelin) et Claudia (Frédéricque Paré), placées chez elle par la DPJ, lui donnent du fil à retordre, moins par leur attitude que par les difficultés inhérentes à leur croissance. Elles deviennent des femmes dans un contexte pas idéal. Leur apprentissage scolaire s’affermit, mais leur passé familial ne cesse de les hanter. Louise a demandé protection à ses amis motards. Pierre-Paul (Benoit Langlais) continue de flirter avec la criminalité. Maurice (Jean-François Mercier) est débordé à l’école. Amélie (Laurence Hamelin) entame un cours en enseignement et devient pour Louise une alliée inattendue, un support nécessaire dans ce qui s’annonce comme un chaos total. Amélie cache le chagrin que lui cause Sylvain Lajoie (Cédric Pépin) en se dirigeant vers la prêtrise. Smith (Math Boylan) est devenu enseignant d’anglais. Le père de Claudia (Jean Maheux) tente de faire amende honorable de manière douteuse...
Hugo et Cathie (Fabien Dupuis et Joëlle Morin) pourraient filer un amour chaste et parfait, si France Ouellet (Annie Dufresne) et la psychologue n’avaient pas développé une relation passionnelle durant leurs vacances. Hugo croyait pouvoir enfin s’établir comme une famille traditionnelle, avec un papa, une maman et les jumelles. Au lieu de cela, il se retrouve troisième roue du carrosse dans une idylle lesbienne très chaude. Rien de tel pour lui causer du souci alors qu’il doit personnellement soutenir son ancien mentor qui retourne à la pédagogie, pour le plus grand malheur de tous, et fournir à sa nouvelle patronne Ghislaine les informations pertinentes pour bien faire son travail. Hugo traverse une nouvelle crise existentielle qui se résume à une seule phrase : « Pourquoi suis-je toujours victime des circonstances et jamais maître de mon destin ? ». Résolu à se prendre en main, il entre à son tour dans un groupe d’hommes gais à la recherche de leur virilité fondamentale... Rien pour simplifier ses rapports avec Monique Rivest (Annick Bergeron), toujours aussi carrée, qui regarde les dérives personnelles avec un oeil très critique...
Stéphane Lesieur (Peter Miller) a retrouvé la mère de ses enfants au Lac-Saint-Jean et il a été muté à la Sûreté Nationale. Toujours associé au programme Défi-Pacifique, il partage son temps entre Montréal et le Lac. L’attirance pour Véronique (Christine Beaulieu) n’est pas tarie. Reste un mystère : A-t-il véritablement suivi un stage de perfectionnement pendant l’été, ou a-t-il plutôt profité du billet d’avion remis par Véronique à la fin de l’année scolaire ? Quant à la jolie sexologue, elle continue son bon travail à l’école et elle est sujette à recevoir plusieurs propositions galantes. Que faire ? Répondre à ses élans pulsionnels ou mettre définitivement Stéphane de côté pour vivre une vie plus normale ? Un problème important pour une sexologue fort mal chaussée à cet égard.
Phaneuf (Luc Guérin) fait office de figure de proue avec les nouveaux élèves qui composent ses classes. L’enseignant devra montrer aux jeunes à organiser leurs idées puisque « l’essai » est le thème central de l’année. Rose-Marie (Lise Martin) avait deux pères dans sa mire, Jacques et Luc Brassard (Jeff Boudreault), mais ni l’un, ni l’autre ne possède les gènes coupables. Amnésie oblige, Rose-Marie ne se rappelle nullement avoir fait l’amour avec un troisième homme le soir de son incartade. Bobby Rajotte (Hubert Proulx) devrait lui rafraîchir la mémoire...
Au moment où Hercule (Martin Larocque) file le parfait bonheur avec Agathe (Geneviève Néron) et Martin, son fils adoptif, une série de malaises physiques l’envoient chez le médecin... S’agit-il d’une simple question de régime alimentaire où de troubles plus sérieux ? D’une manière ou d’une autre, Hercule sera confronté à des perspectives qui mettront son moral à rude épreuve.
Enfin, les amours de Martine Larose (Ingrid Falaise), la très appréciée enseignante d’arts plastiques, sont toujours fragiles et complexes. Un événement inattendu vient remettre en question sa relation avec le journaliste Bernard Paré (Jean L’Italien). Pauvre Martine ! Si gentille ! Elle mériterait mieux, mais sa vie est une série de hauts et de bas, de fatalités et de joies intenses...
Des développements qu’on suivra avec passion du lundi au jeudi à 19 h à compter du 8 septembre à la Télévision de Radio-Canada.
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