Vous souvenez vous de lui?
Modérateur : Elise-Gisèle
21/03/2006 - 12h07
Enfant-star devenu grand
Jordy affirme avoir été spolié par son père
Associated Press (AP)
©Sony Musique
Devenu célèbre à l'âge de quatre ans avec la chanson Dur, dur d'être bébé, Jordy dit avoir découvert à sa majorité que son père, qui était à l'époque son producteur, avait détourné l'argent généré par la vente des disques et les concerts. «Mon père m'a spolié», écrit-il dans une autobiographie qui sort jeudi en librairie.
Dans Je ne suis plus un bébé (éditions Scali), Jordy, qui a eu 18 ans le 14 janvier dernier, raconte son rendez-vous, trois jours après son anniversaire, avec «l'administrateur, l'homme de loi désigné à l'initiative de ma mère pour reconstituer mon patrimoine il y a quelques années, lors de la séparation de mes parents».
L'ancien enfant-star explique que son producteur de père n'a pas versé toutes les sommes qu'il aurait dû sur son compte bloqué à la Caisse des dépôts et consignations.
À sa majorité, Jordy a reçu un montant «dérisoire», «constitué en tout et pour tout des versements de l'ADAMI (Association des artistes musiciens et interprètes), des intérêts de ces sommes modestes et de deux cachets versés par ma société de production pour ma participation aux deux premiers albums».
«C'est tout. Il n'y a aucun versement correspondant aux royalties qu'a rapportées la vente de mes albums, ni le cachet des centaines de concerts que j'ai donnés en France et à l'étranger, ni les droits indirects touchés sur l'utilisation de mon image», accuse le jeune chanteur.
Jordy se rappelle s'être «effondré en larmes». «Dans ce bureau sinistre, par ce sombre matin de pluie, je viens de réaliser que mon père m'a spolié et qu'il m'a menti pendant des années». Il dit avoir alors téléphoné à ce «roi de la manipulation mentale», qui lui a raccroché au nez. «Depuis ce jour, plus de nouvelles».
Le jeune homme a décidé de «saisir (son) avocat et d'entamer une procédure». «Je veux tout savoir», confie-t-il. «Où est passé le patrimoine qu'il me réservait?» demande-t-il en se souvenant d'une «somptueuse maison» à Miami, d'un château en Normandie et de plusieurs appartements. «De tout cela, il ne reste rien, de toute évidence».
Et durant ce rendez-vous, l'administrateur lui a en outre annoncé: «la société représentée par votre père est en liquidation judiciaire».
Dur, dur d'être spolié.
Enfant-star devenu grand
Jordy affirme avoir été spolié par son père
Associated Press (AP)
©Sony Musique
Devenu célèbre à l'âge de quatre ans avec la chanson Dur, dur d'être bébé, Jordy dit avoir découvert à sa majorité que son père, qui était à l'époque son producteur, avait détourné l'argent généré par la vente des disques et les concerts. «Mon père m'a spolié», écrit-il dans une autobiographie qui sort jeudi en librairie.
Dans Je ne suis plus un bébé (éditions Scali), Jordy, qui a eu 18 ans le 14 janvier dernier, raconte son rendez-vous, trois jours après son anniversaire, avec «l'administrateur, l'homme de loi désigné à l'initiative de ma mère pour reconstituer mon patrimoine il y a quelques années, lors de la séparation de mes parents».
L'ancien enfant-star explique que son producteur de père n'a pas versé toutes les sommes qu'il aurait dû sur son compte bloqué à la Caisse des dépôts et consignations.
À sa majorité, Jordy a reçu un montant «dérisoire», «constitué en tout et pour tout des versements de l'ADAMI (Association des artistes musiciens et interprètes), des intérêts de ces sommes modestes et de deux cachets versés par ma société de production pour ma participation aux deux premiers albums».
«C'est tout. Il n'y a aucun versement correspondant aux royalties qu'a rapportées la vente de mes albums, ni le cachet des centaines de concerts que j'ai donnés en France et à l'étranger, ni les droits indirects touchés sur l'utilisation de mon image», accuse le jeune chanteur.
Jordy se rappelle s'être «effondré en larmes». «Dans ce bureau sinistre, par ce sombre matin de pluie, je viens de réaliser que mon père m'a spolié et qu'il m'a menti pendant des années». Il dit avoir alors téléphoné à ce «roi de la manipulation mentale», qui lui a raccroché au nez. «Depuis ce jour, plus de nouvelles».
Le jeune homme a décidé de «saisir (son) avocat et d'entamer une procédure». «Je veux tout savoir», confie-t-il. «Où est passé le patrimoine qu'il me réservait?» demande-t-il en se souvenant d'une «somptueuse maison» à Miami, d'un château en Normandie et de plusieurs appartements. «De tout cela, il ne reste rien, de toute évidence».
Et durant ce rendez-vous, l'administrateur lui a en outre annoncé: «la société représentée par votre père est en liquidation judiciaire».
Dur, dur d'être spolié.
- *Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
- Messages : 22597
- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
- *Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
Whenever a écrit
Idem, j'avais sa cassette et il fallait toujours écouter Jordy peu importe ou on allait
Moi je faisais même des petits shows sur ses chansons et je faisais payer le monde
C'est vraiment plate qu'il se soit fait escroquer par son propre père La claque au visage que cela doit représenter
Idem, j'avais sa cassette et il fallait toujours écouter Jordy peu importe ou on allait
Moi je faisais même des petits shows sur ses chansons et je faisais payer le monde
C'est vraiment plate qu'il se soit fait escroquer par son propre père La claque au visage que cela doit représenter
- *Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
BettyElms a écritNon moi les filles, ayant quelques années de plus que vous, j'devais avoir 10-11 ans... et c'était vraiment la mode de le détester et de détester ceux et celles qui l'aimaient!
Donc finalement, j'vous détestais!
Moi aussi j'étais de cette gang la ! Pis le pire c que je me souviens... une journée on en avait parlé à l'école primaire... pis qu'on haissait ca... pis j'vais diner à la maison le midi... pis ma mère me dit "Je t'ai acheté un cadeau! La cassette de Jordy!!!" Dahhh...
Donc finalement, j'vous détestais!
Moi aussi j'étais de cette gang la ! Pis le pire c que je me souviens... une journée on en avait parlé à l'école primaire... pis qu'on haissait ca... pis j'vais diner à la maison le midi... pis ma mère me dit "Je t'ai acheté un cadeau! La cassette de Jordy!!!" Dahhh...