Da Vinci Code encore reporté?
Modérateur : Elise-Gisèle
tipet a écritBen là, si les journalistes présents au lancement, n'avaient pas aimé le livre au départ, ça ne pouvait pas vraiment faire autrement.
Anyway, les critiques ont la fâcheuse habitude de snober les succès populaires C'est "in" de détester ce que tout le monde aime...
je sais pas...........a radio-canada.....le journaliste ne disais que ses commentaires et racontait ce qui s'est passer durant le visionnement
Anyway, les critiques ont la fâcheuse habitude de snober les succès populaires C'est "in" de détester ce que tout le monde aime...
je sais pas...........a radio-canada.....le journaliste ne disais que ses commentaires et racontait ce qui s'est passer durant le visionnement
- geneviève-2
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moi jai pas aimer le code de vinci le livre jau plus adoré par contre anges et demons
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
- Spirullette
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Da Vinci Code: Graal à la dérive
Odile Tremblay
Édition du mercredi 17 mai 2006
La mégaproduction que Ron Howard a tirée du fameux best-seller Da Vinci Code de Dan Brown a été présentée pour la première fois hier soir devant un parterre de journalistes au Festival de Cannes. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'a guère impressionné la galerie. Toute l'équipe est attendue sur le tapis rouge aujourd'hui et les paparazzi salivent déjà.
Audrey Tautou et Tom Hanks, vedettes du film américain Da Vinci Code, posent en gare de Cannes devant un TGV Eurostar spécialement décoré aux couleurs du film, après leur arrivée en provenance de la gare de Waterloo, à Londres. Ce TGV, rebaptisé pour l’occasion The Da Vinci Code, a établi hier le record mondial de la plus longue liaison ferroviaire internationale sans escale (1421 km).
Cannes -- On avait quand même cru que ce serait mieux que ça. Bon, le livre de Dan Brown était mal écrit et ne se piquait pas trop de vraisemblance, mais son histoire rebondissait sur des péripéties originales. Et s'il s'est écoulé à plus de 40 millions d'exemplaires, c'est que le best-seller surfait sur des concepts artistico-religieux haletants.
Tranchons là. Le film à 125 millions que Ron Howard en a tiré ne vaut pas le roman. Même que ceux qui n'ont pas lu le livre perdront leurs repères pour parvenir à déchiffrer une intrigue qui devient tout à coup si alambiquée qu'elle verse dans la confusion pure.
Est-il besoin de rappeler que, s'appuyant sur une série de devinettes codées, renvoyant souvent à l'oeuvre de Leonard de Vinci et à la théorie d'une filiation christique, on y suit de folles poursuites du couple professeur-policière en quête du secret du Graal, avec l'Opus Dei à ses trousses ?
Les prises de vue au Louvre, dans les rues de Paris, à l'église Saint-Sulpice ou à Londres sont filmées sans esprit, et la musique qui aurait pu créer le climat mystique, avec références religieuses, grégoriennes ou autres qui s'imposaient, semble un plat ramassis de morceaux de styles divers mal collés. On dirait un simple thriller, comme il y en a tant, réalisé à la machinerie lourde, sans flamme ni jeux cinématographiques inspirés. Le film s'est offert quelques incursions dans le passé, avec la fuite de Marie-Madeleine en France et les Templiers à Jérusalem partis sur ses traces, mais ces scènes très courtes n'apportent rien au récit et se seraient vues coupées au montage sans qu'on s'en plaigne.
Tout ça pour ça...
Tom Hanks, dans son rôle de professeur spécialisé en symbolique, a l'air de ne jamais croire à son personnage. Pas plus qu'Audrey Tautou d'ailleurs, tout à coup plus candide que l'héroïne brillante qu'elle devait incarner.
Ne subsiste d'un peu crédible, dans la distribution, qu'Ian McKellen en expert obsédé par une éventuelle descendance du Christ après mariage avec Marie-Madeleine. Jean Reno manifeste de la présence aussi, en flic membre de l'Opus Dei qui traque les crimes commis pour motifs religieux. Mais ça ne suffit pas pour nous captiver.
Et quand Tom Hanks lance à Audrey Tautou : «Tu es la dernière descendante du Christ», les rires fusent dans la salle. Quand rien n'est vraisemblable, le ridicule s'en mêle.
Le film a eu quand même la bonne idée d'évacuer le dénouement fleur bleue du roman, pour laisser un peu de mystère planer en bout de piste.
On songe à l'émoi que la venue du film a causé dans certaines communautés catholiques, qui crient au blasphème et appellent au boycottage de l'oeuvre hérétique. Qu'elles rangent leurs lances et leurs boucliers. Da Vinci Code, tel que porté à l'écran, a égaré les dents du livre pour devenir un thriller de divertissement anodin, voire insignifiant, et confus de surcroît.
Et dire qu'il s'agit de la mégaproduction la plus attendue de l'année... À Cannes, les critiques levaient hier les yeux au ciel, mais pas pour prier Marie-Madeleine. Juste parce que Da Vinci Code était un vrai pétard mouillé.
Odile Tremblay
Édition du mercredi 17 mai 2006
La mégaproduction que Ron Howard a tirée du fameux best-seller Da Vinci Code de Dan Brown a été présentée pour la première fois hier soir devant un parterre de journalistes au Festival de Cannes. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'a guère impressionné la galerie. Toute l'équipe est attendue sur le tapis rouge aujourd'hui et les paparazzi salivent déjà.
Audrey Tautou et Tom Hanks, vedettes du film américain Da Vinci Code, posent en gare de Cannes devant un TGV Eurostar spécialement décoré aux couleurs du film, après leur arrivée en provenance de la gare de Waterloo, à Londres. Ce TGV, rebaptisé pour l’occasion The Da Vinci Code, a établi hier le record mondial de la plus longue liaison ferroviaire internationale sans escale (1421 km).
Cannes -- On avait quand même cru que ce serait mieux que ça. Bon, le livre de Dan Brown était mal écrit et ne se piquait pas trop de vraisemblance, mais son histoire rebondissait sur des péripéties originales. Et s'il s'est écoulé à plus de 40 millions d'exemplaires, c'est que le best-seller surfait sur des concepts artistico-religieux haletants.
Tranchons là. Le film à 125 millions que Ron Howard en a tiré ne vaut pas le roman. Même que ceux qui n'ont pas lu le livre perdront leurs repères pour parvenir à déchiffrer une intrigue qui devient tout à coup si alambiquée qu'elle verse dans la confusion pure.
Est-il besoin de rappeler que, s'appuyant sur une série de devinettes codées, renvoyant souvent à l'oeuvre de Leonard de Vinci et à la théorie d'une filiation christique, on y suit de folles poursuites du couple professeur-policière en quête du secret du Graal, avec l'Opus Dei à ses trousses ?
Les prises de vue au Louvre, dans les rues de Paris, à l'église Saint-Sulpice ou à Londres sont filmées sans esprit, et la musique qui aurait pu créer le climat mystique, avec références religieuses, grégoriennes ou autres qui s'imposaient, semble un plat ramassis de morceaux de styles divers mal collés. On dirait un simple thriller, comme il y en a tant, réalisé à la machinerie lourde, sans flamme ni jeux cinématographiques inspirés. Le film s'est offert quelques incursions dans le passé, avec la fuite de Marie-Madeleine en France et les Templiers à Jérusalem partis sur ses traces, mais ces scènes très courtes n'apportent rien au récit et se seraient vues coupées au montage sans qu'on s'en plaigne.
Tout ça pour ça...
Tom Hanks, dans son rôle de professeur spécialisé en symbolique, a l'air de ne jamais croire à son personnage. Pas plus qu'Audrey Tautou d'ailleurs, tout à coup plus candide que l'héroïne brillante qu'elle devait incarner.
Ne subsiste d'un peu crédible, dans la distribution, qu'Ian McKellen en expert obsédé par une éventuelle descendance du Christ après mariage avec Marie-Madeleine. Jean Reno manifeste de la présence aussi, en flic membre de l'Opus Dei qui traque les crimes commis pour motifs religieux. Mais ça ne suffit pas pour nous captiver.
Et quand Tom Hanks lance à Audrey Tautou : «Tu es la dernière descendante du Christ», les rires fusent dans la salle. Quand rien n'est vraisemblable, le ridicule s'en mêle.
Le film a eu quand même la bonne idée d'évacuer le dénouement fleur bleue du roman, pour laisser un peu de mystère planer en bout de piste.
On songe à l'émoi que la venue du film a causé dans certaines communautés catholiques, qui crient au blasphème et appellent au boycottage de l'oeuvre hérétique. Qu'elles rangent leurs lances et leurs boucliers. Da Vinci Code, tel que porté à l'écran, a égaré les dents du livre pour devenir un thriller de divertissement anodin, voire insignifiant, et confus de surcroît.
Et dire qu'il s'agit de la mégaproduction la plus attendue de l'année... À Cannes, les critiques levaient hier les yeux au ciel, mais pas pour prier Marie-Madeleine. Juste parce que Da Vinci Code était un vrai pétard mouillé.
- Niko Bellic
- Immortel du Domaine
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- Inscription : sam. janv. 14, 2006 1:00 am
sunny_day a écritCe que je ne comprends pas c'est ce si les critiques on lu le livre...ils doivent savoir pour le personnage qui est la descendante...alors pk ont-ils ris? S'il ont lu, ils le savaient d'avance!
c'est ce qui me fait dire que c,est juste un trip de "divas" de la critique....ils n'ont pas aimé qu'Homard ne leur présente auparavant comme le font d,autres réalisateurs....donc ils se vengent...la réaction est trop grande, elle manque de naturel me semble......
c'est ce qui me fait dire que c,est juste un trip de "divas" de la critique....ils n'ont pas aimé qu'Homard ne leur présente auparavant comme le font d,autres réalisateurs....donc ils se vengent...la réaction est trop grande, elle manque de naturel me semble......
tuberale a écrit
c'est ce qui me fait dire que c,est juste un trip de "divas" de la critique....ils n'ont pas aimé qu'Homard ne leur présente auparavant comme le font d,autres réalisateurs....donc ils se vengent...la réaction est trop grande, elle manque de naturel me semble......
Homard? Le lapsus est vraient drôle
c'est ce qui me fait dire que c,est juste un trip de "divas" de la critique....ils n'ont pas aimé qu'Homard ne leur présente auparavant comme le font d,autres réalisateurs....donc ils se vengent...la réaction est trop grande, elle manque de naturel me semble......
Homard? Le lapsus est vraient drôle
miki a écritMême si c'est un pétard mouillé,il est bien con celui qui a écrit l'article de vendre le punch comme ça.J'ai pas lu le livre moi pis je voulais voir le film
Le truc c'est que toutes les critiques vendent le punch (TVA, TQS, R-C...)! Et de plus c'est trop évident! Dès le départ j'avais déjà compris qui s'était! Les indices étaient trop évidents...à moins que je lis trop de livre sur les intrigues et que je suis devenue pro?
Mais c'est pas pour autant que je n'irai pas le voir! 7$ et je suis au ciné!
Le truc c'est que toutes les critiques vendent le punch (TVA, TQS, R-C...)! Et de plus c'est trop évident! Dès le départ j'avais déjà compris qui s'était! Les indices étaient trop évidents...à moins que je lis trop de livre sur les intrigues et que je suis devenue pro?
Mais c'est pas pour autant que je n'irai pas le voir! 7$ et je suis au ciné!
Totally Addicted to tennis and american movies!