Skarhet a écrit
J'avais jamais vu Le colombarium comme étant une chanson vaguement érotique!
ben oui, hein? ça rappelle le film Post Mortem un peu quand on y pense...
Pierre Lapointe
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Petit cadeau...
Les boîtes à gogo par monsieur Lapointe...très agréable
http://www.megaupload.com/?d=Y8THXFS2
Avec une citation, bien sûr.
"D'accord, les gens de régions sont un peu niais, mais ils ont du coeur." -PL
Les boîtes à gogo par monsieur Lapointe...très agréable
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Avec une citation, bien sûr.
"D'accord, les gens de régions sont un peu niais, mais ils ont du coeur." -PL
colargol a écritIl m'a fait plaisir de vous voir aussi , et de te rencontrer Skarhet (je rêve tu ou bedon si t'es déjà venue dans un GT... me semble que j't'ai vue avant... )!
Non tu ne rêvais pas! Je suis venue au souper du GT il y a plus d'un an (mars 2005), mais je n'étais pas allée au karaoké du bar chez Zoé...
Non tu ne rêvais pas! Je suis venue au souper du GT il y a plus d'un an (mars 2005), mais je n'étais pas allée au karaoké du bar chez Zoé...
Skarhet a écrit
Non tu ne rêvais pas! Je suis venue au souper du GT il y a plus d'un an (mars 2005), mais je n'étais pas allée au karaoké du bar chez Zoé...
aaaaaaaaaaah! Des fois, ma mémoire prend du temps à s'activer, mais elle le fait...
alors, contente de t'avoir revue Skarhet!
Non tu ne rêvais pas! Je suis venue au souper du GT il y a plus d'un an (mars 2005), mais je n'étais pas allée au karaoké du bar chez Zoé...
aaaaaaaaaaah! Des fois, ma mémoire prend du temps à s'activer, mais elle le fait...
alors, contente de t'avoir revue Skarhet!
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Tite face
Et critique
Pierre Lapointe : plaisirs raffinés
Alexandre Vigneault
La Presse
Il venait d'interpréter Plaisirs dénudés, seul au piano. Un silence comblé emplissait le Théâtre Maisonneuve. Sourire narquois et nez en l'air, Pierre Lapointe s'est tourné vers l'assistance. «J'espère que vous avez aimé le spectacle. On est déjà rendu au rappel, a-t-il dit de ce ton hautain qu'il se plaît à utiliser sur scène. Maintenant que ça pogne mes affaires, je ne me force plus.» La salle au grand complet s'est esclaffée, il n'a pas bronché.
Il ne faut jamais croire ce que Pierre Lapointe dit sur scène. Ou si peu. Le jeune prodige de la chanson québécoise a beau pratiquer son art avec le plus grand sérieux, sur scène, il donne souvent dans le cabotinage étudié. Il s'est bâti un personnage de dandy fier, voire condescendant, limite dédaigneux. Son humour arrogant fait partie d'un jeu dans lequel on embarque avec un plaisir qui n'a rien de masochiste.
Il n'y avait bien sûr pas une once de vérité dans cette intervention étudiée. Pierre Lapointe n'avait joué que cinq chansons... et il avait déjà eu le temps de prouver que son nouveau spectacle n'allait pas se contenter d'être une bête photocopie de ses deux albums. Pourquoi toujours faire pareil quand on peut faire différent?
L'envie qu'il avait d'emmener ses chansons ailleurs, on l'a sentie dès le début du spectacle. Sa chanson La forêt des mal-aimés a été précédée d'une lente intro où les rythmes et les mélodies étaient trafiqués par le DJ-bidouilleur Guido del Fabro. Celui-ci a joué à ce petit jeu de manière plus ou moins discrète tout au long du concert, ajoutant de la profondeur ici, un peu de joie là ou, le plus souvent, une touche supplémentaire de gris dans un concert gorgé de nostalgie.
Il y a peu à voir dans ce nouveau spectacle de Pierre Lapointe, en ce sens qu'il ne fait usage d'aucun décor. Il mise sur des éclairages d'un grand raffinement et surtout sur sa musique. Hier, au Théâtre Maisonneuve, il était accompagné de neuf musiciens: Josiane Hébert (piano, accordéon, etc.), Philippe Brault (basse, contrebasse), Tony Albino (batterie), Guido del Fabro (violon, manipulations sonores), Philippe B (guitares) et d'un quatuor à cordes.
Avec un tel arsenal, Pierre Lapointe aurait pu donner dans l'enflure. Il n'en fut rien. Les cordes, très présentes, n'en faisaient jamais trop. Elles soutenaient la voix souvent triste du chanteur, sans même jamais verser dans le mélodrame. C'était de toute beauté que d'entendre Josiane Hébert et Pierre Lapointe harmoniser leurs voix. (tu l'as dit, bouffi!)
Tony Albino fut d'une grande élégance. Les deux Philippe aussi. On regrette seulement que la sonorisation ne mette pas suffisamment en valeur le son de l'un et de l'autre. Un peu plus de guitare donnerait du nerf aux chansons les plus pop et un peu plus de basse réchaufferait cet univers sonore un peu frisquet.S'il en met beaucoup lorsqu'il parle, Pierre Lapointe est plutôt économe lorsqu'il chante. De sa bouche ne sortent que des mots et des notes justes. Rien n'est passé au surligneur fluo. Il suffit de l'entendre chanter Debout sur ma tête, Étoile étiolée ou encore la magnifique 27 100 rue des Partances, qu'il a toutes trois jouées seul au piano, pour mesurer la force de sa plume et de sa voix.
Dans l'ensemble, ce concert de Pierre Lapointe demeure plus proche du tour de chant que du spectacle pop. Tout y est propre et soigneusement rangé. Hum...pour moi il était parti avant toute les jokes de cul, lui Même dans les morceaux les plus entraînants comme Qu'en est-il de la chance?. Avec le temps, le groupe trouvera sans doute le moyen d'ajouter la dose nécessaire de désordre à tout ça. Et il se rendra peut-être compte que la reprise de Joe Dassin (Dans les yeux d'Émilie) n'est pas à sa place dans ce spectacle,contrairement à la fougueuse interprétation de Au suivant de Brel.
Qu'importent ces petits bémols, Pierre Lapointe, qui remonte sur les planches du Théâtre Maisonneuve ce soir, offre surtout un spectacle d'une raffinement extraordinaire. On en sort ravi... et impatient de le revoir! Mets-en, man!
Et critique
Pierre Lapointe : plaisirs raffinés
Alexandre Vigneault
La Presse
Il venait d'interpréter Plaisirs dénudés, seul au piano. Un silence comblé emplissait le Théâtre Maisonneuve. Sourire narquois et nez en l'air, Pierre Lapointe s'est tourné vers l'assistance. «J'espère que vous avez aimé le spectacle. On est déjà rendu au rappel, a-t-il dit de ce ton hautain qu'il se plaît à utiliser sur scène. Maintenant que ça pogne mes affaires, je ne me force plus.» La salle au grand complet s'est esclaffée, il n'a pas bronché.
Il ne faut jamais croire ce que Pierre Lapointe dit sur scène. Ou si peu. Le jeune prodige de la chanson québécoise a beau pratiquer son art avec le plus grand sérieux, sur scène, il donne souvent dans le cabotinage étudié. Il s'est bâti un personnage de dandy fier, voire condescendant, limite dédaigneux. Son humour arrogant fait partie d'un jeu dans lequel on embarque avec un plaisir qui n'a rien de masochiste.
Il n'y avait bien sûr pas une once de vérité dans cette intervention étudiée. Pierre Lapointe n'avait joué que cinq chansons... et il avait déjà eu le temps de prouver que son nouveau spectacle n'allait pas se contenter d'être une bête photocopie de ses deux albums. Pourquoi toujours faire pareil quand on peut faire différent?
L'envie qu'il avait d'emmener ses chansons ailleurs, on l'a sentie dès le début du spectacle. Sa chanson La forêt des mal-aimés a été précédée d'une lente intro où les rythmes et les mélodies étaient trafiqués par le DJ-bidouilleur Guido del Fabro. Celui-ci a joué à ce petit jeu de manière plus ou moins discrète tout au long du concert, ajoutant de la profondeur ici, un peu de joie là ou, le plus souvent, une touche supplémentaire de gris dans un concert gorgé de nostalgie.
Il y a peu à voir dans ce nouveau spectacle de Pierre Lapointe, en ce sens qu'il ne fait usage d'aucun décor. Il mise sur des éclairages d'un grand raffinement et surtout sur sa musique. Hier, au Théâtre Maisonneuve, il était accompagné de neuf musiciens: Josiane Hébert (piano, accordéon, etc.), Philippe Brault (basse, contrebasse), Tony Albino (batterie), Guido del Fabro (violon, manipulations sonores), Philippe B (guitares) et d'un quatuor à cordes.
Avec un tel arsenal, Pierre Lapointe aurait pu donner dans l'enflure. Il n'en fut rien. Les cordes, très présentes, n'en faisaient jamais trop. Elles soutenaient la voix souvent triste du chanteur, sans même jamais verser dans le mélodrame. C'était de toute beauté que d'entendre Josiane Hébert et Pierre Lapointe harmoniser leurs voix. (tu l'as dit, bouffi!)
Tony Albino fut d'une grande élégance. Les deux Philippe aussi. On regrette seulement que la sonorisation ne mette pas suffisamment en valeur le son de l'un et de l'autre. Un peu plus de guitare donnerait du nerf aux chansons les plus pop et un peu plus de basse réchaufferait cet univers sonore un peu frisquet.S'il en met beaucoup lorsqu'il parle, Pierre Lapointe est plutôt économe lorsqu'il chante. De sa bouche ne sortent que des mots et des notes justes. Rien n'est passé au surligneur fluo. Il suffit de l'entendre chanter Debout sur ma tête, Étoile étiolée ou encore la magnifique 27 100 rue des Partances, qu'il a toutes trois jouées seul au piano, pour mesurer la force de sa plume et de sa voix.
Dans l'ensemble, ce concert de Pierre Lapointe demeure plus proche du tour de chant que du spectacle pop. Tout y est propre et soigneusement rangé. Hum...pour moi il était parti avant toute les jokes de cul, lui Même dans les morceaux les plus entraînants comme Qu'en est-il de la chance?. Avec le temps, le groupe trouvera sans doute le moyen d'ajouter la dose nécessaire de désordre à tout ça. Et il se rendra peut-être compte que la reprise de Joe Dassin (Dans les yeux d'Émilie) n'est pas à sa place dans ce spectacle,contrairement à la fougueuse interprétation de Au suivant de Brel.
Qu'importent ces petits bémols, Pierre Lapointe, qui remonte sur les planches du Théâtre Maisonneuve ce soir, offre surtout un spectacle d'une raffinement extraordinaire. On en sort ravi... et impatient de le revoir! Mets-en, man!
Oreole a écritJe vais y aller moi aussi...mais le 1er fevrier...
Quelqu'un de Québec sera la?? J'ai pas encore acheter mon billet mais commej,y vais tout seule je ne devrais pas trop avoir de difficulté pour avoir un bon billet...mais j'ai hâte!!
Il vient a Québec le 1er février !?!?!
mayclo qui part direct sur le site de Pierre pour aller voir les dates !
Quelqu'un de Québec sera la?? J'ai pas encore acheter mon billet mais commej,y vais tout seule je ne devrais pas trop avoir de difficulté pour avoir un bon billet...mais j'ai hâte!!
Il vient a Québec le 1er février !?!?!
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