...cocktails...!!
Le Ritalin roi et maître au Canada
Annie Morin
Le Soleil
Québec
Les médicaments pour lutter contre le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) sont approuvés au compte-gouttes au Canada, favorisant le règne du Ritalin. « On se croirait au tiers-monde ! »
Cette affirmation de la Dre Annick Vincent, psychiatre à l'hôpital Robert-Giffard, survient le jour où la compagnie pharmaceutique Shire BioChem annonce que son médicament vedette, Adderall XR, est disponible au Canada, après avoir connu un immense succès aux États-Unis.
Adderall XR est un psychostimulant au même titre que le très connu et controversé Ritalin, prescrit depuis plusieurs années aux enfants et aux adolescents turbulents. Ce n'est toutefois pas la même molécule qui fait le travail. Et la posologie diffère. Une seule capsule d'Adderall XR agit pendant 12 heures et son contenu peut être saupoudré sur la nourriture.
Annie Morin
Le Soleil
Québec
Les médicaments pour lutter contre le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) sont approuvés au compte-gouttes au Canada, favorisant le règne du Ritalin. « On se croirait au tiers-monde ! »
Cette affirmation de la Dre Annick Vincent, psychiatre à l'hôpital Robert-Giffard, survient le jour où la compagnie pharmaceutique Shire BioChem annonce que son médicament vedette, Adderall XR, est disponible au Canada, après avoir connu un immense succès aux États-Unis.
Adderall XR est un psychostimulant au même titre que le très connu et controversé Ritalin, prescrit depuis plusieurs années aux enfants et aux adolescents turbulents. Ce n'est toutefois pas la même molécule qui fait le travail. Et la posologie diffère. Une seule capsule d'Adderall XR agit pendant 12 heures et son contenu peut être saupoudré sur la nourriture.
Les femmes anti-viagra
Agence Science-Presse
Il était temps qu'on demande leur avis aux dames.
Dans le cadre d'une étude certes préliminaire — seulement 146 femmes interrogées — mais qui est tout de même la première du genre, 84% des compagnes d'utilisateurs de Viagra ont déclaré qu'elles étaient très bien comme ça, avant la petite pilule bleue.
Les résultats n'ont pas tellement surpris les participants au congrès de la Société américaine de gérontologie, qui savent depuis longtemps que l'appétit sexuel diminue avec l'âge… mais les résultats semblent rappeler que les attentes des hommes et des femmes ne sont pas toujours les mêmes.
Agence Science-Presse
Il était temps qu'on demande leur avis aux dames.
Dans le cadre d'une étude certes préliminaire — seulement 146 femmes interrogées — mais qui est tout de même la première du genre, 84% des compagnes d'utilisateurs de Viagra ont déclaré qu'elles étaient très bien comme ça, avant la petite pilule bleue.
Les résultats n'ont pas tellement surpris les participants au congrès de la Société américaine de gérontologie, qui savent depuis longtemps que l'appétit sexuel diminue avec l'âge… mais les résultats semblent rappeler que les attentes des hommes et des femmes ne sont pas toujours les mêmes.
Prescrptions d'antidépresseurs
Trop de Prozac aux ados
Louise Lemieux
Le Soleil
Québec
Les médecins omnipraticiens prescrivent trop d'antidépresseurs aux adolescents, à cause d'un outil diagnostic inadéquat. Le problème est tel que le Collège des médecins organise au printemps un atelier de formation pour apprendre aux omnis à bien reconnaître les symptômes de la dépression, trop souvent confondue avec les troubles d'adaptation avec humeur dépressive.
Cette initiative tombe à point puisque Santé Canada vient d'émettre un avis à l'effet que les nouveaux antidépresseurs (Prozac, Paxil, Zoloft, Celexa, Luvox, Effexor, Remeron) ne sont pas sans danger, pouvant donner des idées suicidaires aux adolescents.
Cet avis recommande aux moins de 18 ans de consulter un médecin s'ils sont traités avec l'un ou l'autre de ces médicaments.
Trop de Prozac aux ados
Louise Lemieux
Le Soleil
Québec
Les médecins omnipraticiens prescrivent trop d'antidépresseurs aux adolescents, à cause d'un outil diagnostic inadéquat. Le problème est tel que le Collège des médecins organise au printemps un atelier de formation pour apprendre aux omnis à bien reconnaître les symptômes de la dépression, trop souvent confondue avec les troubles d'adaptation avec humeur dépressive.
Cette initiative tombe à point puisque Santé Canada vient d'émettre un avis à l'effet que les nouveaux antidépresseurs (Prozac, Paxil, Zoloft, Celexa, Luvox, Effexor, Remeron) ne sont pas sans danger, pouvant donner des idées suicidaires aux adolescents.
Cet avis recommande aux moins de 18 ans de consulter un médecin s'ils sont traités avec l'un ou l'autre de ces médicaments.
L'ecstasy détruit la mémoire
Agence France-Presse
D'après une étude internationale, les utilisateurs d'ecstasy s'exposeraient à des troubles gravissimes de la mémoire. Le travail en question a également démontré que ce type de troubles pouvait affecter ceux qui fument régulièrement de la marijuana.
Une équipe britannique, de l'Université de Newcastle, a réalisé un questionnaire auprès de 763 volontaires via Internet.
Elle s'est renseignée sur leur éventuelle consommation de drogues et leurs performances mnésiques, c'est-à-dire leur capacité à acquérir et mémoriser des informations. Identifiant un groupe de 81 sujets qui consommaient régulièrement de l'ecstasy, elle les a comparés avec des abstinents.
Jacqui Rodgers, l'investigateur principal, a ainsi démontré qu'ils présentaient de graves troubles de la mémoire, susceptibles de provoquer des dommages à long terme. Ces résultats ne différent pas selon le sexe.
Par ailleurs, la consommation régulière de marijuana provoquerait, elle aussi, des troubles de la mémoire à court terme.
Un paramètre d'autant plus important qu'en majorité, les usagers d'ecstasy fument volontiers des joints de marijuana.
Agence France-Presse
D'après une étude internationale, les utilisateurs d'ecstasy s'exposeraient à des troubles gravissimes de la mémoire. Le travail en question a également démontré que ce type de troubles pouvait affecter ceux qui fument régulièrement de la marijuana.
Une équipe britannique, de l'Université de Newcastle, a réalisé un questionnaire auprès de 763 volontaires via Internet.
Elle s'est renseignée sur leur éventuelle consommation de drogues et leurs performances mnésiques, c'est-à-dire leur capacité à acquérir et mémoriser des informations. Identifiant un groupe de 81 sujets qui consommaient régulièrement de l'ecstasy, elle les a comparés avec des abstinents.
Jacqui Rodgers, l'investigateur principal, a ainsi démontré qu'ils présentaient de graves troubles de la mémoire, susceptibles de provoquer des dommages à long terme. Ces résultats ne différent pas selon le sexe.
Par ailleurs, la consommation régulière de marijuana provoquerait, elle aussi, des troubles de la mémoire à court terme.
Un paramètre d'autant plus important qu'en majorité, les usagers d'ecstasy fument volontiers des joints de marijuana.
jaskab a écritT'as raison, mais parfois les pilules sont nécessaires pour aider les personnes à aller travailler le fond du problème.
bien sur ,je ne suis pas contre ,sauf qu'il y a exagération ...je ne crois pas que tout le monde en a besoin !
bien sur ,je ne suis pas contre ,sauf qu'il y a exagération ...je ne crois pas que tout le monde en a besoin !
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Les antidépresseurs: pilules du bonheur?
Par Danielle Arsenault
Au cours des dix dernières années, les médicaments antidépresseurs ont connu un essor fulgurant. En 2003 seulement, plus de 33 millions d'ordonnances ont été remplies au Canada, une augmentation de 12 % par rapport à l'année précédente (source: IMS Health). De plus, les compagnies pharmaceutiques ne cessent de mettre sur le marché de nouvelles pilules «toujours plus efficaces» dans le traitement de la dépression.
Toutefois, nombreux sont ceux qui craignent encore ces «pilules du bonheur». Ont-ils raison? L'industrie pharmaceutique dore-t-elle la pilule? Madame.ca vous propose ce court résumé.
Pour la dépression
Les antidépresseurs sont des médicaments prescrits pour soigner les personnes dépressives. Cependant, ils ne guérissent pas la dépression, mais visent plutôt à atténuer les symptômes de cette maladie qui représente le deuxième motif de consultation médicale au Canada.
À ne pas confondre
Qualifiés de substances psychotropes en vertu de leurs effets sur le système nerveux central et le psychisme, les antidépresseurs sont souvent confondus avec d'autres médicaments psychotropes tels que les anxiolytiques (soulagent l'angoisse), les somnifères (soulagent l'insomnie), les neuroleptiques (contrôlent les psychoses), les stabilisateurs de l'humeur (traitent les troubles bipolaires).
Efficace, mais pas une pilule miracle
Chez les personnes déprimées, on remarque que le niveau de certains neurotransmetteurs tels que la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline est anormalement bas. Ainsi, les antidépresseurs agissent directement sur ces neurotransmetteurs leur permettant de demeurer en plus grande quantité dans la synapse.
Étant donné que la majorité des antidépresseurs sont caractérisés par leur lenteur d'action, cela signifie qu'une personne déprimée traitée avec de tels médicaments doit souvent attendre de quatre à six semaines pour en voir les premiers effets.
Selon l'Association canadienne pour la santé mentale (ACSM), environ 75 % des personnes traitées aux antidépresseurs notent une diminution de leurs symptômes de dépression. Le président de l'Association des médecins psychiatres du Québec, le docteur Brian Bexton précise toutefois que cela ne veut pas dire qu'elles ne sont plus déprimées. Il indique que la rémission complète des symptômes varie plutôt de 40 à 60 %, selon l'antidépresseur utilisé.
D'ailleurs, il mentionne que les médicaments antidépresseurs ne devraient pas être l'unique façon de traiter une dépression. Selon lui, il est important de compléter le traitement pharmacologique avec une psychothérapie. Il se montre également ouvert au jumelage d'antidépresseurs avec d'autres traitements dits «naturels» de la dépression (Millepertuis, 5-HTP, SAMe, etc).
Quels sont les effets secondaires?
Les effets secondaires varient énormément d'un médicament à l'autre, mais les plus fréquents sont: maux de tête, nausées, étourdissement, bouche sèche, vision embrouillée, constipation, problèmes urinaires, dérangement de l'estomac, prise de poids, troubles du sommeil, fébrilité et problèmes sexuels. Ils sont habituellement temporaires et diminuent ou disparaissent avec le temps.
Antidépresseurs: pilules du bonheur? --Message edité par slick27 le 2004-05-07 14:58:34--
Par Danielle Arsenault
Au cours des dix dernières années, les médicaments antidépresseurs ont connu un essor fulgurant. En 2003 seulement, plus de 33 millions d'ordonnances ont été remplies au Canada, une augmentation de 12 % par rapport à l'année précédente (source: IMS Health). De plus, les compagnies pharmaceutiques ne cessent de mettre sur le marché de nouvelles pilules «toujours plus efficaces» dans le traitement de la dépression.
Toutefois, nombreux sont ceux qui craignent encore ces «pilules du bonheur». Ont-ils raison? L'industrie pharmaceutique dore-t-elle la pilule? Madame.ca vous propose ce court résumé.
Pour la dépression
Les antidépresseurs sont des médicaments prescrits pour soigner les personnes dépressives. Cependant, ils ne guérissent pas la dépression, mais visent plutôt à atténuer les symptômes de cette maladie qui représente le deuxième motif de consultation médicale au Canada.
À ne pas confondre
Qualifiés de substances psychotropes en vertu de leurs effets sur le système nerveux central et le psychisme, les antidépresseurs sont souvent confondus avec d'autres médicaments psychotropes tels que les anxiolytiques (soulagent l'angoisse), les somnifères (soulagent l'insomnie), les neuroleptiques (contrôlent les psychoses), les stabilisateurs de l'humeur (traitent les troubles bipolaires).
Efficace, mais pas une pilule miracle
Chez les personnes déprimées, on remarque que le niveau de certains neurotransmetteurs tels que la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline est anormalement bas. Ainsi, les antidépresseurs agissent directement sur ces neurotransmetteurs leur permettant de demeurer en plus grande quantité dans la synapse.
Étant donné que la majorité des antidépresseurs sont caractérisés par leur lenteur d'action, cela signifie qu'une personne déprimée traitée avec de tels médicaments doit souvent attendre de quatre à six semaines pour en voir les premiers effets.
Selon l'Association canadienne pour la santé mentale (ACSM), environ 75 % des personnes traitées aux antidépresseurs notent une diminution de leurs symptômes de dépression. Le président de l'Association des médecins psychiatres du Québec, le docteur Brian Bexton précise toutefois que cela ne veut pas dire qu'elles ne sont plus déprimées. Il indique que la rémission complète des symptômes varie plutôt de 40 à 60 %, selon l'antidépresseur utilisé.
D'ailleurs, il mentionne que les médicaments antidépresseurs ne devraient pas être l'unique façon de traiter une dépression. Selon lui, il est important de compléter le traitement pharmacologique avec une psychothérapie. Il se montre également ouvert au jumelage d'antidépresseurs avec d'autres traitements dits «naturels» de la dépression (Millepertuis, 5-HTP, SAMe, etc).
Quels sont les effets secondaires?
Les effets secondaires varient énormément d'un médicament à l'autre, mais les plus fréquents sont: maux de tête, nausées, étourdissement, bouche sèche, vision embrouillée, constipation, problèmes urinaires, dérangement de l'estomac, prise de poids, troubles du sommeil, fébrilité et problèmes sexuels. Ils sont habituellement temporaires et diminuent ou disparaissent avec le temps.
Antidépresseurs: pilules du bonheur? --Message edité par slick27 le 2004-05-07 14:58:34--
Le Curieux a écritPourquoi se doguer.......hey --Message edité par le curieux le 2004-05-07 15:12:01--
Wow merci pour le beau flash...!
J'avoue ne pas comprendre pourquoi se droguer au Ritalin, j'imagine que ca doit procurer un autre buzz que celui que ca me procurait au secondaire quand j'allais en cours.
Wow merci pour le beau flash...!
J'avoue ne pas comprendre pourquoi se droguer au Ritalin, j'imagine que ca doit procurer un autre buzz que celui que ca me procurait au secondaire quand j'allais en cours.
Abysse a écrit
Wow merci pour le beau flash...!
J'avoue ne pas comprendre pourquoi se droguer au Ritalin, j'imagine que ca doit procurer un autre buzz que celui que ca me procurait au secondaire quand j'allais en cours.
Quand tu es adulte , le ritalin fait l'effet inverse , c'est a dire que c'est comme des week up ( chez pas comment l'écrire ! )
Wow merci pour le beau flash...!
J'avoue ne pas comprendre pourquoi se droguer au Ritalin, j'imagine que ca doit procurer un autre buzz que celui que ca me procurait au secondaire quand j'allais en cours.
Quand tu es adulte , le ritalin fait l'effet inverse , c'est a dire que c'est comme des week up ( chez pas comment l'écrire ! )
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