Je suis tannée, à chaque été c'est pareil
À quand les chars à batteries
...y nous pompent le gaz..!!
jaskab a écrit
Ah bien là, c'est un point que je vais prendre en considération!
Au fait, si j'ai toujours mis du régulier dans mon camion, est-ce que ça dérange si je mets du super du jour au lendemain?
La hausse de l'essence, oui, je trouve ça plate, mais d'un autre côté, j'ai besoin de mon véhicule pour travailler et aller faire mes commissions. Alors je ne peux pas boycotter grand chose...
Est-ce que vous croyez que c'était prévu étant donné que la saison touristique commencera bientôt?
Pour ta première question, non ca ne dérange as un moteur de passer à un indice d'octane plus élevé! Le super donne un peu plus de pouvoir aussi. Si le coté écologique t'attire, il y a aussi les essence à l'étanol.
Est-ce que c'était prévue? Le gouvernement a fait faire des enquêtes disant que non il n'y avait rien d'annormal par les années passé lors de la saison estival. Mais entre moi pis toi, avant d'avoir nos voiture à battries, nous ons passe pour des mongole à batterie!
Ah bien là, c'est un point que je vais prendre en considération!
Au fait, si j'ai toujours mis du régulier dans mon camion, est-ce que ça dérange si je mets du super du jour au lendemain?
La hausse de l'essence, oui, je trouve ça plate, mais d'un autre côté, j'ai besoin de mon véhicule pour travailler et aller faire mes commissions. Alors je ne peux pas boycotter grand chose...
Est-ce que vous croyez que c'était prévu étant donné que la saison touristique commencera bientôt?
Pour ta première question, non ca ne dérange as un moteur de passer à un indice d'octane plus élevé! Le super donne un peu plus de pouvoir aussi. Si le coté écologique t'attire, il y a aussi les essence à l'étanol.
Est-ce que c'était prévue? Le gouvernement a fait faire des enquêtes disant que non il n'y avait rien d'annormal par les années passé lors de la saison estival. Mais entre moi pis toi, avant d'avoir nos voiture à battries, nous ons passe pour des mongole à batterie!
C'est dans les plus grandes noirceur que l`on peu admirer la splendeur des étoiles!
Les automobilistes de Saltspring Island, au large de l'île de Vancouver, doivent débourser près de 1,02 $, ce qui semble être un record au pays.
http://www2.sympatico.ca/nouvelles/nati ... 705AU.html
http://www2.sympatico.ca/nouvelles/nati ... 705AU.html
tuberale a écritLe mercredi 12 mai 2004
Pour contrer la hausse du prix de l'essence
Un boycott d'Esso s'organise
Presse Canadienne
Montréal
L'organisme l'Essence à juste prix appelle au boycott de la pétrolière Esso, et ce, jusqu'à ce que le gouvernement du Canada pose un geste pour contrer l'appétit des pétrolières.
Le porte-parole de l'organisme, Frédéric Quintal, fait valoir que, contrairement à ce qu'il affirme, le premier ministre Paul Martin a bel et bien le pouvoir d'agir, à plusieurs niveaux.
Ainsi, à son avis, Ottawa pourrait créer une agence chargée de réglementer les facteurs qui influencent la marge de raffinage, principale raison de la flambée actuelle des prix. Cette agence pourrait, selon M. Quintal, obliger le maintien d'inventaires réalistes et bloquer les fermetures simultanées de multiples raffineries pour leur entretien, afin d'empêcher les ruptures de stock.
Ottawa pourrait également faire pression sur les États-Unis pour harmoniser les réglementations environnementales touchant l'essence.
Enfin, il rappelle que le gouvernement fédéral a octroyé une réduction fiscale de 25 pour cent aux pétrolières en octobre dernier relativement à l'exploration.
Le choix d'Esso comme cible du boycott s'explique par le fait qu'il s'agit de la plus importante pétrolière au monde, qu'elle n'a aucune raffinerie au Québec et que ses stations-services sont des propriétés corporatives. M. Quintal estime que si ces dernières sont privées de revenus, l'entreprise risque de faire pression elle aussi sur le gouvernement fédéral.
Le site web:
http://www.lessenceajusteprix.com/welcome.php?lang=fr
En passant, le site est pratique quand on a besoin de faire le plein
Pour contrer la hausse du prix de l'essence
Un boycott d'Esso s'organise
Presse Canadienne
Montréal
L'organisme l'Essence à juste prix appelle au boycott de la pétrolière Esso, et ce, jusqu'à ce que le gouvernement du Canada pose un geste pour contrer l'appétit des pétrolières.
Le porte-parole de l'organisme, Frédéric Quintal, fait valoir que, contrairement à ce qu'il affirme, le premier ministre Paul Martin a bel et bien le pouvoir d'agir, à plusieurs niveaux.
Ainsi, à son avis, Ottawa pourrait créer une agence chargée de réglementer les facteurs qui influencent la marge de raffinage, principale raison de la flambée actuelle des prix. Cette agence pourrait, selon M. Quintal, obliger le maintien d'inventaires réalistes et bloquer les fermetures simultanées de multiples raffineries pour leur entretien, afin d'empêcher les ruptures de stock.
Ottawa pourrait également faire pression sur les États-Unis pour harmoniser les réglementations environnementales touchant l'essence.
Enfin, il rappelle que le gouvernement fédéral a octroyé une réduction fiscale de 25 pour cent aux pétrolières en octobre dernier relativement à l'exploration.
Le choix d'Esso comme cible du boycott s'explique par le fait qu'il s'agit de la plus importante pétrolière au monde, qu'elle n'a aucune raffinerie au Québec et que ses stations-services sont des propriétés corporatives. M. Quintal estime que si ces dernières sont privées de revenus, l'entreprise risque de faire pression elle aussi sur le gouvernement fédéral.
Le site web:
http://www.lessenceajusteprix.com/welcome.php?lang=fr
En passant, le site est pratique quand on a besoin de faire le plein
Le prix du baril de pétrole atteint un sommet, celui de l'essence à la pompe dépasse 1 $ le litre et les gouvernements n'entendent pas intervenir pour soulager les automobilistes. La hausse du prix de l'essence modifie-t-elle vos comportements?
Ottawa n'a pas l'intention de réduire les taxes fédérales sur l'essence, même si le litre coûte plus d'un dollar à certains endroits. Le ministre des Finances, Ralph Goodale, a affirmé aux Communes que ces taxes serviront à aider financièrement les municipalités qui recevront notamment une partie de la taxe d'accise sur l'essence. Les conservateurs ont accusé le gouvernement de laisser monter les prix du carburant afin de réduire le nombre de conducteurs. Cette mesure permettrait à Ottawa d'atteindre ses objectifs sur la réduction des gaz à effet de serre, selon l'opposition conservatrice.
À Québec, le gouvernement Charest n'a pas l'intention de convoquer les représentants des grandes compagnies pétrolières pour discuter de la hausse du prix de l'essence. À l'Assemblée nationale, le ministre des Ressources naturelles, Pierre Corbeil, a expliqué qu'une expérience semblable menée par Ottawa n'avait rien donné. Il s'est toutefois engagé à rencontrer prochainement les dirigeants de l'Institut canadien des produits pétroliers. L'opposition péquiste a fait remarquer qu'en l'espace d'un mois, l'augmentation de plus de 20 cents du litre d'essence a permis à Québec d'engranger des revenus supplémentaires de 10 millions grâce à la taxe de vente.
Après le sommet atteint, mercredi, pendant la séance boursière, le prix du baril de pétrole est en baisse atteignant 40,45 $US en fin de matinée.
Ottawa n'a pas l'intention de réduire les taxes fédérales sur l'essence, même si le litre coûte plus d'un dollar à certains endroits. Le ministre des Finances, Ralph Goodale, a affirmé aux Communes que ces taxes serviront à aider financièrement les municipalités qui recevront notamment une partie de la taxe d'accise sur l'essence. Les conservateurs ont accusé le gouvernement de laisser monter les prix du carburant afin de réduire le nombre de conducteurs. Cette mesure permettrait à Ottawa d'atteindre ses objectifs sur la réduction des gaz à effet de serre, selon l'opposition conservatrice.
À Québec, le gouvernement Charest n'a pas l'intention de convoquer les représentants des grandes compagnies pétrolières pour discuter de la hausse du prix de l'essence. À l'Assemblée nationale, le ministre des Ressources naturelles, Pierre Corbeil, a expliqué qu'une expérience semblable menée par Ottawa n'avait rien donné. Il s'est toutefois engagé à rencontrer prochainement les dirigeants de l'Institut canadien des produits pétroliers. L'opposition péquiste a fait remarquer qu'en l'espace d'un mois, l'augmentation de plus de 20 cents du litre d'essence a permis à Québec d'engranger des revenus supplémentaires de 10 millions grâce à la taxe de vente.
Après le sommet atteint, mercredi, pendant la séance boursière, le prix du baril de pétrole est en baisse atteignant 40,45 $US en fin de matinée.
L’essence coûte de plus en plus cher, mais les véhicules qui consomment beaucoup sont de plus en plus populaires. Comment expliquez-vous le phénomène?
Les automobilistes ont beau chialer contre la hausse du prix de l’essence, ils n’ont jamais été aussi nombreux à conduire des camions qui coûtent une fortune à faire rouler.
Les automobilistes ont beau chialer contre la hausse du prix de l’essence, ils n’ont jamais été aussi nombreux à conduire des camions qui coûtent une fortune à faire rouler.
Le prix de l’essence, on s’en fout!
Marco Fortier
Les automobilistes ont beau chialer contre la hausse du prix de l’essence, ils n’ont jamais été aussi nombreux à conduire des camions qui coûtent une fortune à faire rouler.
Presque un véhicule sur deux (47 %) vendu au Canada en 2003 était un camion, selon Statistique Canada. Même au Québec, paradis des petites Honda, Toyota et Mazda, les camions et fourgonnettes accaparent 35 % des ventes.
Loin de s’essouffler avec la hausse du prix de l’essence, les ventes de «véhicules utilitaires sport» connaissent la plus forte croissance au Canada, rapporte l’analyste Dennis DesRosiers, de Toronto.
Les ventes de petits «4x4», comme le Mazda Tribute, et celles des gros camions de luxe, comme le Jeep Grand Cherokee, ont ainsi augmenté de 25,4 % et 27 % depuis 1998, indique DesRosiers.
Le litre d’essence est rendu à 94,9 cents ? De quoi se plaignent-ils, ceux qui roulent en gros camions ? Ils ne se plaignent pas, justement.
On ne veut rien savoir
«Le consommateur qui achète un Ford Explorer ne veut pas savoir combien ça coûte de gaz», affirme Serge Tremblay, vendeur chez Ford Mont-Royal, sur le Plateau. «Le gars qui a besoin d’un truck a besoin d’un truck, dit-il. Il va en acheter un même si le gaz est à 2 $ le litre.» Petit détail: «La plupart des acheteurs de camions n’en ont pas besoin. Ils ne vont pas souvent dans le bois», explique le vendeur.
Bref, les gens veulent un gros jouet. Un camion Tonka. Ils veulent s’amuser. À tout prix. Tant pis pour l’environnement et pour la facture d’essence.
«Le gaz à 95 cents, ça ne me dérange pas. On ne peut rien changer. Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse?», dit Alain Thibault, rencontré alors qu’il faisait le plein de sa fourgonnette Pontiac.
Ce père de deux enfants, amateur de camping, aime ça, une fourgonnette. Même si un plein d’essence lui coûte maintenant 65 $.
«De toute façon, ça ne coûte pas beaucoup plus cher d’essence qu’une auto. Et avant, j’avais un petit quatre cylindres: j’avais de la misère à monter les côtes!», dit-il.
Ça fait mal
Un peu plus loin, Jean Fares commence à trouver ça moins drôle, faire le plein de sa Plymouth Voyager. Plutôt que d’engouffrer les 60 ou 65 $ pour remplir le réservoir, il a arrêté à 20 $. Pour protester. Et parce que ça fait mal au cœur…
«Ça coûte cher, c’est incroyable, dit-il. Je n’ai pas le choix d’avoir une minivan, je travaille dans la construction. Mais si on me donnait le choix, j’achèterais quelque chose de plus petit.»
Marco Fortier
Les automobilistes ont beau chialer contre la hausse du prix de l’essence, ils n’ont jamais été aussi nombreux à conduire des camions qui coûtent une fortune à faire rouler.
Presque un véhicule sur deux (47 %) vendu au Canada en 2003 était un camion, selon Statistique Canada. Même au Québec, paradis des petites Honda, Toyota et Mazda, les camions et fourgonnettes accaparent 35 % des ventes.
Loin de s’essouffler avec la hausse du prix de l’essence, les ventes de «véhicules utilitaires sport» connaissent la plus forte croissance au Canada, rapporte l’analyste Dennis DesRosiers, de Toronto.
Les ventes de petits «4x4», comme le Mazda Tribute, et celles des gros camions de luxe, comme le Jeep Grand Cherokee, ont ainsi augmenté de 25,4 % et 27 % depuis 1998, indique DesRosiers.
Le litre d’essence est rendu à 94,9 cents ? De quoi se plaignent-ils, ceux qui roulent en gros camions ? Ils ne se plaignent pas, justement.
On ne veut rien savoir
«Le consommateur qui achète un Ford Explorer ne veut pas savoir combien ça coûte de gaz», affirme Serge Tremblay, vendeur chez Ford Mont-Royal, sur le Plateau. «Le gars qui a besoin d’un truck a besoin d’un truck, dit-il. Il va en acheter un même si le gaz est à 2 $ le litre.» Petit détail: «La plupart des acheteurs de camions n’en ont pas besoin. Ils ne vont pas souvent dans le bois», explique le vendeur.
Bref, les gens veulent un gros jouet. Un camion Tonka. Ils veulent s’amuser. À tout prix. Tant pis pour l’environnement et pour la facture d’essence.
«Le gaz à 95 cents, ça ne me dérange pas. On ne peut rien changer. Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse?», dit Alain Thibault, rencontré alors qu’il faisait le plein de sa fourgonnette Pontiac.
Ce père de deux enfants, amateur de camping, aime ça, une fourgonnette. Même si un plein d’essence lui coûte maintenant 65 $.
«De toute façon, ça ne coûte pas beaucoup plus cher d’essence qu’une auto. Et avant, j’avais un petit quatre cylindres: j’avais de la misère à monter les côtes!», dit-il.
Ça fait mal
Un peu plus loin, Jean Fares commence à trouver ça moins drôle, faire le plein de sa Plymouth Voyager. Plutôt que d’engouffrer les 60 ou 65 $ pour remplir le réservoir, il a arrêté à 20 $. Pour protester. Et parce que ça fait mal au cœur…
«Ça coûte cher, c’est incroyable, dit-il. Je n’ai pas le choix d’avoir une minivan, je travaille dans la construction. Mais si on me donnait le choix, j’achèterais quelque chose de plus petit.»
Pour les besoins de la cause, il faut quand même différencier un gars qui a une fourgonette pour sa famille et un gars qui a un Grand Cherokee...
J'ai une Chevrolte Venture, la "plus économique des fourgonnette", et je consomme beaucoup moins d'essence que bien des gens que je connais avec des voitures.
J'ai une Chevrolte Venture, la "plus économique des fourgonnette", et je consomme beaucoup moins d'essence que bien des gens que je connais avec des voitures.
Le prix du brut s'envole
Mise à jour le mardi 1 juin 2004 à 11 h 47
.
.
Mardi, le prix du pétrole brut atteint un record de 42 $ US (57,42 $ CAN) le baril sur les marchés de New York.
Cette hausse survient à la suite des attentats de la fin de semaine en Arabie saoudite, même si les autorités saoudiennes ont donné l'assurance qu'elles maintiendraient la production. Vingt-deux personnes avaient été tuées à Al-Khoubar, une ville pétrolière de l'est du pays, dans des attentats et une prise d'otages portant la marque d'Al-Qaïda.
De leur côté, les pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole discuteront jeudi de la possibilité d'augmenter leurs quotas de production. « ll y a un quasi-consensus pour augmenter la production », a déclaré mardi le ministre de l'Énergie du Qatar, Abdallah ben Hamad al-Attiya.
Mais seuls l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Koweït sont réellement capables d'augmenter leur production. Les autres pays membres de l'OPEP pompent déjà à plein régime.
.
De nombreux observateurs croient toutefois qu'une telle hausse de production n'affecterait que temporairement les cours mondiaux du pétrole, qui demeureront élevés à cause de la crainte de nouveaux attentats au Moyen-Orient.
Selon la position officielle de l'OPEP, la flambée des cours du pétrole n'est pas causée par un déséquilibre entre l'offre et la demande, mais plutôt par la spéculation et par des facteurs géopolitiques.
Le quota total de l'OPEP est actuellement de 23,5 millions de barils par jour, mais sa production réelle est actuellement de 26 millions de barils par jour.
Le prix du baril de pétrole brut fluctue actuellement autour de 55 $ CAN le baril, son niveau le plus élevé depuis 14 ans. --Message edité par tuberale le 2004-06-01 19:11:05--
Mise à jour le mardi 1 juin 2004 à 11 h 47
.
.
Mardi, le prix du pétrole brut atteint un record de 42 $ US (57,42 $ CAN) le baril sur les marchés de New York.
Cette hausse survient à la suite des attentats de la fin de semaine en Arabie saoudite, même si les autorités saoudiennes ont donné l'assurance qu'elles maintiendraient la production. Vingt-deux personnes avaient été tuées à Al-Khoubar, une ville pétrolière de l'est du pays, dans des attentats et une prise d'otages portant la marque d'Al-Qaïda.
De leur côté, les pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole discuteront jeudi de la possibilité d'augmenter leurs quotas de production. « ll y a un quasi-consensus pour augmenter la production », a déclaré mardi le ministre de l'Énergie du Qatar, Abdallah ben Hamad al-Attiya.
Mais seuls l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Koweït sont réellement capables d'augmenter leur production. Les autres pays membres de l'OPEP pompent déjà à plein régime.
.
De nombreux observateurs croient toutefois qu'une telle hausse de production n'affecterait que temporairement les cours mondiaux du pétrole, qui demeureront élevés à cause de la crainte de nouveaux attentats au Moyen-Orient.
Selon la position officielle de l'OPEP, la flambée des cours du pétrole n'est pas causée par un déséquilibre entre l'offre et la demande, mais plutôt par la spéculation et par des facteurs géopolitiques.
Le quota total de l'OPEP est actuellement de 23,5 millions de barils par jour, mais sa production réelle est actuellement de 26 millions de barils par jour.
Le prix du baril de pétrole brut fluctue actuellement autour de 55 $ CAN le baril, son niveau le plus élevé depuis 14 ans. --Message edité par tuberale le 2004-06-01 19:11:05--