ploloto a écrit
Je me rappelle maintenant, c'est parce qu'on disait que c'était les filles de sa femme, mais il était interdit de dire que c'était les filles de Davey, ce qui portait à confusion.
Hum...? Ils avaient vraiment dit que c'était les filles de sa femme? Parce que là j'aurais bien sûr fait le lien...
Ils ont dit que c'était les filles d'une femme avec qui il avait eu une liaison, si ma mémoire est bonne.
Enfin, ça revient pas mal au même, mais pas pour moi! Remarque tu es probablement plus vite que moi et tu as compris, alors que moi je ne me suis même pas posé la question. M'en foutait pas mal moi de savoir c'était qui!
Je me rappelle cependant que Réjean Tremblay avait écrit à l'époque que toute la ville connaissait le nom des victimes... Et comment donc!
Dave Hilton: Un Coeur au Beurre Noir...
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Boule à mites
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...j'ai hate de voir comment cette histoire va se terminer...
Affaire Hilton
Le Procureur général pourrait poursuivre les médias
Pierre Saint-Arnaud
Presse Canadienne
Montréal
Le ministère de la Justice étudie présentement la possibilité de poursuivre pour outrage au tribunal tous les médias qui ont publié l'identité des victimes de Dave Hilton car l'ordonnance de non-publication émise au moment de son procès est toujours en vigueur, a appris NTR, le service radio de la Presse Canadienne.
«L'ordonnance de non-publication est en vigueur tant qu'un tribunal ne l'a pas modifiée, abrogée ou annulée, a déclaré vendredi le sous-ministre de la Justice aux Affaires criminelles, Claude Simard. Même si le dossier est terminé depuis cinq, dix ou quinze ans, l'ordonnance subsiste.»
En mars 2001, Dave Hilton a été condamné à sept ans d'emprisonnement pour agression sexuelle à l'endroit de deux mineures.
Les victimes ont choisi d'écrire un livre sur leur histoire, mais celui-ci n'est pas encore sur le marché. Cette semaine, le quotidien La Presse a présenté le livre en question à la une et a dévoilé leur identité. La nouvelle a été reprise par tous les médias du Québec et plusieurs autres ailleurs au Canada. Des entrevues ont été réalisées dans les médias électroniques, notamment avec la mère des victimes.
Or, en vertu de l'ordonnance de non-publication, l'identification des victimes demeure interdite. Selon M. Simard, même si les victimes consentent au dévoilement de leur identité, les médias sont techniquement en infraction. La preuve de l'infraction ne serait pas difficile à faire même si tous les médias se débattaient en Cour, croit-il.
Le Procureur général devra maintenant analyser le contexte et évaluer s'il est opportun de poursuivre. D'un côté, le consentement des victimes, qui sont aujourd'hui majeures et qui ont renoncé au bénéfice de la protection de l'ordonnance, tend à rendre caduque une telle poursuite. En contrepartie, le ministère estime qu'il est important de faire valoir le respect des ordonnances par les médias.
Il a noté au passage que le Procureur général n'a pas besoin de l'autorisation des victimes pour intenter des poursuites puisqu'il est très clair dans ce cas-ci que les médias ont violé la loi.
Affaire Hilton
Le Procureur général pourrait poursuivre les médias
Pierre Saint-Arnaud
Presse Canadienne
Montréal
Le ministère de la Justice étudie présentement la possibilité de poursuivre pour outrage au tribunal tous les médias qui ont publié l'identité des victimes de Dave Hilton car l'ordonnance de non-publication émise au moment de son procès est toujours en vigueur, a appris NTR, le service radio de la Presse Canadienne.
«L'ordonnance de non-publication est en vigueur tant qu'un tribunal ne l'a pas modifiée, abrogée ou annulée, a déclaré vendredi le sous-ministre de la Justice aux Affaires criminelles, Claude Simard. Même si le dossier est terminé depuis cinq, dix ou quinze ans, l'ordonnance subsiste.»
En mars 2001, Dave Hilton a été condamné à sept ans d'emprisonnement pour agression sexuelle à l'endroit de deux mineures.
Les victimes ont choisi d'écrire un livre sur leur histoire, mais celui-ci n'est pas encore sur le marché. Cette semaine, le quotidien La Presse a présenté le livre en question à la une et a dévoilé leur identité. La nouvelle a été reprise par tous les médias du Québec et plusieurs autres ailleurs au Canada. Des entrevues ont été réalisées dans les médias électroniques, notamment avec la mère des victimes.
Or, en vertu de l'ordonnance de non-publication, l'identification des victimes demeure interdite. Selon M. Simard, même si les victimes consentent au dévoilement de leur identité, les médias sont techniquement en infraction. La preuve de l'infraction ne serait pas difficile à faire même si tous les médias se débattaient en Cour, croit-il.
Le Procureur général devra maintenant analyser le contexte et évaluer s'il est opportun de poursuivre. D'un côté, le consentement des victimes, qui sont aujourd'hui majeures et qui ont renoncé au bénéfice de la protection de l'ordonnance, tend à rendre caduque une telle poursuite. En contrepartie, le ministère estime qu'il est important de faire valoir le respect des ordonnances par les médias.
Il a noté au passage que le Procureur général n'a pas besoin de l'autorisation des victimes pour intenter des poursuites puisqu'il est très clair dans ce cas-ci que les médias ont violé la loi.
Slick27 a écrit...j'ai hate de voir comment cette histoire va se terminer...
Affaire Hilton
Le Procureur général pourrait poursuivre les médias
Pierre Saint-Arnaud
Presse Canadienne
Montréal
Le ministère de la Justice étudie présentement la possibilité de poursuivre pour outrage au tribunal tous les médias qui ont publié l'identité des victimes de Dave Hilton car l'ordonnance de non-publication émise au moment de son procès est toujours en vigueur, a appris NTR, le service radio de la Presse Canadienne.
«L'ordonnance de non-publication est en vigueur tant qu'un tribunal ne l'a pas modifiée, abrogée ou annulée, a déclaré vendredi le sous-ministre de la Justice aux Affaires criminelles, Claude Simard. Même si le dossier est terminé depuis cinq, dix ou quinze ans, l'ordonnance subsiste.»
En mars 2001, Dave Hilton a été condamné à sept ans d'emprisonnement pour agression sexuelle à l'endroit de deux mineures.
Les victimes ont choisi d'écrire un livre sur leur histoire, mais celui-ci n'est pas encore sur le marché. Cette semaine, le quotidien La Presse a présenté le livre en question à la une et a dévoilé leur identité. La nouvelle a été reprise par tous les médias du Québec et plusieurs autres ailleurs au Canada. Des entrevues ont été réalisées dans les médias électroniques, notamment avec la mère des victimes.
Or, en vertu de l'ordonnance de non-publication, l'identification des victimes demeure interdite. Selon M. Simard, même si les victimes consentent au dévoilement de leur identité, les médias sont techniquement en infraction. La preuve de l'infraction ne serait pas difficile à faire même si tous les médias se débattaient en Cour, croit-il.
Le Procureur général devra maintenant analyser le contexte et évaluer s'il est opportun de poursuivre. D'un côté, le consentement des victimes, qui sont aujourd'hui majeures et qui ont renoncé au bénéfice de la protection de l'ordonnance, tend à rendre caduque une telle poursuite. En contrepartie, le ministère estime qu'il est important de faire valoir le respect des ordonnances par les médias.
Il a noté au passage que le Procureur général n'a pas besoin de l'autorisation des victimes pour intenter des poursuites puisqu'il est très clair dans ce cas-ci que les médias ont violé la loi.
Franchement , ça serait ridicule , s'il y a poursuite !!!! C'est les victimes eux même qui ce sont dévoilés c'est normal quand un livre sort que les médis en parle ! surtout quand c'est croustillant
Affaire Hilton
Le Procureur général pourrait poursuivre les médias
Pierre Saint-Arnaud
Presse Canadienne
Montréal
Le ministère de la Justice étudie présentement la possibilité de poursuivre pour outrage au tribunal tous les médias qui ont publié l'identité des victimes de Dave Hilton car l'ordonnance de non-publication émise au moment de son procès est toujours en vigueur, a appris NTR, le service radio de la Presse Canadienne.
«L'ordonnance de non-publication est en vigueur tant qu'un tribunal ne l'a pas modifiée, abrogée ou annulée, a déclaré vendredi le sous-ministre de la Justice aux Affaires criminelles, Claude Simard. Même si le dossier est terminé depuis cinq, dix ou quinze ans, l'ordonnance subsiste.»
En mars 2001, Dave Hilton a été condamné à sept ans d'emprisonnement pour agression sexuelle à l'endroit de deux mineures.
Les victimes ont choisi d'écrire un livre sur leur histoire, mais celui-ci n'est pas encore sur le marché. Cette semaine, le quotidien La Presse a présenté le livre en question à la une et a dévoilé leur identité. La nouvelle a été reprise par tous les médias du Québec et plusieurs autres ailleurs au Canada. Des entrevues ont été réalisées dans les médias électroniques, notamment avec la mère des victimes.
Or, en vertu de l'ordonnance de non-publication, l'identification des victimes demeure interdite. Selon M. Simard, même si les victimes consentent au dévoilement de leur identité, les médias sont techniquement en infraction. La preuve de l'infraction ne serait pas difficile à faire même si tous les médias se débattaient en Cour, croit-il.
Le Procureur général devra maintenant analyser le contexte et évaluer s'il est opportun de poursuivre. D'un côté, le consentement des victimes, qui sont aujourd'hui majeures et qui ont renoncé au bénéfice de la protection de l'ordonnance, tend à rendre caduque une telle poursuite. En contrepartie, le ministère estime qu'il est important de faire valoir le respect des ordonnances par les médias.
Il a noté au passage que le Procureur général n'a pas besoin de l'autorisation des victimes pour intenter des poursuites puisqu'il est très clair dans ce cas-ci que les médias ont violé la loi.
Franchement , ça serait ridicule , s'il y a poursuite !!!! C'est les victimes eux même qui ce sont dévoilés c'est normal quand un livre sort que les médis en parle ! surtout quand c'est croustillant
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Effectivement, dans le passé, on disait que c'était les filles de sa femme, donc je supposais que c'était ses belles-filles.
Depuis cette nouvelle récente, je me suis dit, hein, c'était ses propres filles, en ce moment, je vous avoue que je ne comprenais plus rien. Or en lisant vos commentaires, je ne suis le seul qui était un peu mêlé.
On dirait que le traitement est différent quand c'est une personnalité connue. Les gens ont l'air fou de continuer de l'adoré et d'avoir cru en son innocence.
Pourquoi faire du mal à ses propres filles? Je trouve que les incestueux s'en sortent très bien grâce aux jeunes qui sont mineurs. Je commence à être tanné que la justice exige qu'on taise l'identité des jeunes afin de ne pas décourager les autres de porter plainte. C'est amplifier les tabous et encourager l'inceste dans le secret familiale ce que je pense.
Et bien, les filles de Dave Hilton font très bien de dévoiler les faits afin d'encourager les autres filles à dénoncer l'incestueux.
Depuis cette nouvelle récente, je me suis dit, hein, c'était ses propres filles, en ce moment, je vous avoue que je ne comprenais plus rien. Or en lisant vos commentaires, je ne suis le seul qui était un peu mêlé.
On dirait que le traitement est différent quand c'est une personnalité connue. Les gens ont l'air fou de continuer de l'adoré et d'avoir cru en son innocence.
Pourquoi faire du mal à ses propres filles? Je trouve que les incestueux s'en sortent très bien grâce aux jeunes qui sont mineurs. Je commence à être tanné que la justice exige qu'on taise l'identité des jeunes afin de ne pas décourager les autres de porter plainte. C'est amplifier les tabous et encourager l'inceste dans le secret familiale ce que je pense.
Et bien, les filles de Dave Hilton font très bien de dévoiler les faits afin d'encourager les autres filles à dénoncer l'incestueux.
Moi aussi je trouve ça affreux C'est brisé l'enfance,l'adolescence,et puis leurs vies de femme.Comment voulez vous quelles soient heureuses après s'avoir fait traitée comme ça.Ses hommes là devraient pas vivre.Mais je trouve que la justice pas assez sévère envers eux.Pour moi ses filles là on toute mon admiration de l'avoir dénoncer.Et j'espère qui vont pouvoir se sortir de tout ça et être heureuses pareilles elles le méritent grandement.
J'en ai connu des hommes comme Davey lors de travail antérieur.
C'est de la scrap, il n'y a rien à faire avec cela. Violent, alcoolique, menteur, manipulateur, obsédé, controleur. Ils partent de vraiment trop loin pour pouvoir les rescaper. Ils ne sont intéressés qu'à se faire du fun sans le sens moral. Une petite vie, quoi et beaucoup beaucoup de passion. Quand ils sont sous, ils peuvent faire n'importe quoi et ils s'en foutent.
C'est de la scrap, il n'y a rien à faire avec cela. Violent, alcoolique, menteur, manipulateur, obsédé, controleur. Ils partent de vraiment trop loin pour pouvoir les rescaper. Ils ne sont intéressés qu'à se faire du fun sans le sens moral. Une petite vie, quoi et beaucoup beaucoup de passion. Quand ils sont sous, ils peuvent faire n'importe quoi et ils s'en foutent.
ploloto a écritJ'en ai connu des hommes comme Davey lors de travail antérieur.
C'est de la scrap, il n'y a rien à faire avec cela. Violent, alcoolique, menteur, manipulateur, obsédé, controleur. Ils partent de vraiment trop loin pour pouvoir les rescaper. Ils ne sont intéressés qu'à se faire du fun sans le sens moral. Une petite vie, quoi et beaucoup beaucoup de passion. Quand ils sont sous, ils peuvent faire n'importe quoi et ils s'en foutent.
Tu as bien raison. Et dire qu'on dépense une fortune avec nos impôts en thérapie pour soigner ces hommes fous, alors que les spécialistes savent très bien que les agresseurs ne changeront jamais.
C'est de la scrap, il n'y a rien à faire avec cela. Violent, alcoolique, menteur, manipulateur, obsédé, controleur. Ils partent de vraiment trop loin pour pouvoir les rescaper. Ils ne sont intéressés qu'à se faire du fun sans le sens moral. Une petite vie, quoi et beaucoup beaucoup de passion. Quand ils sont sous, ils peuvent faire n'importe quoi et ils s'en foutent.
Tu as bien raison. Et dire qu'on dépense une fortune avec nos impôts en thérapie pour soigner ces hommes fous, alors que les spécialistes savent très bien que les agresseurs ne changeront jamais.
Je suis nouvelle et je suis contente d'être avec vous autres.Vos écrits sont très intelligents.Et j'aimerais faire partie de votre gang,vous m'avez l'air d'une gang super et sympathique.Pour Hilton je suis entièrement d'accord avec vous autres .Trop vieux pour changer et en plus il a pas de remords.À bientôt.
Nathacha a écritJe suis nouvelle et je suis contente d'être avec vous autres.Vos écrits sont très intelligents.Et j'aimerais faire partie de votre gang,vous m'avez l'air d'une gang super et sympathique.Pour Hilton je suis entièrement d'accord avec vous autres .Trop vieux pour changer et en plus il a pas de remords.À bientôt.
Bienvenue a toi Natacha, Et au Peuple de Quebec
Bienvenue a toi Natacha, Et au Peuple de Quebec
room38 a écrit
Tu as bien raison. Et dire qu'on dépense une fortune avec nos impôts en thérapie pour soigner ces hommes fous, alors que les spécialistes savent très bien que les agresseurs ne changeront jamais.
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Tu as bien raison. Et dire qu'on dépense une fortune avec nos impôts en thérapie pour soigner ces hommes fous, alors que les spécialistes savent très bien que les agresseurs ne changeront jamais.
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Slick27 a écrit
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Bah pourquoi pas? Mais sérieusement, la prison à vie ou bien la castration totale avec des travaux communautaires à vie comme ramasser les déchets trainés sur la rue ou sur le gazon, puisque les fonctionnaires ne peuvent pas tous les faire.
Soyons réalistes, ces maniaques ne sont jamais assez punis et n'aucun remords ce qu'ils ont fait, puisque pour eux, ce n'est pas leur faute, au contraire, c'est la faute des victimes ce qui leurs arrivent. Sincèrement, on est une société qui est menée par un monde d'hommes, donc les hommes malades de sexe ne seront jamais assez punis pour les sévices faites aux femmes, aux enfants, et à leurs propres enfants.
Notre société est réglèe selon les normes des hommes, donc comment voulez-vous que les criminels malades de sexe puissent être punis sérieusement et sévèrement? Voler de l'argent à l'autrui est plus important que de violer un enfant ou une femme. L'argent mène le monde ce qui est la triste réalité de notre époque.
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Bah pourquoi pas? Mais sérieusement, la prison à vie ou bien la castration totale avec des travaux communautaires à vie comme ramasser les déchets trainés sur la rue ou sur le gazon, puisque les fonctionnaires ne peuvent pas tous les faire.
Soyons réalistes, ces maniaques ne sont jamais assez punis et n'aucun remords ce qu'ils ont fait, puisque pour eux, ce n'est pas leur faute, au contraire, c'est la faute des victimes ce qui leurs arrivent. Sincèrement, on est une société qui est menée par un monde d'hommes, donc les hommes malades de sexe ne seront jamais assez punis pour les sévices faites aux femmes, aux enfants, et à leurs propres enfants.
Notre société est réglèe selon les normes des hommes, donc comment voulez-vous que les criminels malades de sexe puissent être punis sérieusement et sévèrement? Voler de l'argent à l'autrui est plus important que de violer un enfant ou une femme. L'argent mène le monde ce qui est la triste réalité de notre époque.
Slick27 a écrit
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Une solution simple, lors de leur incarcération, ne pas les mettres à l'écart des autres prisonniers...
Quelques fois les motards, et les autres gros criminel savent mieux rendre la justice au victime d'inceste, de viol que les tribunaux
...alors que devrait-on faire, s'ils ne changeant pas...!?
Les gazés seraient une solution..!? ...voyons voir comment on interprète mon propos ;)
Une solution simple, lors de leur incarcération, ne pas les mettres à l'écart des autres prisonniers...
Quelques fois les motards, et les autres gros criminel savent mieux rendre la justice au victime d'inceste, de viol que les tribunaux
C'est bobépine ou bépine SVP
bobépine a écrit
Une solution simple, lors de leur incarcération, ne pas les mettres à l'écart des autres prisonniers...
Quelques fois les motards, et les autres gros criminel savent mieux rendre la justice au victime d'inceste, de viol que les tribunaux
Je ne suis pas souvent d'accord avec toi, mais cette fois-ci, ton commentaire est génial, parce que ce serait la punition la plus cruelle pour ces malades, surtout ceux qui font du mal aux enfants.
Une solution simple, lors de leur incarcération, ne pas les mettres à l'écart des autres prisonniers...
Quelques fois les motards, et les autres gros criminel savent mieux rendre la justice au victime d'inceste, de viol que les tribunaux
Je ne suis pas souvent d'accord avec toi, mais cette fois-ci, ton commentaire est génial, parce que ce serait la punition la plus cruelle pour ces malades, surtout ceux qui font du mal aux enfants.
Jeannie et Anne-Marie Hilton lancent leur livre Un coeur au beurre noir, dans lequel elles lèvent le voile sur la violence et les agressions sexuelles infligées par leur père, le boxeur Dave Hilton, tout au long de leur enfance.
L'aînée des deux soeurs Hilton, Jeannie, a déclaré avoir été «la femme de Dave Hilton» pendant son adolescence, assumant les tâches domestiques et subissant les abus de son père. La jeune femme de 21 ans, mère de deux enfants, souhaite que son récit aide les jeunes filles et garçons aux prises avec des situations similaires.
Quant à Dave Hilton, il nie toujours les accusations de ses deux filles. Il a été condamné pour agressions sexuelles en 2001 et est maintenant emprisonné au pénitencier de La Macaza, dans les Laurentides, où il purge une peine de sept ans.
Slick27 a écrit
Jeannie et Anne-Marie Hilton lancent leur livre Un coeur au beurre noir, dans lequel elles lèvent le voile sur la violence et les agressions sexuelles infligées par leur père, le boxeur Dave Hilton, tout au long de leur enfance.
L'aînée des deux soeurs Hilton, Jeannie, a déclaré avoir été «la femme de Dave Hilton» pendant son adolescence, assumant les tâches domestiques et subissant les abus de son père. La jeune femme de 21 ans, mère de deux enfants, souhaite que son récit aide les jeunes filles et garçons aux prises avec des situations similaires.
Quant à Dave Hilton, il nie toujours les accusations de ses deux filles. Il a été condamné pour agressions sexuelles en 2001 et est maintenant emprisonné au pénitencier de La Macaza, dans les Laurentides, où il purge une peine de sept ans.
la photo es-ce le couvert du livre ? si oui je trouve ça grave qu'elle mettre la photo de son père !!!
Jeannie et Anne-Marie Hilton lancent leur livre Un coeur au beurre noir, dans lequel elles lèvent le voile sur la violence et les agressions sexuelles infligées par leur père, le boxeur Dave Hilton, tout au long de leur enfance.
L'aînée des deux soeurs Hilton, Jeannie, a déclaré avoir été «la femme de Dave Hilton» pendant son adolescence, assumant les tâches domestiques et subissant les abus de son père. La jeune femme de 21 ans, mère de deux enfants, souhaite que son récit aide les jeunes filles et garçons aux prises avec des situations similaires.
Quant à Dave Hilton, il nie toujours les accusations de ses deux filles. Il a été condamné pour agressions sexuelles en 2001 et est maintenant emprisonné au pénitencier de La Macaza, dans les Laurentides, où il purge une peine de sept ans.
la photo es-ce le couvert du livre ? si oui je trouve ça grave qu'elle mettre la photo de son père !!!
