bobépine a écrit
Les terroristes ont le même agenda que les présidentiel
J'en viens même à croire qu'ils ont le même attaché de presse
Les terroristes ont le même agenda que celui de la peur. Parle en aux Russes. C'est simple la peur 365 jours par années.
Pour ce qui est de ces articles qui sortent, dites-vous bien que 80% des américains ne l'ont pas vu. C'est pas compliqué, pour ce qui est de l'actualité hors de leur petite ville ils ne sont au courant de rien.
Croyez-vous que Bush sera réelu...?
Un scoop qui vire au scandale
Mise à jour le vendredi 17 septembre 2004 à 20 h 38
La polémique sur l'authenticité de documents sur le passé militaire du président Bush, présentés au réseau CBS, secoue les médias américains.
Le 8 septembre, l'émission Sixty Minutes diffusait un reportage de Dan Rather. Le journaliste vedette y appuyait la version de ceux qui accusent le président de ne pas avoir complété son service dans la garde nationale durant la guerre du Vietnam.
Attribués à un ancien commandant de la garde nationale dans les années 1970, le colonel Jerry Killian, aujourd'hui décédé, les documents font état de pressions venues de haut pour enjoliver les états de service de George W. Bush, qui ne se serait pas présenté à son examen médical et qui aurait souvent brillé par son absence aux enraînements.
Au lendemain de la diffusion du reportage, le Washington Post a remis en question l'authenticité des documents incriminants.
Des experts ont même affirmé qu'ils avaient été produits avec un ordinateur contemporain et non avec une machine à écrire de l'époque.
Le réseau CBS, qui défend son journaliste, a invité en ondes la secrétaire du colonel Jerry Killian, Marian Carr Knox, qui a dit ne pas se souvenir d'avoir tapé les documents en question, mais a affirmé que leur contenu était néanmoins véridique.
Mais cela n'a pas suffi pour calmer les critiques envers le journaliste vedette de CBS, âgé de 72 ans. Le milieu journalistique lui reproche de ne pas avoir suffisamment vérifié ses sources, d'autant plus que le reportage risquait d'avoir une incidence sur la campagne présidentielle.
Quant aux républicains, ils ne se gênent pas pour critiquer son « manque d'objectivité », que plusieurs d'entre eux lui reprochent d'ailleurs depuis des années.
En 1988, par exemple, une entrevue qu'il a réalisée avec George Bush père, et qui a dégénéré en affrontement verbal, a donné l'impression à certains républicains que Dan Rather était démocrate. En 2002, il a semblé leur donné raison en se présentant à une campagne de financement des démocrates au Texas.
Mise à jour le vendredi 17 septembre 2004 à 20 h 38
La polémique sur l'authenticité de documents sur le passé militaire du président Bush, présentés au réseau CBS, secoue les médias américains.
Le 8 septembre, l'émission Sixty Minutes diffusait un reportage de Dan Rather. Le journaliste vedette y appuyait la version de ceux qui accusent le président de ne pas avoir complété son service dans la garde nationale durant la guerre du Vietnam.
Attribués à un ancien commandant de la garde nationale dans les années 1970, le colonel Jerry Killian, aujourd'hui décédé, les documents font état de pressions venues de haut pour enjoliver les états de service de George W. Bush, qui ne se serait pas présenté à son examen médical et qui aurait souvent brillé par son absence aux enraînements.
Au lendemain de la diffusion du reportage, le Washington Post a remis en question l'authenticité des documents incriminants.
Des experts ont même affirmé qu'ils avaient été produits avec un ordinateur contemporain et non avec une machine à écrire de l'époque.
Le réseau CBS, qui défend son journaliste, a invité en ondes la secrétaire du colonel Jerry Killian, Marian Carr Knox, qui a dit ne pas se souvenir d'avoir tapé les documents en question, mais a affirmé que leur contenu était néanmoins véridique.
Mais cela n'a pas suffi pour calmer les critiques envers le journaliste vedette de CBS, âgé de 72 ans. Le milieu journalistique lui reproche de ne pas avoir suffisamment vérifié ses sources, d'autant plus que le reportage risquait d'avoir une incidence sur la campagne présidentielle.
Quant aux républicains, ils ne se gênent pas pour critiquer son « manque d'objectivité », que plusieurs d'entre eux lui reprochent d'ailleurs depuis des années.
En 1988, par exemple, une entrevue qu'il a réalisée avec George Bush père, et qui a dégénéré en affrontement verbal, a donné l'impression à certains républicains que Dan Rather était démocrate. En 2002, il a semblé leur donné raison en se présentant à une campagne de financement des démocrates au Texas.
"Le Monde selon Bush", de France 2, diffusé sur RDI mardi et mercredi
2004-09-20 16:31:00
PARIS (CP) - "Fils gâté d'une famille fortunée" selon un conseiller de Ronald Reagan, "étudiant médiocre" de son propre aveu, alcoolique repenti redécouvrant Jésus grâce à l'Eglise évangélique, George W. Bush a remporté la course à la Maison-Blanche au terme de "l'élection la plus controversée et la plus confuse de toute l'histoire politique américaine".
Dès ses premières minutes, "Le Monde selon Bush", documentaire de William Karel diffusé ce mardi et mercredi sur RDI, à 20 h, donne le ton: s'appuyant sur des témoignages solides, il dresse en 90 minutes un réquisitoire implacable contre le 42e président des Etats-Unis, sa famille, son entourage, leurs méthodes d'exercice du pouvoir et de lutte contre le terrorisme.
Qu'a accompli M. Bush depuis son élection? Grâce à quels appuis et dans quel but? Du 11 septembre 2001 à la guerre en Irak, le réalisateur de "CIA: guerres secrètes" offre au public le spectre effroyable des manipulations des néo-conservateurs au pouvoir et un portrait à la Dorian Gray de la famille Bush...
Le grand-père, Prescott, servait de banquier aux nazis, tandis que George Bush père a collaboré avec Saddam Hussein durant la guerre Iran-Irak. George Bush fils, lui, se croit "investi d'une mission divine: promouvoir une vision biblique de la politique menée par les Etats-Unis".
Etroitement lié à la droite chrétienne, bigote et sioniste, l'homme prie chaque jour dans le bureau ovale avec son équipe. Tel un chrétien illuminé, ancien sous-secrétaire adjoint à la Défense chargé des renseignements, le général William Boykin, prêche "la croisade contre l'Islam", tandis que le télévangéliste Jerry Falwell, chef de file des chrétiens ultra, assure que "Mahomet était un terroriste".
Mais surtout, William Karel se penche sur l'équipe Bush: Paul Wolfowitz, numéro 2 du Pentagone, grand défenseur d'Israël, Richard Perle, conseiller présidentiel surnommé le "Prince des ténèbres", ou encore Dick Cheney, Karl Rove, Colin Powell et Donald Rumsfeld, tous liés à l'industrie d'armement américaine.
Sans compter l'inquiétant Franck Carlucci, ancien sous-directeur de la CIA aujourd'hui à la tête de Carlyle, le plus important fonds d'investissement privé américain, lié au lobby saoudien et à la famille Ben Laden...
Objectif? Remodeler le Moyen-Orient en attaquant l'Irak, s'enrichir grâce à des contrats d'armement et de pétrole, quitte à "transformer l'art subtil de la diplomatie en menaces" et mensonges, déplore le sénateur démocrate Robert Byrd.
Pour cela, ils n'hésitent pas à lier les attentats du 11 septembre au régime de Saddam Hussein, mentir sur l'existence d'armes de destruction massive en Irak, discréditer ceux qui affirment le contraire, comme le chef des inspecteurs de l'ONU, Hans Blix, ou les diplomates Joe Wilson et David Kay.
C'est une "petite mafia bien organisée", assure Robert Steele, ancien cadre de la CIA, pour qui l'Amérique a été "politiquement parlant la prostituée des Saoudiens pendant les 40 dernières années".
"Ce sont tous des escrocs" pour qui la "corruption", c'est "faire des affaires", renchérit Robert Baer, ancien agent de la CIA, avant
d'ironiser: "On commence à ressembler à un pays du tiers-monde, non? A une république de banane..."
William Karel dénonce aussi les liens entre l'Arabie saoudite, "mère nourricière du terrorisme" selon un témoin, et les néo-conservateurs, avec cette conclusion terrible de l'historien Joseph Trento: George W. Bush "s'est trompé de pays": "S'il voulait vraiment faire la guerre contre le terrorisme, il aurait dû envahir l'Arabie saoudite, pas l'Irak"...
Au début du documentaire, l'écrivain américain Norman Mailer confie,
pince-sans-rire: "Nous avons le pire président de l'histoire des Etats-Unis. Il est ignorant, arrogant, totalement stupide dans tous les domaines, sauf un: il a su se faire aimer par une large partie de la population - la moins intelligente - qui est très contente de lui, car devant l'étendue de sa bêtise, ils peuvent se dire: 'Formidable! Si ce crétin peut être président, pourquoi pas moi?' ".
2004-09-20 16:31:00
PARIS (CP) - "Fils gâté d'une famille fortunée" selon un conseiller de Ronald Reagan, "étudiant médiocre" de son propre aveu, alcoolique repenti redécouvrant Jésus grâce à l'Eglise évangélique, George W. Bush a remporté la course à la Maison-Blanche au terme de "l'élection la plus controversée et la plus confuse de toute l'histoire politique américaine".
Dès ses premières minutes, "Le Monde selon Bush", documentaire de William Karel diffusé ce mardi et mercredi sur RDI, à 20 h, donne le ton: s'appuyant sur des témoignages solides, il dresse en 90 minutes un réquisitoire implacable contre le 42e président des Etats-Unis, sa famille, son entourage, leurs méthodes d'exercice du pouvoir et de lutte contre le terrorisme.
Qu'a accompli M. Bush depuis son élection? Grâce à quels appuis et dans quel but? Du 11 septembre 2001 à la guerre en Irak, le réalisateur de "CIA: guerres secrètes" offre au public le spectre effroyable des manipulations des néo-conservateurs au pouvoir et un portrait à la Dorian Gray de la famille Bush...
Le grand-père, Prescott, servait de banquier aux nazis, tandis que George Bush père a collaboré avec Saddam Hussein durant la guerre Iran-Irak. George Bush fils, lui, se croit "investi d'une mission divine: promouvoir une vision biblique de la politique menée par les Etats-Unis".
Etroitement lié à la droite chrétienne, bigote et sioniste, l'homme prie chaque jour dans le bureau ovale avec son équipe. Tel un chrétien illuminé, ancien sous-secrétaire adjoint à la Défense chargé des renseignements, le général William Boykin, prêche "la croisade contre l'Islam", tandis que le télévangéliste Jerry Falwell, chef de file des chrétiens ultra, assure que "Mahomet était un terroriste".
Mais surtout, William Karel se penche sur l'équipe Bush: Paul Wolfowitz, numéro 2 du Pentagone, grand défenseur d'Israël, Richard Perle, conseiller présidentiel surnommé le "Prince des ténèbres", ou encore Dick Cheney, Karl Rove, Colin Powell et Donald Rumsfeld, tous liés à l'industrie d'armement américaine.
Sans compter l'inquiétant Franck Carlucci, ancien sous-directeur de la CIA aujourd'hui à la tête de Carlyle, le plus important fonds d'investissement privé américain, lié au lobby saoudien et à la famille Ben Laden...
Objectif? Remodeler le Moyen-Orient en attaquant l'Irak, s'enrichir grâce à des contrats d'armement et de pétrole, quitte à "transformer l'art subtil de la diplomatie en menaces" et mensonges, déplore le sénateur démocrate Robert Byrd.
Pour cela, ils n'hésitent pas à lier les attentats du 11 septembre au régime de Saddam Hussein, mentir sur l'existence d'armes de destruction massive en Irak, discréditer ceux qui affirment le contraire, comme le chef des inspecteurs de l'ONU, Hans Blix, ou les diplomates Joe Wilson et David Kay.
C'est une "petite mafia bien organisée", assure Robert Steele, ancien cadre de la CIA, pour qui l'Amérique a été "politiquement parlant la prostituée des Saoudiens pendant les 40 dernières années".
"Ce sont tous des escrocs" pour qui la "corruption", c'est "faire des affaires", renchérit Robert Baer, ancien agent de la CIA, avant
d'ironiser: "On commence à ressembler à un pays du tiers-monde, non? A une république de banane..."
William Karel dénonce aussi les liens entre l'Arabie saoudite, "mère nourricière du terrorisme" selon un témoin, et les néo-conservateurs, avec cette conclusion terrible de l'historien Joseph Trento: George W. Bush "s'est trompé de pays": "S'il voulait vraiment faire la guerre contre le terrorisme, il aurait dû envahir l'Arabie saoudite, pas l'Irak"...
Au début du documentaire, l'écrivain américain Norman Mailer confie,
pince-sans-rire: "Nous avons le pire président de l'histoire des Etats-Unis. Il est ignorant, arrogant, totalement stupide dans tous les domaines, sauf un: il a su se faire aimer par une large partie de la population - la moins intelligente - qui est très contente de lui, car devant l'étendue de sa bêtise, ils peuvent se dire: 'Formidable! Si ce crétin peut être président, pourquoi pas moi?' ".
Si Ben Laden est arrêté juste avant les élections, ca ne serait pas une surprise pour personne, tout le monde en parle, on saura alors que tout était arrangé à l,avance, il a bien des tours dans son sac notre Bush pour avoir triché lors des dernières élections, je vais encore passer mes journées devant la télé en novembre pour voir comment ça va tourner, espérant que je ne me choquerai pas comme la dernière fois en voyant le recomptage , leur système de votage est pourri. Paule
Paule
Slick27 a écritOn sait maintenant que Georges Bush, pour ne pas aller au Vietnam, a fait son service militaire dans la Garde nationale du Texas, au cas où le Texas serait attaqué sournoisement par l'Arkansas. D'autre part plus personne ne semble croire aux arguments avancés en mars 2003 pour justifier l'attaque contre l'Irak. Certains (dont Johnny Depp, le pirate) disent même que tout cela n'était qu'une question de "business", une occasion de s'en mettre plein les poches.
Pourtant, la popularité de Bush semble se maintenir aux États-Unis, malgré une légère baisse tout à fait récente dans les sondages, qui serait due uniquement, selon les observateurs, à une baisse dans le rendement de l'économie américaine.
Les calculs de l'Équipe Bush ont-ils été bons? Cette équipe pour le moins audacieuse, pendant que Tony Blair en Angleterre se démène pour ne pas couler dans les sables mouvants, va-t-elle réussir malgré tout à faire réélire leur candidat?
C'est à espérer que cette fois la conscience collective américaine ne soit pas que la somme des inconsciences individuelles... mais j'ai comme un doute... Bush est un habile manipulateur.
D'une part, le règne de Bush fils aura coûté cher... non seulement en argent mais en pertes humaines notamment parmi les leurs et il devient de plus en plus évident que la source en est un manque de jugement maladif de la part de celui qu'ils ont élu. S'être planté à ce point, pas facile à admettre... à preuve, malgré la clarté de sa trahison face à son peuple et à ses institutions, il n'a pas encore à faire face à sa destitution... Pourtant, les fait reprochés sont pas mal plus importants qu'un Lewinsky... mais justement peut être trop inciminants et graves pour être faciles à admettre, l'humain n'aime pas se sentir floué... il aime mieux se laisser charmer... et dans le genre flatteur, Bush est pas mal!
D'autre part, et c'est sans doute là le plus important, jusqu'où la campagne de peur qui tient en otage le peuple américain sous une menace constante et omniprésente ira-t-elle? Non pas que cette menace ne soit pas réelle mais on en joue. Bush la rapelle, la ravive et n'omet pas de rappeler comme ils ont besoin de son implacable et divine protection. Une arme redoutable que la peur qui, bien dosée, est capable d'altérer le jugement et d'attiser le fanatisme le plus aveugle et préserver le pouvoir de celui que l'on reconnait comme protecteur, l'être vulnérable cherchera toujours un héro même s'il doit le construire de toute pièce... tous les gourous le savent...
...wow Slicko...super pertinent en ce Jour J de relire tout ça...(tousse!) ;)
Pourtant, la popularité de Bush semble se maintenir aux États-Unis, malgré une légère baisse tout à fait récente dans les sondages, qui serait due uniquement, selon les observateurs, à une baisse dans le rendement de l'économie américaine.
Les calculs de l'Équipe Bush ont-ils été bons? Cette équipe pour le moins audacieuse, pendant que Tony Blair en Angleterre se démène pour ne pas couler dans les sables mouvants, va-t-elle réussir malgré tout à faire réélire leur candidat?
C'est à espérer que cette fois la conscience collective américaine ne soit pas que la somme des inconsciences individuelles... mais j'ai comme un doute... Bush est un habile manipulateur.
D'une part, le règne de Bush fils aura coûté cher... non seulement en argent mais en pertes humaines notamment parmi les leurs et il devient de plus en plus évident que la source en est un manque de jugement maladif de la part de celui qu'ils ont élu. S'être planté à ce point, pas facile à admettre... à preuve, malgré la clarté de sa trahison face à son peuple et à ses institutions, il n'a pas encore à faire face à sa destitution... Pourtant, les fait reprochés sont pas mal plus importants qu'un Lewinsky... mais justement peut être trop inciminants et graves pour être faciles à admettre, l'humain n'aime pas se sentir floué... il aime mieux se laisser charmer... et dans le genre flatteur, Bush est pas mal!
D'autre part, et c'est sans doute là le plus important, jusqu'où la campagne de peur qui tient en otage le peuple américain sous une menace constante et omniprésente ira-t-elle? Non pas que cette menace ne soit pas réelle mais on en joue. Bush la rapelle, la ravive et n'omet pas de rappeler comme ils ont besoin de son implacable et divine protection. Une arme redoutable que la peur qui, bien dosée, est capable d'altérer le jugement et d'attiser le fanatisme le plus aveugle et préserver le pouvoir de celui que l'on reconnait comme protecteur, l'être vulnérable cherchera toujours un héro même s'il doit le construire de toute pièce... tous les gourous le savent...
...wow Slicko...super pertinent en ce Jour J de relire tout ça...(tousse!) ;)