quel qu'un peut t'il m,expliquer:
bon je sais la SAQ est en greve plusieurs sont d,ailleurs fermer mais au nouvelle il posait comme question : SI la greve se poursuit serez-vous tenter de franchir les piquets de greve?????
quoi on peut pas rentrer dans les SAQ ouvertes ???? je comprend pus la ?????
SAQ????
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Boule à mites
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Je dois vous avouer qu'après le refus massif des employés au dernier vote...ça me tente un peu plus d'y aller...
Ca fait près d'un mois que je me "prive" d'aller me chercher un bon vin rouge...pis en plus le seul SAQ ouvert dans ma région c'est dans ma ville...
Je ne sens pas vraiment de sympathie du public envers les employes en grève...c'est plate mais c'est ça...
20 piasses de l'heure pour scanner des bouteilles...messemble que c'est pas si pire que ça...
Ca fait près d'un mois que je me "prive" d'aller me chercher un bon vin rouge...pis en plus le seul SAQ ouvert dans ma région c'est dans ma ville...
Je ne sens pas vraiment de sympathie du public envers les employes en grève...c'est plate mais c'est ça...
20 piasses de l'heure pour scanner des bouteilles...messemble que c'est pas si pire que ça...
Mon père est un ex président de syndicat dans une grosse usine de ma ville. J'ai grandit avec des idées pas mal de gauches et je suis devenue une adulte très "pro-peuple" mais là, j'ai ben d'la misère à cautionner ces travailleurs qui gagnent un salaire très raisonnable pour leur tâches me semble!
Est-ce que je ferais fit des grêveurs? Hmmmmmmmmmmmmmmmmm... Je crois que je peux me passer de vin quand même.
Est-ce que je ferais fit des grêveurs? Hmmmmmmmmmmmmmmmmm... Je crois que je peux me passer de vin quand même.
https://youtube.com/watch?v=PYyabBpLJ_k
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
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Les employés ne se plaignent pas des salaires, mais des horaires de travail. Ils peuvent être appelés à passer d'une succursale à l'autre aux 4 heures ou alors être sur appel pour certaines périodes de temps. L'autre question porte sur l'ouverture de comptoirs (je ne sais pas si le mot est exact) et les employés veulent être consultés; je ne sais pas exactement pourquoi.
Ben ça va juste coûter moins cher à Noël!
- Smack, smack. Joyeux Noël et Bonne année!
- Smack, smack. Joyeux Noël et Bonne année! Merci de nous recevoir comme ça c'est très gentil de votre part et voilà un petit cadeau pour vous remercier. C'est pas grand chose mais c'est de bon coeur...
- Ah ben voyons donc! Vous auriez pas dût mes vous-autres là! (froissement de papier, déballage) Ahhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... Euhhhhhhhhhhhhhh... du Baby Duck!!!
- Ça nous fait plaisr. On voulait vous donner un bon bordeux grand cru mais tsé... avec la grève... a fallu aller au dépanneur.
- Smack, smack. Joyeux Noël et Bonne année!
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- Ça nous fait plaisr. On voulait vous donner un bon bordeux grand cru mais tsé... avec la grève... a fallu aller au dépanneur.
https://youtube.com/watch?v=PYyabBpLJ_k
Berk a écritBen ça va juste coûter moins cher à Noël!
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- Ça nous fait plaisr. On voulait vous donner un bon bordeux grand cru mais tsé... avec la grève... a fallu aller au dépanneur.
Le Cresta Blanca passe mieux que le Baby Duck
J'ai ben de la sympathie pour les employées...mais je n'aurai aucun scrupule a aller a la SAQ Dépot m'acheté ma boéssonnnn...
- Smack, smack. Joyeux Noël et Bonne année!
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- Ah ben voyons donc! Vous auriez pas dût mes vous-autres là! (froissement de papier, déballage) Ahhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh... Euhhhhhhhhhhhhhh... du Baby Duck!!!
- Ça nous fait plaisr. On voulait vous donner un bon bordeux grand cru mais tsé... avec la grève... a fallu aller au dépanneur.
Le Cresta Blanca passe mieux que le Baby Duck
J'ai ben de la sympathie pour les employées...mais je n'aurai aucun scrupule a aller a la SAQ Dépot m'acheté ma boéssonnnn...
C'est bobépine ou bépine SVP
Avis aux intéressées... A la SAQ dsituée dans le centre commercial Place Longueuil, il n'y a aucun piquetage! Pas que j'y sois allée mais...
Et Boule_à_mite, tu as raison de se dire qu'ils se battent pour els horaires et l'ouverture de comptoires, mais ils chiâlent également contre les salaires et refusent l'augmentation et la rétrocction offertes par l'employeur...
Et Boule_à_mite, tu as raison de se dire qu'ils se battent pour els horaires et l'ouverture de comptoires, mais ils chiâlent également contre les salaires et refusent l'augmentation et la rétrocction offertes par l'employeur...
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Boule à mites
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- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Fourmi a écritAvis aux intéressées... A la SAQ dsituée dans le centre commercial Place Longueuil, il n'y a aucun piquetage! Pas que j'y sois allée mais...
Et Boule_à_mite, tu as raison de se dire qu'ils se battent pour els horaires et l'ouverture de comptoires, mais ils chiâlent également contre les salaires et refusent l'augmentation et la rétrocction offertes par l'employeur... Ils refusent l'augmentation et la rétroaction offertes....? Je ne te suis pas. Remarque que je n'ai pas tout lu tous les jours là-dessus.
Et Boule_à_mite, tu as raison de se dire qu'ils se battent pour els horaires et l'ouverture de comptoires, mais ils chiâlent également contre les salaires et refusent l'augmentation et la rétrocction offertes par l'employeur... Ils refusent l'augmentation et la rétroaction offertes....? Je ne te suis pas. Remarque que je n'ai pas tout lu tous les jours là-dessus.
La Presse
Nouvelles générales, jeudi 9 décembre 2004, p. A1
LA GRÈVE SE POURSUIT DE PLUS BELLE À LA SAQ
Les syndiqués rejettent massivement les dernières offres patronales
Péloquin, Tristan
La grève à la Société des alcools du Québec se poursuit de plus belle. Suivant les recommandations de leurs dirigeants syndicaux, les 3800 employés de magasin et de bureau ont dit non, hier, dans une proportion de 88 % aux dernières offres patronales.
" C'est un résultat sans équivoque, a déclaré le président du syndicat, Martin Charron, quelques instants après le dépouillement des bulletins. J'invite le gouvernement et Sylvain Toutant (président de la SAQ) à donner le mandat clair aux négociateurs de bonifier l'offre inacceptable qui nous a été soumise ", a-t-il poursuivi.
Sur le plan salarial, l'offre déposée dimanche dernier par la partie patronale prévoyait des hausses de 2 % par année jusqu'en 2011, date d'échéance de la convention.
Pour les années 2003 et 2004, un forfait rétroactif équivalant à 2 % du salaire d'une année était offert, à condition toutefois que les quelque 3800 griefs en suspens soient abandonnés.Le principal point qui a fait bondir les travailleurs est toutefois relié aux horaires de travail. La société d'État proposait de modifier la gestion des horaires des employés à temps partiel en les rattachant à une seule succursale plutôt qu'à une division qui en compte cinq ou six. Selon le syndicat, ce mode de gestion est contraire au principe d'ancienneté en vigueur et pourrait faire perdre plusieurs heures de travail à des employés plus anciens en cas de ralentissement. L'offre ne prévoyait par ailleurs aucune garantie que les employés réguliers obtiennent au moins une journée de congé le week-end, ce qui était une des principales demandes du syndicat.
" L'employeur n'a absolument aucune empathie envers ses employés lorsqu'il est question d'horaires de travail. Nous faisons face à un refus catégorique qui est inacceptable de la part d'une entreprise d'État ", a déclaré M. Charron.
L'offre ne prévoyait par ailleurs aucun engagement en ce qui a trait au développement de son réseau d'agences, considéré par le syndicat comme une forme de sous-traitance.
Négociations aujourd'hui?
Le président du syndicat s'est dit prêt à retourner à la table de négociations " dès demain matin (aujourd'hui) et même cette nuit s'il le faut ". Il a ajouté que l'arrivée éventuelle de Lucien Bouchard pourrait aider à débloquer les discussions " dans la mesure où M. Bouchard a le mandat réel d'améliorer l'offre ", a dit M. Charron.
Le vice-président aux ressources humaines de la SAQ, Philippe Duval, a cependant indiqué qu'il serait " très difficile d'en arriver à un règlement compte tenu de l'ampleur de l'écart " qui divise les deux parties.
" Nous tenons à rappeler que nos employés jouissent de conditions de travail largement supérieures à celles offertes dans le commerce de détail, a-t-il dit. Nous avons accepté de bonifier une offre globale qui était déjà excellente et le syndicat a décidé de rompre les négociations. Maintenant, il reste à voir ce que sera la proposition du conciliateur nommé au dossier ", a poursuivi M. Duval.
Pour faire face à l'affluence de plus en plus élevée du temps des Fêtes, la SAQ a indiqué qu'elle maintiendra ouvertes la cinquantaine de succursales actuellement exploitées par son personnel cadre. " Une succursale SAQ-Dépôt sera également ouverte à Montréal pour les clients qui souhaitent acheter en plus grande quantité ", a souligné M. Duval.
Dès le début de l'assemblée générale, au Palais des congrès de Montréal, la tendance en faveur de la poursuite du débrayage était plus que palpable. Gonflés à bloc, les quelque 2500 syndiqués présents ont chaudement applaudi et sifflé l'équipe de négociation dès son arrivée dans la salle, quelques instants avant que les journalistes soient invités à sortir. Environ 200 autres syndiqués de la Côte-Nord, de la Gaspésie, de Sept-Îles et de l'Abitibi participaient virtuellement à l'assemblée, qui leur était retransmise par satellite.
Les grévistes sont finalement ressortis de la rencontre vers 19 h, après avoir pris connaissance de l'offre patronale et en avoir débattu.
Le sourire aux lèvres, plusieurs scandaient haut et fort le traditionnel " so, so, so... solidarité ". " On est prêts à passer l'hiver dehors s'il le faut. L'offre qui nous a été faite, c'est de la m... ", a affirmé une travailleuse à La Presse.
" Les gens sont outrés. C'est odieux. Ça fait cinq ans que la SAQ s'est engagée à réparer des distorsions salariales majeures dans la convention collective, et là, elle nous offre à peine 500 $ pour réajuster nos salaires, alors que le personnel cadre a obtenu plus de 8 % d'augmentation par année pour les mêmes écarts ", a affirmé un autre, qui a refusé de donner son nom.
Depuis le début du conflit, les syndiqués reçoivent 200 $ par semaine de leur fonds de grève en échange de 20 heures sur les piquets de grève. " On est capables de survivre longtemps avec ça, d'autant plus que par souci de solidarité, on n'achète pas d'alcool. Ça va nous coûter pas mal moins cher à Noël ", a lancé à la blague un syndiqué.
Nouvelles générales, jeudi 9 décembre 2004, p. A1
LA GRÈVE SE POURSUIT DE PLUS BELLE À LA SAQ
Les syndiqués rejettent massivement les dernières offres patronales
Péloquin, Tristan
La grève à la Société des alcools du Québec se poursuit de plus belle. Suivant les recommandations de leurs dirigeants syndicaux, les 3800 employés de magasin et de bureau ont dit non, hier, dans une proportion de 88 % aux dernières offres patronales.
" C'est un résultat sans équivoque, a déclaré le président du syndicat, Martin Charron, quelques instants après le dépouillement des bulletins. J'invite le gouvernement et Sylvain Toutant (président de la SAQ) à donner le mandat clair aux négociateurs de bonifier l'offre inacceptable qui nous a été soumise ", a-t-il poursuivi.
Sur le plan salarial, l'offre déposée dimanche dernier par la partie patronale prévoyait des hausses de 2 % par année jusqu'en 2011, date d'échéance de la convention.
Pour les années 2003 et 2004, un forfait rétroactif équivalant à 2 % du salaire d'une année était offert, à condition toutefois que les quelque 3800 griefs en suspens soient abandonnés.Le principal point qui a fait bondir les travailleurs est toutefois relié aux horaires de travail. La société d'État proposait de modifier la gestion des horaires des employés à temps partiel en les rattachant à une seule succursale plutôt qu'à une division qui en compte cinq ou six. Selon le syndicat, ce mode de gestion est contraire au principe d'ancienneté en vigueur et pourrait faire perdre plusieurs heures de travail à des employés plus anciens en cas de ralentissement. L'offre ne prévoyait par ailleurs aucune garantie que les employés réguliers obtiennent au moins une journée de congé le week-end, ce qui était une des principales demandes du syndicat.
" L'employeur n'a absolument aucune empathie envers ses employés lorsqu'il est question d'horaires de travail. Nous faisons face à un refus catégorique qui est inacceptable de la part d'une entreprise d'État ", a déclaré M. Charron.
L'offre ne prévoyait par ailleurs aucun engagement en ce qui a trait au développement de son réseau d'agences, considéré par le syndicat comme une forme de sous-traitance.
Négociations aujourd'hui?
Le président du syndicat s'est dit prêt à retourner à la table de négociations " dès demain matin (aujourd'hui) et même cette nuit s'il le faut ". Il a ajouté que l'arrivée éventuelle de Lucien Bouchard pourrait aider à débloquer les discussions " dans la mesure où M. Bouchard a le mandat réel d'améliorer l'offre ", a dit M. Charron.
Le vice-président aux ressources humaines de la SAQ, Philippe Duval, a cependant indiqué qu'il serait " très difficile d'en arriver à un règlement compte tenu de l'ampleur de l'écart " qui divise les deux parties.
" Nous tenons à rappeler que nos employés jouissent de conditions de travail largement supérieures à celles offertes dans le commerce de détail, a-t-il dit. Nous avons accepté de bonifier une offre globale qui était déjà excellente et le syndicat a décidé de rompre les négociations. Maintenant, il reste à voir ce que sera la proposition du conciliateur nommé au dossier ", a poursuivi M. Duval.
Pour faire face à l'affluence de plus en plus élevée du temps des Fêtes, la SAQ a indiqué qu'elle maintiendra ouvertes la cinquantaine de succursales actuellement exploitées par son personnel cadre. " Une succursale SAQ-Dépôt sera également ouverte à Montréal pour les clients qui souhaitent acheter en plus grande quantité ", a souligné M. Duval.
Dès le début de l'assemblée générale, au Palais des congrès de Montréal, la tendance en faveur de la poursuite du débrayage était plus que palpable. Gonflés à bloc, les quelque 2500 syndiqués présents ont chaudement applaudi et sifflé l'équipe de négociation dès son arrivée dans la salle, quelques instants avant que les journalistes soient invités à sortir. Environ 200 autres syndiqués de la Côte-Nord, de la Gaspésie, de Sept-Îles et de l'Abitibi participaient virtuellement à l'assemblée, qui leur était retransmise par satellite.
Les grévistes sont finalement ressortis de la rencontre vers 19 h, après avoir pris connaissance de l'offre patronale et en avoir débattu.
Le sourire aux lèvres, plusieurs scandaient haut et fort le traditionnel " so, so, so... solidarité ". " On est prêts à passer l'hiver dehors s'il le faut. L'offre qui nous a été faite, c'est de la m... ", a affirmé une travailleuse à La Presse.
" Les gens sont outrés. C'est odieux. Ça fait cinq ans que la SAQ s'est engagée à réparer des distorsions salariales majeures dans la convention collective, et là, elle nous offre à peine 500 $ pour réajuster nos salaires, alors que le personnel cadre a obtenu plus de 8 % d'augmentation par année pour les mêmes écarts ", a affirmé un autre, qui a refusé de donner son nom.
Depuis le début du conflit, les syndiqués reçoivent 200 $ par semaine de leur fonds de grève en échange de 20 heures sur les piquets de grève. " On est capables de survivre longtemps avec ça, d'autant plus que par souci de solidarité, on n'achète pas d'alcool. Ça va nous coûter pas mal moins cher à Noël ", a lancé à la blague un syndiqué.
Ouin ben je vais oublier ca aller a la SAQ dépot a chicout demain,y a une quarantaine de grévistes sur place. Ils font une haie d'honneur pour les clients qui entrent et sortent.Avant l'arrivée des policiers ils insultaient les clients.
https://membres.lycos.fr/millenium2003/williamfan.png" onclick="window.open(this.href);return false;
funny36 a écritOuin ben je vais oublier ca aller a la SAQ dépot a chicout demain,y a une quarantaine de grévistes sur place. Ils font une haie d'honneur pour les clients qui entrent et sortent.Avant l'arrivée des policiers ils insultaient les clients.
Je vais y aller quand même
Je vais y aller quand même
C'est bobépine ou bépine SVP
je comprend pas vraiment le problème
un ils disent que les conditions de travail font en sorte que les employers a temps partiel ne font pas assez d'heure mais de l'autre ils disent qu'ils ne veulent pas travailler les fins de semaine en connaisser vous beaucoup des travailleurs de commerce au détail qui peuvent se permettre de ne pas travailler les fins de semaines ...
le problème est til que l'ancienneter empèche les employer a temps partiel d'avoir plus d'heure
un ils disent que les conditions de travail font en sorte que les employers a temps partiel ne font pas assez d'heure mais de l'autre ils disent qu'ils ne veulent pas travailler les fins de semaine en connaisser vous beaucoup des travailleurs de commerce au détail qui peuvent se permettre de ne pas travailler les fins de semaines ...
le problème est til que l'ancienneter empèche les employer a temps partiel d'avoir plus d'heure
Il me semble qu'une convention collective de 8 ans c'est un peu long.... 2% pour l'année c'est l'augmentation normale mais si dans 5 ans le cout de la vie hausse de 20%... pas de réajustement de salaire possible...
J'avais lu que les employés souhaitaient une fin de semaine sur deux ... pour concilier travail famille... Il me semble que le refus de la signature n'est pas sur le salaire mais bien les conditions de travail, car une majorité de travailleurs sont à temps partiel...
difficile d'avoir l'heure juste dans un tel conflit...
J'avais lu que les employés souhaitaient une fin de semaine sur deux ... pour concilier travail famille... Il me semble que le refus de la signature n'est pas sur le salaire mais bien les conditions de travail, car une majorité de travailleurs sont à temps partiel...
difficile d'avoir l'heure juste dans un tel conflit...
Un jour on m'expliquera comment le gouvernement peut se faire baiser aussi facilement à chaque fois.
Les syndicats n'ont plus leur raison d'être aujourd'hui, je dis pas qu'ils étaient pas nécessaire dans le temps, mais aujourd'hui les employés non-compétents sont surpayés et surprotégés.
Ça je le sais, je suis consultant pour le gouvernement, c'est pas croyable comment il y a des incompétants qui sont là-bas! Certains passent leur journée à jouer à des jeux vidéo sans même se cacher!
20$/h pour travailler à la SAQ, à moins d'être un sommelier ou quelqu'un avec une formation spéciale, c'est vraiment du gaspillage de fonds publics. Tant mieux pour ces gens, ils ont réussi à avoir ceci, mais j'ai toujours de la misère à voir des gens négocier avec l'argents de la collectivité.. d'un côté comme de l'autre, ce n'est pas leur argent, alors ils s'en foutent un peu.
J'y suis déjà allé à la SAQ, je n'ai aucun problème avec ça, il s'agit d'un MONOPOLE, si nous avions le choix, nous n'irions pas.. mais je ne m'empêcherais pas de prendre le transport en commun s'il y avait une grève, vu qu'il n'a là non plus aucune concurrence.
Quand on parle d'exemple de job qui devraient être privatisées, en voilà quelques unes.
Les syndicats n'ont plus leur raison d'être aujourd'hui, je dis pas qu'ils étaient pas nécessaire dans le temps, mais aujourd'hui les employés non-compétents sont surpayés et surprotégés.
Ça je le sais, je suis consultant pour le gouvernement, c'est pas croyable comment il y a des incompétants qui sont là-bas! Certains passent leur journée à jouer à des jeux vidéo sans même se cacher!
20$/h pour travailler à la SAQ, à moins d'être un sommelier ou quelqu'un avec une formation spéciale, c'est vraiment du gaspillage de fonds publics. Tant mieux pour ces gens, ils ont réussi à avoir ceci, mais j'ai toujours de la misère à voir des gens négocier avec l'argents de la collectivité.. d'un côté comme de l'autre, ce n'est pas leur argent, alors ils s'en foutent un peu.
J'y suis déjà allé à la SAQ, je n'ai aucun problème avec ça, il s'agit d'un MONOPOLE, si nous avions le choix, nous n'irions pas.. mais je ne m'empêcherais pas de prendre le transport en commun s'il y avait une grève, vu qu'il n'a là non plus aucune concurrence.
Quand on parle d'exemple de job qui devraient être privatisées, en voilà quelques unes.