Merci Voyeur.
Pour ce site de Barbie-Belinda, ben, c'est sûr que c'est baveux. ;) Mais on en apprend pas mal quand même, c'est dire combien elle n'est pas crédible à ce point-ci.
À elle de faire ses preuves. Quelqu'un qui serait faire-play dirait : « Laissons la chance aux coureurs ».
Belinda Stronach passe au PLC
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cristal_8331
- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : mer. mars 17, 2004 1:00 am
Il y avait un article sur le Journal de Québec au sujet de Belinda. Elle se disait offusquée de toutes les intentions que ses pairs lui ont prêtées, suite à son transfuge chez le PLC. Elle nie avoir eu des intentions croches, elle a agi pour le bien du Canada, dit-elle. Quelle suffisance!
Je ne crois pas qu'elle sache la signification du mot loyauté. Loyauté envers ses électeurs, envers son ex-parti, envers son conjoint.
Elle est dans sa bulle gonflée d'orgueil et elle s'y plaît. Je ne pensais pas que l'argent et l'ambition pouvaient corrompre à ce point.
Cristal
Le Journal de Montréal / Lundi le 23 mai 2005 en page 26.
Belinda riposte
Elle a « honte » pour ceux qui l'ont insultée.
Jim Brown
Belinda Stronach affirme que certaines des attaques personnelles dont elle a été la cible à la suite de son passage du Parti conservateur du Canada (PCC) au Parti libéral du Canada (PLC), la semaine dernière, sont une honte.
« Il est à mes yeux très intéressant de voir à quel point les gens peuvent devenir partisans en de pareils moments », a affirmé Mme Stronach hier lirs de l'émission télévisée, sur les ondes de CTV.
« Il y a eu pas mal de commentaires négatifs, et bien franchement, je trouve cela honteux », a-t-elle ajouté.
Mme Stronach, qui avait en vain tenté d'obtenir la direction du Parti conservateur l'année dernière, a quitté le parti, mardi, pour prendre place au sein du cabinet du premier ministre Paul Martin, à quelques jours d'un très important vote sur le budget fédéral.
L'ancienne députée conservatrice a expliqué avoir fait le saut parce qu'elle estimait que le chef du PCC, Stephen Harper, était trop à l'aise avec le Bloc québécois, notamment.
Attaques personnelles
Mme Strocnach, maintenant ministre des Ressources humaines, a été accusée par certains conservateurs de s'être vendue aux libéraux afin de faire avancer sa carrière politique ou pire encore.
Tony Abbott, membre de l'assemblée législative de l'Alberta, a affirmé que Mme Stronach se « prostitue pour le pouvoir ». L'ancien ministre du cabinet ontarien Bob Runciman l'a pour sa part qualifiée de « séduisante jauge (de niveau d'huile) ».
Belinda Stronach a également dit avoir été agacée par la tendance des médias à s'attaquer à la rupture de sa relation intime avec l'adjoint au chef conservateur, Peter McKay, plutôt qu'aux raisons politiques ayant motivé sa décision.
« Je crois que c'est un honte qu'autant d'attention ait été portée à ma vie privée », a-t-elle déclaré lirs de l'émission, enregistrée samedi à Toronto.
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Je vous fais grâce de la dernière partie de l'article dans lequel on donne l'horaire de la dame pour les jours à venir. On mentionne qu'elle ira au Labrador vanter les mérites du PLC à l'occasion de l'élection complémentaire en soutien au candidat libéral. Jean Lapierre sera aussi de la partie.
--Message edité par Beppo le 2005-05-23 16:28:49--
Belinda riposte
Elle a « honte » pour ceux qui l'ont insultée.
Jim Brown
Belinda Stronach affirme que certaines des attaques personnelles dont elle a été la cible à la suite de son passage du Parti conservateur du Canada (PCC) au Parti libéral du Canada (PLC), la semaine dernière, sont une honte.
« Il est à mes yeux très intéressant de voir à quel point les gens peuvent devenir partisans en de pareils moments », a affirmé Mme Stronach hier lirs de l'émission télévisée, sur les ondes de CTV.
« Il y a eu pas mal de commentaires négatifs, et bien franchement, je trouve cela honteux », a-t-elle ajouté.
Mme Stronach, qui avait en vain tenté d'obtenir la direction du Parti conservateur l'année dernière, a quitté le parti, mardi, pour prendre place au sein du cabinet du premier ministre Paul Martin, à quelques jours d'un très important vote sur le budget fédéral.
L'ancienne députée conservatrice a expliqué avoir fait le saut parce qu'elle estimait que le chef du PCC, Stephen Harper, était trop à l'aise avec le Bloc québécois, notamment.
Attaques personnelles
Mme Strocnach, maintenant ministre des Ressources humaines, a été accusée par certains conservateurs de s'être vendue aux libéraux afin de faire avancer sa carrière politique ou pire encore.
Tony Abbott, membre de l'assemblée législative de l'Alberta, a affirmé que Mme Stronach se « prostitue pour le pouvoir ». L'ancien ministre du cabinet ontarien Bob Runciman l'a pour sa part qualifiée de « séduisante jauge (de niveau d'huile) ».
Belinda Stronach a également dit avoir été agacée par la tendance des médias à s'attaquer à la rupture de sa relation intime avec l'adjoint au chef conservateur, Peter McKay, plutôt qu'aux raisons politiques ayant motivé sa décision.
« Je crois que c'est un honte qu'autant d'attention ait été portée à ma vie privée », a-t-elle déclaré lirs de l'émission, enregistrée samedi à Toronto.
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Je vous fais grâce de la dernière partie de l'article dans lequel on donne l'horaire de la dame pour les jours à venir. On mentionne qu'elle ira au Labrador vanter les mérites du PLC à l'occasion de l'élection complémentaire en soutien au candidat libéral. Jean Lapierre sera aussi de la partie.
--Message edité par Beppo le 2005-05-23 16:28:49--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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cristal_8331
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1133
- Inscription : mer. mars 17, 2004 1:00 am
La suffisance de Jean Lapierre me déconcerte. Mais...qui se ressemble, s'assemble. Qeuand j'ai vu son sourire à l'occasion de la fête qu'ont fait les libéraux après le vote, j'ai eu des haut-le-coeur. Et Martin s'est même permis quelques pas de danse..... Et on a fait jouer la musique du Survivor.
Quelle indécence!
Mise à jour: 23/05/2005 10h16
LCN
Élection partielle
Belinda Stronach appelée en renfort au Labrador
Les partis fédéraux sortent l'artillerie lourde en vue de l'élection partielle de lundi au Labrador.
Ils ont envoyé leur nouvelle recrue, Belinda Stronach, pour faire campagne au Labrador en prévision de l'élection partielle prévue mardi.
La nouvelle ministre des Ressources humaines est accompagnée de Jean Lapierre et du ministre des Ressources naturelles, John Efford, qui vont tenter de conserver l'ancienne circonscrïption du défunt député Lawrence O'Brien en faisant élire Todd Russel.
Il s'agissait de la première allocution publique de l'ancienne député conservatrice depuis qu'elle a changé de camp. Environ 300 personnes se sont déplacées pour l'entendre à Happy Valley-Goose Bay.
Les résultats de cette élection pourraient être déterminants pour le gouvernement si jamais un autre vote de confiance devait avoir lieu à la Chambre des communes.
La circonscrïption de Labrador a presque toujours appartenu aux libéraux. Un conservateur y a été élu une seule fois, en 1968.
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C'est sans doute l'artillerie lourde du parti. Ishhhh !
LCN
Élection partielle
Belinda Stronach appelée en renfort au Labrador
Les partis fédéraux sortent l'artillerie lourde en vue de l'élection partielle de lundi au Labrador.
Ils ont envoyé leur nouvelle recrue, Belinda Stronach, pour faire campagne au Labrador en prévision de l'élection partielle prévue mardi.
La nouvelle ministre des Ressources humaines est accompagnée de Jean Lapierre et du ministre des Ressources naturelles, John Efford, qui vont tenter de conserver l'ancienne circonscrïption du défunt député Lawrence O'Brien en faisant élire Todd Russel.
Il s'agissait de la première allocution publique de l'ancienne député conservatrice depuis qu'elle a changé de camp. Environ 300 personnes se sont déplacées pour l'entendre à Happy Valley-Goose Bay.
Les résultats de cette élection pourraient être déterminants pour le gouvernement si jamais un autre vote de confiance devait avoir lieu à la Chambre des communes.
La circonscrïption de Labrador a presque toujours appartenu aux libéraux. Un conservateur y a été élu une seule fois, en 1968.
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C'est sans doute l'artillerie lourde du parti. Ishhhh !
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Je me permet de copier le texte de mon oncle qui écrit sur un site web assez connu mais que je vais taire pour ne pas me faire taper dessus, alors son texte à été refusé car ils (boss) le trouvais trop ben pas assez ben juger s'en vous même.
Le langage de ce texte ne peut convenir à un public de 13 ans et moins.
Une vache folle ontarienne
Mais si ! Mais si ! Vous la connaissez, elle se prénomme Bélinda. Paraît-il qu’il faut prononcer son nom de famille Stronack, alors qu’il eut été si simple de le prononcer Stronach pour le faire bien rimer avec vache.
C’est la fille du richissime multimillionnaire propriétaire de MAGNA, une multinationale canadienne qui fait dans les pièces d’auto. Avec absolument aucune expérience politique, la blondine et riche Bélinda se lançait à la course de la direction du Parti Conservateur il y a un peu plus d’un an. Pas de niaisage ! Pas de programme, ni de vision non plus. Allez hop, on vise la tête du Parti.
Elle perd la course à la chefferie et se lance dans la campagne nationale en se faisant élire de justesse (700 voix) députée conservatrice, quelque part dans la région torontoise. La semaine dernière, elle votait, comme tous ses collègues bleus, pour la démission du gouvernement libéral de Paul Martin (prononcez toujours à l’anglaise).
Voilà qu’en ce mardi 17 mai, en cachette, sans en parler à qui que ce soit (sauf aux libéraux qui l’attendent bras ouverts), elle laisse tomber une grosse bouse flasque de … vous savez quoi sur la place publique et se réfugie de l’autre côté de la Chambre des Communes pour aller meugler avec le troupeau corrompu. Ah, la vache !
Aucune consultation auprès des membres de son bureau, ses attachés politiques, ses organisateurs qui se sont défoncés pour la faire élire en bleu, ses partisans et les électeurs du comté qui l’ont élu : nenni ! Madame vire au rouge, nuance Gomery !
Avec la bénédiction de Paul Martin qui n’en manque pas une en la nommant illico ministre du Développement des Ressources Humaines. Ça fait une belle jambe à tous les backbenchers libéraux qui espéraient entre au Conseil des Ministres.
Hey ! La tite-fille n’a aucune espèce d’expérience politique et n’arrive pas à exprimer une vision claire sur quelque sujet que ce soit. Bingo ! On la nomme ministre ! Et les observateurs politiques chevronnés qui nous lancent en guise d’EXPLICATION : « C’est ça la politique ! ».
Je leur réponds : « Meuuuuuhhh ! ».
Le langage de ce texte ne peut convenir à un public de 13 ans et moins.
Une vache folle ontarienne
Mais si ! Mais si ! Vous la connaissez, elle se prénomme Bélinda. Paraît-il qu’il faut prononcer son nom de famille Stronack, alors qu’il eut été si simple de le prononcer Stronach pour le faire bien rimer avec vache.
C’est la fille du richissime multimillionnaire propriétaire de MAGNA, une multinationale canadienne qui fait dans les pièces d’auto. Avec absolument aucune expérience politique, la blondine et riche Bélinda se lançait à la course de la direction du Parti Conservateur il y a un peu plus d’un an. Pas de niaisage ! Pas de programme, ni de vision non plus. Allez hop, on vise la tête du Parti.
Elle perd la course à la chefferie et se lance dans la campagne nationale en se faisant élire de justesse (700 voix) députée conservatrice, quelque part dans la région torontoise. La semaine dernière, elle votait, comme tous ses collègues bleus, pour la démission du gouvernement libéral de Paul Martin (prononcez toujours à l’anglaise).
Voilà qu’en ce mardi 17 mai, en cachette, sans en parler à qui que ce soit (sauf aux libéraux qui l’attendent bras ouverts), elle laisse tomber une grosse bouse flasque de … vous savez quoi sur la place publique et se réfugie de l’autre côté de la Chambre des Communes pour aller meugler avec le troupeau corrompu. Ah, la vache !
Aucune consultation auprès des membres de son bureau, ses attachés politiques, ses organisateurs qui se sont défoncés pour la faire élire en bleu, ses partisans et les électeurs du comté qui l’ont élu : nenni ! Madame vire au rouge, nuance Gomery !
Avec la bénédiction de Paul Martin qui n’en manque pas une en la nommant illico ministre du Développement des Ressources Humaines. Ça fait une belle jambe à tous les backbenchers libéraux qui espéraient entre au Conseil des Ministres.
Hey ! La tite-fille n’a aucune espèce d’expérience politique et n’arrive pas à exprimer une vision claire sur quelque sujet que ce soit. Bingo ! On la nomme ministre ! Et les observateurs politiques chevronnés qui nous lancent en guise d’EXPLICATION : « C’est ça la politique ! ».
Je leur réponds : « Meuuuuuhhh ! ».