Affaire Guy CloutierUne des victimes veut faire lever l'interdit de pu
26/05/2005 - 06h58
Nathalie brise le silence
Une carrière sous le signe du chantage
Rodolphe Morissette -Journal de Montréal
C’est sous le signe d’un chantage continu qu’a évolué la courte carrière artistique de Nathalie Simard enfant, puis adolescente. Si elle résistait aux avances continuelles du pédophile ou le dénonçait, c’en serait fini de sa carrière, pensait-elle.
Nathalie Simard avait 9 ans quand Cloutier a pris en main sa carrière (1979) : elle chante et enregistre un premier disque. Les agressions sexuelles ont commencé l’année suivante, alors qu’elle était encore impubère (attouchements, fellations, pénétrations digitales). Envahie par la honte et la peur, elle se tait.
L’agresseur, en effet, lui fait valoir avec insistance que si elle en parle, sa carrière est finie. Au fait, sa carrière progressera avec l’emprise de l’homme sur sa sexualité. Il avait commencé par l’isoler de son milieu familial (très pauvre). Elle passait le plus clair de son temps en tournées de promotion, séjournant dans des hôtels avec lui.
Pénétrée à 13 ans
Elle est souvent chez lui, à Saint-Lambert, dans un condo de l’Île des Soeurs, au chalet de Sainte-Adèle. C’est ici, une nuit, qu’elle est pénétrée pour la première fois, à l’âge de 13 ans. Elle pleure. L’homme lui met la main sur la bouche, car sa femme à lui dort dans la pièce voisine. Les agressions sont continues, une ou deux fois la semaine.
Le chantage se poursuit : si elle parle, c’est aussi la carrière de son frère René (Simard) qui sera en cause. La jeune adolescente se sent «la chose» de Cloutier, elle devient de plus en plus dépendante. Selon la poursuite, elle doit essuyer de la violence physique et, souvent, de la violence verbale — comme ces remarques désobligeantes sur son poids. Elle se dit «terrorisée». Adolescente, elle lui rédige des lettres d’amour, qu’il met à la poubelle.
Il la laisse tomber
À l’âge de 18 ans, Cloutier la laisse tomber. Sa carrière se met à stagner. Elle lui demande de l’argent. Il y consent. Elle est sur la liste de paie des employés de Productions Guy Cloutier, à 2 000 $, puis à 5 000 $/mois, nets d’impôt, logement et voiture payés. Elle obtient d’être couchée, avec son frère René, sur le testament de Cloutier. Celui-ci lui fera cadeau en 2003 d’une «maison de rêve» de 450 000 $ dans la campagne de Granby, où elle est on ne peut plus isolée… avec sa fillette qui, à son tour, a 11 ans. Depuis 1994, Cloutier a versé un million $ à la jeune femme.
C’est en songeant à sa fille qu’il choisit de révéler sa misère au psychologue qui la traite depuis 2002. Elle se confiera aussi à son frère René, qui, début 2004, confrontera Cloutier durement. À la même époque, elle menace l’homme d’écrire son expérience dans un livre. Celui-ci cherche à l’en dissuader.
Police
En février 2004, elle raconte son histoire à la police. Le mois suivant, elle attire Cloutier chez elle pour le confronter. Les policiers sont cachés ; la place est sous écoute et équipée de caméras de surveillance. Son agresseur lui offre 300 000 $ pour qu’elle garde le silence.
Cloutier est arrêté le 25 mars. En novembre, il consent des aveux. Il est condamné le 20 décembre.
Nathalie brise le silence
Une carrière sous le signe du chantage
Rodolphe Morissette -Journal de Montréal
C’est sous le signe d’un chantage continu qu’a évolué la courte carrière artistique de Nathalie Simard enfant, puis adolescente. Si elle résistait aux avances continuelles du pédophile ou le dénonçait, c’en serait fini de sa carrière, pensait-elle.
Nathalie Simard avait 9 ans quand Cloutier a pris en main sa carrière (1979) : elle chante et enregistre un premier disque. Les agressions sexuelles ont commencé l’année suivante, alors qu’elle était encore impubère (attouchements, fellations, pénétrations digitales). Envahie par la honte et la peur, elle se tait.
L’agresseur, en effet, lui fait valoir avec insistance que si elle en parle, sa carrière est finie. Au fait, sa carrière progressera avec l’emprise de l’homme sur sa sexualité. Il avait commencé par l’isoler de son milieu familial (très pauvre). Elle passait le plus clair de son temps en tournées de promotion, séjournant dans des hôtels avec lui.
Pénétrée à 13 ans
Elle est souvent chez lui, à Saint-Lambert, dans un condo de l’Île des Soeurs, au chalet de Sainte-Adèle. C’est ici, une nuit, qu’elle est pénétrée pour la première fois, à l’âge de 13 ans. Elle pleure. L’homme lui met la main sur la bouche, car sa femme à lui dort dans la pièce voisine. Les agressions sont continues, une ou deux fois la semaine.
Le chantage se poursuit : si elle parle, c’est aussi la carrière de son frère René (Simard) qui sera en cause. La jeune adolescente se sent «la chose» de Cloutier, elle devient de plus en plus dépendante. Selon la poursuite, elle doit essuyer de la violence physique et, souvent, de la violence verbale — comme ces remarques désobligeantes sur son poids. Elle se dit «terrorisée». Adolescente, elle lui rédige des lettres d’amour, qu’il met à la poubelle.
Il la laisse tomber
À l’âge de 18 ans, Cloutier la laisse tomber. Sa carrière se met à stagner. Elle lui demande de l’argent. Il y consent. Elle est sur la liste de paie des employés de Productions Guy Cloutier, à 2 000 $, puis à 5 000 $/mois, nets d’impôt, logement et voiture payés. Elle obtient d’être couchée, avec son frère René, sur le testament de Cloutier. Celui-ci lui fera cadeau en 2003 d’une «maison de rêve» de 450 000 $ dans la campagne de Granby, où elle est on ne peut plus isolée… avec sa fillette qui, à son tour, a 11 ans. Depuis 1994, Cloutier a versé un million $ à la jeune femme.
C’est en songeant à sa fille qu’il choisit de révéler sa misère au psychologue qui la traite depuis 2002. Elle se confiera aussi à son frère René, qui, début 2004, confrontera Cloutier durement. À la même époque, elle menace l’homme d’écrire son expérience dans un livre. Celui-ci cherche à l’en dissuader.
Police
En février 2004, elle raconte son histoire à la police. Le mois suivant, elle attire Cloutier chez elle pour le confronter. Les policiers sont cachés ; la place est sous écoute et équipée de caméras de surveillance. Son agresseur lui offre 300 000 $ pour qu’elle garde le silence.
Cloutier est arrêté le 25 mars. En novembre, il consent des aveux. Il est condamné le 20 décembre.
26/05/2005 - 06h57
Nathalie brise le silence
Nathalie Simard prend sa revanche
Rodolphe Morissette -Journal de Montréal
Nathalie Simard a intenté hier contre son ex-imprésario, Guy Cloutier, en Cour supérieure, une action en dommages de 1,2 million $ pour avoir gâché sa vie et sa carrière en l’agressant sexuellement à répétition pendant sept ans alors qu’elle était mineure.
La poursuite met en parallèle le récit détaillé de la brève carrière de la jeune femme (de 1979 à 1987) et celui des agressions sexuelles répétées à la même époque.
Le rythme endiablé des tournées de chant et de promotion, des émissions de télé et de la production de disques à succès en a fait aussi bien «la chose» de l’imprésario que l’un des facteurs de son succès à lui. Mais l’expérience l’a forcée à s’isoler du monde, affirme-t-elle.
À l’âge de 24 ans, alors que sa carrière pâlit et qu’elle habite avec un copain un luxueux condo à l’Île des Soeurs (aux frais de Guy Cloutier), le couple tente de frauder la compagnie d’assurances et fait entreprendre une enquête policière en faisant croire que, tandis qu’ils étaient en Floride début 1994, des voleurs étaient passés aux Verrières et leur avaient chipé des biens pour une valeur de plus de 50 000 $. Elle avait essuyé une amende de 2 000 $.
À compter de 1996, «la p’tite Simard» reste sans contrats, sans revenu autre que le salaire grassouillet que lui paie Cloutier pour se tenir tranquille et ne pas le dénoncer à la police. Elle met la stagnation de sa carrière au compte des agressions sexuelles de ses années de jeunesse.
La jeune femme allègue que la thérapie qu’elle suit depuis 2003, et qui lui a coûté plus de 5 000 $ à ce jour, a révélé un «trouble de la personnalité dépendante». Le passé lui a laissé un «stress post-traumatique». Elle a vécu sa jeunesse dans la peur, la honte et la culpabilité.
Elle réclame dès lors de Cloutier et de la société Novem Communications, qui a hérité des droits et obligations des sociétés de production de Cloutier, 800 000 $ pour dommages moraux, 300 000 $ à titre de perte de revenus (un chiffre qui pourra évoluer à la hausse) et des dommages punitifs de 100 000 $.
lucide a écritJe trouve que c'est indécent et un début de cercle vicieux en permettant de donner 100,000 dollards pour l'exclusivité d'une entrevue.
La chasse aux sorcieres va commencer...
Chaque invité , victime ou agresseur d'un fait public demandera aussi à être payé... pourquoi à une personne plus qu'à une autre.
Karla quand elle va sortir par exemple aura le beau jeu.
Si Québecor ( qui publie son livre d'ailleurs) voulait lui donner un coup de main dans sa fondation, ils n'avaient que lui faire un don apres l'ouverture de la fondation sans afficher clairement leur intention cela se nomme de la générosité. Pour moi ca devient encore une lutte de pouvoir, d'essayer de démontrer qui est le plus fort etc.... du simple marketing sans compassion réelle et cela entraine des débats comme a TQS qui a mon avis sont simplement des shows montés pour chercher un auditoire.
Quant au proces au civil, je ne connais ni les lois ni les chances de gagner.. mais je m'explique mal ce proces.
Ca veut dire quoi dans notre justice, vaut mieux se faire agresser par un homme riche qu'un homme pauvre. Ca veut dire que la victime d'un pere ou d'un homme qui a pas une cenne a droit à rien et fini sa vie dans la misere sans dédommagement. Est ce que ces femmes auront envie de dénoncer...
Et pour moi le veritable débat... est ou se termine la justice et ou commence la vengeance.
N'oublions pas , qu'il ne serait pas aussi riche , si elle l'avait dénoncé bien avant......
La chasse aux sorcieres va commencer...
Chaque invité , victime ou agresseur d'un fait public demandera aussi à être payé... pourquoi à une personne plus qu'à une autre.
Karla quand elle va sortir par exemple aura le beau jeu.
Si Québecor ( qui publie son livre d'ailleurs) voulait lui donner un coup de main dans sa fondation, ils n'avaient que lui faire un don apres l'ouverture de la fondation sans afficher clairement leur intention cela se nomme de la générosité. Pour moi ca devient encore une lutte de pouvoir, d'essayer de démontrer qui est le plus fort etc.... du simple marketing sans compassion réelle et cela entraine des débats comme a TQS qui a mon avis sont simplement des shows montés pour chercher un auditoire.
Quant au proces au civil, je ne connais ni les lois ni les chances de gagner.. mais je m'explique mal ce proces.
Ca veut dire quoi dans notre justice, vaut mieux se faire agresser par un homme riche qu'un homme pauvre. Ca veut dire que la victime d'un pere ou d'un homme qui a pas une cenne a droit à rien et fini sa vie dans la misere sans dédommagement. Est ce que ces femmes auront envie de dénoncer...
Et pour moi le veritable débat... est ou se termine la justice et ou commence la vengeance.
N'oublions pas , qu'il ne serait pas aussi riche , si elle l'avait dénoncé bien avant......
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26/05/2005 - 06h55
Nathalie brise le silence
Les sommes réclamées semblent irréalistes, estime un expert en droit
Jérôme Dussault -Journal de Montréal
Les sommes réclamées par Nathalie Simard apparaissent irréalistes en regard de ce que les tribunaux québécois et canadiens accordent généralement en dommages.
C’est l’avis exprimé hier par le professeur Daniel Gardner de la Faculté de droit de l’Université Laval.
L’expert pointe particulièrement les dommages moraux. La chanteuse exige 800 000 $ en compensation pour les douleurs, souffrances, inconvénients et autres.
«On n’a même pas de cas au Canada anglais où on a déjà donné ça», commente le professeur Gardner, qui y voit davantage une base de négociation.
«Dans toutes les causes confondues, qu’on parle de n’importe quel type de dommages moraux, que ce soit à la suite de blessures corporelles, de diffamation ou d’agressions sexuelles, on n’a jamais dépassé 300 000 $. Au-dessus de 200 000 $, c’est exceptionnel et de loin.»
Même pour ses pertes de revenus évaluées à 300 000 $, Nathalie Simard doit prouver que c’est ce qu’elle aurait «probablement» gagné, n’eût été de ce qu’elle a vécu. «Ce n’est pas gagné d’avance», évalue le spécialiste en droit civil.
Et avant d’accorder quelque montant que ce soit, le juge devra déterminer l’importance qu’il accorde aux quelque 1,3 million $ déjà versés par Guy Cloutier à sa victime avant qu’elle ne porte plainte.
«C’est la question la plus difficile du dossier. Est-ce qu’il l’a versé pour compenser les souffrances endurées par Nathalie Simard ou encore pour acheter le silence et pouvoir continuer à faire ses affaires ?»
Si le juge au procès adhérait à la première hypothèse, il pourrait certainement en tenir compte dans son évaluation des dommages, estime Daniel Gardner.
Elle devra s’expliquer
Mais pour en arriver là, Nathalie Simard devra d’abord expliquer pourquoi elle a mis autant de temps à déposer sa poursuite. La présente action était normalement prescrite trois ans après les gestes reprochés à Cloutier, soit en 1990.
«Ce sera à Nathalie Simard de prouver qu’il lui était impossible en fait d’agir avant. […] Faut qu’elle prouve qu’elle était sous l’emprise psychologique, qu’elle était écrasée par son gérant, qu’elle n’était pas capable de passer par-dessus ça. Au départ, elle a une grosse côte à remonter», mentionne le professeur de droit.
Nathalie brise le silence
Les sommes réclamées semblent irréalistes, estime un expert en droit
Jérôme Dussault -Journal de Montréal
Les sommes réclamées par Nathalie Simard apparaissent irréalistes en regard de ce que les tribunaux québécois et canadiens accordent généralement en dommages.
C’est l’avis exprimé hier par le professeur Daniel Gardner de la Faculté de droit de l’Université Laval.
L’expert pointe particulièrement les dommages moraux. La chanteuse exige 800 000 $ en compensation pour les douleurs, souffrances, inconvénients et autres.
«On n’a même pas de cas au Canada anglais où on a déjà donné ça», commente le professeur Gardner, qui y voit davantage une base de négociation.
«Dans toutes les causes confondues, qu’on parle de n’importe quel type de dommages moraux, que ce soit à la suite de blessures corporelles, de diffamation ou d’agressions sexuelles, on n’a jamais dépassé 300 000 $. Au-dessus de 200 000 $, c’est exceptionnel et de loin.»
Même pour ses pertes de revenus évaluées à 300 000 $, Nathalie Simard doit prouver que c’est ce qu’elle aurait «probablement» gagné, n’eût été de ce qu’elle a vécu. «Ce n’est pas gagné d’avance», évalue le spécialiste en droit civil.
Et avant d’accorder quelque montant que ce soit, le juge devra déterminer l’importance qu’il accorde aux quelque 1,3 million $ déjà versés par Guy Cloutier à sa victime avant qu’elle ne porte plainte.
«C’est la question la plus difficile du dossier. Est-ce qu’il l’a versé pour compenser les souffrances endurées par Nathalie Simard ou encore pour acheter le silence et pouvoir continuer à faire ses affaires ?»
Si le juge au procès adhérait à la première hypothèse, il pourrait certainement en tenir compte dans son évaluation des dommages, estime Daniel Gardner.
Elle devra s’expliquer
Mais pour en arriver là, Nathalie Simard devra d’abord expliquer pourquoi elle a mis autant de temps à déposer sa poursuite. La présente action était normalement prescrite trois ans après les gestes reprochés à Cloutier, soit en 1990.
«Ce sera à Nathalie Simard de prouver qu’il lui était impossible en fait d’agir avant. […] Faut qu’elle prouve qu’elle était sous l’emprise psychologique, qu’elle était écrasée par son gérant, qu’elle n’était pas capable de passer par-dessus ça. Au départ, elle a une grosse côte à remonter», mentionne le professeur de droit.
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- Magicien des Mots
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- Inscription : lun. mai 19, 2003 12:00 am
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Je me demande bien pourquoi beaucoup de monde semble scandalisé parce qu'elle va recevoir 100 000$ pour son entrevue. Croyez-vous que tous les autres artistes qui ont donné des entrevue exclusive l'on fait gratos? J'en doute. Je n'ai pas vu de levé de bouclier qu'en Véronique Cloutier a donné une entrevue exclusive dans la revue La Semaine et qu'elle ne voulait pas parler de l'histoire de son père dans aucun autres médias.
Il n'y a absolument rien d'indécent à poursuivre en justice un homme, riche de surcroît, qui t'a volé ton enfance et par conséquent toute ta vie de femme normale et équilibrée! L'indécence c'est de violer une petite fille et la faire chanter pour qu,elle ferme sa boîte.
Dans quel monde vivons-nous si on considère les femmes abusées qui décident de se faire justice comme des voleuses?
Ça envoie quoi comme image? Abusez de tout les enfants que vous avez envie, pas de problème, vous allez faire 6 mois de prison et ce sera fini.
Et qu'on me lâche avec le 1,3 millions qu'elle a reçu déjà. Je m'excuse, mais recevoir 1,3 millions pour fermer notre gueule et recevoir 1,3 millions, ordonné par un juge qui après avoir écouté votre histoire a jugé que ce que vous aviez vécu valait ce montant, il y a une foutue marge.
Et oui, Guy Cloutier est riche, et c'est tant mieux pour elle. Elle va pouvoir le laver et il va peut-être connaître une fraction de la souffrance qu'elle a pu subir lorsqu'elle se faisait violer, une main sur la bouche par l'homme qu'elle considérait comme son père.
De toutes façons, s'il est riche cet homme, on s'entends-tu que c'et grâce à la famille Simard. Il s'est bâti un empire sur le dos d'une famille démunie. O.K la famille a eu sa part, mais à quel prix? Ça a coûté l'enfance et l'équilibre d'une des leurs, big deal!
Dans quel monde vivons-nous si on considère les femmes abusées qui décident de se faire justice comme des voleuses?
Ça envoie quoi comme image? Abusez de tout les enfants que vous avez envie, pas de problème, vous allez faire 6 mois de prison et ce sera fini.
Et qu'on me lâche avec le 1,3 millions qu'elle a reçu déjà. Je m'excuse, mais recevoir 1,3 millions pour fermer notre gueule et recevoir 1,3 millions, ordonné par un juge qui après avoir écouté votre histoire a jugé que ce que vous aviez vécu valait ce montant, il y a une foutue marge.
Et oui, Guy Cloutier est riche, et c'est tant mieux pour elle. Elle va pouvoir le laver et il va peut-être connaître une fraction de la souffrance qu'elle a pu subir lorsqu'elle se faisait violer, une main sur la bouche par l'homme qu'elle considérait comme son père.
De toutes façons, s'il est riche cet homme, on s'entends-tu que c'et grâce à la famille Simard. Il s'est bâti un empire sur le dos d'une famille démunie. O.K la famille a eu sa part, mais à quel prix? Ça a coûté l'enfance et l'équilibre d'une des leurs, big deal!
Je ne sais pas si c'est corect mais le nom de la deuxième victime est clairement nommé sur un site de nouvelle canadienne anglaise. Je ne nomme personne mais eux le font. (en anglais)
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
C'est dans les plus grandes noirceur que l`on peu admirer la splendeur des étoiles!
- vampirella
- Immortel du Domaine
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- Inscription : mar. avr. 29, 2003 12:00 am
tipet a écritIl n'y a absolument rien d'indécent à poursuivre en justice un homme, riche de surcroît, qui t'a volé ton enfance et par conséquent toute ta vie de femme normale et équilibrée! L'indécence c'est de violer une petite fille et la faire chanter pour qu,elle ferme sa boîte.
Dans quel monde vivons-nous si on considère les femmes abusées qui décident de se faire justice comme des voleuses?
Ça envoie quoi comme image? Abusez de tout les enfants que vous avez envie, pas de problème, vous allez faire 6 mois de prison et ce sera fini.
Et qu'on me lâche avec le 1,3 millions qu'elle a reçu déjà. Je m'excuse, mais recevoir 1,3 millions pour fermer notre gueule et recevoir 1,3 millions, ordonné par un juge qui après avoir écouté votre histoire a jugé que ce que vous aviez vécu valait ce montant, il y a une foutue marge.
Et oui, Guy Cloutier est riche, et c'est tant mieux pour elle. Elle va pouvoir le laver et il va peut-être connaître une fraction de la souffrance qu'elle a pu subir lorsqu'elle se faisait violer, une main sur la bouche par l'homme qu'elle considérait comme son père.
De toutes façons, s'il est riche cet homme, on s'entends-tu que c'et grâce à la famille Simard. Il s'est bâti un empire sur le dos d'une famille démunie. O.K la famille a eu sa part, mais à quel prix? Ça a coûté l'enfance et l'équilibre d'une des leurs, big deal!
Hey ti-pet je sens que tu as laché un gros pet.
Dans quel monde vivons-nous si on considère les femmes abusées qui décident de se faire justice comme des voleuses?
Ça envoie quoi comme image? Abusez de tout les enfants que vous avez envie, pas de problème, vous allez faire 6 mois de prison et ce sera fini.
Et qu'on me lâche avec le 1,3 millions qu'elle a reçu déjà. Je m'excuse, mais recevoir 1,3 millions pour fermer notre gueule et recevoir 1,3 millions, ordonné par un juge qui après avoir écouté votre histoire a jugé que ce que vous aviez vécu valait ce montant, il y a une foutue marge.
Et oui, Guy Cloutier est riche, et c'est tant mieux pour elle. Elle va pouvoir le laver et il va peut-être connaître une fraction de la souffrance qu'elle a pu subir lorsqu'elle se faisait violer, une main sur la bouche par l'homme qu'elle considérait comme son père.
De toutes façons, s'il est riche cet homme, on s'entends-tu que c'et grâce à la famille Simard. Il s'est bâti un empire sur le dos d'une famille démunie. O.K la famille a eu sa part, mais à quel prix? Ça a coûté l'enfance et l'équilibre d'une des leurs, big deal!
Hey ti-pet je sens que tu as laché un gros pet.
"Going public is the ex-vedette's latest effort to empower herself after seeking therapy, revealing the abuse to her brother, singer Rene Simard, confronting Cloutier and filing criminal charges."
"The suit says that after discovering Rene Simard, then launching Nathalie Simard's career with a Laura Secord pudding commercial at age 2, Cloutier exerted complete financial control over Nathalie."
La seule autres perosnne qu'il nomme est René et ca dit qu'elle s'est confier a René, et que c'est lorsque que Guy a décovert René qu,il est entrer dans la vie de Nathalie a l'age de 2 ans.....
"The suit says that after discovering Rene Simard, then launching Nathalie Simard's career with a Laura Secord pudding commercial at age 2, Cloutier exerted complete financial control over Nathalie."
La seule autres perosnne qu'il nomme est René et ca dit qu'elle s'est confier a René, et que c'est lorsque que Guy a décovert René qu,il est entrer dans la vie de Nathalie a l'age de 2 ans.....
- lilypotter57
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ZZ_Doc a écritJe ne sais pas si c'est corect mais le nom de la deuxième victime est clairement nommé sur un site de nouvelle canadienne anglaise. Je ne nomme personne mais eux le font. (en anglais)
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
Je ne sais pas ou tu vois ca, je viens de lire et ils ne mentionnent pas le nom de la 2 ieme victime
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
Je ne sais pas ou tu vois ca, je viens de lire et ils ne mentionnent pas le nom de la 2 ieme victime
ZZ_Doc a écritJe ne sais pas si c'est corect mais le nom de la deuxième victime est clairement nommé sur un site de nouvelle canadienne anglaise. Je ne nomme personne mais eux le font. (en anglais)
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
Tu te doutes bien que si effectivement le nom de la deuxième victime était mentionnée que ça ne serait pas correct.Ce n,est pas parce que quelqu'un ne suit pas la loi que ça donnerait raison aux autres de le faire mais j'ai lu ton article attentivement et franchement il ne mentionne pas de deuxième victime, je vois pas où tu prends ça.....
http://www.canada.com/national/story.ht ... 8b72c47f43
Tu te doutes bien que si effectivement le nom de la deuxième victime était mentionnée que ça ne serait pas correct.Ce n,est pas parce que quelqu'un ne suit pas la loi que ça donnerait raison aux autres de le faire mais j'ai lu ton article attentivement et franchement il ne mentionne pas de deuxième victime, je vois pas où tu prends ça.....
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