lisez bien entre les lignes, et......en tout cas, le sondages est peut...
Jeux de coulisses enclenchés au PQ
Mise à jour le mardi 7 juin 2005 à 18 h 18
Selon des informations obtenues par Radio-Canada, l'ex-ministre de l'Environnement, André Boisclair, envisage de se lancer dans la course à la direction du Parti québécois. Il jugerait que passer son tour serait trop risqué.
Depuis dimanche dernier lors du congrès du PQ, André Boisclair ferait de nombreux appels pour mesurer ses chances de battre Gilles Duceppe.
Des appuis de taille
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Bernard Landry, lors du congrès du PQ à Québec
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Une bonne partie de l'équipe du chef démissionnaire Bernard Landry, qui juge notamment l'entourage de François Legault responsable de la perte du vote de confiance de samedi, travaille d'arrache-pied pour ramener M. Boisclair à Québec.
Ce groupe tente également de convaincre Gilles Duceppe de rester à Ottawa à la tête du Bloc québécois.
André Boisclair nie
Joint par Radio-Canada.ca, André Boisclair affirme qu'il n'a pas sollicité d'appuis, mais qu'il reçoit plusieurs appels. Des dizaines de messages élogieux ont été publiés sur son blogue. Il se dit touché par ces témoignages, mais pour le moment, il estime que son plan de carrière est ailleurs.
André Boisclair a quitté son siège de député de Gouin l'été dernier pour aller étudier aux États-Unis. Il doit compléter sa maîtrise en administration publique à l'université Harvard la semaine prochaine, et il a accepté un emploi à Toronto pour la firme Mackenzie.
Bloc de jeunes députés non alignés
Les jeunes députés qui avaient sonné l'alarme sur le désintérêt des jeunes pour la souveraineté, Les Mousquetaires, ont décidé de former un bloc de non alignés.
Ils refusent de se faire bousculer pour le choix du prochain chef de leur formation politique. Ils veulent ainsi forcer leur parti à organiser une vraie course à la direction.
Ces jeunes craignent que si trop de députés appuient rapidement Pauline Marois, François Legault ou Gilles Duceppe, cela risque de fermer la porte à d'autres candidats.
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Jonathan Valois
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Le député Jonathan Valois est un des rares députés qui avaient appuyé Pauline Marois quand elle avait contesté Bernard Landry l'été dernier. Désormais, le député réserve son appui afin d'appuyer une candidature surprise ou un coup de coeur.
Déjà, des gens de l'extérieur du Parti québécois ont été sollicités. Le président de la FTQ, Henri Massé, ainsi que le PDG de la Caisse de dépôt et placement, Henri-Paul Rousseau, ont indiqué ne pas être intéressés par le poste.
L'avocat Éric Bédard, fils de l'ancien ministre Marc-André Bédard, frère du député Stéphane Bédard, a aussi reçu des appels.
qui sera le prochain chef du PQ, 1er tours
Voyeur23 a écrit
a part moi toi et dafeney, ya pas grand monde qui le connait,
il a dit qu'il se présentait pas, mais il parle de henri massé
Comment ça y a personne qui connait Paul Bégin? Ce n'est pas un p'tit nouveau... Et puis il a été ministre des Finances.
Ce qu'il y a, c'est qu'il n'est pas intéressant comme candidat, à mon avis.
a part moi toi et dafeney, ya pas grand monde qui le connait,
il a dit qu'il se présentait pas, mais il parle de henri massé
Comment ça y a personne qui connait Paul Bégin? Ce n'est pas un p'tit nouveau... Et puis il a été ministre des Finances.
Ce qu'il y a, c'est qu'il n'est pas intéressant comme candidat, à mon avis.
[center][img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/theberge6a.jpg[/img]
[img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept.jpg[/img] https://www.lesnomadesenvr.com/forum.htm" onclick="window.open(this.href);return false; [img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept-1.jpg[/img][/center]
[img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept.jpg[/img] https://www.lesnomadesenvr.com/forum.htm" onclick="window.open(this.href);return false; [img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept-1.jpg[/img][/center]
Voyeur23 a écritselon la presse
Landry regertte, sérieusement
Aux nouvelles radiophoniques de ce matin sur la chaîne Corus, on a même dit que sa conjointe ne serait pas contente de la façon dont l'entourage de monsieur Landry si serait pris pour le conseiller...
Landry regertte, sérieusement
Aux nouvelles radiophoniques de ce matin sur la chaîne Corus, on a même dit que sa conjointe ne serait pas contente de la façon dont l'entourage de monsieur Landry si serait pris pour le conseiller...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
ENSEIGNEMENT
L'UQAM fait signe à Bernard Landry
Denis Lessard
La Presse
Québec
Bernard Landry avait à peine transmis sa lettre de démission à l'Assemblée nationale que l'Université du Québec à Montréal lui avait téléphoné pour discuter d'un poste de professeur.
Cette proposition «extrêmement intéressante qui l'a rendu enthousiaste» serait de retrourner enseigner à la faculté de gestion (où il se trouvait avant de revenir en politique), mais aussi à celle de science politique, a expliqué hier son porte-parole, Louis-Pascal Cyr.
Avec ce retour, la colère de l'ancien premier ministre dans le film À hauteur d'homme prendrait une note prémonitoire. Exaspéré par les journalistes dans le feu de la campagne électorale de 2003, M. Landry avait menacé de tout balancer pour retourner «enseigner à l'UQAM».
M. Landry pourrait reprendre l'enseignement au moment où il le juge opportun, dès septembre s'il le souhaite. «M. Landry y réfléchit, il a eu aussi d'autres propositions», indique M. Cyr.
Des sources fiables dans l'entourage de M. Landry confiaient hier que le chef péquiste avait passé des heures extrêmement difficiles après l'annonce de sa décision, samedi soir. À des proches il a même confié, sans détour, qu'il regrettait d'avoir décidé, aussi rapidement, de jeter l'éponge.
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Chantal Renaud, sa conjointe, a même eu des mots très durs à l'endroit du député Sylvain Simard et de Line-Sylvie Perron, son chef de cabinet, lors du souper réunissant les employés du cabinet du chef de l'opposition samedi soir. S'y trouvaient aussi Marc-André Bédard et ses deux fils Stéphane et Éric, de même que l'ancien ministre Yves Duhaime.
Un peu d'amertume
Mme Renaud était amère devant la tournure des événements: «Elle a trouvé ça très dur», dit-on.
«Ce sont des conversations privées», a indiqué Mme Perron pour qui le souper dans les salons du restaurant Louis-Hébert s'était déroulé «sereinement».
«Comme René Lévesque lors de sa démission, il (M. Landry) vit des moments difficiles; actuellement, il doit piétiner dans son salon, et chercher de l'air», explique un collaborateur. «Il travaillait six jours par semaines, il se retrouve devant le vide, il a une sorte de deuil à faire», dira un autre. M. Landry avait déjà prévu faire la tournée des festivals régionaux cet été, et préparait la recherche d'éventuels candidats péquistes.
Un retour?
La rapidité des événements de la fin de semaine ont laissé pantois bien des sympathisants de M. Landry, qui pensent même qu'il pourrait très bien se présenter dans la course à la direction de son propre parti.
«C'est une hypothèse qui mérite réflexion; il faut l'examiner, compte tenu du concert d'éloges qu'on entend sur M. Landry, de son rôle. Les gens sont stupéfaits qu'il ait pris une telle décision compte tenu du vote de 76 %... C'est pas rien!» lance Fernand Daoust, ami de longue date de M. Landry et longtemps secrétaire de la FTQ. «C'est une décision qui s'est prise très rapidement. Pourrait-elle être revue? Cela vaut la peine d'y réfléchir», remarque-t-il en soulignant que beaucoup d'autres personnes lui en avaient parlé. «Les gens se disent: qu'est-ce que cette idée de quitter son poste aussi rapidement!»
Yves Michaud, dont les sorties ont profondément irrité M. Landry en fin de semaine, pense aussi que ce dernier pourrait se porter candidat pour reconquérir le poste qu'il vient de laisser vacant. «C'est ce que je lui conseillais il y a quatre mois seulement», souligne M. Michaud qui attendrait de voir la liste des «candidats putatifs» avant d'accorder son appui à son vieil ami. «Bouchard était au zénith et il avait eu 76,8 %... le score de M. Landry n'est pas infamant», note M. Michaud.
Boisclair: «J'ai un plan de match»
Quant à André Boisclair, dont le nom circule parmi ceux des candidats potentiels à la succession de Bernard Landry, il se faisait bien mystérieux hier. «Je n'ai pas de commentaires. J'ai un plan de match qui est connu; j'ai un emploi qui m'attend chez McKenzie à Toronto. Le temps venu, s'il doit y en avoir une, je ferai une déclaration... je n'ai pas de déclaration à faire maintenant», a-t-il répété.
Il semble que M. Boisclair, spontanément intéressé à ajouter son nom à la liste des successeurs, ait été vite refroidi par l'ampleur de la tâche à accomplir.
L'UQAM fait signe à Bernard Landry
Denis Lessard
La Presse
Québec
Bernard Landry avait à peine transmis sa lettre de démission à l'Assemblée nationale que l'Université du Québec à Montréal lui avait téléphoné pour discuter d'un poste de professeur.
Cette proposition «extrêmement intéressante qui l'a rendu enthousiaste» serait de retrourner enseigner à la faculté de gestion (où il se trouvait avant de revenir en politique), mais aussi à celle de science politique, a expliqué hier son porte-parole, Louis-Pascal Cyr.
Avec ce retour, la colère de l'ancien premier ministre dans le film À hauteur d'homme prendrait une note prémonitoire. Exaspéré par les journalistes dans le feu de la campagne électorale de 2003, M. Landry avait menacé de tout balancer pour retourner «enseigner à l'UQAM».
M. Landry pourrait reprendre l'enseignement au moment où il le juge opportun, dès septembre s'il le souhaite. «M. Landry y réfléchit, il a eu aussi d'autres propositions», indique M. Cyr.
Des sources fiables dans l'entourage de M. Landry confiaient hier que le chef péquiste avait passé des heures extrêmement difficiles après l'annonce de sa décision, samedi soir. À des proches il a même confié, sans détour, qu'il regrettait d'avoir décidé, aussi rapidement, de jeter l'éponge.
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Chantal Renaud, sa conjointe, a même eu des mots très durs à l'endroit du député Sylvain Simard et de Line-Sylvie Perron, son chef de cabinet, lors du souper réunissant les employés du cabinet du chef de l'opposition samedi soir. S'y trouvaient aussi Marc-André Bédard et ses deux fils Stéphane et Éric, de même que l'ancien ministre Yves Duhaime.
Un peu d'amertume
Mme Renaud était amère devant la tournure des événements: «Elle a trouvé ça très dur», dit-on.
«Ce sont des conversations privées», a indiqué Mme Perron pour qui le souper dans les salons du restaurant Louis-Hébert s'était déroulé «sereinement».
«Comme René Lévesque lors de sa démission, il (M. Landry) vit des moments difficiles; actuellement, il doit piétiner dans son salon, et chercher de l'air», explique un collaborateur. «Il travaillait six jours par semaines, il se retrouve devant le vide, il a une sorte de deuil à faire», dira un autre. M. Landry avait déjà prévu faire la tournée des festivals régionaux cet été, et préparait la recherche d'éventuels candidats péquistes.
Un retour?
La rapidité des événements de la fin de semaine ont laissé pantois bien des sympathisants de M. Landry, qui pensent même qu'il pourrait très bien se présenter dans la course à la direction de son propre parti.
«C'est une hypothèse qui mérite réflexion; il faut l'examiner, compte tenu du concert d'éloges qu'on entend sur M. Landry, de son rôle. Les gens sont stupéfaits qu'il ait pris une telle décision compte tenu du vote de 76 %... C'est pas rien!» lance Fernand Daoust, ami de longue date de M. Landry et longtemps secrétaire de la FTQ. «C'est une décision qui s'est prise très rapidement. Pourrait-elle être revue? Cela vaut la peine d'y réfléchir», remarque-t-il en soulignant que beaucoup d'autres personnes lui en avaient parlé. «Les gens se disent: qu'est-ce que cette idée de quitter son poste aussi rapidement!»
Yves Michaud, dont les sorties ont profondément irrité M. Landry en fin de semaine, pense aussi que ce dernier pourrait se porter candidat pour reconquérir le poste qu'il vient de laisser vacant. «C'est ce que je lui conseillais il y a quatre mois seulement», souligne M. Michaud qui attendrait de voir la liste des «candidats putatifs» avant d'accorder son appui à son vieil ami. «Bouchard était au zénith et il avait eu 76,8 %... le score de M. Landry n'est pas infamant», note M. Michaud.
Boisclair: «J'ai un plan de match»
Quant à André Boisclair, dont le nom circule parmi ceux des candidats potentiels à la succession de Bernard Landry, il se faisait bien mystérieux hier. «Je n'ai pas de commentaires. J'ai un plan de match qui est connu; j'ai un emploi qui m'attend chez McKenzie à Toronto. Le temps venu, s'il doit y en avoir une, je ferai une déclaration... je n'ai pas de déclaration à faire maintenant», a-t-il répété.
Il semble que M. Boisclair, spontanément intéressé à ajouter son nom à la liste des successeurs, ait été vite refroidi par l'ampleur de la tâche à accomplir.
SUCCESSION DE BERNARD LANDRY
Duceppe consulte Lucien Bouchard
Joël-Denis Bellavance et Nathaëlle Morissette
La Presse
Ottawa
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a sollicité les conseils de l'ex-premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, afin de l'aider à décider s'il doit faire le saut en politique provinciale pour diriger le Parti québécois.
M. Duceppe a aussi indiqué s'être entretenu avec des députés péquistes au cours des dernières heures pour entendre leur son de cloche.
Devant les journalistes, le chef bloquiste a de nouveau refusé de dire quand il annoncera ses intentions sur son avenir politique, mais il a précisé que cela ne saurait être une question de plusieurs semaines.
«J'ai des discussions avec l'ancien premier ministre. Quand je dis que je vais consulter des gens, c'est normal que je parle à des personnes. Je ne me consulte pas moi-même», a lancé M. Duceppe, visiblement de bonne humeur après avoir été pris de court par la démission surprise de Bernard Landry samedi soir.
Lucien Bouchard, qui a été chef du Bloc québécois de 1990 à 1996, a vécu la transition entre Ottawa et Québec, ayant quitté la capitale fédérale pour prendre la direction du Parti québécois quelque mois après le référendum sur la souveraineté de 1995. M. Duceppe a toutefois refusé de dévoiler la teneur des échanges.
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L'avenir politique du chef bloquiste dominera la réunion hebdomadaire du caucus du Bloc québécois. En effet, plusieurs députés bloquistes craignent que le départ de M. Duceppe à quelques mois des prochaines élections n'affaiblisse le parti. Ils comptent tout faire pour le convaincre de rester à Ottawa.
«Bon signe»
Interrogé à ce sujet, hier, M. Duceppe s'est dit flatté de ces témoignages d'appui de ses troupes et a indiqué que tout cela fera partie de sa réflexion.
«C'est bon signe, a déclaré sur un ton badin M. Duceppe. S'ils me demandaient tous de m'en aller, ce serait un petit peu gênant. Or, cela fait partie de la réflexion. Je veux prendre le temps. Je n'ai pas vu tous les députés.» Le chef bloquiste a réitéré qu'il ne veut surtout pas que son parti souffre du chambardement de l'échiquier politique qui se prépare. «Il y a une lutte, un combat à mener ici et à Québec».
Quant à la réaction des libéraux fédéraux du Québec, qui cachent mal leur impatience de le voir sous d'autres cieux, M. Duceppe a soutenu que cela prouve que le Bloc est un adversaire coriace sous sa direction. «Quand on a hâte qu'un adversaire s'en aille, c'est habituellement qu'on le craint», a-t-il affirmé.
Lundi, le ministre des Transports, Jean Lapierre, a affirmé que M. Duceppe ne pouvait faire autrement que de répondre à «l'appel du devoir» pour diriger le PQ. Il a aussi déclaré que son départ modifiera considérablement la donne politique au Québec sur la scène fédérale.
M. Duceppe n'a pas voulu se prononcer sur le meilleur moment pour tenir le congrès du Parti québécois qui permettra aux militants de choisir le prochain chef qui mènera les troupes péquistes durant les prochaines élections provinciales.
Pas de préférence
Il a déclaré que l'échéancier de la course à la direction du Parti québécois ne fait pas partie de sa réflexion. La seule candidate déclarée, Pauline Marois, voudrait une course à l'automne, mais à Ottawa, des députés bloquistes espèrent que le PQ attendra jusqu'au printemps 2006 pour permettre à Gilles Duceppe de mener une autre campagne électorale comme chef du Bloc.
M. Duceppe dit que c'est une décision qui appartient aux instances du Parti québécois. Commentant pour la première fois les derniers événements, le chef du NPD, Jack Layton, a affirmé que le départ de M. Duceppe pourrait permettre à son parti de faire des gains au Québec. «Ça va peut-être ouvrir la porte à ceux qui veulent avoir une alternative progressiste qui comprend bien la situation au Québec, qui partage les valeurs des Québécois et Québécoises, mais qui n'est pas corrompue», a-t-il dit.
Duceppe consulte Lucien Bouchard
Joël-Denis Bellavance et Nathaëlle Morissette
La Presse
Ottawa
Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a sollicité les conseils de l'ex-premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, afin de l'aider à décider s'il doit faire le saut en politique provinciale pour diriger le Parti québécois.
M. Duceppe a aussi indiqué s'être entretenu avec des députés péquistes au cours des dernières heures pour entendre leur son de cloche.
Devant les journalistes, le chef bloquiste a de nouveau refusé de dire quand il annoncera ses intentions sur son avenir politique, mais il a précisé que cela ne saurait être une question de plusieurs semaines.
«J'ai des discussions avec l'ancien premier ministre. Quand je dis que je vais consulter des gens, c'est normal que je parle à des personnes. Je ne me consulte pas moi-même», a lancé M. Duceppe, visiblement de bonne humeur après avoir été pris de court par la démission surprise de Bernard Landry samedi soir.
Lucien Bouchard, qui a été chef du Bloc québécois de 1990 à 1996, a vécu la transition entre Ottawa et Québec, ayant quitté la capitale fédérale pour prendre la direction du Parti québécois quelque mois après le référendum sur la souveraineté de 1995. M. Duceppe a toutefois refusé de dévoiler la teneur des échanges.
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L'avenir politique du chef bloquiste dominera la réunion hebdomadaire du caucus du Bloc québécois. En effet, plusieurs députés bloquistes craignent que le départ de M. Duceppe à quelques mois des prochaines élections n'affaiblisse le parti. Ils comptent tout faire pour le convaincre de rester à Ottawa.
«Bon signe»
Interrogé à ce sujet, hier, M. Duceppe s'est dit flatté de ces témoignages d'appui de ses troupes et a indiqué que tout cela fera partie de sa réflexion.
«C'est bon signe, a déclaré sur un ton badin M. Duceppe. S'ils me demandaient tous de m'en aller, ce serait un petit peu gênant. Or, cela fait partie de la réflexion. Je veux prendre le temps. Je n'ai pas vu tous les députés.» Le chef bloquiste a réitéré qu'il ne veut surtout pas que son parti souffre du chambardement de l'échiquier politique qui se prépare. «Il y a une lutte, un combat à mener ici et à Québec».
Quant à la réaction des libéraux fédéraux du Québec, qui cachent mal leur impatience de le voir sous d'autres cieux, M. Duceppe a soutenu que cela prouve que le Bloc est un adversaire coriace sous sa direction. «Quand on a hâte qu'un adversaire s'en aille, c'est habituellement qu'on le craint», a-t-il affirmé.
Lundi, le ministre des Transports, Jean Lapierre, a affirmé que M. Duceppe ne pouvait faire autrement que de répondre à «l'appel du devoir» pour diriger le PQ. Il a aussi déclaré que son départ modifiera considérablement la donne politique au Québec sur la scène fédérale.
M. Duceppe n'a pas voulu se prononcer sur le meilleur moment pour tenir le congrès du Parti québécois qui permettra aux militants de choisir le prochain chef qui mènera les troupes péquistes durant les prochaines élections provinciales.
Pas de préférence
Il a déclaré que l'échéancier de la course à la direction du Parti québécois ne fait pas partie de sa réflexion. La seule candidate déclarée, Pauline Marois, voudrait une course à l'automne, mais à Ottawa, des députés bloquistes espèrent que le PQ attendra jusqu'au printemps 2006 pour permettre à Gilles Duceppe de mener une autre campagne électorale comme chef du Bloc.
M. Duceppe dit que c'est une décision qui appartient aux instances du Parti québécois. Commentant pour la première fois les derniers événements, le chef du NPD, Jack Layton, a affirmé que le départ de M. Duceppe pourrait permettre à son parti de faire des gains au Québec. «Ça va peut-être ouvrir la porte à ceux qui veulent avoir une alternative progressiste qui comprend bien la situation au Québec, qui partage les valeurs des Québécois et Québécoises, mais qui n'est pas corrompue», a-t-il dit.
je vous l'avait dit, Rebello ET Legeault, c'est deux affaires différentes
Direction du PQ: Legault renoncerait
Mise à jour le mercredi 8 juin 2005 à 9 h 15
.
.
Selon ce qu'a appris Radio-Canada, François Legault renoncerait à affronter Pauline Marois dans la course à direction du Parti québécois.
M. Legault a convoqué la presse parlementaire, à Québec, ce matin.
Selon le Réseau de l'information, il aurait pris sa décision mardi, après avoir consulté des membres de sa famille.
Le député de Rousseau était vu comme l'un des favoris à la succession de Bernard Landry, qui a démissionné samedi dernier.
André Boisclair, lui, évalue ses chances
.
André Boisclair invité à prendre la parole au congrès du Parti québécois
.
D'autre part, toujours selon des informations obtenues par Radio-Canada, l'ex-ministre André Boisclair envisage de se lancer dans la course à la direction du Parti québécois. Il jugerait que passer son tour serait trop risqué.
Depuis dimanche dernier lors du congrès du PQ, André Boisclair ferait de nombreux appels pour mesurer ses chances de battre Gilles Duceppe.
André Boisclair nie
Joint par Radio-Canada.ca, André Boisclair affirme qu'il n'a pas sollicité d'appuis, mais qu'il reçoit plusieurs appels. Des dizaines de messages élogieux ont été publiés sur son blogue. Il se dit touché par ces témoignages, mais pour le moment, il estime que son plan de carrière est ailleurs.
André Boisclair a quitté son siège de député de Gouin l'été dernier pour aller étudier aux États-Unis. Il doit compléter sa maîtrise en administration publique à l'université Harvard la semaine prochaine, et il a accepté un emploi à Toronto pour la firme Mackenzie.
Bloc de jeunes députés non alignés
Les jeunes députés qui avaient sonné l'alarme sur le désintérêt des jeunes pour la souveraineté, Les Mousquetaires, ont décidé de former un bloc de non-alignés.
Ils refusent de se faire bousculer pour le choix du prochain chef de leur formation politique. Ils veulent ainsi forcer leur parti à organiser une vraie course à la direction.
Ces jeunes craignent que si trop de députés appuient rapidement Pauline Marois, François Legault ou Gilles Duceppe, cela risque de fermer la porte à d'autres candidats.
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Jonathan Valois
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Le député Jonathan Valois est un des rares députés qui avaient appuyé Pauline Marois quand elle avait contesté Bernard Landry l'été dernier. Désormais, le député réserve son appui afin d'appuyer une candidature surprise ou un coup de coeur.
Déjà, des gens de l'extérieur du Parti québécois ont été sollicités. Le président de la FTQ, Henri Massé, ainsi que le PDG de la Caisse de dépôt et placement, Henri-Paul Rousseau, ont indiqué ne pas être intéressés par le poste.
L'avocat Éric Bédard, fils de l'ancien ministre Marc-André Bédard, frère du député Stéphane Bédard, a aussi reçu des appels.
Direction du PQ: Legault renoncerait
Mise à jour le mercredi 8 juin 2005 à 9 h 15
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Selon ce qu'a appris Radio-Canada, François Legault renoncerait à affronter Pauline Marois dans la course à direction du Parti québécois.
M. Legault a convoqué la presse parlementaire, à Québec, ce matin.
Selon le Réseau de l'information, il aurait pris sa décision mardi, après avoir consulté des membres de sa famille.
Le député de Rousseau était vu comme l'un des favoris à la succession de Bernard Landry, qui a démissionné samedi dernier.
André Boisclair, lui, évalue ses chances
.
André Boisclair invité à prendre la parole au congrès du Parti québécois
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D'autre part, toujours selon des informations obtenues par Radio-Canada, l'ex-ministre André Boisclair envisage de se lancer dans la course à la direction du Parti québécois. Il jugerait que passer son tour serait trop risqué.
Depuis dimanche dernier lors du congrès du PQ, André Boisclair ferait de nombreux appels pour mesurer ses chances de battre Gilles Duceppe.
André Boisclair nie
Joint par Radio-Canada.ca, André Boisclair affirme qu'il n'a pas sollicité d'appuis, mais qu'il reçoit plusieurs appels. Des dizaines de messages élogieux ont été publiés sur son blogue. Il se dit touché par ces témoignages, mais pour le moment, il estime que son plan de carrière est ailleurs.
André Boisclair a quitté son siège de député de Gouin l'été dernier pour aller étudier aux États-Unis. Il doit compléter sa maîtrise en administration publique à l'université Harvard la semaine prochaine, et il a accepté un emploi à Toronto pour la firme Mackenzie.
Bloc de jeunes députés non alignés
Les jeunes députés qui avaient sonné l'alarme sur le désintérêt des jeunes pour la souveraineté, Les Mousquetaires, ont décidé de former un bloc de non-alignés.
Ils refusent de se faire bousculer pour le choix du prochain chef de leur formation politique. Ils veulent ainsi forcer leur parti à organiser une vraie course à la direction.
Ces jeunes craignent que si trop de députés appuient rapidement Pauline Marois, François Legault ou Gilles Duceppe, cela risque de fermer la porte à d'autres candidats.
.
Jonathan Valois
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Le député Jonathan Valois est un des rares députés qui avaient appuyé Pauline Marois quand elle avait contesté Bernard Landry l'été dernier. Désormais, le député réserve son appui afin d'appuyer une candidature surprise ou un coup de coeur.
Déjà, des gens de l'extérieur du Parti québécois ont été sollicités. Le président de la FTQ, Henri Massé, ainsi que le PDG de la Caisse de dépôt et placement, Henri-Paul Rousseau, ont indiqué ne pas être intéressés par le poste.
L'avocat Éric Bédard, fils de l'ancien ministre Marc-André Bédard, frère du député Stéphane Bédard, a aussi reçu des appels.
Ottawa
André Boisclair à la tête du Bloc?
André Boisclair pourrait se retrouver à la tête du Bloc Québécois si Gilles Duceppe se portait candidat à la direction du Parti québécois.
Selon Le Devoir, des militants favorables à la venue de M. Duceppe au PQ tentent actuellement de convaincre l'ancien ministre péquiste de faire le saut sur la scène fédérale.
André Boisclair a quitté ses fonctions l'an dernier pour aller étudier à l'Université Harvard, aux États-Unis. Il a récemment été recruté à Toronto par la firme de consultants McKenzie.
Reconnu comme un habile débatteur, M. Boisclair a été élu à 23 ans en 1989.
D'autres sources indiquent qu'il pourrait préférer se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry.
André Boisclair à la tête du Bloc?
André Boisclair pourrait se retrouver à la tête du Bloc Québécois si Gilles Duceppe se portait candidat à la direction du Parti québécois.
Selon Le Devoir, des militants favorables à la venue de M. Duceppe au PQ tentent actuellement de convaincre l'ancien ministre péquiste de faire le saut sur la scène fédérale.
André Boisclair a quitté ses fonctions l'an dernier pour aller étudier à l'Université Harvard, aux États-Unis. Il a récemment été recruté à Toronto par la firme de consultants McKenzie.
Reconnu comme un habile débatteur, M. Boisclair a été élu à 23 ans en 1989.
D'autres sources indiquent qu'il pourrait préférer se lancer dans la course à la succession de Bernard Landry.
voici mon comentaire sur le blogue d'abdre boisclair
Monsieur Boisclair, La vie est faites de surprises, on appelle ça le destin,
Tout comme vous j'ai un rêve, un rêve qui vous hante, qui nous hante, rien ne sera plus beau, rien ne vous rendra plus fier, qu’un majorité de québécois disent oui à la souveraineté du Québec.
Pour moi, vous représentez le renouveau, vous tranchez la perception de l’idéaliste des années 1970, par le pragmatisme plus adapté au Québec d’aujourd’hui,
A lire les commentaires des forums sur Internet, il est clair qu’advenant votre candidature, la jeunesse et le militantisme de vos supporteurs, sans même avoir de mot d’ordre de votre part vous permettre de prétendre a la chefferie, en plus d’assurez au Parti, un grand vent de fraîcheur,
Il y a un mois, notre député nous à demander d’augmenter le membership, ce n’était pas évident,,
Depuis lundi, il suffit de dire Boisclair pour vendre des cartes, c’est magique
Même si Gilles Duceppe ce présentai à la chefferie, vous avez des chances sérieuses,
Moi je suis totalement dévoué pour vous,
Jacques Montréal
Mr.rumeur@sympatico.ca
Monsieur Boisclair, La vie est faites de surprises, on appelle ça le destin,
Tout comme vous j'ai un rêve, un rêve qui vous hante, qui nous hante, rien ne sera plus beau, rien ne vous rendra plus fier, qu’un majorité de québécois disent oui à la souveraineté du Québec.
Pour moi, vous représentez le renouveau, vous tranchez la perception de l’idéaliste des années 1970, par le pragmatisme plus adapté au Québec d’aujourd’hui,
A lire les commentaires des forums sur Internet, il est clair qu’advenant votre candidature, la jeunesse et le militantisme de vos supporteurs, sans même avoir de mot d’ordre de votre part vous permettre de prétendre a la chefferie, en plus d’assurez au Parti, un grand vent de fraîcheur,
Il y a un mois, notre député nous à demander d’augmenter le membership, ce n’était pas évident,,
Depuis lundi, il suffit de dire Boisclair pour vendre des cartes, c’est magique
Même si Gilles Duceppe ce présentai à la chefferie, vous avez des chances sérieuses,
Moi je suis totalement dévoué pour vous,
Jacques Montréal
Mr.rumeur@sympatico.ca
-
EveLaVraie
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6941
- Inscription : mar. oct. 28, 2003 1:00 am
Moi j'ai voté pour Gilles Duceppe mais j'ai voté pour l'homme!
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
Je fais confiance à la vie :)
EveLaVraie a écritMoi j'ai voté pour Gilles Duceppe mais j'ai voté pour l'homme!
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
est-ce une devinette ????? .....faut-il avancer des noms...??? .....c,est qui.?????
J'aime l'homme mais moi....celui que j'aimerais voir à la direction de partie québecois ne lui ressemble pas.
De plus, il fait très bien sa job ou il est.
Celui que je verrais est plutot un homme comme André Boisclair......plus jeune....énergique....rassembleur.
PAs que M. Duceppe n'est pas ces qualités...mais il est dans un pic de sa carrière et il me semble, qu'il devrait garder son énergie pour finir sa carrière en toute dignité.
Moi j'ai envie de voir....une énergie nouvelle....quelqu'un qu'on a pas trop vu ni entendu.......comme un nouveau voisin célibataire qu'on trouve très interesssant et qui, plus on le connait l'est encore plus! Mais ça.....c'est mes envies
est-ce une devinette ????? .....faut-il avancer des noms...??? .....c,est qui.?????