CHOIX d'un chef au PQ = 2ième tour.....
Renton a écritAvec son désistement, croyez-vous que Facal pourrait tout de même faire un retour dans le caucus du PQ?
cela serait un peu inconséquent je crois, non?...il démissionne de son poste de ministre pour s,occuper de sa famille, il redit cette semaine que pour cette même raison il ne peut briguer la tête du Parti alors il me semble que revenir comme député dans un avenir rapproché ..........mais je souhaite ardemment qu'il participe de façon ponctuelle, il n'y a que lui à mon humble avis qui pourrait écrire de quoi de réaliste comme constitution....entre les Françoise David, les syndicats, les Marois et cie.....son analyse est, me semble, la voix de la raison et serait empreint du réalisme nécessaire.
cela serait un peu inconséquent je crois, non?...il démissionne de son poste de ministre pour s,occuper de sa famille, il redit cette semaine que pour cette même raison il ne peut briguer la tête du Parti alors il me semble que revenir comme député dans un avenir rapproché ..........mais je souhaite ardemment qu'il participe de façon ponctuelle, il n'y a que lui à mon humble avis qui pourrait écrire de quoi de réaliste comme constitution....entre les Françoise David, les syndicats, les Marois et cie.....son analyse est, me semble, la voix de la raison et serait empreint du réalisme nécessaire.
facal n,a pas démissioné pour des raison familiale
il sait dit d'accord avec certain point du programme de l'adq.
il a dit, pour progressé, il faut avencé le pied droit et ensuite le pied gauche, sinon on tourne en rond,
landry n'a pas aimé, il est parti,
Facal avait dit a peu pres la meme chose que la cours supremme,
a l,épouqe je travaillais a la permanence de l'adq, et on fesait des priere pour qu'il vienne a l'adq
il sait dit d'accord avec certain point du programme de l'adq.
il a dit, pour progressé, il faut avencé le pied droit et ensuite le pied gauche, sinon on tourne en rond,
landry n'a pas aimé, il est parti,
Facal avait dit a peu pres la meme chose que la cours supremme,
a l,épouqe je travaillais a la permanence de l'adq, et on fesait des priere pour qu'il vienne a l'adq
Voyeur23 a écritfacal n,a pas démissioné pour des raison familiale
il sait dit d'accord avec certain point du programme de l'adq.
il a dit, pour progressé, il faut avencé le pied droit et ensuite le pied gauche, sinon on tourne en rond,
landry n'a pas aimé, il est parti,
Facal avait dit a peu pres la meme chose que la cours supremme,
a l,épouqe je travaillais a la permanence de l'adq, et on fesait des priere pour qu'il vienne a l'adq
je sais qu'il n,est pas parti pour raisons familiales...c,est toujours l,excuse de service mais je parle d'être conséquent, son discours public se doit d,être conséquent, étant donné qu'il vient juste de le redire, ça regarderait drôlement maintenant qu,elle ne tienne plus la route.....mais bon...on fermera les yeux s'il pouvait juste revenir.....point...
Joseph n'irait jamais à l'ADQ.....si tout ceux qui disaient et pensaient autrement que Landry étaient passé à l'ADQ, ça fait longtemps qu'ils seraient au pouvoir.....
Il y a peu de place pour ceux qui veulent un Qc indépendant sans pour autant se livrer pieds et mains liées aux pouvoirs des "lobbyïneux"...il y a rien au centre...tout est trop à gauche ou trop à droite.....serait temps que le balancier arrête d'osciller ainsi..... --Message edité par tuberale le 2005-06-15 11:38:39--
il sait dit d'accord avec certain point du programme de l'adq.
il a dit, pour progressé, il faut avencé le pied droit et ensuite le pied gauche, sinon on tourne en rond,
landry n'a pas aimé, il est parti,
Facal avait dit a peu pres la meme chose que la cours supremme,
a l,épouqe je travaillais a la permanence de l'adq, et on fesait des priere pour qu'il vienne a l'adq
je sais qu'il n,est pas parti pour raisons familiales...c,est toujours l,excuse de service mais je parle d'être conséquent, son discours public se doit d,être conséquent, étant donné qu'il vient juste de le redire, ça regarderait drôlement maintenant qu,elle ne tienne plus la route.....mais bon...on fermera les yeux s'il pouvait juste revenir.....point...
Joseph n'irait jamais à l'ADQ.....si tout ceux qui disaient et pensaient autrement que Landry étaient passé à l'ADQ, ça fait longtemps qu'ils seraient au pouvoir.....
Il y a peu de place pour ceux qui veulent un Qc indépendant sans pour autant se livrer pieds et mains liées aux pouvoirs des "lobbyïneux"...il y a rien au centre...tout est trop à gauche ou trop à droite.....serait temps que le balancier arrête d'osciller ainsi..... --Message edité par tuberale le 2005-06-15 11:38:39--
DÉCLARATION DE M. LOUIS BERNARD
(Québec, 15 juin 2005) Sans vouloir jouer au devin, je crois qu’il y a une possibilité très réelle que, sous peu, le Québec devienne un pays indépendant. Prochainement, il y aura des élections fédérales où le Bloc Québécois devrait remporter une victoire historique qu’il a bien méritée. Puis suivront les élections à l’Assemblée nationale à la suite desquelles le Parti Québécois, s’il fait ce que les Québécoises et Québécois attendent de lui, formera le nouveau gouvernement et, conformément à son programme, déclenchera un nouveau référendum, qui sera comme une période supplémentaire à la partie nulle de 1995.
Dans ces circonstances, les Québécoises et Québécois doivent avoir la conviction que le Bloc Québécois, à Ottawa, et le Parti Québécois, à Québec, forment des équipes compétentes et unies, dirigées par des chefs ayant la confiance non seulement de leurs troupes mais des citoyens et citoyennes du Québec. C’est déjà le cas pour le Bloc Québécois.
Au Parti Québécois, ce chef sera choisi par les membres au terme d’un processus qui est déjà ouvert. Mme Pauline Marois a, la première, annoncé qu’elle sera de la course. D’autres réfléchissent à la chose et feront connaître prochainement leur décision. C’est dans ce contexte que j’ai décidé d’annoncer mon intention de soumettre ma candidature au vote des militants et militantes du Parti Québécois.
J’ai eu la bonne fortune d’avoir une carrière bien remplie, tant dans le secteur public que dans le secteur privé. En particulier, j’ai eu l’immense privilège de travailler étroitement, pendant plusieurs années, avec M. René Lévesque, avec M. Jacques Parizeau et avec la plupart des Premiers ministres québécois, de Jean Lesage à Bernard Landry. Cela m’a permis non seulement de participer activement à l’avènement du Québec moderne mais aussi d’acquérir une expérience assez unique que je désire mettre au service de mes concitoyens à un moment crucial de leur vie collective.
Je peux dire, sans fausse modestie, que je connais bien les problèmes et les défis que le Québec devra affronter au cours des prochaines années s’il veut tenir sa place au sein du peloton de tête des pays développés. J’ai également une connaissance vécue de la dynamique des relations entre le Québec et le reste du Canada et je sais ce qu’il faut faire pour que l’accession du Québec à son indépendance se fasse dans les meilleures conditions. J’ai de l’expérience. Mais j’ai aussi des idées.
Le Québec que je vois est un Québec prospère, solidaire, culturellement dynamique et diversifié, respectueux de l’environnement et respectueux aussi de ses premiers habitants, nos frères autochtones. J’aurai l’occasion, au cours de la campagne, de développer chacune de ces idées et d’expliquer plus en détail les moyens que je compte mettre en œuvre pour les réaliser.
I would like nevertheless to say, right from the beginning, to my fellow English-speaking Quebecers, that I consider their contribution essential to an independent Quebec. We are richer by their presence and we owe a lot of what we are to what they brought home. Our political institutions, our criminal law, a large part of our architecture and landscape, some of our most prestigious institutions like McGill and the Neurological Institute, some of our best renowned citizens like Dr Penfield and John Humphrey, Oscar Peterson and Oliver Jones, all these, and many other things, come from the English stock and tradition and we are all the better for it. In an independent Quebec, we need a vibrant and secure English community, and we shall do what is needed to achieve it.
Le Québec est déjà un pays à quasiment tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Le Québec est déjà séparé du Canada à presque tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Avec l’aide des militants et militantes du Parti Québécois et du Bloc Québécois, je veux convaincre les Québécoises et Québécois que le temps est venu de faire en sorte que la réalité politique rejoigne enfin la réalité sociologique.
Personnellement, non seulement je suis fier d’être québécois, mais je suis fier du Québec, de ce qu’est devenue cette petite colonie conquise de 65 000 habitants après 400 ans d’une histoire souvent difficile, mais je suis fier surtout de ce que le Québec peut devenir dans le monde de demain, un monde fondé sur le savoir et la créativité, sur l’ouverture et le changement, sur les échanges et la mondialité. Nous pouvons apporter notre couleur distinctive à la grande fresque des nations du monde, une couleur qui nous est propre et que personne d’autre que nous ne peut mettre en valeur.
Je soumets donc ma candidature au jugement des membres du Parti Québécois. Je le fais de moi-même, sans avoir sollicité les appuis de quiconque. Mais il va de soi qu’à partir d’aujourd’hui, je me mets en campagne auprès des députés, des présidents de comtés, des militants et de tous les membres du Parti afin de gagner leur appui. Et j’invite tous ceux qui voudraient le faire à communiquer avec moi à l’adresse suivante : www.LouisBernard.org . Ma campagne se fera sous le thème « Un homme solide – Un Québec solidaire ». Ce sera une campagne vigoureuse mais toujours positive. Et, comme on dit, que la meilleure ou le meilleur gagne !
site internet
http://www.Louisbernard.org
(Québec, 15 juin 2005) Sans vouloir jouer au devin, je crois qu’il y a une possibilité très réelle que, sous peu, le Québec devienne un pays indépendant. Prochainement, il y aura des élections fédérales où le Bloc Québécois devrait remporter une victoire historique qu’il a bien méritée. Puis suivront les élections à l’Assemblée nationale à la suite desquelles le Parti Québécois, s’il fait ce que les Québécoises et Québécois attendent de lui, formera le nouveau gouvernement et, conformément à son programme, déclenchera un nouveau référendum, qui sera comme une période supplémentaire à la partie nulle de 1995.
Dans ces circonstances, les Québécoises et Québécois doivent avoir la conviction que le Bloc Québécois, à Ottawa, et le Parti Québécois, à Québec, forment des équipes compétentes et unies, dirigées par des chefs ayant la confiance non seulement de leurs troupes mais des citoyens et citoyennes du Québec. C’est déjà le cas pour le Bloc Québécois.
Au Parti Québécois, ce chef sera choisi par les membres au terme d’un processus qui est déjà ouvert. Mme Pauline Marois a, la première, annoncé qu’elle sera de la course. D’autres réfléchissent à la chose et feront connaître prochainement leur décision. C’est dans ce contexte que j’ai décidé d’annoncer mon intention de soumettre ma candidature au vote des militants et militantes du Parti Québécois.
J’ai eu la bonne fortune d’avoir une carrière bien remplie, tant dans le secteur public que dans le secteur privé. En particulier, j’ai eu l’immense privilège de travailler étroitement, pendant plusieurs années, avec M. René Lévesque, avec M. Jacques Parizeau et avec la plupart des Premiers ministres québécois, de Jean Lesage à Bernard Landry. Cela m’a permis non seulement de participer activement à l’avènement du Québec moderne mais aussi d’acquérir une expérience assez unique que je désire mettre au service de mes concitoyens à un moment crucial de leur vie collective.
Je peux dire, sans fausse modestie, que je connais bien les problèmes et les défis que le Québec devra affronter au cours des prochaines années s’il veut tenir sa place au sein du peloton de tête des pays développés. J’ai également une connaissance vécue de la dynamique des relations entre le Québec et le reste du Canada et je sais ce qu’il faut faire pour que l’accession du Québec à son indépendance se fasse dans les meilleures conditions. J’ai de l’expérience. Mais j’ai aussi des idées.
Le Québec que je vois est un Québec prospère, solidaire, culturellement dynamique et diversifié, respectueux de l’environnement et respectueux aussi de ses premiers habitants, nos frères autochtones. J’aurai l’occasion, au cours de la campagne, de développer chacune de ces idées et d’expliquer plus en détail les moyens que je compte mettre en œuvre pour les réaliser.
I would like nevertheless to say, right from the beginning, to my fellow English-speaking Quebecers, that I consider their contribution essential to an independent Quebec. We are richer by their presence and we owe a lot of what we are to what they brought home. Our political institutions, our criminal law, a large part of our architecture and landscape, some of our most prestigious institutions like McGill and the Neurological Institute, some of our best renowned citizens like Dr Penfield and John Humphrey, Oscar Peterson and Oliver Jones, all these, and many other things, come from the English stock and tradition and we are all the better for it. In an independent Quebec, we need a vibrant and secure English community, and we shall do what is needed to achieve it.
Le Québec est déjà un pays à quasiment tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Le Québec est déjà séparé du Canada à presque tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Avec l’aide des militants et militantes du Parti Québécois et du Bloc Québécois, je veux convaincre les Québécoises et Québécois que le temps est venu de faire en sorte que la réalité politique rejoigne enfin la réalité sociologique.
Personnellement, non seulement je suis fier d’être québécois, mais je suis fier du Québec, de ce qu’est devenue cette petite colonie conquise de 65 000 habitants après 400 ans d’une histoire souvent difficile, mais je suis fier surtout de ce que le Québec peut devenir dans le monde de demain, un monde fondé sur le savoir et la créativité, sur l’ouverture et le changement, sur les échanges et la mondialité. Nous pouvons apporter notre couleur distinctive à la grande fresque des nations du monde, une couleur qui nous est propre et que personne d’autre que nous ne peut mettre en valeur.
Je soumets donc ma candidature au jugement des membres du Parti Québécois. Je le fais de moi-même, sans avoir sollicité les appuis de quiconque. Mais il va de soi qu’à partir d’aujourd’hui, je me mets en campagne auprès des députés, des présidents de comtés, des militants et de tous les membres du Parti afin de gagner leur appui. Et j’invite tous ceux qui voudraient le faire à communiquer avec moi à l’adresse suivante : www.LouisBernard.org . Ma campagne se fera sous le thème « Un homme solide – Un Québec solidaire ». Ce sera une campagne vigoureuse mais toujours positive. Et, comme on dit, que la meilleure ou le meilleur gagne !
site internet
http://www.Louisbernard.org
Pourquoi je ne serai pas candidat
Joseph Facal, ancien ministre péquiste. Il a notamment présidé le Conseil du Trésor.
La Presse mercredi 15 juin 2005
--------------------------------------------------------------------------------
Beaucoup de militants m'ont invité, ces derniers jours, à considérer sérieusement la possibilité de poser ma candidature à la direction du Parti québécois. Je les remercie du fond du coeur. Je ne suis pas resté insensible à des appels aussi sincères et spontanés. Après mûre réflexion, j'ai décidé cependant de passer mon tour.
Deux raisons principales motivent ma décision.
Quand j'ai quitté la vie politique, il y a deux ans, j'avais invoqué des raisons familiales. Mes deux enfants avaient à ce moment deux ans et cinq ans, et mes absences se faisaient sentir. À l'époque, on m'avait cru parce qu'à l'évidence, je disais vrai. Comme mes enfants n'ont aujourd'hui que quatre ans et sept ans, ces motifs restent vrais et entiers.
L'autre raison est d'ordre professionnel. Je suis lié à mon employeur, l'École des hautes études commerciales de Montréal, par un contrat de trois ans que j'entends honorer. J'ai déjà pris l'engagement d'enseigner trois cours à l'automne. Je dirige aussi les travaux d'étudiants à la maîtrise, que je ne peux abandonner subitement.
Bref, je ne suis tout simplement pas dans des circonstances personnelles et professionnelles qui me permettraient de m'engager dans une entreprise aussi exigeante qu'une course à la direction.
Les événements des derniers jours m'ont cependant fait réaliser que j'avais encore le goût du service public et de travailler à l'avènement du pays du Québec. Un jour, je reviendrai sans doute en politique. Il y aura aussi d'autres courses à la direction. D'ici là, je trouverai des façons de me rendre utile.
Je prie toutes les personnes que cette décision va décevoir de bien vouloir me comprendre.
Joseph Facal, ancien ministre péquiste. Il a notamment présidé le Conseil du Trésor.
La Presse mercredi 15 juin 2005
--------------------------------------------------------------------------------
Beaucoup de militants m'ont invité, ces derniers jours, à considérer sérieusement la possibilité de poser ma candidature à la direction du Parti québécois. Je les remercie du fond du coeur. Je ne suis pas resté insensible à des appels aussi sincères et spontanés. Après mûre réflexion, j'ai décidé cependant de passer mon tour.
Deux raisons principales motivent ma décision.
Quand j'ai quitté la vie politique, il y a deux ans, j'avais invoqué des raisons familiales. Mes deux enfants avaient à ce moment deux ans et cinq ans, et mes absences se faisaient sentir. À l'époque, on m'avait cru parce qu'à l'évidence, je disais vrai. Comme mes enfants n'ont aujourd'hui que quatre ans et sept ans, ces motifs restent vrais et entiers.
L'autre raison est d'ordre professionnel. Je suis lié à mon employeur, l'École des hautes études commerciales de Montréal, par un contrat de trois ans que j'entends honorer. J'ai déjà pris l'engagement d'enseigner trois cours à l'automne. Je dirige aussi les travaux d'étudiants à la maîtrise, que je ne peux abandonner subitement.
Bref, je ne suis tout simplement pas dans des circonstances personnelles et professionnelles qui me permettraient de m'engager dans une entreprise aussi exigeante qu'une course à la direction.
Les événements des derniers jours m'ont cependant fait réaliser que j'avais encore le goût du service public et de travailler à l'avènement du pays du Québec. Un jour, je reviendrai sans doute en politique. Il y aura aussi d'autres courses à la direction. D'ici là, je trouverai des façons de me rendre utile.
Je prie toutes les personnes que cette décision va décevoir de bien vouloir me comprendre.
-
Scoubidoux
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
J'aime bien comment Louis Bernard s'introduit dans la course.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement d'être jeune pour insuffler du nouveau dans un parti. Je dirais même que, parfois, les idées de certains jeunes sont rétrograde et je pense au chef de l'ADQ entre autre.
J'opterais bien pour l'expérience évolutive s'il y a un candidat assez sérieux pour représenter ça. On ne change pas le monde en reniant le passé mais bien en l'alignant mieux pour un meilleur avenir.
Dans ce sens, j'aurais aussi aimé voir la candidature de Charbonneau.
Restera ensuite à écouter attentivement les discours de chacun pour savoir si le contenu est aussi solide que le contenant.
Mon vote n'est absolument pas définitif pour Boisclair mais il n'est définitivement pas pour Marois par contre.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement d'être jeune pour insuffler du nouveau dans un parti. Je dirais même que, parfois, les idées de certains jeunes sont rétrograde et je pense au chef de l'ADQ entre autre.
J'opterais bien pour l'expérience évolutive s'il y a un candidat assez sérieux pour représenter ça. On ne change pas le monde en reniant le passé mais bien en l'alignant mieux pour un meilleur avenir.
Dans ce sens, j'aurais aussi aimé voir la candidature de Charbonneau.
Restera ensuite à écouter attentivement les discours de chacun pour savoir si le contenu est aussi solide que le contenant.
Mon vote n'est absolument pas définitif pour Boisclair mais il n'est définitivement pas pour Marois par contre.
Scoubidoux a écritJ'aime bien comment Louis Bernard s'introduit dans la course.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement d'être jeune pour insuffler du nouveau dans un parti. Je dirais même que, parfois, les idées de certains jeunes sont rétrograde et je pense au chef de l'ADQ entre autre.
J'opterais bien pour l'expérience évolutive s'il y a un candidat assez sérieux pour représenter ça. On ne change pas le monde en reniant le passé mais bien en l'alignant mieux pour un meilleur avenir.
Dans ce sens, j'aurais aussi aimé voir la candidature de Charbonneau.
Restera ensuite à écouter attentivement les discours de chacun pour savoir si le contenu est aussi solide que le contenant.
Mon vote n'est absolument pas définitif pour Boisclair mais il n'est définitivement pas pour Marois par contre.
Ça a tellement de l'allure ce que tu dis.
Et moi non plus mon vote n'est pas définitif. Par contre, je ne vais certainement pas voter pour Pauline Marois.
J'attends de connaître toutes les candidatures et j'évaluerai les discours.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement d'être jeune pour insuffler du nouveau dans un parti. Je dirais même que, parfois, les idées de certains jeunes sont rétrograde et je pense au chef de l'ADQ entre autre.
J'opterais bien pour l'expérience évolutive s'il y a un candidat assez sérieux pour représenter ça. On ne change pas le monde en reniant le passé mais bien en l'alignant mieux pour un meilleur avenir.
Dans ce sens, j'aurais aussi aimé voir la candidature de Charbonneau.
Restera ensuite à écouter attentivement les discours de chacun pour savoir si le contenu est aussi solide que le contenant.
Mon vote n'est absolument pas définitif pour Boisclair mais il n'est définitivement pas pour Marois par contre.
Ça a tellement de l'allure ce que tu dis.
Et moi non plus mon vote n'est pas définitif. Par contre, je ne vais certainement pas voter pour Pauline Marois.
J'attends de connaître toutes les candidatures et j'évaluerai les discours.
[center][img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/theberge6a.jpg[/img]
[img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept.jpg[/img] https://www.lesnomadesenvr.com/forum.htm" onclick="window.open(this.href);return false; [img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept-1.jpg[/img][/center]
[img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept.jpg[/img] https://www.lesnomadesenvr.com/forum.htm" onclick="window.open(this.href);return false; [img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept-1.jpg[/img][/center]
tipet a écritHors sujet
Eh! Voyeur? Je viens de voir Elsie Lefebvre à LCN. Elle y a été fort avec Michou à ce que j'ai vu. L'Honorable Premier Ministre était pas content
Au fait c'était quoi le sujet? J'ai manqué le début...
http://diffusion.assnat.qc.ca/video/CH/ ... 15-100.wmv
a 31 minutes 49
Citation :Le Président: En question principale, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Dans le climat d'improvisation habituel, hier, la ministre nous confirmait qu'elle songeait à revoir une entente vieille de 25 ans avec Centraide. Je rappelle à la ministre que, depuis 1980, cinq gouvernements, tant du Parti libéral du Québec que du Parti québécois, se sont succédé et aucun n'a jugé de la pertinence de modifier les façons de faire puisque cela avait des impacts importants sur l'aide aux plus démunis, aux plus pauvres de cette société. De plus, des organismes sont étonnés et inquiets du revirement soudain de situation, puisqu'il y a six semaines on les rassurait que cette entente devait être reconduite pour trois ans.
Pourquoi, cette année, votre gouvernement, qui n'a cessé de prendre des mauvaises décisions, s'apprête-t-il à plonger de nouveau dans la cafouillage et mettre en péril le financement de centaines d'organismes?
Le Président: Mme la ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale.
Mme Courchesne: Alors, M. le Président, je dirai la chose suivante à la députée de Dorion, qui pose sa question pour une deuxième journée: Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de...
--------------------------------------------------------------------------------
Mme Courchesne: ...pose sa question pour une deuxième journée. Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de toute la population et d'autres organismes au Québec qui oeuvrent aussi pour faire de la recherche et améliorer la qualité des soins de santé pour les Québécois.
M. le Président, quand des organismes responsables viennent voir un gouvernement pour nous faire part d'une problématique et d'une évolution, bien je pense que nous avons le devoir et l'obligation, à tout le moins, un, de les écouter, deux, de les rencontrer et de voir avec eux quel est l'enjeu et, de trois, de faire les études, les analyses requises et surtout, M. le Président, de consulter, de consulter ici même nos collègues mais de consulter aussi la population dans nos comtés. Et, M. le Président, c'est ce que nous faisons, et, lorsque nous aurons une décision, nous en ferons part avec diligence. Merci.
Le Président: En question complémentaire, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Est-ce que la ministre est d'accord avec ce qui est rapporté par les médias, à savoir que ce serait plutôt dû aux pressions de la conjointe du premier ministre et de Pierre Shedleur, coprésident du Forum des générations et nouveau P.D.G. de la SGF, tous deux impliqués de près dans les activités de financement de la Croix-Rouge, que le gouvernement actuel tergiverse ainsi sur une décision qui a un long historique?
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: M. le Président, de toute ma carrière politique, je ne pensais jamais être obligé de me lever à l'Assemblée nationale du Québec pour une question comme celle-là. Jamais.
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! À l'ordre! À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: Mon épouse, Michèle, a fait du bénévolat pour la Croix-Rouge pendant sept ans. Elle n'a jamais cherché les caméras. Elle ne s'est jamais mêlée de cette question-là. Elle est allée au Nicaragua, au Honduras avec la Croix-Rouge. Le printemps dernier, elle est allée au Nicaragua où elle a aidé à mettre sur pied un programme de santé primaire. Elle n'a jamais cherché de reconnaissance de quiconque à part que de la satisfaction d'essayer d'aider puis d'améliorer le sort de certains de nos... d'autres êtres humains, M. le Président. Que la députée ait le culot, aujourd'hui, de poser cette question-là puis de s'attaquer à ma femme à l'Assemblée nationale du Québec, c'est tomber le plus bas. C'est tomber le plus bas de tout ce que j'ai vu à l'Assemblée nationale depuis que je siège ici, M. le Président.
Des voix: ...
(Applaudissements)
Le Président: S'il vous plaît! À l'ordre! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Une voix: ...
Le Président: S'il vous plaît, M. le député! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Des voix: ...
Le Président: Je vous demande votre collaboration. Je ne veux pas d'interpellation entre les collègues. La parole est à Mme la députée de Taillon, en question principale. --Message edité par voyeur23 le 2005-06-15 17:15:40--
Eh! Voyeur? Je viens de voir Elsie Lefebvre à LCN. Elle y a été fort avec Michou à ce que j'ai vu. L'Honorable Premier Ministre était pas content
Au fait c'était quoi le sujet? J'ai manqué le début...
http://diffusion.assnat.qc.ca/video/CH/ ... 15-100.wmv
a 31 minutes 49
Citation :Le Président: En question principale, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Dans le climat d'improvisation habituel, hier, la ministre nous confirmait qu'elle songeait à revoir une entente vieille de 25 ans avec Centraide. Je rappelle à la ministre que, depuis 1980, cinq gouvernements, tant du Parti libéral du Québec que du Parti québécois, se sont succédé et aucun n'a jugé de la pertinence de modifier les façons de faire puisque cela avait des impacts importants sur l'aide aux plus démunis, aux plus pauvres de cette société. De plus, des organismes sont étonnés et inquiets du revirement soudain de situation, puisqu'il y a six semaines on les rassurait que cette entente devait être reconduite pour trois ans.
Pourquoi, cette année, votre gouvernement, qui n'a cessé de prendre des mauvaises décisions, s'apprête-t-il à plonger de nouveau dans la cafouillage et mettre en péril le financement de centaines d'organismes?
Le Président: Mme la ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale.
Mme Courchesne: Alors, M. le Président, je dirai la chose suivante à la députée de Dorion, qui pose sa question pour une deuxième journée: Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de...
--------------------------------------------------------------------------------
Mme Courchesne: ...pose sa question pour une deuxième journée. Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de toute la population et d'autres organismes au Québec qui oeuvrent aussi pour faire de la recherche et améliorer la qualité des soins de santé pour les Québécois.
M. le Président, quand des organismes responsables viennent voir un gouvernement pour nous faire part d'une problématique et d'une évolution, bien je pense que nous avons le devoir et l'obligation, à tout le moins, un, de les écouter, deux, de les rencontrer et de voir avec eux quel est l'enjeu et, de trois, de faire les études, les analyses requises et surtout, M. le Président, de consulter, de consulter ici même nos collègues mais de consulter aussi la population dans nos comtés. Et, M. le Président, c'est ce que nous faisons, et, lorsque nous aurons une décision, nous en ferons part avec diligence. Merci.
Le Président: En question complémentaire, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Est-ce que la ministre est d'accord avec ce qui est rapporté par les médias, à savoir que ce serait plutôt dû aux pressions de la conjointe du premier ministre et de Pierre Shedleur, coprésident du Forum des générations et nouveau P.D.G. de la SGF, tous deux impliqués de près dans les activités de financement de la Croix-Rouge, que le gouvernement actuel tergiverse ainsi sur une décision qui a un long historique?
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: M. le Président, de toute ma carrière politique, je ne pensais jamais être obligé de me lever à l'Assemblée nationale du Québec pour une question comme celle-là. Jamais.
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! À l'ordre! À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: Mon épouse, Michèle, a fait du bénévolat pour la Croix-Rouge pendant sept ans. Elle n'a jamais cherché les caméras. Elle ne s'est jamais mêlée de cette question-là. Elle est allée au Nicaragua, au Honduras avec la Croix-Rouge. Le printemps dernier, elle est allée au Nicaragua où elle a aidé à mettre sur pied un programme de santé primaire. Elle n'a jamais cherché de reconnaissance de quiconque à part que de la satisfaction d'essayer d'aider puis d'améliorer le sort de certains de nos... d'autres êtres humains, M. le Président. Que la députée ait le culot, aujourd'hui, de poser cette question-là puis de s'attaquer à ma femme à l'Assemblée nationale du Québec, c'est tomber le plus bas. C'est tomber le plus bas de tout ce que j'ai vu à l'Assemblée nationale depuis que je siège ici, M. le Président.
Des voix: ...
(Applaudissements)
Le Président: S'il vous plaît! À l'ordre! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Une voix: ...
Le Président: S'il vous plaît, M. le député! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Des voix: ...
Le Président: Je vous demande votre collaboration. Je ne veux pas d'interpellation entre les collègues. La parole est à Mme la députée de Taillon, en question principale. --Message edité par voyeur23 le 2005-06-15 17:15:40--
Voyeur23 a écrit
http://diffusion.assnat.qc.ca/video/CH/ ... 15-100.wmv
a 31 minutes 49
Citation :Le Président: En question principale, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Dans le climat d'improvisation habituel, hier, la ministre nous confirmait qu'elle songeait à revoir une entente vieille de 25 ans avec Centraide. Je rappelle à la ministre que, depuis 1980, cinq gouvernements, tant du Parti libéral du Québec que du Parti québécois, se sont succédé et aucun n'a jugé de la pertinence de modifier les façons de faire puisque cela avait des impacts importants sur l'aide aux plus démunis, aux plus pauvres de cette société. De plus, des organismes sont étonnés et inquiets du revirement soudain de situation, puisqu'il y a six semaines on les rassurait que cette entente devait être reconduite pour trois ans.
Pourquoi, cette année, votre gouvernement, qui n'a cessé de prendre des mauvaises décisions, s'apprête-t-il à plonger de nouveau dans la cafouillage et mettre en péril le financement de centaines d'organismes?
Le Président: Mme la ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale.
Mme Courchesne: Alors, M. le Président, je dirai la chose suivante à la députée de Dorion, qui pose sa question pour une deuxième journée: Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de...
--------------------------------------------------------------------------------
Mme Courchesne: ...pose sa question pour une deuxième journée. Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de toute la population et d'autres organismes au Québec qui oeuvrent aussi pour faire de la recherche et améliorer la qualité des soins de santé pour les Québécois.
M. le Président, quand des organismes responsables viennent voir un gouvernement pour nous faire part d'une problématique et d'une évolution, bien je pense que nous avons le devoir et l'obligation, à tout le moins, un, de les écouter, deux, de les rencontrer et de voir avec eux quel est l'enjeu et, de trois, de faire les études, les analyses requises et surtout, M. le Président, de consulter, de consulter ici même nos collègues mais de consulter aussi la population dans nos comtés. Et, M. le Président, c'est ce que nous faisons, et, lorsque nous aurons une décision, nous en ferons part avec diligence. Merci.
Le Président: En question complémentaire, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Est-ce que la ministre est d'accord avec ce qui est rapporté par les médias, à savoir que ce serait plutôt dû aux pressions de la conjointe du premier ministre et de Pierre Shedleur, coprésident du Forum des générations et nouveau P.D.G. de la SGF, tous deux impliqués de près dans les activités de financement de la Croix-Rouge, que le gouvernement actuel tergiverse ainsi sur une décision qui a un long historique?
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: M. le Président, de toute ma carrière politique, je ne pensais jamais être obligé de me lever à l'Assemblée nationale du Québec pour une question comme celle-là. Jamais.
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! À l'ordre! À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: Mon épouse, Michèle, a fait du bénévolat pour la Croix-Rouge pendant sept ans. Elle n'a jamais cherché les caméras. Elle ne s'est jamais mêlée de cette question-là. Elle est allée au Nicaragua, au Honduras avec la Croix-Rouge. Le printemps dernier, elle est allée au Nicaragua où elle a aidé à mettre sur pied un programme de santé primaire. Elle n'a jamais cherché de reconnaissance de quiconque à part que de la satisfaction d'essayer d'aider puis d'améliorer le sort de certains de nos... d'autres êtres humains, M. le Président. Que la députée ait le culot, aujourd'hui, de poser cette question-là puis de s'attaquer à ma femme à l'Assemblée nationale du Québec, c'est tomber le plus bas. C'est tomber le plus bas de tout ce que j'ai vu à l'Assemblée nationale depuis que je siège ici, M. le Président.
Des voix: ...
(Applaudissements)
Le Président: S'il vous plaît! À l'ordre! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Une voix: ...
Le Président: S'il vous plaît, M. le député! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Des voix: ...
Le Président: Je vous demande votre collaboration. Je ne veux pas d'interpellation entre les collègues. La parole est à Mme la députée de Taillon, en question principale.
Ouin, elle est pas barrée Miss. Elsie
Fin du scrappage du topic, retour au menu principal
http://diffusion.assnat.qc.ca/video/CH/ ... 15-100.wmv
a 31 minutes 49
Citation :Le Président: En question principale, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Dans le climat d'improvisation habituel, hier, la ministre nous confirmait qu'elle songeait à revoir une entente vieille de 25 ans avec Centraide. Je rappelle à la ministre que, depuis 1980, cinq gouvernements, tant du Parti libéral du Québec que du Parti québécois, se sont succédé et aucun n'a jugé de la pertinence de modifier les façons de faire puisque cela avait des impacts importants sur l'aide aux plus démunis, aux plus pauvres de cette société. De plus, des organismes sont étonnés et inquiets du revirement soudain de situation, puisqu'il y a six semaines on les rassurait que cette entente devait être reconduite pour trois ans.
Pourquoi, cette année, votre gouvernement, qui n'a cessé de prendre des mauvaises décisions, s'apprête-t-il à plonger de nouveau dans la cafouillage et mettre en péril le financement de centaines d'organismes?
Le Président: Mme la ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale.
Mme Courchesne: Alors, M. le Président, je dirai la chose suivante à la députée de Dorion, qui pose sa question pour une deuxième journée: Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de...
--------------------------------------------------------------------------------
Mme Courchesne: ...pose sa question pour une deuxième journée. Quand nous sommes un gouvernement responsable, M. le Président, nous prenons en considération des demandes fort légitimes d'organismes qui oeuvrent au Québec pour la sécurité publique de toute la population et d'autres organismes au Québec qui oeuvrent aussi pour faire de la recherche et améliorer la qualité des soins de santé pour les Québécois.
M. le Président, quand des organismes responsables viennent voir un gouvernement pour nous faire part d'une problématique et d'une évolution, bien je pense que nous avons le devoir et l'obligation, à tout le moins, un, de les écouter, deux, de les rencontrer et de voir avec eux quel est l'enjeu et, de trois, de faire les études, les analyses requises et surtout, M. le Président, de consulter, de consulter ici même nos collègues mais de consulter aussi la population dans nos comtés. Et, M. le Président, c'est ce que nous faisons, et, lorsque nous aurons une décision, nous en ferons part avec diligence. Merci.
Le Président: En question complémentaire, Mme la députée de Laurier-Dorion.
Mme Lefebvre: Est-ce que la ministre est d'accord avec ce qui est rapporté par les médias, à savoir que ce serait plutôt dû aux pressions de la conjointe du premier ministre et de Pierre Shedleur, coprésident du Forum des générations et nouveau P.D.G. de la SGF, tous deux impliqués de près dans les activités de financement de la Croix-Rouge, que le gouvernement actuel tergiverse ainsi sur une décision qui a un long historique?
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: M. le Président, de toute ma carrière politique, je ne pensais jamais être obligé de me lever à l'Assemblée nationale du Québec pour une question comme celle-là. Jamais.
Des voix: ...
Le Président: À l'ordre, s'il vous plaît! À l'ordre! À l'ordre, s'il vous plaît! M. le premier ministre.
M. Charest: Mon épouse, Michèle, a fait du bénévolat pour la Croix-Rouge pendant sept ans. Elle n'a jamais cherché les caméras. Elle ne s'est jamais mêlée de cette question-là. Elle est allée au Nicaragua, au Honduras avec la Croix-Rouge. Le printemps dernier, elle est allée au Nicaragua où elle a aidé à mettre sur pied un programme de santé primaire. Elle n'a jamais cherché de reconnaissance de quiconque à part que de la satisfaction d'essayer d'aider puis d'améliorer le sort de certains de nos... d'autres êtres humains, M. le Président. Que la députée ait le culot, aujourd'hui, de poser cette question-là puis de s'attaquer à ma femme à l'Assemblée nationale du Québec, c'est tomber le plus bas. C'est tomber le plus bas de tout ce que j'ai vu à l'Assemblée nationale depuis que je siège ici, M. le Président.
Des voix: ...
(Applaudissements)
Le Président: S'il vous plaît! À l'ordre! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Une voix: ...
Le Président: S'il vous plaît, M. le député! En question principale, Mme la députée de Taillon.
Des voix: ...
Le Président: Je vous demande votre collaboration. Je ne veux pas d'interpellation entre les collègues. La parole est à Mme la députée de Taillon, en question principale.
Ouin, elle est pas barrée Miss. Elsie
Fin du scrappage du topic, retour au menu principal
tipet a écrit
Ouin, elle est pas barrée Miss. Elsie
Fin du scrappage du topic, retour au menu principal
il la traité de criss de chienne, voyons, charest a dit a elsie, Ma criss de chienne, un pm, sti, contre une jeunes député de 25 ans, et le seul argument qu'il a c'est criss de chienne,
percécution lol
intimidation
Ouin, elle est pas barrée Miss. Elsie
Fin du scrappage du topic, retour au menu principal
il la traité de criss de chienne, voyons, charest a dit a elsie, Ma criss de chienne, un pm, sti, contre une jeunes député de 25 ans, et le seul argument qu'il a c'est criss de chienne,
percécution lol
intimidation
Voyeur23 a écrit
il la traité de criss de chienne, voyons, charest a dit a elsie, Ma criss de chienne, un pm, sti, contre une jeunes député de 25 ans, et le seul argument qu'il a c'est criss de chienne,
percécution lol
intimidation
Quand il a dit cela ? C'est un bon coup d'Elsie, peut-être que le PQ va enfin commancer à brasser des choses à l'Assemblée
il la traité de criss de chienne, voyons, charest a dit a elsie, Ma criss de chienne, un pm, sti, contre une jeunes député de 25 ans, et le seul argument qu'il a c'est criss de chienne,
percécution lol
intimidation
Quand il a dit cela ? C'est un bon coup d'Elsie, peut-être que le PQ va enfin commancer à brasser des choses à l'Assemblée
Voyeur23 a écritDÉCLARATION DE M. LOUIS BERNARD
(Québec, 15 juin 2005) Sans vouloir jouer au devin, je crois qu’il y a une possibilité très réelle que, sous peu, le Québec devienne un pays indépendant. Prochainement, il y aura des élections fédérales où le Bloc Québécois devrait remporter une victoire historique qu’il a bien méritée. Puis suivront les élections à l’Assemblée nationale à la suite desquelles le Parti Québécois, s’il fait ce que les Québécoises et Québécois attendent de lui, formera le nouveau gouvernement et, conformément à son programme, déclenchera un nouveau référendum, qui sera comme une période supplémentaire à la partie nulle de 1995.
Dans ces circonstances, les Québécoises et Québécois doivent avoir la conviction que le Bloc Québécois, à Ottawa, et le Parti Québécois, à Québec, forment des équipes compétentes et unies, dirigées par des chefs ayant la confiance non seulement de leurs troupes mais des citoyens et citoyennes du Québec. C’est déjà le cas pour le Bloc Québécois.
Au Parti Québécois, ce chef sera choisi par les membres au terme d’un processus qui est déjà ouvert. Mme Pauline Marois a, la première, annoncé qu’elle sera de la course. D’autres réfléchissent à la chose et feront connaître prochainement leur décision. C’est dans ce contexte que j’ai décidé d’annoncer mon intention de soumettre ma candidature au vote des militants et militantes du Parti Québécois.
J’ai eu la bonne fortune d’avoir une carrière bien remplie, tant dans le secteur public que dans le secteur privé. En particulier, j’ai eu l’immense privilège de travailler étroitement, pendant plusieurs années, avec M. René Lévesque, avec M. Jacques Parizeau et avec la plupart des Premiers ministres québécois, de Jean Lesage à Bernard Landry. Cela m’a permis non seulement de participer activement à l’avènement du Québec moderne mais aussi d’acquérir une expérience assez unique que je désire mettre au service de mes concitoyens à un moment crucial de leur vie collective.
Je peux dire, sans fausse modestie, que je connais bien les problèmes et les défis que le Québec devra affronter au cours des prochaines années s’il veut tenir sa place au sein du peloton de tête des pays développés. J’ai également une connaissance vécue de la dynamique des relations entre le Québec et le reste du Canada et je sais ce qu’il faut faire pour que l’accession du Québec à son indépendance se fasse dans les meilleures conditions. J’ai de l’expérience. Mais j’ai aussi des idées.
Le Québec que je vois est un Québec prospère, solidaire, culturellement dynamique et diversifié, respectueux de l’environnement et respectueux aussi de ses premiers habitants, nos frères autochtones. J’aurai l’occasion, au cours de la campagne, de développer chacune de ces idées et d’expliquer plus en détail les moyens que je compte mettre en œuvre pour les réaliser.
I would like nevertheless to say, right from the beginning, to my fellow English-speaking Quebecers, that I consider their contribution essential to an independent Quebec. We are richer by their presence and we owe a lot of what we are to what they brought home. Our political institutions, our criminal law, a large part of our architecture and landscape, some of our most prestigious institutions like McGill and the Neurological Institute, some of our best renowned citizens like Dr Penfield and John Humphrey, Oscar Peterson and Oliver Jones, all these, and many other things, come from the English stock and tradition and we are all the better for it. In an independent Quebec, we need a vibrant and secure English community, and we shall do what is needed to achieve it.
Le Québec est déjà un pays à quasiment tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Le Québec est déjà séparé du Canada à presque tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Avec l’aide des militants et militantes du Parti Québécois et du Bloc Québécois, je veux convaincre les Québécoises et Québécois que le temps est venu de faire en sorte que la réalité politique rejoigne enfin la réalité sociologique.
Personnellement, non seulement je suis fier d’être québécois, mais je suis fier du Québec, de ce qu’est devenue cette petite colonie conquise de 65 000 habitants après 400 ans d’une histoire souvent difficile, mais je suis fier surtout de ce que le Québec peut devenir dans le monde de demain, un monde fondé sur le savoir et la créativité, sur l’ouverture et le changement, sur les échanges et la mondialité. Nous pouvons apporter notre couleur distinctive à la grande fresque des nations du monde, une couleur qui nous est propre et que personne d’autre que nous ne peut mettre en valeur.
Je soumets donc ma candidature au jugement des membres du Parti Québécois. Je le fais de moi-même, sans avoir sollicité les appuis de quiconque. Mais il va de soi qu’à partir d’aujourd’hui, je me mets en campagne auprès des députés, des présidents de comtés, des militants et de tous les membres du Parti afin de gagner leur appui. Et j’invite tous ceux qui voudraient le faire à communiquer avec moi à l’adresse suivante : www.LouisBernard.org . Ma campagne se fera sous le thème « Un homme solide – Un Québec solidaire ». Ce sera une campagne vigoureuse mais toujours positive. Et, comme on dit, que la meilleure ou le meilleur gagne !
site internet
http://www.Louisbernard.org
C'est un très bon texte de commancement
(Québec, 15 juin 2005) Sans vouloir jouer au devin, je crois qu’il y a une possibilité très réelle que, sous peu, le Québec devienne un pays indépendant. Prochainement, il y aura des élections fédérales où le Bloc Québécois devrait remporter une victoire historique qu’il a bien méritée. Puis suivront les élections à l’Assemblée nationale à la suite desquelles le Parti Québécois, s’il fait ce que les Québécoises et Québécois attendent de lui, formera le nouveau gouvernement et, conformément à son programme, déclenchera un nouveau référendum, qui sera comme une période supplémentaire à la partie nulle de 1995.
Dans ces circonstances, les Québécoises et Québécois doivent avoir la conviction que le Bloc Québécois, à Ottawa, et le Parti Québécois, à Québec, forment des équipes compétentes et unies, dirigées par des chefs ayant la confiance non seulement de leurs troupes mais des citoyens et citoyennes du Québec. C’est déjà le cas pour le Bloc Québécois.
Au Parti Québécois, ce chef sera choisi par les membres au terme d’un processus qui est déjà ouvert. Mme Pauline Marois a, la première, annoncé qu’elle sera de la course. D’autres réfléchissent à la chose et feront connaître prochainement leur décision. C’est dans ce contexte que j’ai décidé d’annoncer mon intention de soumettre ma candidature au vote des militants et militantes du Parti Québécois.
J’ai eu la bonne fortune d’avoir une carrière bien remplie, tant dans le secteur public que dans le secteur privé. En particulier, j’ai eu l’immense privilège de travailler étroitement, pendant plusieurs années, avec M. René Lévesque, avec M. Jacques Parizeau et avec la plupart des Premiers ministres québécois, de Jean Lesage à Bernard Landry. Cela m’a permis non seulement de participer activement à l’avènement du Québec moderne mais aussi d’acquérir une expérience assez unique que je désire mettre au service de mes concitoyens à un moment crucial de leur vie collective.
Je peux dire, sans fausse modestie, que je connais bien les problèmes et les défis que le Québec devra affronter au cours des prochaines années s’il veut tenir sa place au sein du peloton de tête des pays développés. J’ai également une connaissance vécue de la dynamique des relations entre le Québec et le reste du Canada et je sais ce qu’il faut faire pour que l’accession du Québec à son indépendance se fasse dans les meilleures conditions. J’ai de l’expérience. Mais j’ai aussi des idées.
Le Québec que je vois est un Québec prospère, solidaire, culturellement dynamique et diversifié, respectueux de l’environnement et respectueux aussi de ses premiers habitants, nos frères autochtones. J’aurai l’occasion, au cours de la campagne, de développer chacune de ces idées et d’expliquer plus en détail les moyens que je compte mettre en œuvre pour les réaliser.
I would like nevertheless to say, right from the beginning, to my fellow English-speaking Quebecers, that I consider their contribution essential to an independent Quebec. We are richer by their presence and we owe a lot of what we are to what they brought home. Our political institutions, our criminal law, a large part of our architecture and landscape, some of our most prestigious institutions like McGill and the Neurological Institute, some of our best renowned citizens like Dr Penfield and John Humphrey, Oscar Peterson and Oliver Jones, all these, and many other things, come from the English stock and tradition and we are all the better for it. In an independent Quebec, we need a vibrant and secure English community, and we shall do what is needed to achieve it.
Le Québec est déjà un pays à quasiment tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Le Québec est déjà séparé du Canada à presque tous les points de vue, sauf au point de vue politique. Avec l’aide des militants et militantes du Parti Québécois et du Bloc Québécois, je veux convaincre les Québécoises et Québécois que le temps est venu de faire en sorte que la réalité politique rejoigne enfin la réalité sociologique.
Personnellement, non seulement je suis fier d’être québécois, mais je suis fier du Québec, de ce qu’est devenue cette petite colonie conquise de 65 000 habitants après 400 ans d’une histoire souvent difficile, mais je suis fier surtout de ce que le Québec peut devenir dans le monde de demain, un monde fondé sur le savoir et la créativité, sur l’ouverture et le changement, sur les échanges et la mondialité. Nous pouvons apporter notre couleur distinctive à la grande fresque des nations du monde, une couleur qui nous est propre et que personne d’autre que nous ne peut mettre en valeur.
Je soumets donc ma candidature au jugement des membres du Parti Québécois. Je le fais de moi-même, sans avoir sollicité les appuis de quiconque. Mais il va de soi qu’à partir d’aujourd’hui, je me mets en campagne auprès des députés, des présidents de comtés, des militants et de tous les membres du Parti afin de gagner leur appui. Et j’invite tous ceux qui voudraient le faire à communiquer avec moi à l’adresse suivante : www.LouisBernard.org . Ma campagne se fera sous le thème « Un homme solide – Un Québec solidaire ». Ce sera une campagne vigoureuse mais toujours positive. Et, comme on dit, que la meilleure ou le meilleur gagne !
site internet
http://www.Louisbernard.org
C'est un très bon texte de commancement