Les jeunes libéraux en faveur du dégel des frais de scolarité
Les jeunes libéraux veulent des droits de scolarité plus élevés
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Sherbrooke
Les jeunes libéraux sont d'accord pour imposer aux étudiants des droits de scolarité plus élevés et sont prêts à en payer le prix politique.
Ainsi, si le Parti libéral de Jean Charest conserve le pouvoir aux prochaines élections, le gouvernement aura le feu vert de son aile jeunesse pour aller de l'avant avec une hausse graduelle des droits de scolarité, qui sont au même niveau depuis au moins une décennie.
Pour ce qui est du présent mandat, le gouvernement a déjà indiqué son intention de respecter l'engagement de maintenir le gel des droits de scolarité jusqu'aux prochaines élections.
Dans un passé récent, dans le but de séduire l'électorat étudiant, tous les partis politiques ont renoncé à soutirer plus d'argent aux étudiants.
Après des débats houleux, interrompus de multiples questions de procédures, les jeunes libéraux ont finalement adopté, samedi, une résolution «visant à dégeler les frais de scolarité de façon responsable au cours du prochain mandat».
Le président de la commission-jeunesse du parti, Simon Bégin, a qualifié le geste des jeunes libéraux de «courageux» et s'est dit prêt à en payer le prix politique aux prochaines élections, même s'il risque d'être élevé. Mais lui pense le contraire.
«Le courage politique peut parfois être plus payant que des gestes populaires», a-t-il dit, lors d'un point de presse, au terme de la plénière.
Les militants ont comme objectif d'assurer un meilleur financement des institutions d'enseignement supérieur et du programme d'aide financière aux étudiants.
Devant quelque 650 jeunes de 16 à 24 ans, réunis à l'Université de Sherbrooke pour leur congrès annuel, le président de la commission-jeunesse du PLQ est intervenu au micro pour dire que les libéraux avaient «l'occasion de pelleter sur nos enfants ou préparer un dégel responsable».
Plusieurs militants ont défilé en faveur de la résolution pour noter que les droits de scolarité du Québec étaient les plus bas au Canada. Maintenir le gel des droits de scolarité, ce serait «mal les préparer à affronter la vie», a soutenu l'un d'eux.
Un militant farouchement contre la résolution a crié à la censure, prétendant qu'un amendement avait été laissé de côté. «Des amendements ont été adoptés en atelier. On a voulu faire taire ça et dire que ça s'était jamais passé», a dénoncé Paul Huynh.
Il s'agissait d'un argument de fond, donc jugé non recevable, a expliqué M. Bégin.
La moyenne canadienne des droits de scolarité se situe à 6472 $ par année, alors que les étudiants du Québec ne déboursent que 2417 $ par année. Malgré cette disproportion, sur le plan politique, le gel des droits de scolarité est devenu au Québec une véritable vache sacrée, jalousement protégée par les associations étudiantes.
Le vice-président de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Jean-Patrick Brady, n'a pas tardé à réagir pour annoncer déjà une lutte farouche au PLQ. Aux prochaines élections, cette question «sera déterminante», selon lui.
«Vous pouvez vous assurer que le mouvement étudiant va être mobilisé derrière une éducation accessible, ce qui veut dire mainternir le gel», a-t-il dit, en rappelant que le revenu net des étudiants avait baissé de six pour cent depuis 1994.
Le dégel des droits devra cependant se faire à quatre conditions, a expliqué M. Bégin, pour convaincre les militants d'approuver la résolution. Il devra être accompagné d'un financement accru du système d'éducation par le gouvernement du Québec, l'entreprise privée, les étudiants eux-mêmes et, surtout, le gouvernement fédéral.
Code vestimentaire
Par ailleurs, la commission-jeunesse avait soulevé la controverse, cette semaine, en se disant favorable à l'imposition d'un code vestimentaire à l'école, en vue d'éviter les tenues trop «suggestives» ou «offensantes», comme les «strings» et les mini-jupes révélatrices.
La résolution a été finalement diluée, après un débat animé, pour se contenter d'«encourager l'adoption d'un code vestimentaire» qui interdirait les vêtements trop osés.
Les jeunes libéraux ont aussi renoncé à se prononcer ouvertement en faveur de la nationalisation de l'eau potable. Ils réclament plutôt des États généraux, qui viendraient analyser les divers scénarios propices à assurer une meilleure protection de l'eau.
Le 23e congrès de l'aile jeunesse se termine dimanche avec le discours du chef, le premier ministre Jean Charest.
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Sherbrooke
Les jeunes libéraux sont d'accord pour imposer aux étudiants des droits de scolarité plus élevés et sont prêts à en payer le prix politique.
Ainsi, si le Parti libéral de Jean Charest conserve le pouvoir aux prochaines élections, le gouvernement aura le feu vert de son aile jeunesse pour aller de l'avant avec une hausse graduelle des droits de scolarité, qui sont au même niveau depuis au moins une décennie.
Pour ce qui est du présent mandat, le gouvernement a déjà indiqué son intention de respecter l'engagement de maintenir le gel des droits de scolarité jusqu'aux prochaines élections.
Dans un passé récent, dans le but de séduire l'électorat étudiant, tous les partis politiques ont renoncé à soutirer plus d'argent aux étudiants.
Après des débats houleux, interrompus de multiples questions de procédures, les jeunes libéraux ont finalement adopté, samedi, une résolution «visant à dégeler les frais de scolarité de façon responsable au cours du prochain mandat».
Le président de la commission-jeunesse du parti, Simon Bégin, a qualifié le geste des jeunes libéraux de «courageux» et s'est dit prêt à en payer le prix politique aux prochaines élections, même s'il risque d'être élevé. Mais lui pense le contraire.
«Le courage politique peut parfois être plus payant que des gestes populaires», a-t-il dit, lors d'un point de presse, au terme de la plénière.
Les militants ont comme objectif d'assurer un meilleur financement des institutions d'enseignement supérieur et du programme d'aide financière aux étudiants.
Devant quelque 650 jeunes de 16 à 24 ans, réunis à l'Université de Sherbrooke pour leur congrès annuel, le président de la commission-jeunesse du PLQ est intervenu au micro pour dire que les libéraux avaient «l'occasion de pelleter sur nos enfants ou préparer un dégel responsable».
Plusieurs militants ont défilé en faveur de la résolution pour noter que les droits de scolarité du Québec étaient les plus bas au Canada. Maintenir le gel des droits de scolarité, ce serait «mal les préparer à affronter la vie», a soutenu l'un d'eux.
Un militant farouchement contre la résolution a crié à la censure, prétendant qu'un amendement avait été laissé de côté. «Des amendements ont été adoptés en atelier. On a voulu faire taire ça et dire que ça s'était jamais passé», a dénoncé Paul Huynh.
Il s'agissait d'un argument de fond, donc jugé non recevable, a expliqué M. Bégin.
La moyenne canadienne des droits de scolarité se situe à 6472 $ par année, alors que les étudiants du Québec ne déboursent que 2417 $ par année. Malgré cette disproportion, sur le plan politique, le gel des droits de scolarité est devenu au Québec une véritable vache sacrée, jalousement protégée par les associations étudiantes.
Le vice-président de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Jean-Patrick Brady, n'a pas tardé à réagir pour annoncer déjà une lutte farouche au PLQ. Aux prochaines élections, cette question «sera déterminante», selon lui.
«Vous pouvez vous assurer que le mouvement étudiant va être mobilisé derrière une éducation accessible, ce qui veut dire mainternir le gel», a-t-il dit, en rappelant que le revenu net des étudiants avait baissé de six pour cent depuis 1994.
Le dégel des droits devra cependant se faire à quatre conditions, a expliqué M. Bégin, pour convaincre les militants d'approuver la résolution. Il devra être accompagné d'un financement accru du système d'éducation par le gouvernement du Québec, l'entreprise privée, les étudiants eux-mêmes et, surtout, le gouvernement fédéral.
Code vestimentaire
Par ailleurs, la commission-jeunesse avait soulevé la controverse, cette semaine, en se disant favorable à l'imposition d'un code vestimentaire à l'école, en vue d'éviter les tenues trop «suggestives» ou «offensantes», comme les «strings» et les mini-jupes révélatrices.
La résolution a été finalement diluée, après un débat animé, pour se contenter d'«encourager l'adoption d'un code vestimentaire» qui interdirait les vêtements trop osés.
Les jeunes libéraux ont aussi renoncé à se prononcer ouvertement en faveur de la nationalisation de l'eau potable. Ils réclament plutôt des États généraux, qui viendraient analyser les divers scénarios propices à assurer une meilleure protection de l'eau.
Le 23e congrès de l'aile jeunesse se termine dimanche avec le discours du chef, le premier ministre Jean Charest.
Bien oui, des états généraux sur la nationalisation de l'eau...pourquoi ne pas simplement continuer à bonnifier la Politique de l'Eau du précédent gouvernement, très bonne base pourtant pour établir la nationalisation....hélas ce sont des adversaires et son créateur brigue la tête du PQ... ..bel exemple ou la partisanerie prend la place sur le bon sens et où nous citoyens se faisont avoir carrément........combien de lois très valables d'un gouvernement à l'autre sont jeté dans la poubelle tout simplement, en ayant juste comme principal défaut de n'être pas signé du nom de notre parti....
Moi faut m'expliquer de quoi sur les frais de scoarité qui sont gelés.
Chummy vient juste de payer sa session d'automne. Comparativement à l'année passée, les frais de scolarité ont augmentés de 15$. Ensuite, le côut des crédits a diminué, sauf qu'ils ont rajoutés des frais de droits d'auteurs, et des frais technologique pour une augmentation de 5$ par crédits, donc 30$ sur sa facture. Comparativement à l'année passée, ça fait donc 45$ de plus. Ils sont gelé où les frais?
Un étudiant a temps plein aurait donc une augmentation de 90$ pour la session --Message edité par intégrale le 2005-08-07 11:08:43--
Chummy vient juste de payer sa session d'automne. Comparativement à l'année passée, les frais de scolarité ont augmentés de 15$. Ensuite, le côut des crédits a diminué, sauf qu'ils ont rajoutés des frais de droits d'auteurs, et des frais technologique pour une augmentation de 5$ par crédits, donc 30$ sur sa facture. Comparativement à l'année passée, ça fait donc 45$ de plus. Ils sont gelé où les frais?
Un étudiant a temps plein aurait donc une augmentation de 90$ pour la session --Message edité par intégrale le 2005-08-07 11:08:43--
Propriétaire de 3 enfants de 15, 17 et 19 ans. Négociable pour en vendre un ou deux. Payable en vin.
integrale a écritMoi faut m'expliquer de quoi sur les frais de scoarité qui sont gelés.
Chummy vient juste de payer sa session d'automne. Comparativement à l'année passée, les frais de scolarité ont augmentés de 15$. Ensuite, le côut des crédits a diminué, sauf qu'ils ont rajoutés des frais de droits d'auteurs, et des frais technologique pour une augmentation de 5$ par crédits, donc 30$ sur sa facture. Comparativement à l'année passée, ça fait donc 45$ de plus. Ils sont gelé où les frais?
Un étudiant a temps plein aurait donc une augmentation de 90$ pour la session
les frais ne sont pas gelés......et ils en inventent en plus à chaque année....c'est les coûts du cours à l'inscrïption qui le sont si je ne me trompe pas...... --Message edité par tuberale le 2005-08-07 11:16:54--
Chummy vient juste de payer sa session d'automne. Comparativement à l'année passée, les frais de scolarité ont augmentés de 15$. Ensuite, le côut des crédits a diminué, sauf qu'ils ont rajoutés des frais de droits d'auteurs, et des frais technologique pour une augmentation de 5$ par crédits, donc 30$ sur sa facture. Comparativement à l'année passée, ça fait donc 45$ de plus. Ils sont gelé où les frais?
Un étudiant a temps plein aurait donc une augmentation de 90$ pour la session
les frais ne sont pas gelés......et ils en inventent en plus à chaque année....c'est les coûts du cours à l'inscrïption qui le sont si je ne me trompe pas...... --Message edité par tuberale le 2005-08-07 11:16:54--
Quand je donne un cours à l'université, je demande aux étudiants de fournir 15 à 20 dollars pour défrayer le coût des frais de photocopie. Ça me permet de payer les droits d'auteur et m'autorise à photocopier certaines pages des livres, revues ou documents que je juge pertinent pour la bonne marche de mon cours. Serait-il moins coûteux de leur faire acheter 3 ou 4 volumes ? Si le prix d'un volume tourne autour de 28 à 35 dollars, il me semble que je leur fais faire une économie fort appréciable.


Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Mise à jour: 07/08/2005 13h39
LCN
Dégel des frais de scolarité
Jean Charest ne ferme pas la porte
(D'après PC) – Jean Charest n'écarte pas totalement un dégel des frais de scolarité dans un éventuel second mandat de gouvernement.
Au terme du congrès de la Commission jeunesse du Parti libéral du Québec, qui recommande ce dégel, le chef libéral a commenté avec prudence.
Le premier ministre assure que son gouvernement respectera son engagement de maintenir le gel dans le présent mandat. Il refuse toutefois de se prononcer sur un gel à plus long terme, précisant qu'un comité a été formé pour étudier les pistes de solution à cet effet.
Le comité, présidé par Michel Gervais, devrait déposer son rapport en septembre prochain. Ce rapport tiendra compte de la position des jeunes libéraux, a indiqué le premier ministre.
Pour leur part, les jeunes péquistes accusent l'aile jeunesse du PLQ d'avoir accompli une mission commandée par le gouvernement, afin de cautionner la hausse des frais de scolarité.
Selon le président du Comité national des jeunes péquistes, Claude Villeneuve, la Commission jeunesse du PLQ est devenu le «focus groupe» de Jean Charest. Il les accuse de lancer constamment des ballons politiques.
Le président des jeunes libéraux, Simon Bégin, réplique pour sa part que les jeunes péquistes sont déconnectés de la réalité, puisqu'ils prônent la gratuité scolaire. Il nie catégoriquement que l'aile jeunesse soit manipulée par le Parti libéral.
Par ailleurs, la Commission jeunesse a terminé son congrès en identifiant 10 priorités que devraient cibler le gouvernement d'ici la fin de son mandat, dont la préparation du dégel des frais de scolarité, ainsi que la révision du programme d'aide financière aux études.
LCN
Dégel des frais de scolarité
Jean Charest ne ferme pas la porte
(D'après PC) – Jean Charest n'écarte pas totalement un dégel des frais de scolarité dans un éventuel second mandat de gouvernement.
Au terme du congrès de la Commission jeunesse du Parti libéral du Québec, qui recommande ce dégel, le chef libéral a commenté avec prudence.
Le premier ministre assure que son gouvernement respectera son engagement de maintenir le gel dans le présent mandat. Il refuse toutefois de se prononcer sur un gel à plus long terme, précisant qu'un comité a été formé pour étudier les pistes de solution à cet effet.
Le comité, présidé par Michel Gervais, devrait déposer son rapport en septembre prochain. Ce rapport tiendra compte de la position des jeunes libéraux, a indiqué le premier ministre.
Pour leur part, les jeunes péquistes accusent l'aile jeunesse du PLQ d'avoir accompli une mission commandée par le gouvernement, afin de cautionner la hausse des frais de scolarité.
Selon le président du Comité national des jeunes péquistes, Claude Villeneuve, la Commission jeunesse du PLQ est devenu le «focus groupe» de Jean Charest. Il les accuse de lancer constamment des ballons politiques.
Le président des jeunes libéraux, Simon Bégin, réplique pour sa part que les jeunes péquistes sont déconnectés de la réalité, puisqu'ils prônent la gratuité scolaire. Il nie catégoriquement que l'aile jeunesse soit manipulée par le Parti libéral.
Par ailleurs, la Commission jeunesse a terminé son congrès en identifiant 10 priorités que devraient cibler le gouvernement d'ici la fin de son mandat, dont la préparation du dégel des frais de scolarité, ainsi que la révision du programme d'aide financière aux études.
Beppo a écritQuand je donne un cours à l'université, je demande aux étudiants de fournir 15 à 20 dollars pour défrayer le coût des frais de photocopie. Ça me permet de payer les droits d'auteur et m'autorise à photocopier certaines pages des livres, revues ou documents que je juge pertinent pour la bonne marche de mon cours. Serait-il moins coûteux de leur faire acheter 3 ou 4 volumes ? Si le prix d'un volume tourne autour de 28 à 35 dollars, il me semble que je leur fais faire une économie fort appréciable.
C'est ce qui se fait à l'Université de Sherbrooke et de Hull. C'est logique, il me semble.

C'est ce qui se fait à l'Université de Sherbrooke et de Hull. C'est logique, il me semble.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5237
- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
C'est rendu que je suis souvent d'accord avec les jeunes libéraux. Mais, on sait bien que ce qu'ils pensent et disent ne font pas force de loi.
Je trouve aussi que les frais de scolarité devraient être dégélés. Pourquoi ici au Québec devrions nous payer au moins 2 fois moins cher pour ça?
En contre-partie, l'augmentation des prêts étudiants et inversement, la diminution des bourses ne devrait pas être.
Geler les frais de scolarité tout en diminuant les bourses pénalise beaucoup plus les jeunes avec des situations financières précaires. Hors, ici au Québec, la tradition veut que l'accessibilité à l'enseignement soit plus ouverte.
Alors, oui au dégel des frais mais, non à la diminution des bourses.
Je trouve aussi que les frais de scolarité devraient être dégélés. Pourquoi ici au Québec devrions nous payer au moins 2 fois moins cher pour ça?
En contre-partie, l'augmentation des prêts étudiants et inversement, la diminution des bourses ne devrait pas être.
Geler les frais de scolarité tout en diminuant les bourses pénalise beaucoup plus les jeunes avec des situations financières précaires. Hors, ici au Québec, la tradition veut que l'accessibilité à l'enseignement soit plus ouverte.
Alors, oui au dégel des frais mais, non à la diminution des bourses.
Beppo a écritQuand je donne un cours à l'université, je demande aux étudiants de fournir 15 à 20 dollars pour défrayer le coût des frais de photocopie. Ça me permet de payer les droits d'auteur et m'autorise à photocopier certaines pages des livres, revues ou documents que je juge pertinent pour la bonne marche de mon cours. Serait-il moins coûteux de leur faire acheter 3 ou 4 volumes ? Si le prix d'un volume tourne autour de 28 à 35 dollars, il me semble que je leur fais faire une économie fort appréciable.
effectivement. par contre, les droits d'auteurs peuvent revenir à coûter extremmement cher aussi. Dans mes cours présentement, juste des receuil de texte et de notes tapées à l'ordi (même pas relié, mais ils fournissent le cartable pour les mettres) ... bref, j'en reviens à débourser 100$ par cours pour ces notes. Desfois j'aimerais mieux un beau manuel avec des images et des couleurs à 60$ --Message edité par intégrale le 2005-08-08 18:03:19--

effectivement. par contre, les droits d'auteurs peuvent revenir à coûter extremmement cher aussi. Dans mes cours présentement, juste des receuil de texte et de notes tapées à l'ordi (même pas relié, mais ils fournissent le cartable pour les mettres) ... bref, j'en reviens à débourser 100$ par cours pour ces notes. Desfois j'aimerais mieux un beau manuel avec des images et des couleurs à 60$ --Message edité par intégrale le 2005-08-08 18:03:19--
Propriétaire de 3 enfants de 15, 17 et 19 ans. Négociable pour en vendre un ou deux. Payable en vin.
integrale a écrit
effectivement. par contre, les droits d'auteurs peuvent revenir à coûter extremmement cher aussi. Dans mes cours présentement, juste des receuil de texte et de notes tapées à l'ordi (même pas relié, mais ils fournissent le cartable pour les mettres) ... bref, j'en reviens à débourser 100$ par cours pour ces notes. Desfois j'aimerais mieux un beau manuel avec des images et des couleurs à 60$
100 dollars pour un cours ? OUF ! Je me sens dans mes p'tits souliers quand je demande 12 $ à mes étudiants pour le cours au complet. Je ne connais pas d'enseignant qui demande autant et je n'ai jamais entendu d'étudiants dire qu'ils déboursaient autant.
--Message edité par Beppo le 2005-08-08 20:50:45--
effectivement. par contre, les droits d'auteurs peuvent revenir à coûter extremmement cher aussi. Dans mes cours présentement, juste des receuil de texte et de notes tapées à l'ordi (même pas relié, mais ils fournissent le cartable pour les mettres) ... bref, j'en reviens à débourser 100$ par cours pour ces notes. Desfois j'aimerais mieux un beau manuel avec des images et des couleurs à 60$
100 dollars pour un cours ? OUF ! Je me sens dans mes p'tits souliers quand je demande 12 $ à mes étudiants pour le cours au complet. Je ne connais pas d'enseignant qui demande autant et je n'ai jamais entendu d'étudiants dire qu'ils déboursaient autant.

Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Scoubidoux a écritC'est rendu que je suis souvent d'accord avec les jeunes libéraux. Mais, on sait bien que ce qu'ils pensent et disent ne font pas force de loi.
Je trouve aussi que les frais de scolarité devraient être dégélés. Pourquoi ici au Québec devrions nous payer au moins 2 fois moins cher pour ça?
En contre-partie, l'augmentation des prêts étudiants et inversement, la diminution des bourses ne devrait pas être.
Geler les frais de scolarité tout en diminuant les bourses pénalise beaucoup plus les jeunes avec des situations financières précaires. Hors, ici au Québec, la tradition veut que l'accessibilité à l'enseignement soit plus ouverte.
Alors, oui au dégel des frais mais, non à la diminution des bourses.
Le véritable problème c'est qu'il faut une réforme dans le mode de distribution des prêts et bourses. Il y a beaucoup trop de failles. Donnons en plus à ceux qui en ont vraiment besoin, par exemple l'étudiant d'une ville éloignée qui n'a pas le choix de partir de chez lui pour aller étudier. Mais la personne qui quitte sa ville natale, où ils pourraient vivre chez ces parents, uniquement pour aller dans LA grande ville et vivre en appartement. Ce n’est pas normal que celle-ci reçoive autant que l'autre.. Réglons ce problème, et il n'y en aura pu de problèmes avec les frais de scolarités.
Je trouve aussi que les frais de scolarité devraient être dégélés. Pourquoi ici au Québec devrions nous payer au moins 2 fois moins cher pour ça?
En contre-partie, l'augmentation des prêts étudiants et inversement, la diminution des bourses ne devrait pas être.
Geler les frais de scolarité tout en diminuant les bourses pénalise beaucoup plus les jeunes avec des situations financières précaires. Hors, ici au Québec, la tradition veut que l'accessibilité à l'enseignement soit plus ouverte.
Alors, oui au dégel des frais mais, non à la diminution des bourses.
Le véritable problème c'est qu'il faut une réforme dans le mode de distribution des prêts et bourses. Il y a beaucoup trop de failles. Donnons en plus à ceux qui en ont vraiment besoin, par exemple l'étudiant d'une ville éloignée qui n'a pas le choix de partir de chez lui pour aller étudier. Mais la personne qui quitte sa ville natale, où ils pourraient vivre chez ces parents, uniquement pour aller dans LA grande ville et vivre en appartement. Ce n’est pas normal que celle-ci reçoive autant que l'autre.. Réglons ce problème, et il n'y en aura pu de problèmes avec les frais de scolarités.
Beppo a écrit
100 dollars pour un cours ? OUF ! Je me sens dans mes p'tits souliers quand je demande 12 $ à mes étudiants pour le cours au complet. Je ne connais pas d'enseignant qui demande autant et je n'ai jamais entendu d'étudiants dire qu'ils déboursaient autant.
c'est de la formation continue. j'en ai conclu que plus c'est spécialisé, plus ça coute cher pour un texte. et on a beaucoup de documents gouvernementaux. Disons que la facture des livres fait mal au coeur
100 dollars pour un cours ? OUF ! Je me sens dans mes p'tits souliers quand je demande 12 $ à mes étudiants pour le cours au complet. Je ne connais pas d'enseignant qui demande autant et je n'ai jamais entendu d'étudiants dire qu'ils déboursaient autant.

c'est de la formation continue. j'en ai conclu que plus c'est spécialisé, plus ça coute cher pour un texte. et on a beaucoup de documents gouvernementaux. Disons que la facture des livres fait mal au coeur
Propriétaire de 3 enfants de 15, 17 et 19 ans. Négociable pour en vendre un ou deux. Payable en vin.
en parlant des jeunes libéraux....ils n'ont rien trouver de mieux a faire durant leur temps libre de leur fds de congres. que de vider des instincteurs dans les résidences ou ils logeais...en plus de faire partir les alarmes de feu...wow que de maturité...tout le travail que ca a donné aux personel d'entretien ménager....franchement ils sont supposé etre mature ...mon dieu qu'on se trompe...ils n'est jamais bon de laisser des jeunes de 16 a 24 ans sans surveillance....qu'ils soit liberaux ou autres.....anyway je voulais juste montrer que pour des jeunes qui veulent gérer l'habillement des autres ils devrais apprendre a se gérer eux meme....voila c'étais ma bulle ...bonne soirée
jess...
Raven a écrit
Le véritable problème c'est qu'il faut une réforme dans le mode de distribution des prêts et bourses. Il y a beaucoup trop de failles. Donnons en plus à ceux qui en ont vraiment besoin, par exemple l'étudiant d'une ville éloignée qui n'a pas le choix de partir de chez lui pour aller étudier. Mais la personne qui quitte sa ville natale, où ils pourraient vivre chez ces parents, uniquement pour aller dans LA grande ville et vivre en appartement. Ce n’est pas normal que celle-ci reçoive autant que l'autre.. Réglons ce problème, et il n'y en aura pu de problèmes avec les frais de scolarités.
Je suis 110% d'accord avec toi ... !!! Rien d'auutre à dire Moii je suis partie de chez nous parce que je N'avais PAS le choix .... maintenant je me retrouve avec quelques dettes que je n'aurais JAMAIS eu chez mes parents !! QUand j'en voit qui décide de venir s'endetter pour etre dans une plus grande ville et qui CHIALENT qu'ils ont pas assez d'argent et que l'école est dispendieuse ....
Le véritable problème c'est qu'il faut une réforme dans le mode de distribution des prêts et bourses. Il y a beaucoup trop de failles. Donnons en plus à ceux qui en ont vraiment besoin, par exemple l'étudiant d'une ville éloignée qui n'a pas le choix de partir de chez lui pour aller étudier. Mais la personne qui quitte sa ville natale, où ils pourraient vivre chez ces parents, uniquement pour aller dans LA grande ville et vivre en appartement. Ce n’est pas normal que celle-ci reçoive autant que l'autre.. Réglons ce problème, et il n'y en aura pu de problèmes avec les frais de scolarités.
Je suis 110% d'accord avec toi ... !!! Rien d'auutre à dire Moii je suis partie de chez nous parce que je N'avais PAS le choix .... maintenant je me retrouve avec quelques dettes que je n'aurais JAMAIS eu chez mes parents !! QUand j'en voit qui décide de venir s'endetter pour etre dans une plus grande ville et qui CHIALENT qu'ils ont pas assez d'argent et que l'école est dispendieuse ....
ANNIE ET SUZIE .... 2 ANGES TOMBÉES DU CIEL ....