Rénatane a écritUn journaliste disait que personne ne va pêter les plombs tant que l'essence ne sera pas a 3.00 $ le litre !!!
J'espère , qu'on va se réveiller avant !
Ben voyon donc, qu'elle vienne me voir m'a y pèter les plombs ben avant çà moi
Déjà que je fait tout pour utliser ma voiture le moins possible et gaser quand on va au chalet parce que le gas est pas mal moins cher là-bas...J'attendrai certainement pas que le prix soit rendu à 3$ !!
Le prix du litre d'essence atteint 1,13
Citation :
Montée record
Le plein à 1,14$ le litre d'essence
Sara Champagne
La Presse
Le prix de l'essence a grimpé à plus de 1,14$ le litre hier après-midi dans plusieurs stations de Montréal. C'est un bond fulgurant de près de 14 cents le litre en moins de deux semaines.
La station Petro-Canada, située à l'angle De Lorimier et de Maisonneuve, a amorcé cette montée record vers 16h, imitée quelques minutes plus tard par sa voisine, Esso. En soirée hier, plusieurs stations Petro-Canada, Esso et Shell de l'île de Montréal et de la Rive-Sud affichaient un prix de 1,14$ le litre.
Ailleurs au Québec, les prix observés variaient toujours entre 0,99 $ et 1,06 $ le litre.
La journée d'hier avait pourtant été tranquille sur le marché du brut. À New York, le baril s'est replié à 66,27$, en baisse de 59 cents. Vendredi dernier, des détaillants avaient tenté d'imposer un prix de 1,129$, mais la hausse n'a pas tenu. Le prix du litre est redescendu autour de 1,03$ pendant le week-end, et y était toujours hier matin.
À 1,149$, le prix affiché hier dépasse de sept cents le précédent record établi la semaine dernière, à 1,08$ le litre.
En un an, le prix du litre de l'essence est passé de 85 cents le litre à près de 1,08$ la semaine dernière, et 1,14$ hier. Un automobiliste doit donc débourser 57$ en moyenne pour faire le plein d'un réservoir de 50 litres.
Et ce n'est pas fini. Des analystes du marché estiment que le cours du brut pourrait atteindre 70 de dollars américains le baril très bientôt à New York. Ce bond serait attribuable aux craintes sur l'approvisionnement à court terme, après une série de fermeture de raffineries américaines. Les tensions géopolitiques en Iran et dans l'ensemble du Proche-Orient ne demeurent pas étrangères à cette flambée du prix du baril de pétrole.
Le fédéral doit agir
Le porte-parole de l'organisme de lutte L'Essence à juste prix, Frédéric Quintal, promet d'entreprendre une action musclée d'ici quelques jours au Canada pour contrer cette hausse vertigineuse. Sans être en mesure d'en dévoiler les détails, il explique que plusieurs personnes influentes se sont ralliées à la cause, et que le gouvernement fédéral a le pouvoir d'agir.
«Je ne crois pas le gouvernement fédéral actuel quand il dit qu'il ne peut rien faire. C'est de la poudre aux yeux», dit-il.
Le porte-parole dénonce également le discours du ministre des Transports, Jean Lapierre, qui affirmait il y a quelques jours, ne pas être en mesure de soustraire le Canada à la conjoncture internationale.
«Jean Lapierre dit qu'il ne peut pas offrir de coupons rabais aux automobilistes, mais c'est pourtant ce qu'il a fait en octobre 2003 en donnant aux pétrolières une réduction de 25 % de leur fiscalité.»
M. Quintal rappelle que l'ancien premier ministre, Pierre Elliott Trudeau, avait réussi à freiner une flambée des prix du litre d'essence en 1974 en gelant le prix du baril de pétrole canadien à la moitié du prix international durant plus d'un an.
Le ton monte
Hier, plusieurs automobilistes frustrés ont commencé à faire parvenir des courriels au forum Internet de L'essence à juste prix. Ces internautes se demandent comment contrer cette hausse vertigineuse du prix de l'essence à la pompe.
«... Les Européens font des concessions tous les jours en s'achetant de plus petits véhicules ou en prenant le transport en commun. Toutefois, cela ne fait pas baisser le prix du pétrole chez eux ! Qu'est-ce qu'ils font de pas correct ? Que devons-nous faire ?» se demande l'un d'entre eux.
«Que de stupeur ! Un dollar... et 14 cents le litre d'essence ! Pourquoi ? Allez, peuple payeur, fermez votre gueule et payez...» écrit un autre internaute, exaspéré par cette nouvelle flambée.
C'est dommage, mais un boycottage des grandes pétrolières ne sert et ne servira à rien, observe le porte-parole de L'Essence à juste prix, Frédéric Quintal. «Il faut entreprendre des moyens de pression à connotation juridique», croit-il.
Depuis août 2004, les cours du pétrole ont bondi de 60 %, et ils ont plus que doublé depuis août 2003, alors que le baril de brut se vendait à 30 de dollars américains. Il y a quelques jours, Statistique Canada dévoilait que la consommation d'essence a augmenté de 0,2 % entre janvier et juin 2005, comparativement à la même période de six mois en 2004.
Source : Cyberpresse
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praeteritum
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- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Citation :
Prix de l'essence
CAA-Québec invite les automobilistes à un boycott
Mise en ligne 16/08/2005 14h46
Parce qu'il soupçonne les pétrolières de hausser de manière exagérée le prix à la pompe, le CAA-Québec recommande aux automobilistes d'éviter de faire le plein en attendant que la situation se normalise.
L'organisation sans but lucratif souligne qu'à 1,149$ le litre, le prix de l'essence dans la métropole québécoise inclut une marge de 11 cents, sans les taxes, au-dessus du prix minimum calculé par la Régie de l'énergie pour la semaine en cours.
«C'est une augmentation de 250% par rapport à la marge moyenne de 3,2 cents pour l'ensemble des 12 derniers mois», peut-on lire dans un communiqué.
«De là à conclure que les pétrolières profitent des récentes hausses du prix du pétrole sur le marché mondial pour augmenter indûment leurs profits dans la région de Montréal il n'y a qu'un pas.»
En plus de conseiller aux propriétaires de véhicules de limiter au minimum leurs achats, le CAA-Québec les invite à réduire leur vitesse et leur recommande d'éviter de laisser tourner leur moteur au ralenti.
Prix de l'essence
Québec refuse de revoir la structure de taxation
Québec écarte la possibilité de revoir la structure de taxation de l'essence pour aider les consommateurs à faire face à la hausse fulgurante du prix du carburant.
Selon le ministre des Finances, Michel Audet, chaque augmentation de cinq cents le litre d'essence entraîne une perte nette de 22 millions de dollars pour le gouvernement.
D'abord parce que la hausse du prix de l'essence entraîne une baisse de consommation, mais aussi parce que le gouvernement a une importante flotte de véhicules.
Pour aider les consommateurs, Québec étudie cependant la possibilité de mettre en place des mesures incitatives pour le transport en commun et l'achat de véhicules hybrides.
En vidéo 1, écoutez un extrait de la conférence de presse du ministre des Finances, Michel Audet.
Québec refuse de revoir la structure de taxation
Québec écarte la possibilité de revoir la structure de taxation de l'essence pour aider les consommateurs à faire face à la hausse fulgurante du prix du carburant.
Selon le ministre des Finances, Michel Audet, chaque augmentation de cinq cents le litre d'essence entraîne une perte nette de 22 millions de dollars pour le gouvernement.
D'abord parce que la hausse du prix de l'essence entraîne une baisse de consommation, mais aussi parce que le gouvernement a une importante flotte de véhicules.
Pour aider les consommateurs, Québec étudie cependant la possibilité de mettre en place des mesures incitatives pour le transport en commun et l'achat de véhicules hybrides.
En vidéo 1, écoutez un extrait de la conférence de presse du ministre des Finances, Michel Audet.
Pour les petites différences, il y a les petites concurrences quand il y a beaucopu de stations proches, mais pour des plus grosses, le gouvernement y joue.
Par exemple, une station près de la fronti`re de l'Ontario ou des États-Unis où l'essence est beaucoup moins taxée qu'ici, paiera sno essence moins cher pour pouvoirle vendre moins cher, sinon les gens vont aller se ravitailler de l'autre côté de la frontière, le gouvernement fera 0¢ sur cet essence non vendue, et certaines régions seraient même susceptibles de ne pas avoir de stations d'essences à cause de celà.
Ce qu'il faut savoir, c'est que même si on achète chez Olco, eux, ils n'ont pas de raffineries, de bateaux qui transportent l'essence, etc. Ils prennent leur essence des même grands que les Esso et Shell, donc boycotter une marque pour aller chez les "indépendants" ou autre, ça ne donne pas grand choses puisque le profit est fait sur le brut et le raffinage en grande partie, et ce sont les mêmes juoeurs qui fournissent tout le monde.
Par exemple, une station près de la fronti`re de l'Ontario ou des États-Unis où l'essence est beaucoup moins taxée qu'ici, paiera sno essence moins cher pour pouvoirle vendre moins cher, sinon les gens vont aller se ravitailler de l'autre côté de la frontière, le gouvernement fera 0¢ sur cet essence non vendue, et certaines régions seraient même susceptibles de ne pas avoir de stations d'essences à cause de celà.
Ce qu'il faut savoir, c'est que même si on achète chez Olco, eux, ils n'ont pas de raffineries, de bateaux qui transportent l'essence, etc. Ils prennent leur essence des même grands que les Esso et Shell, donc boycotter une marque pour aller chez les "indépendants" ou autre, ça ne donne pas grand choses puisque le profit est fait sur le brut et le raffinage en grande partie, et ce sont les mêmes juoeurs qui fournissent tout le monde.
J'ai mis cette nouvelle, mais aucune réponse...
Pétrolia annonce ses trois premiers forages pour septembre
Vous ne pensez pas que ça pourrait changer notre point de vue si le Québec devient producteur de Pétrole, et si, puissais-je l'espérer, nous devenions auto-suffisants en pétrole, nous pourrions, tout comme pour l'électricité, fixer le prix de l'essence sur notre territoire.
Ne serait-ce pas génial?
Évidemment, pour celà, il faudrait que ce gisement soit "nationalisé" comme l'a été l'électricité, mais sinon, est-ce que cette compagnie ne devra pas payer quelque chose puisque la ressource qu'elle utilise nous appartient à tous.
Pétrolia annonce ses trois premiers forages pour septembre
Vous ne pensez pas que ça pourrait changer notre point de vue si le Québec devient producteur de Pétrole, et si, puissais-je l'espérer, nous devenions auto-suffisants en pétrole, nous pourrions, tout comme pour l'électricité, fixer le prix de l'essence sur notre territoire.
Ne serait-ce pas génial?
Évidemment, pour celà, il faudrait que ce gisement soit "nationalisé" comme l'a été l'électricité, mais sinon, est-ce que cette compagnie ne devra pas payer quelque chose puisque la ressource qu'elle utilise nous appartient à tous.