noiraud a écrit
Tu oses de me critiquer, alors que tu juges Céline Dion que tu ne connais même pas voici tes mots que tu viens de dire à la première page Il me semble qu'elle aurait pu embarquer dans son avion privé chargé de tonnes d'eau potable et s'y rendre si elle souhaitait vraiment s'impliquer dans cet catastrophe.
Pour moi son coming out ce n'est que du show, du sensationnalisme journalistique que Larry King affectionne particulierement. Des tonnes d'artistes donnent des millions lors de catastrophe et ils n'en font pas tout un plat.
Il me semble que pour un acte soit généreux il est discret et gratuit.
Le diction dit: fais que je te dis, mais ne fais pas que je fais.
Il y a des tonnes d'artistes qui disent qui ont fait des dons et qui vont dans des oeuvres de charité avec des journalistes et des caméras. En plus, des artistes sont payés pour représenter un organisme de charité. C'est rare qu'un artiste est discret lorsqu'il fait un geste gratuit.
La charité, c'est bon pour la carrière de certains artistes.
Effectivement Larry King fait du show en invitant toujours des personnes qui crient haut et fort... Il a simplement saisi le fait qu'elle avait donné un million de dollards pour l'interviewer et il a profité de son émotivité pour en faire un grand show télévisé. Je continue de penser que c'était maladroit et déplacé dans les circonstances même si cela était fait de bonne foi.
Opinion de Claude Charron: La star et le président!
Beppo a écritLa Presse Montréal Mardi 6 septembre 2005 A 27
Souvenez-vous du verglas...
Lysiane Gagnon
Mais il y a eu quelques faux scandales. Ainsi, le soi-disant scandale du pillage. Certes, certains habitants de La Nouvelle-Orléans sont restés dans la ville expressément pour pouvoir piller les maisons et les commerces désertés. Mais à côté de ces délinquants, beaucoup de « pilleurs » l'étaient par nécessité.
Mettez-vous à leur place. Votre maison est inondée, les commerces du quartier sont fermés et leurs propriétaires envolés. Ce n'est pas le moment de sortir vos dollars, à supposer que ces pauvres gens en aient encore dans leur poche. Qu'est-ce que vous faites ? Mais oui, vous défoncez la vitrine d'un magasin et vous vous servez. La télé a passé et repassé ces images de « pilleurs » quittant les commerces les bras chargés, comme s'ils s'agissaient de voleurs ordinaires : une injustice de plus envers les victimes de la catastrophe.
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Autre scandale dont on exagère l'ampleur, souvent pour des raisons politiques : l'incurie des pouvoirs publics.
C'est sûr, on aime bien voir la puissance américaine prise en flagrant délit d'inefficacité. C'est sûr, l'administration fédérale a tardé à réagir, et le président Bush, pris de court, n'a pas eu le bon réflexe (ce n'est pas la première fois). C'est sûr, les autorités locales, après avoir laissé pendant des années les digues se détériorer, n'ont même pas été foutues, alors que l'ouragan s'annonçait comme ravageur et que l'on savait la ville vulnérable, de préparer un plan d'évacuation des quartiers inondables. Qu'est-ce que cela aurait coûté de mettre des autobus à la disposition de ceux qui n'avaient pas d'auto et de prévoir des abris temporaires ?
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La tragédie de Katrina a permis à Fidel Castro de faire un bon petit coup de publicitaire : il a déjà conscrit 1586 médecins pour les envoyer aux États-Unis.
Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à défaut d'autre chose, les médecins (nombreux, relativement bien formés mais très mal payés) sont la seule denrée exportable de Cuba, et que leur « exportation » se fait aux dépens de la population. Ainsi, Cuba a récemment envoyé des milliers de médecins au Venezuela en échange de barils de pétrole. Les Cubains, du coup, se trouve sérieusement privés de services médicaux. Si les États-Unis avaient accepté l'offre retorse de Castro, qui se dit prêt à leur envoyer jusqu'à 5000 médecins, imaginez dans quelle situation se seraient retrouvés les Cubains.
J,aime beaucoup cet article... un texte réfléchi qui en fait parle des vraies choses.....
pour les medecins cubains... j'avais pas vu....
Souvenez-vous du verglas...
Lysiane Gagnon
Mais il y a eu quelques faux scandales. Ainsi, le soi-disant scandale du pillage. Certes, certains habitants de La Nouvelle-Orléans sont restés dans la ville expressément pour pouvoir piller les maisons et les commerces désertés. Mais à côté de ces délinquants, beaucoup de « pilleurs » l'étaient par nécessité.
Mettez-vous à leur place. Votre maison est inondée, les commerces du quartier sont fermés et leurs propriétaires envolés. Ce n'est pas le moment de sortir vos dollars, à supposer que ces pauvres gens en aient encore dans leur poche. Qu'est-ce que vous faites ? Mais oui, vous défoncez la vitrine d'un magasin et vous vous servez. La télé a passé et repassé ces images de « pilleurs » quittant les commerces les bras chargés, comme s'ils s'agissaient de voleurs ordinaires : une injustice de plus envers les victimes de la catastrophe.
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Autre scandale dont on exagère l'ampleur, souvent pour des raisons politiques : l'incurie des pouvoirs publics.
C'est sûr, on aime bien voir la puissance américaine prise en flagrant délit d'inefficacité. C'est sûr, l'administration fédérale a tardé à réagir, et le président Bush, pris de court, n'a pas eu le bon réflexe (ce n'est pas la première fois). C'est sûr, les autorités locales, après avoir laissé pendant des années les digues se détériorer, n'ont même pas été foutues, alors que l'ouragan s'annonçait comme ravageur et que l'on savait la ville vulnérable, de préparer un plan d'évacuation des quartiers inondables. Qu'est-ce que cela aurait coûté de mettre des autobus à la disposition de ceux qui n'avaient pas d'auto et de prévoir des abris temporaires ?
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La tragédie de Katrina a permis à Fidel Castro de faire un bon petit coup de publicitaire : il a déjà conscrit 1586 médecins pour les envoyer aux États-Unis.
Ce qu'il faut savoir, c'est qu'à défaut d'autre chose, les médecins (nombreux, relativement bien formés mais très mal payés) sont la seule denrée exportable de Cuba, et que leur « exportation » se fait aux dépens de la population. Ainsi, Cuba a récemment envoyé des milliers de médecins au Venezuela en échange de barils de pétrole. Les Cubains, du coup, se trouve sérieusement privés de services médicaux. Si les États-Unis avaient accepté l'offre retorse de Castro, qui se dit prêt à leur envoyer jusqu'à 5000 médecins, imaginez dans quelle situation se seraient retrouvés les Cubains.
J,aime beaucoup cet article... un texte réfléchi qui en fait parle des vraies choses.....
pour les medecins cubains... j'avais pas vu....
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marie lilly
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