La police ouvre une enquête concernant Karla Homolka
La police de Longueuil a ouvert une enquête pour déterminer si Karla Homolka a bel et bien enfreint ses conditions de remise en liberté, tel que le prétend son ex-employeur, Richer Lapointe.
Des enquêteurs se penchent depuis quelques jours sur les enregistrements des entretiens entre le quincaillier de Longueuil et sa célèbre stagiaire.
Richer Lapointe a remis des enregistrements d'une durée de plus de deux heures à la Sûreté du Québec.
Les propos enregistrés au travail à l'insu de l'ex-détenue suggèrent entre autres qu'elle serait toujours en contact avec au moins deux criminels condamnés pour meurtre, bien que ses conditions de remise en liberté le lui interdisent.
S'ils se révèlent fondés, les manquements d'Homolka à ses conditions de remise en liberté pourraient lui valoir de nouvelles accusations et une peine d'emprisonnement.
Karla Homolka bientôt libre
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- Inscription : mer. juin 18, 2003 12:00 am
Annouk a écrit
Elle se perdrait faiclement dans l'océan des tremblay...J'espère qu'elle ne lit pas ici et qu'elle ne prendra pas cette suggestion au pied de la lettre
Il faudrait qu'elle devienne muette sinon son accent la trahirait. Une Tremblay qui casse son français, ça doit pas passer innaperçu.
Elle se perdrait faiclement dans l'océan des tremblay...J'espère qu'elle ne lit pas ici et qu'elle ne prendra pas cette suggestion au pied de la lettre
Il faudrait qu'elle devienne muette sinon son accent la trahirait. Une Tremblay qui casse son français, ça doit pas passer innaperçu.
Les parents des victimes pourront s'exprimer
Les parents de Leslie Mahaffy et Kristen French pourront intervenir lorsque sera entendu l'appel déposé par Karla Homolka quant aux conditions accompagnant sa remise en liberté.
Le juge James Brunton de la Cour supérieure du Québec a cependant indiqué que les familles des victimes du couple Homolka-Bernardo, qui seront représentées par leur procureur, devront limiter leurs commentaires.
Ainsi, le juge a prévenu qu'elles pourront tenter de contrer les arguments de Mme Homolka voulant que ses conditions de remise en liberté briment ses droits constitutionnels. Mais ils ne pourront pas se prononcer sur la sévérité des conditions ou sur la dangerosité de Mme Homolka.
L'appel de Karla Homolka qui conteste ses conditions de remise en liberté sera entendu le 12 octobre. Initialement cette audition était prévue pour jeudi prochain.
Rappelons qu'en vertu des conditions qui lui ont été imposées, Karla Homolka doit notamment se rapporter régulièrement à la police, qu'elle doit l'aviser si elle quitte le Québec et qu'elle doit s'abstenir d'entrer en contact avec les familles des victimes.
Karla Homolka a été libérée le 4 juillet dernier après avoir purgé une peine de 12 ans de prison pour son rôle dans les meurtres de deux adolescentes ontariennes.
Les parents de Leslie Mahaffy et Kristen French pourront intervenir lorsque sera entendu l'appel déposé par Karla Homolka quant aux conditions accompagnant sa remise en liberté.
Le juge James Brunton de la Cour supérieure du Québec a cependant indiqué que les familles des victimes du couple Homolka-Bernardo, qui seront représentées par leur procureur, devront limiter leurs commentaires.
Ainsi, le juge a prévenu qu'elles pourront tenter de contrer les arguments de Mme Homolka voulant que ses conditions de remise en liberté briment ses droits constitutionnels. Mais ils ne pourront pas se prononcer sur la sévérité des conditions ou sur la dangerosité de Mme Homolka.
L'appel de Karla Homolka qui conteste ses conditions de remise en liberté sera entendu le 12 octobre. Initialement cette audition était prévue pour jeudi prochain.
Rappelons qu'en vertu des conditions qui lui ont été imposées, Karla Homolka doit notamment se rapporter régulièrement à la police, qu'elle doit l'aviser si elle quitte le Québec et qu'elle doit s'abstenir d'entrer en contact avec les familles des victimes.
Karla Homolka a été libérée le 4 juillet dernier après avoir purgé une peine de 12 ans de prison pour son rôle dans les meurtres de deux adolescentes ontariennes.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


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