La libération d'Homolka a été planifiée dans les moindres détails
PC
Édition du vendredi 10 juin 2005
Le Service correctionnel du Canada et la police se consacrent depuis trois mois à un plan secret visant à sortir Karla Homolka de prison en toute sécurité, une fois qu'elle aura complété la peine de 12 ans de détention pour homicide involontaire écopée relativement à l'assassinat de deux adolescentes ontariennes.
Contrairement à la plupart des autres personnes en état de détention, Homolka ne pourra, compte tenu de sa notoriété, retrouver des proches dès sa sortie de la prison québécoise où elle purge actuellement sa peine, lorsqu'elle retrouvera la liberté, entre le 30 juin et le 5 juillet, ont affirmé hier des responsables du service fédéral.
«En raison de l'attention astronomique et sans précédent qu'elle reçoit, nous allons réclamer le soutien de la police afin de lui permettre de se rendre jusqu'à sa destination», a indiqué en entrevue Michèle Pilon-Santilli, responsable nationale des médias pour le Service correctionnel.
Les modalités des mesures qui seront alors mises en place sont soigneusement gardées secrètes.
«Nous ne dirons à personne, à l'exception de la police, de quelle façon elle sera libérée ou à quel endroit elle sera libérée», a dit Mme Pilon-Santilli.
Une équipe de gestion des cas prépare un plan de sortie pour tous les prisonniers. Mais l'immense intérêt suscité parmi les médias par l'affaire Homolka signifie que les autorités doivent tenir compte de la sécurité de la détenue, tandis qu'elles se préparent à lui rendre sa liberté.
Karla Homolka est elle-même consciente de l'intérêt qu'elle soulève, et elle pourrait diffuser un communiqué de presse une fois sortie de prison, a par ailleurs indiqué son avocate, Sylvie Bordelais.
Karla Homolka bientôt libre
Un sénateur libéral se porte à sa défense
La sortie prochaine de prison de Karla Homolka inquiète certaines personnes, mais un sénateur libéral a décidé de lui donner son appui.
Le sénateur Michel Biron estime que le système de justice est trop sévère à son endroit et qu'on devrait lui donner une chance de réintégrer la société.
Le sénateur a assisté à son audience de la semaine dernière et s'est assis du côté de la défense en signe de soutien. M. Brion croit que les restrictions imposées à Karla Homolka limitent la liberté de la criminelle
La sortie prochaine de prison de Karla Homolka inquiète certaines personnes, mais un sénateur libéral a décidé de lui donner son appui.
Le sénateur Michel Biron estime que le système de justice est trop sévère à son endroit et qu'on devrait lui donner une chance de réintégrer la société.
Le sénateur a assisté à son audience de la semaine dernière et s'est assis du côté de la défense en signe de soutien. M. Brion croit que les restrictions imposées à Karla Homolka limitent la liberté de la criminelle
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
tuberale a écritLa libération d'Homolka a été planifiée dans les moindres détails
PC
Édition du vendredi 10 juin 2005
Le Service correctionnel du Canada et la police se consacrent depuis trois mois à un plan secret visant à sortir Karla Homolka de prison en toute sécurité, une fois qu'elle aura complété la peine de 12 ans de détention pour homicide involontaire écopée relativement à l'assassinat de deux adolescentes ontariennes.
Contrairement à la plupart des autres personnes en état de détention, Homolka ne pourra, compte tenu de sa notoriété, retrouver des proches dès sa sortie de la prison québécoise où elle purge actuellement sa peine, lorsqu'elle retrouvera la liberté, entre le 30 juin et le 5 juillet, ont affirmé hier des responsables du service fédéral.
«En raison de l'attention astronomique et sans précédent qu'elle reçoit, nous allons réclamer le soutien de la police afin de lui permettre de se rendre jusqu'à sa destination», a indiqué en entrevue Michèle Pilon-Santilli, responsable nationale des médias pour le Service correctionnel.
Les modalités des mesures qui seront alors mises en place sont soigneusement gardées secrètes.
«Nous ne dirons à personne, à l'exception de la police, de quelle façon elle sera libérée ou à quel endroit elle sera libérée», a dit Mme Pilon-Santilli.
Une équipe de gestion des cas prépare un plan de sortie pour tous les prisonniers. Mais l'immense intérêt suscité parmi les médias par l'affaire Homolka signifie que les autorités doivent tenir compte de la sécurité de la détenue, tandis qu'elles se préparent à lui rendre sa liberté.
Karla Homolka est elle-même consciente de l'intérêt qu'elle soulève, et elle pourrait diffuser un communiqué de presse une fois sortie de prison, a par ailleurs indiqué son avocate, Sylvie Bordelais.
Et voilà elle va commencer sa vie de VEUDETTE.
PC
Édition du vendredi 10 juin 2005
Le Service correctionnel du Canada et la police se consacrent depuis trois mois à un plan secret visant à sortir Karla Homolka de prison en toute sécurité, une fois qu'elle aura complété la peine de 12 ans de détention pour homicide involontaire écopée relativement à l'assassinat de deux adolescentes ontariennes.
Contrairement à la plupart des autres personnes en état de détention, Homolka ne pourra, compte tenu de sa notoriété, retrouver des proches dès sa sortie de la prison québécoise où elle purge actuellement sa peine, lorsqu'elle retrouvera la liberté, entre le 30 juin et le 5 juillet, ont affirmé hier des responsables du service fédéral.
«En raison de l'attention astronomique et sans précédent qu'elle reçoit, nous allons réclamer le soutien de la police afin de lui permettre de se rendre jusqu'à sa destination», a indiqué en entrevue Michèle Pilon-Santilli, responsable nationale des médias pour le Service correctionnel.
Les modalités des mesures qui seront alors mises en place sont soigneusement gardées secrètes.
«Nous ne dirons à personne, à l'exception de la police, de quelle façon elle sera libérée ou à quel endroit elle sera libérée», a dit Mme Pilon-Santilli.
Une équipe de gestion des cas prépare un plan de sortie pour tous les prisonniers. Mais l'immense intérêt suscité parmi les médias par l'affaire Homolka signifie que les autorités doivent tenir compte de la sécurité de la détenue, tandis qu'elles se préparent à lui rendre sa liberté.
Karla Homolka est elle-même consciente de l'intérêt qu'elle soulève, et elle pourrait diffuser un communiqué de presse une fois sortie de prison, a par ailleurs indiqué son avocate, Sylvie Bordelais.
Et voilà elle va commencer sa vie de VEUDETTE.
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gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am
Pour moi, la question n'est pas de savoir si elle a purgé la peine qu'elle méritait mais plutôt: représente-t-elle encore un danger pour la société?
Selon le psychiatre Louis Morissette, elle ne serait pas plus à risque qu'une autre criminelle sortant de prison...Selon moi, les criminels sont presque tous dangereux à leur sortie de prison ou bien il a mal évalué ce cas...
Avant de rencontrer Bernardo, alors qu'elle était encore au secondaire, elle était attirée par les livres racontant des crimes des plus macabres et des ouvrages traitant de rituels sataniques et d'histoires d'horreur.
Elle aurait écrit dans un journal d'école d'une de ses compagnes:" C'est la mort qui nous mène. La mort est une jouissance. J'aime la mort. Tuons ce foutu monde." À 17 ans, elle avouait à une amie: " Tu sais ce que j'aimerais faire? Je voudrais dessiner des points partout sur le corps de quelqu'un, prendre un couteau et jouer à relier les points. Je verserais ensuite du vinaigre partout." Est-ce que ça vous paraît normal et inoffensif?
Je crois simplement que Bernardo a été un élément déclencheur de sa folie déjà présente. Que cette fille quitte le pays est rassurant pour nous si jamais ça arrive mais je n'aimerais pas savoir qu'elle a fait subir des sévices et qu'elle a tué une jeune fille innocente que ce soit n'importe où sur la planète.
Le système se préoccupe de sa sécurité mais qu'adviendra-t-il par la suite de la sécurité de celles qu'elle réussira à embobiner?
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gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am
nancy31f a écritmoi je veut savoir si vous allez ecouter le film qui va sortir sur sa vie?
moi oui je vais etre honnete mais je vais attendre de le voir en video par contre
Personnellement, cela ne m'intéresse pas dutout. J'en sais déjà suffisamment sur ce couple...
Pendant des années, je n'ai jamais voulu que le les gens me racontent cette histoire, en lisant le topic ici je suis allée voir le lien que quelqu'un avait mis ici et j'en ai été malade pendant des jours, j'ai regretté d'être allée lire, je n'étais pas capable d'écrire une seule ligne à ce sujet. Je souhaite juste que cette fille soit mise hors de danger pour les autres.
moi oui je vais etre honnete mais je vais attendre de le voir en video par contre
Personnellement, cela ne m'intéresse pas dutout. J'en sais déjà suffisamment sur ce couple...
Pendant des années, je n'ai jamais voulu que le les gens me racontent cette histoire, en lisant le topic ici je suis allée voir le lien que quelqu'un avait mis ici et j'en ai été malade pendant des jours, j'ai regretté d'être allée lire, je n'étais pas capable d'écrire une seule ligne à ce sujet. Je souhaite juste que cette fille soit mise hors de danger pour les autres.
Un sénateur s'oppose aux conditions imposées à Homolka
PC
Ottawa -- Un sénateur du Québec a maintenu ses affirmations voulant que la liberté de Karla Homolka soit entravée par une loi digne des régimes totalitaires.
Les propos du sénateur libéral Michel Biron ont fait sourciller sur la colline parlementaire, hier, sans toutefois qu'il revienne sur ses déclarations.
Le leader adjoint des conservateurs, Peter MacKay, a déclaré que M. Biron manifestait envers Homolka un «soutien moral» répugnant.
Le sénateur a expliqué que l'horreur des crimes commis par Homolka était inexcusable. Il a cependant précisé qu'il était contre la loi imposant des restrictions à la jeune femme une fois que celle-ci sera libérée -- elle devra notamment se rapporter chaque mois à la police et s'abstenir de contacts avec des personnes ayant un dossier criminel.
Il s'est dit révolté par l'article 810 du Code criminel et, selon lui, cette disposition devrait disparaître de la législation car elle permet d'imposer une nouvelle peine à des criminels qui ont déjà payé leur dette à la société.
«Cette loi est pareille à celles en vigueur dans les régimes totalitaires, a déclaré hier M. Biron, lors d'une entrevue. La réhabilitation est plus importante. Nous ne sommes plus au temps de Victor Hugo, avec Les Misérables.»
M. Biron a affirmé qu'il n'avait jamais rencontré Karla Homolka et qu'il n'excuse en rien les actes qu'elle a commis. «Je renouvelle ma sympathie aux victimes et à leur famille [...] et en aucun cas je défends les crimes commis par Homolka.»
La détenue sera libérée entre le 30 juin et le 4 juillet après avoir purgé sa peine pour son rôle dans le meurtre de deux adolescentes, Leslie Mahaffy et Kristen French. Elle a écopé d'une peine d'emprisonnement réduite après avoir témoigné contre son ex-mari, Paul Bernardo, qui purge une peine d'emprisonnement à perpétuité pour ces meurtres.
M. Biron, âgé de 71 ans, a assisté aux audiences qui ont mené à l'imposition de nouvelles restrictions à la détenue, la semaine dernière, au palais de justice de Joliette.
Nommé au Sénat en 2001 par Jean Chrétien, alors premier ministre, M. Biron est un ancien cadre d'entreprise du secteur des télécommunications et un récipiendaire de l'Ordre du Canada.
L'article 810 est entré en vigueur en 1994 dans un climat de vindicte populaire suscité par les délinquants sexuels qui recommençaient à s'en prendre aux enfants une fois leur peine de prison purgée.
PC
Ottawa -- Un sénateur du Québec a maintenu ses affirmations voulant que la liberté de Karla Homolka soit entravée par une loi digne des régimes totalitaires.
Les propos du sénateur libéral Michel Biron ont fait sourciller sur la colline parlementaire, hier, sans toutefois qu'il revienne sur ses déclarations.
Le leader adjoint des conservateurs, Peter MacKay, a déclaré que M. Biron manifestait envers Homolka un «soutien moral» répugnant.
Le sénateur a expliqué que l'horreur des crimes commis par Homolka était inexcusable. Il a cependant précisé qu'il était contre la loi imposant des restrictions à la jeune femme une fois que celle-ci sera libérée -- elle devra notamment se rapporter chaque mois à la police et s'abstenir de contacts avec des personnes ayant un dossier criminel.
Il s'est dit révolté par l'article 810 du Code criminel et, selon lui, cette disposition devrait disparaître de la législation car elle permet d'imposer une nouvelle peine à des criminels qui ont déjà payé leur dette à la société.
«Cette loi est pareille à celles en vigueur dans les régimes totalitaires, a déclaré hier M. Biron, lors d'une entrevue. La réhabilitation est plus importante. Nous ne sommes plus au temps de Victor Hugo, avec Les Misérables.»
M. Biron a affirmé qu'il n'avait jamais rencontré Karla Homolka et qu'il n'excuse en rien les actes qu'elle a commis. «Je renouvelle ma sympathie aux victimes et à leur famille [...] et en aucun cas je défends les crimes commis par Homolka.»
La détenue sera libérée entre le 30 juin et le 4 juillet après avoir purgé sa peine pour son rôle dans le meurtre de deux adolescentes, Leslie Mahaffy et Kristen French. Elle a écopé d'une peine d'emprisonnement réduite après avoir témoigné contre son ex-mari, Paul Bernardo, qui purge une peine d'emprisonnement à perpétuité pour ces meurtres.
M. Biron, âgé de 71 ans, a assisté aux audiences qui ont mené à l'imposition de nouvelles restrictions à la détenue, la semaine dernière, au palais de justice de Joliette.
Nommé au Sénat en 2001 par Jean Chrétien, alors premier ministre, M. Biron est un ancien cadre d'entreprise du secteur des télécommunications et un récipiendaire de l'Ordre du Canada.
L'article 810 est entré en vigueur en 1994 dans un climat de vindicte populaire suscité par les délinquants sexuels qui recommençaient à s'en prendre aux enfants une fois leur peine de prison purgée.
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cristal_8331
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1133
- Inscription : mer. mars 17, 2004 1:00 am
Elle a choisi Montréal comme lieu d'accueil. Je ne crois pas qu'elle sera bien accueillie. Elle aura mailles à partir dans la société, car les gens rejettent l'idée de son installation à Montréal. Il pourrait lui arriver bien des choses, même si elle lève seulement le petit doigt. Sa vie est ternie à tout jamais à cause de ce qu'elle a fait. Et c'est bien.
La voyez-vous postuler un emploi avec le back-ground qu'elle possède? Qui voudrait engager Mrs Homolka oh pardon Mrs Steele? Même si elle change de nom, qui voudra d'elle?
Les autorités inquiètes
Explosion de clavardages hostiles à Homolka
Greg Bonnell
Presse Canadienne
Toronto
L'explosion de clavardages hostiles suscité par l'affaire Karla Homolka a incité la police et les autorités carcérales à renforcer la sécurité autour de la meurtrière, dont la peine de prison tire à sa fin.
Bien que soit disparu un site Internet sur lequel il était possible de prédire la date de la mort de Homolka, les spéculations entourant les représailles dont cette dernière pourrait être la cible ont fait surface sur les sites Web les plus invraisemblables, en l'occurence des sites consacrés à des mariages, des groupes rock ou même aux bébés.
«Je parie qu'il se passera au maximum six mois avant que quelqu'un lui place une balle entre les deux yeux», a affirmé sur le site WeddingBells.ca une personne se présentant sous le pseudonyme de Margherita.
«Si je la voyais en train de marcher dans la rue, je lui lancerais à la tête la première chose que je trouverais.»
Les internautes fréquentant le site babynamesworld.com sont animés par le même esprit de vengeance. «Il est à espérer qu'elle aura un petit «accident» une fois libérée», a écrit une certaine Bunnie.
Les personnes clavardant sur un site consacré au groupe rock canadien Blue Rodeo sont tout aussi pessimistes quant au sort qui attend Homolka. «Les gens de son espèce finissent tôt ou tard par obtenir ce qu'ils méritent, si vous voyez ce que je veux dire», y a affirmé Bluegirl.
Condamée à une peine de 12 ans de prison à la suite du décès de deux adolescentes ontariennes ayant été violées et torturées, Karla Homolka doit être remise en liberté sous peu, et cela pourrait survenir à n'importe quel moment entre le 30 juin et le 4 juillet. Les réactions suscitées par sa libération prochaine ont incité le Service correctionnel du Canada à réclamer le soutien de la police.
Les mesures de sécurité ont déjà été accrues à Sainte-Anne-des-Plaines, la prison du nord de Montréal où Homolka vient d'être transférée.
Explosion de clavardages hostiles à Homolka
Greg Bonnell
Presse Canadienne
Toronto
L'explosion de clavardages hostiles suscité par l'affaire Karla Homolka a incité la police et les autorités carcérales à renforcer la sécurité autour de la meurtrière, dont la peine de prison tire à sa fin.
Bien que soit disparu un site Internet sur lequel il était possible de prédire la date de la mort de Homolka, les spéculations entourant les représailles dont cette dernière pourrait être la cible ont fait surface sur les sites Web les plus invraisemblables, en l'occurence des sites consacrés à des mariages, des groupes rock ou même aux bébés.
«Je parie qu'il se passera au maximum six mois avant que quelqu'un lui place une balle entre les deux yeux», a affirmé sur le site WeddingBells.ca une personne se présentant sous le pseudonyme de Margherita.
«Si je la voyais en train de marcher dans la rue, je lui lancerais à la tête la première chose que je trouverais.»
Les internautes fréquentant le site babynamesworld.com sont animés par le même esprit de vengeance. «Il est à espérer qu'elle aura un petit «accident» une fois libérée», a écrit une certaine Bunnie.
Les personnes clavardant sur un site consacré au groupe rock canadien Blue Rodeo sont tout aussi pessimistes quant au sort qui attend Homolka. «Les gens de son espèce finissent tôt ou tard par obtenir ce qu'ils méritent, si vous voyez ce que je veux dire», y a affirmé Bluegirl.
Condamée à une peine de 12 ans de prison à la suite du décès de deux adolescentes ontariennes ayant été violées et torturées, Karla Homolka doit être remise en liberté sous peu, et cela pourrait survenir à n'importe quel moment entre le 30 juin et le 4 juillet. Les réactions suscitées par sa libération prochaine ont incité le Service correctionnel du Canada à réclamer le soutien de la police.
Les mesures de sécurité ont déjà été accrues à Sainte-Anne-des-Plaines, la prison du nord de Montréal où Homolka vient d'être transférée.
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Le clavardage hostile à Homolka inquiète les autorités carcérales
PC
Édition du lundi 13 juin 2005
Toronto -- L'explosion de clavardage hostile suscité par l'affaire Karla Homolka a incité la police et les autorités carcérales à renforcer la sécurité autour de la meurtrière, dont la peine de prison tire à sa fin.
PC
Édition du lundi 13 juin 2005
Toronto -- L'explosion de clavardage hostile suscité par l'affaire Karla Homolka a incité la police et les autorités carcérales à renforcer la sécurité autour de la meurtrière, dont la peine de prison tire à sa fin.
Mise à jour: 13/06/2005 10h17
Justice
Des paris sur la date du décès de Karla Homolka!
Les menaces de mort et déclarations haineuses envers Karla Homolka se multiplient sur Internet, à trois semaines de sa sortie prévue de prison.
Des paris sont même ouverts sur la date du décès de la célèbre meurtrière...
Ce phénomène préoccupe bien sûr la police qui y porte une attention particulière, mais les autorités craignent surtout qu'une personne planifie secrètement d'assassiner Karla Homolka.
Karla Homolka a été reconnue coupable du viol et du meurtre de deux adolescentes ontariennes. Elle sera libérée au plus tard le 5 juillet, après 12 ans de détention --Message edité par ResPect le 2005-06-13 10:40:23--
Justice
Des paris sur la date du décès de Karla Homolka!
Les menaces de mort et déclarations haineuses envers Karla Homolka se multiplient sur Internet, à trois semaines de sa sortie prévue de prison.
Des paris sont même ouverts sur la date du décès de la célèbre meurtrière...
Ce phénomène préoccupe bien sûr la police qui y porte une attention particulière, mais les autorités craignent surtout qu'une personne planifie secrètement d'assassiner Karla Homolka.
Karla Homolka a été reconnue coupable du viol et du meurtre de deux adolescentes ontariennes. Elle sera libérée au plus tard le 5 juillet, après 12 ans de détention --Message edité par ResPect le 2005-06-13 10:40:23--
16/06/2005 - 10h50
Livres
Réédition d’un livre sur Karla Homolka
Presse Canadienne (PC)
©PC
Une réédition d'un livre sur Karla Homolka est maintenant disponible au Québec.
Karla - Un pacte avec le diable, écrit par Stephen Williams, est le fruit de plusieurs années de recherche, à partir d'informations souvent inédites, dont des correspondances avec la criminelle, des documents confidentiels et des témoignages.
Il s'agit d'un ouvrage choc qui fait la lumière sur l'échec policier et judiciaire entourant la jeune femme.
Karla Homolka est sur le point de compléter une peine d'emprisonnement de 12 ans pour sa participation dans les meurtres de deux adolescentes ontariennes ayant été violées et torturées par son conjoint de l'époque Paul Bernardo. Elle avait obtenu une peine réduite en échange d'un témoignage contre son mari, qui a été condamné à la prison à perpétuité.
La libération prochaine de Karla Homolka suscite de vives réactions au Québec, particulièrement à Montréal, où elle songerait à s'installer.
Livres
Réédition d’un livre sur Karla Homolka
Presse Canadienne (PC)
©PC
Une réédition d'un livre sur Karla Homolka est maintenant disponible au Québec.
Karla - Un pacte avec le diable, écrit par Stephen Williams, est le fruit de plusieurs années de recherche, à partir d'informations souvent inédites, dont des correspondances avec la criminelle, des documents confidentiels et des témoignages.
Il s'agit d'un ouvrage choc qui fait la lumière sur l'échec policier et judiciaire entourant la jeune femme.
Karla Homolka est sur le point de compléter une peine d'emprisonnement de 12 ans pour sa participation dans les meurtres de deux adolescentes ontariennes ayant été violées et torturées par son conjoint de l'époque Paul Bernardo. Elle avait obtenu une peine réduite en échange d'un témoignage contre son mari, qui a été condamné à la prison à perpétuité.
La libération prochaine de Karla Homolka suscite de vives réactions au Québec, particulièrement à Montréal, où elle songerait à s'installer.
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lilypotter57
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 7087
- Inscription : mer. nov. 12, 2003 1:00 am
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Mimichouette
- Magicien des Mots
- Messages : 3567
- Inscription : jeu. févr. 10, 2005 1:00 am
Mise à jour: 17/06/2005 19h55
LCN
À deux semaines de sa libération
Métamorphose pour Karla Homolka?
Dans deux semaines, Karla Homolka sortira de prison. Une libération qui suscite des craintes non seulement dans la population, mais aussi pour la propre sécurité de la célèbre criminelle.
C'est pourquoi Mme Homolka, qui compte s'établir dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal, veut changer son apparence et son identité.
Karla Homolka a peur d'être reconnue. Elle songe même à couper les cheveux et les faire teindre en noir. Elle pourrait aussi changer de nom en s'adressant au Bureau de l'état civil. L'an dernier, 1,200 Québécois l'ont fait pour différentes raisons, notamment des motifs de sécurité.
Un porte-parole de la GRC a affirmé que la police fédérale pourrait aider Mme Homolka à modifier son identité si elle recevait une demande de la police ontarienne.
Dans certains cas, la police permet même à d'ex-détenus d'utiliser un nouveau numéro d'assurance sociale.
Lorsqu'elle quittera le pénitencier de Sainte-Anne-des-Plaines, entre le 30 juin et le 5 juillet prochain, Karla Homolka pourrait aussi avoir recours à la chirurgie esthétique pour échapper à ceux et celles qui lui veulent du mal.
De toute façon, les empreintes digitales et son échantillon d'ADN permettront toujours de la retrouver.
LCN
À deux semaines de sa libération
Métamorphose pour Karla Homolka?
Dans deux semaines, Karla Homolka sortira de prison. Une libération qui suscite des craintes non seulement dans la population, mais aussi pour la propre sécurité de la célèbre criminelle.
C'est pourquoi Mme Homolka, qui compte s'établir dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal, veut changer son apparence et son identité.
Karla Homolka a peur d'être reconnue. Elle songe même à couper les cheveux et les faire teindre en noir. Elle pourrait aussi changer de nom en s'adressant au Bureau de l'état civil. L'an dernier, 1,200 Québécois l'ont fait pour différentes raisons, notamment des motifs de sécurité.
Un porte-parole de la GRC a affirmé que la police fédérale pourrait aider Mme Homolka à modifier son identité si elle recevait une demande de la police ontarienne.
Dans certains cas, la police permet même à d'ex-détenus d'utiliser un nouveau numéro d'assurance sociale.
Lorsqu'elle quittera le pénitencier de Sainte-Anne-des-Plaines, entre le 30 juin et le 5 juillet prochain, Karla Homolka pourrait aussi avoir recours à la chirurgie esthétique pour échapper à ceux et celles qui lui veulent du mal.
De toute façon, les empreintes digitales et son échantillon d'ADN permettront toujours de la retrouver.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»