BouleAMites_ a écrit Oui je pense que tu as raison après tout, je ne l'avais pas vu comme ça! Oublie ma question Voyeur!
Mais supposons que le PQ est effectivement "coupable" de ceci... qu'est-ce que ça vient faire dans les commandites??!! Et en quoi ça empêche Jean Lapierre de donner des exemples précis?
Le scandale des commandites- rapport Gomery demain
NetRoll a écritJe me demande si on peut mettre un lien sur un autre forum qui met un lien sur le blog en question...
Après tout, les lien... "That's what Internet is all about"
Veux-tu coucher sur le divan toi?
;)
Après tout, les lien... "That's what Internet is all about"
Veux-tu coucher sur le divan toi?
;)
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
NetRoll a écritJe me demande si on peut mettre un lien sur un autre forum qui met un lien sur le blog en question...
Après tout, les lien... "That's what Internet is all about"
J'ai placé un article plus haut qui disait que la Justice avait sanctionné un site d'un média qui avait mis le lien.
IL n'y a pratiquement aucune possibilité qu'ils se rendent jusqu'ici comme tel......après tout un forum sur la télé-réalité, le lien est pas trop direct ......mais comme toujours, ils doivent fonctionner sur les plaintes qu'ils reçoivent alors il suffit que quelqu'un voulant nuire au Domaine pour X raisons, porte plainte.....et on va avoir de possibles problèmes...........moi c,est en fonction de cette seule possibilité que je vs demanderais de ne rien placer ici d'incriminant..pas mal comme dans le cas Cloutier.....
Après tout, les lien... "That's what Internet is all about"
J'ai placé un article plus haut qui disait que la Justice avait sanctionné un site d'un média qui avait mis le lien.
IL n'y a pratiquement aucune possibilité qu'ils se rendent jusqu'ici comme tel......après tout un forum sur la télé-réalité, le lien est pas trop direct ......mais comme toujours, ils doivent fonctionner sur les plaintes qu'ils reçoivent alors il suffit que quelqu'un voulant nuire au Domaine pour X raisons, porte plainte.....et on va avoir de possibles problèmes...........moi c,est en fonction de cette seule possibilité que je vs demanderais de ne rien placer ici d'incriminant..pas mal comme dans le cas Cloutier.....
NetRoll a écrit
Je peux?
Je peux?
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
On a eu droit à quelques minutes dans l'assemblée nationale pendant les nouvelles... Mon dieu qu'ils sont minables.
L'autre Paul Martin qui s'adresse à Duceppe en disant "Le futur chef du Parti Québécois"... C'est quoi cette affaire là??? Calvaire, il sont pas supposés être des adultes ce monde là?
Il commence à accuser le PQ d'avoir quasiment plus profité du scandale des commandites que le PLC
L'autre Paul Martin qui s'adresse à Duceppe en disant "Le futur chef du Parti Québécois"... C'est quoi cette affaire là??? Calvaire, il sont pas supposés être des adultes ce monde là?
Il commence à accuser le PQ d'avoir quasiment plus profité du scandale des commandites que le PLC
NetRoll a écritOn a eu droit à quelques minutes dans l'assemblée nationale pendant les nouvelles... Mon dieu qu'ils sont minables.
L'autre Paul Martin qui s'adresse à Duceppe en disant "Le futur chef du Parti Québécois"... C'est quoi cette affaire là??? Calvaire, il sont pas supposés être des adultes ce monde là?
Il commence à accuser le PQ d'avoir quasiment plus profité du scandale des commandites que le PLC
Tu n,as jamais assisté à une scéance à la Chambre des communes?????c,est 20 fois pire qu'à l'Assemblée nationale .....le monde s'insulte, se joue dans le nez, il y a toujours un bruit de voix intense.....c,est une vraie tour de babel...............de quoi te décourager de la politique à vie.......
L'autre Paul Martin qui s'adresse à Duceppe en disant "Le futur chef du Parti Québécois"... C'est quoi cette affaire là??? Calvaire, il sont pas supposés être des adultes ce monde là?
Il commence à accuser le PQ d'avoir quasiment plus profité du scandale des commandites que le PLC
Tu n,as jamais assisté à une scéance à la Chambre des communes?????c,est 20 fois pire qu'à l'Assemblée nationale .....le monde s'insulte, se joue dans le nez, il y a toujours un bruit de voix intense.....c,est une vraie tour de babel...............de quoi te décourager de la politique à vie.......
Commission Gomery
Le «virus» des commandites se multiplie sur le Web
Nicolas Bérubé
La Presse
Alors que les médias doivent garder le silence sur le témoignage de Jean Brault, des centaines de milliers de personnes se ruent sur le Net pour y lire certaines de ses déclarations devant la commission Gomery. Résultat: désormais, le scandale des commandites se propage dans les boîtes de courriel à la façon d'un virus informatique.
Les médias québécois ont beau faire de leur mieux pour informer le public: c'est vers un obscur site Web conservateur du Minnesota que des milliers de Québécois se tournent pour suivre les dernières révélations-chocs de la commission Gomery.
Depuis quelques jours, le blogue qui publie les révélations de l'ex-président de Groupaction, Jean Brault, a vu le nombre de ses visiteurs littéralement exploser, passant de 22 000 visites quotidiennes en moyenne à plus de 330 000 hier.
Le webmestre du site, Edward Morrissey, n'imaginait pas soulever une telle tempête lorsqu'il a publié des extraits du témoignage de M. Brault, qui lui ont été transmis par une «source» qui veut rester anonyme.
«Je n'ai jamais eu une telle affluence sur mon site! lance-t-il en entrevue avec La Presse hier. La compagnie qui héberge mon blogue m'a dit qu'elle ne me facturerait pas de supplément pour toutes ces visites, et ça m'a un peu rassuré.»
30 secondes...
M. Morrissey dit être fier de jouer un rôle dans la diffusion de cette information délicate. «Je n'aime pas qu'on essaie de nous cacher des choses. Ce scandale doit être mis au grand jour, et je suis prêt à aider les gens. Si ma source m'envoie d'autre matériel, je vais le mettre sur mon site.»
Et le site n'est pas très difficile à trouver. Après avoir entendu aux nouvelles lundi qu'un blogue affichait des révélations explosives sur le scandale des commandites, Marc, Montréalais de 27 ans, a sauté sur son ordinateur portable. «Trente secondes plus tard, j'avais le site sous les yeux, dit Marc, qui ne veut pas que son vrai nom se trouve dans le journal. Je ne comprends pas pourquoi le juge Gomery interdit aux médias d'ici d'en parler, c'est une histoire d'intérêt public.»
Florian Levesque, qui habite en Acadie, a reçu par courriel le lien qui mène au fameux site Web. Après en avoir pris connaissance, il l'a lui-même envoyé hier à une centaine de personnes inscrites dans son carnet d'adresses. «Ça pique la curiosité. C'est une information qui est frappante. On a envie de la faire circuler pour que les gens soient au courant. On n'a pas le choix: les médias ne peuvent pas en parler, alors l'Internet prend le dessus», dit-il, ajoutant qu'il a reçu hier plusieurs autres courriels invitant les gens à se rendre sur le même site.
«Il y a un effet multiplicateur. C'est toujours intéressant de voir des informations qui sont cachées au public. Je crois que ça produit l'effet contraire de ce qui est recherché: les gens en parlent plus à cause de cela», dit-il.
Pour André Caron, professeur de communication à l'Université de Montréal et directeur du groupe de recherche sur les jeunes et les médias, les nouvelles technologies minent sérieusement certains dispositifs juridiques, comme les ordonnances de non-publication. «Avec le Web, on peut télécharger des copies pirates de films qui ne sont pas encore sortis en salle. Quand quelqu'un a une information à communiquer, c'est très difficile à arrêter. Et les gens ne font pas ça pour des raisons financières. Ils le font pour communiquer des informations au grand public, tout simplement.»
Le «virus» des commandites se multiplie sur le Web
Nicolas Bérubé
La Presse
Alors que les médias doivent garder le silence sur le témoignage de Jean Brault, des centaines de milliers de personnes se ruent sur le Net pour y lire certaines de ses déclarations devant la commission Gomery. Résultat: désormais, le scandale des commandites se propage dans les boîtes de courriel à la façon d'un virus informatique.
Les médias québécois ont beau faire de leur mieux pour informer le public: c'est vers un obscur site Web conservateur du Minnesota que des milliers de Québécois se tournent pour suivre les dernières révélations-chocs de la commission Gomery.
Depuis quelques jours, le blogue qui publie les révélations de l'ex-président de Groupaction, Jean Brault, a vu le nombre de ses visiteurs littéralement exploser, passant de 22 000 visites quotidiennes en moyenne à plus de 330 000 hier.
Le webmestre du site, Edward Morrissey, n'imaginait pas soulever une telle tempête lorsqu'il a publié des extraits du témoignage de M. Brault, qui lui ont été transmis par une «source» qui veut rester anonyme.
«Je n'ai jamais eu une telle affluence sur mon site! lance-t-il en entrevue avec La Presse hier. La compagnie qui héberge mon blogue m'a dit qu'elle ne me facturerait pas de supplément pour toutes ces visites, et ça m'a un peu rassuré.»
30 secondes...
M. Morrissey dit être fier de jouer un rôle dans la diffusion de cette information délicate. «Je n'aime pas qu'on essaie de nous cacher des choses. Ce scandale doit être mis au grand jour, et je suis prêt à aider les gens. Si ma source m'envoie d'autre matériel, je vais le mettre sur mon site.»
Et le site n'est pas très difficile à trouver. Après avoir entendu aux nouvelles lundi qu'un blogue affichait des révélations explosives sur le scandale des commandites, Marc, Montréalais de 27 ans, a sauté sur son ordinateur portable. «Trente secondes plus tard, j'avais le site sous les yeux, dit Marc, qui ne veut pas que son vrai nom se trouve dans le journal. Je ne comprends pas pourquoi le juge Gomery interdit aux médias d'ici d'en parler, c'est une histoire d'intérêt public.»
Florian Levesque, qui habite en Acadie, a reçu par courriel le lien qui mène au fameux site Web. Après en avoir pris connaissance, il l'a lui-même envoyé hier à une centaine de personnes inscrites dans son carnet d'adresses. «Ça pique la curiosité. C'est une information qui est frappante. On a envie de la faire circuler pour que les gens soient au courant. On n'a pas le choix: les médias ne peuvent pas en parler, alors l'Internet prend le dessus», dit-il, ajoutant qu'il a reçu hier plusieurs autres courriels invitant les gens à se rendre sur le même site.
«Il y a un effet multiplicateur. C'est toujours intéressant de voir des informations qui sont cachées au public. Je crois que ça produit l'effet contraire de ce qui est recherché: les gens en parlent plus à cause de cela», dit-il.
Pour André Caron, professeur de communication à l'Université de Montréal et directeur du groupe de recherche sur les jeunes et les médias, les nouvelles technologies minent sérieusement certains dispositifs juridiques, comme les ordonnances de non-publication. «Avec le Web, on peut télécharger des copies pirates de films qui ne sont pas encore sortis en salle. Quand quelqu'un a une information à communiquer, c'est très difficile à arrêter. Et les gens ne font pas ça pour des raisons financières. Ils le font pour communiquer des informations au grand public, tout simplement.»
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fleurtropicale
- Magicien des Mots
- Messages : 2267
- Inscription : mar. nov. 04, 2003 1:00 am
La Presse
Nouvelles générales, jeudi 7 avril 2005, p. A3
Commission Gomery: Une décision attendue
Une décision attendue
L'ordonnance de non-publication pourrait être levée aujourd'hui
Jean Brault applaudi par des fans à sa sortie de la commission Gomery
Benessaieh, Karim
Après Chuck Guité, surnommé le " tsar des commandites ", devra-t-on rebaptiser Jean Brault la " star des commandites "?
Le fondateur de Groupaction a eu droit un bel accueil hier de la part de la foule à sa sortie de la commission Gomery, où il venait de boucler ses six jours de témoignage frappé d'une ordonnance de non-publication. Quelques personnes se sont spontanément mises à applaudir et la plupart ont suivi avec un sourire le passage de M. Brault pourchassé par un petit groupe de journalistes.
Toute la journée d'hier, dans l'amphithéâtre réservé au public, près de la salle d'audience, on a pu entendre des applaudissements crépiter à la moindre répartie de Jean Brault.
Le commissaire John Gomery devrait décider aujourd'hui s'il rendra public le témoignage qui a rendu M. Brault si populaire. Il a eu droit hier aux plaidoiries des avocats de MM Guité et Brault qui souhaitent maintenir l'ordonnance de non-publication. Ce matin, le juge Gomery entendra les arguments de quatre avocats qui souhaitent la levée, partielle ou complète, de l'ordonnance. " L'ordonnance de non-publication a l'effet contraire, ça suscite l'intérêt de la population ", estime l'avocat représentant un consortium de médias, Mark Bantey.
Si l'ordonnance est levée, les médias pourront rapporter les propos qu'on a décrits comme explosifs de Jean Brault, dont la firme Groupaction a reçu près de 75 millions en contrats de commandite du gouvernement fédéral. Le commissaire Gomery pourrait toutefois décider de maintenir l'interdiction jusqu'à la fin du procès commun de MM. Brault et Guité, reporté hier au 6 juin. Le témoignage, dans ce cas, ne serait pas connu avant la mi-juillet.
Demande du Bloc rejetée
Hier, les avocats du PLC, de Charles Guité, de la firme Polygone et du gouvernement du Canada se sont succédé pour contre-interroger Jean Brault.
En début de matinée, le commissaire Gomery avait rejeté une demande du Bloc québécois d'accéder au statut de partie, ce qui lui aurait permis de poser des questions au témoin. Le Bloc demandait en outre un rajustement du financement qui lui est accordé pour lui permettre de profiter des services d'un avocat à plein temps.
Le juge Gomery a refusé la première requête, estimant que la réputation du Bloc n'était pas en jeu. Il a cependant accepté d'accorder les fonds pour l'utilisation d'un avocat à plein temps.
À RETENIR
Sixième et dernier jour du témoignage de Jean Brault, fondateur et président de la firme Groupaction qui a reçu 75 millions sur 250 en contrats de commandites.
Le témoignage est frappé d'une ordonnance de non-publication qui empêche les médias de rapporter les propos. Le juge Gomery a entendu hier les représentations des avocats opposés à sa levée, soit les représentants de MM Guité et Brault. Il entendra ce matin les avocats favorables à une levée partielle ou complète de l'interdiction, dont bien sûr l'avocat des médias, Mark Bantey.
La décision est attendue aujourd'hui. Si l'ordonnance est levée, La Presse publiera tous les détails du témoignage de Jean Brault dans son édition du vendredi
Nouvelles générales, jeudi 7 avril 2005, p. A3
Commission Gomery: Une décision attendue
Une décision attendue
L'ordonnance de non-publication pourrait être levée aujourd'hui
Jean Brault applaudi par des fans à sa sortie de la commission Gomery
Benessaieh, Karim
Après Chuck Guité, surnommé le " tsar des commandites ", devra-t-on rebaptiser Jean Brault la " star des commandites "?
Le fondateur de Groupaction a eu droit un bel accueil hier de la part de la foule à sa sortie de la commission Gomery, où il venait de boucler ses six jours de témoignage frappé d'une ordonnance de non-publication. Quelques personnes se sont spontanément mises à applaudir et la plupart ont suivi avec un sourire le passage de M. Brault pourchassé par un petit groupe de journalistes.
Toute la journée d'hier, dans l'amphithéâtre réservé au public, près de la salle d'audience, on a pu entendre des applaudissements crépiter à la moindre répartie de Jean Brault.
Le commissaire John Gomery devrait décider aujourd'hui s'il rendra public le témoignage qui a rendu M. Brault si populaire. Il a eu droit hier aux plaidoiries des avocats de MM Guité et Brault qui souhaitent maintenir l'ordonnance de non-publication. Ce matin, le juge Gomery entendra les arguments de quatre avocats qui souhaitent la levée, partielle ou complète, de l'ordonnance. " L'ordonnance de non-publication a l'effet contraire, ça suscite l'intérêt de la population ", estime l'avocat représentant un consortium de médias, Mark Bantey.
Si l'ordonnance est levée, les médias pourront rapporter les propos qu'on a décrits comme explosifs de Jean Brault, dont la firme Groupaction a reçu près de 75 millions en contrats de commandite du gouvernement fédéral. Le commissaire Gomery pourrait toutefois décider de maintenir l'interdiction jusqu'à la fin du procès commun de MM. Brault et Guité, reporté hier au 6 juin. Le témoignage, dans ce cas, ne serait pas connu avant la mi-juillet.
Demande du Bloc rejetée
Hier, les avocats du PLC, de Charles Guité, de la firme Polygone et du gouvernement du Canada se sont succédé pour contre-interroger Jean Brault.
En début de matinée, le commissaire Gomery avait rejeté une demande du Bloc québécois d'accéder au statut de partie, ce qui lui aurait permis de poser des questions au témoin. Le Bloc demandait en outre un rajustement du financement qui lui est accordé pour lui permettre de profiter des services d'un avocat à plein temps.
Le juge Gomery a refusé la première requête, estimant que la réputation du Bloc n'était pas en jeu. Il a cependant accepté d'accorder les fonds pour l'utilisation d'un avocat à plein temps.
À RETENIR
Sixième et dernier jour du témoignage de Jean Brault, fondateur et président de la firme Groupaction qui a reçu 75 millions sur 250 en contrats de commandites.
Le témoignage est frappé d'une ordonnance de non-publication qui empêche les médias de rapporter les propos. Le juge Gomery a entendu hier les représentations des avocats opposés à sa levée, soit les représentants de MM Guité et Brault. Il entendra ce matin les avocats favorables à une levée partielle ou complète de l'interdiction, dont bien sûr l'avocat des médias, Mark Bantey.
La décision est attendue aujourd'hui. Si l'ordonnance est levée, La Presse publiera tous les détails du témoignage de Jean Brault dans son édition du vendredi
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