Course au leadership au PQ, vote #4
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nic30 a écrit
si jai bien compris ce que Raven à expliqué c'est pas important puisque ton 1er choix ne risque pas d'être éliminé
C'est ça, tant et aussi longtemps que ton premier choix sera dans la course, tes autres choix ne serviront à rien. Et si la tendance ce maintien, Boisclair est pas mal certain de se rendre en finale
si jai bien compris ce que Raven à expliqué c'est pas important puisque ton 1er choix ne risque pas d'être éliminé
C'est ça, tant et aussi longtemps que ton premier choix sera dans la course, tes autres choix ne serviront à rien. Et si la tendance ce maintien, Boisclair est pas mal certain de se rendre en finale
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tuberale a écritLe PQ teste son système de vote téléphonique
Mise à jour le samedi 1 octobre 2005 à 20 h 02
.
Le Parti québécois a procédé à un test de son système de vote téléphonique qui servira à élire le nouveau chef du PQ, en novembre. Le choix d'un tel mode de scrutin a soulevé des inquiétudes chez certaines personnes, qui ont mis en doute sa fiabilité et souligné les risques de fraude.
Afin de les rassurer, le PQ a testé son système auprès de 1000 participants qui ont ainsi voté par téléphone pour des couleurs représentant des candidats. « C'est un système qui ne permet pas d'identifier l'électeur », assure Jean-Claude Saint-André, candidat à la direction du PQ.
Mais avant de pouvoir voter, l'électeur doit au préalable s'identifier à l'aide d'un code d'accès personnel et confidentiel qui lui a été envoyé par la poste sous pli séparé. Une fois que ce numéro d'identification personnelle est validé, il est retranché de la liste des numéros restants.
Au moment de voter, les électeurs doivent indiquer les quatre candidats à la direction qu'ils préfèrent. Les candidats qui reçoivent moins de 15 % des voix sont éliminés. Si aucun candidat n'obtient 50 % plus 1 vote, on tient compte du deuxième choix.
Ce vote préférentiel permet aux électeurs d'exprimer des nuances dans leur choix, croit André Blais, chercheur en études électorales. Neuf candidats se présentent à la direction du PQ.
Le Bloc québécois avait utilisé un mode de scrutin similaire au moment de la course à sa direction, en 1997. Il avait fallu compter les votes que Gilles Duceppe avait reçus en tant que deuxième choix pour lui permettre d'obtenir la majorité et d'être élu chef du BQ.
S.v.p. À titre d'information personnelle, il y en aurait-il parmi vous qui seraient membre du P.Q.? Si oui, avez-vous déjà reçu le soi-disant code d'accès personnel?
Merci
Mise à jour le samedi 1 octobre 2005 à 20 h 02
.
Le Parti québécois a procédé à un test de son système de vote téléphonique qui servira à élire le nouveau chef du PQ, en novembre. Le choix d'un tel mode de scrutin a soulevé des inquiétudes chez certaines personnes, qui ont mis en doute sa fiabilité et souligné les risques de fraude.
Afin de les rassurer, le PQ a testé son système auprès de 1000 participants qui ont ainsi voté par téléphone pour des couleurs représentant des candidats. « C'est un système qui ne permet pas d'identifier l'électeur », assure Jean-Claude Saint-André, candidat à la direction du PQ.
Mais avant de pouvoir voter, l'électeur doit au préalable s'identifier à l'aide d'un code d'accès personnel et confidentiel qui lui a été envoyé par la poste sous pli séparé. Une fois que ce numéro d'identification personnelle est validé, il est retranché de la liste des numéros restants.
Au moment de voter, les électeurs doivent indiquer les quatre candidats à la direction qu'ils préfèrent. Les candidats qui reçoivent moins de 15 % des voix sont éliminés. Si aucun candidat n'obtient 50 % plus 1 vote, on tient compte du deuxième choix.
Ce vote préférentiel permet aux électeurs d'exprimer des nuances dans leur choix, croit André Blais, chercheur en études électorales. Neuf candidats se présentent à la direction du PQ.
Le Bloc québécois avait utilisé un mode de scrutin similaire au moment de la course à sa direction, en 1997. Il avait fallu compter les votes que Gilles Duceppe avait reçus en tant que deuxième choix pour lui permettre d'obtenir la majorité et d'être élu chef du BQ.
S.v.p. À titre d'information personnelle, il y en aurait-il parmi vous qui seraient membre du P.Q.? Si oui, avez-vous déjà reçu le soi-disant code d'accès personnel?
Merci
sophie20 a écrit
S.v.p. À titre d'information personnelle, il y en aurait-il parmi vous qui seraient membre du P.Q.? Si oui, avez-vous déjà reçu le soi-disant code d'accès personnel?
Merci
Non pas encore et c'est normal Pour le vote pratique j'ai recu le code une semaine avant seulement On va surement le recevoir fin octobre, début novembre
S.v.p. À titre d'information personnelle, il y en aurait-il parmi vous qui seraient membre du P.Q.? Si oui, avez-vous déjà reçu le soi-disant code d'accès personnel?
Merci
Non pas encore et c'est normal Pour le vote pratique j'ai recu le code une semaine avant seulement On va surement le recevoir fin octobre, début novembre
COURSE À LA DIRECTION DU PQ
Les jeunes péquistes préfèrent Legendre
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Richard Legendre obtient deux fois plus d'appuis qu'André Boisclair auprès des représentants du comité national des jeunes du Parti québécois.
Au cours d'une réunion houleuse qui s'est tenue samedi, 16 des 17 jeunes présidents régionaux et les neuf membres de l'exécutif du comité ont remis en question la neutralité dans laquelle s'enferme leur organisation depuis le début de la course au leadership.
Aussi
Notre dossier sur la course à la direction du PQ
Après un débat animé, ils ont adopté une règle selon laquelle le comité ne prendrait position que si l'un des candidats obtient l'appui des deux tiers des représentants.
Tour à tour, les 25 représentants ont révélé l'identité de leur favori dans une atmosphère « très tendue », racontent des témoins. Les camps d'André Boisclair et de Richard Legendre avaient multiplié les tractations dans les coulisses avant la rencontre.
Selon ce qu'a appris La Presse de plusieurs sources, dix représentants se sont prononcés en faveur de Richard Legendre, un résultat cependant insuffisant pour que le comité l'appuie publiquement.
Ils ont été deux fois moins nombreux- quatre représentants- à se ranger derrière le meneur de la course selon les sondages, André Boisclair.
Pauline Marois et Louis Bernard n'ont reçu aucun appui. Trois représentants ont préféré le rédacteur en chef de L'Aut'Journal, Pierre Dubuc. L'ancien chef du Parti vert, Jean Ouimet, et l'ex-député bloquiste Ghislain Lebel ont récolté chacun un vote. Six représentants se sont abstenus de se prononcer.
À la fin du tour de table, les partisans d'André Boisclair fulminaient. Cinq d'entre eux, qui assistaient à la réunion à titre d'observateurs, ont claqué la porte.
Les quatre représentants pro-Boisclair ont même contesté le leadership du président du comité, Claude Villeneuve, partisan de Richard Legendre. Ce dernier a cependant survécu à un vote de confiance qui s'est tenu à huis clos.
Comme aucun candidat n'a obtenu le vote d'au moins 17 membres, le comité demeurera neutre, même si Richard Legendre jouit du plus grand nombre d'appuis. Les représentants pourraient toutefois se réunir à nouveau en octobre et tenir un deuxième vote afin que le comité fasse campagne pour l'un ou l'autre des neuf candidats.
Joint par La Presse hier, le président du comité, Claude Villeneuve, estime que le vote de samedi « envoie un message clair ». « Ce n'est pas vrai que les jeunes sont d'emblée pour un candidat », a-t-il souligné. Prudent, il a refusé de confirmer que Richard Legendre est son candidat favori. Il s'est fait peu loquace sur le déroulement de la réunion.
La représentante du comité des jeunes de la région de Laval, Joëlle Querin, qui appuie Richard Legendre, qualifie de « significatif » le résultat du vote. « On a souvent dit qu'André Boisclair parle au nom des jeunes. Les résultats prouvent qu'il ne peut pas se permettre de dire qu'il a l'appui de la jeunesse. Il ne peut plus répandre ce mensonge », a-t-elle lancé.
Furieux, le représentant du comité des jeunes de Montréal-Ville-Marie, Maxime Paquin-Charbonneau, partisan d'André Boisclair, croit à l'inverse que « ces résultats ne veulent rien dire ». Des représentants ont voté en faveur d'un candidat, dont Richard Legendre, en faisant fi de l'opinion des péquistes de leur région qui appuient majoritairement M. Boisclair, a-t-il expliqué.
Craignant toutefois l'impact des récents événements sur la candidature de son favori, le camp d'André Boisclair a multiplié les appels au cours des deux derniers jours pour organiser une démontration de force. Aujourd'hui, six jeunes présidents régionaux et deux membres de l'exécutif du comité annonceront, à titre personnel, leur appui à M. Boisclair. Quatre représentants qui avaient préféré s'abstenir samedi sortiront donc de leur neutralité.
Les jeunes péquistes préfèrent Legendre
Tommy Chouinard
La Presse
Québec
Richard Legendre obtient deux fois plus d'appuis qu'André Boisclair auprès des représentants du comité national des jeunes du Parti québécois.
Au cours d'une réunion houleuse qui s'est tenue samedi, 16 des 17 jeunes présidents régionaux et les neuf membres de l'exécutif du comité ont remis en question la neutralité dans laquelle s'enferme leur organisation depuis le début de la course au leadership.
Aussi
Notre dossier sur la course à la direction du PQ
Après un débat animé, ils ont adopté une règle selon laquelle le comité ne prendrait position que si l'un des candidats obtient l'appui des deux tiers des représentants.
Tour à tour, les 25 représentants ont révélé l'identité de leur favori dans une atmosphère « très tendue », racontent des témoins. Les camps d'André Boisclair et de Richard Legendre avaient multiplié les tractations dans les coulisses avant la rencontre.
Selon ce qu'a appris La Presse de plusieurs sources, dix représentants se sont prononcés en faveur de Richard Legendre, un résultat cependant insuffisant pour que le comité l'appuie publiquement.
Ils ont été deux fois moins nombreux- quatre représentants- à se ranger derrière le meneur de la course selon les sondages, André Boisclair.
Pauline Marois et Louis Bernard n'ont reçu aucun appui. Trois représentants ont préféré le rédacteur en chef de L'Aut'Journal, Pierre Dubuc. L'ancien chef du Parti vert, Jean Ouimet, et l'ex-député bloquiste Ghislain Lebel ont récolté chacun un vote. Six représentants se sont abstenus de se prononcer.
À la fin du tour de table, les partisans d'André Boisclair fulminaient. Cinq d'entre eux, qui assistaient à la réunion à titre d'observateurs, ont claqué la porte.
Les quatre représentants pro-Boisclair ont même contesté le leadership du président du comité, Claude Villeneuve, partisan de Richard Legendre. Ce dernier a cependant survécu à un vote de confiance qui s'est tenu à huis clos.
Comme aucun candidat n'a obtenu le vote d'au moins 17 membres, le comité demeurera neutre, même si Richard Legendre jouit du plus grand nombre d'appuis. Les représentants pourraient toutefois se réunir à nouveau en octobre et tenir un deuxième vote afin que le comité fasse campagne pour l'un ou l'autre des neuf candidats.
Joint par La Presse hier, le président du comité, Claude Villeneuve, estime que le vote de samedi « envoie un message clair ». « Ce n'est pas vrai que les jeunes sont d'emblée pour un candidat », a-t-il souligné. Prudent, il a refusé de confirmer que Richard Legendre est son candidat favori. Il s'est fait peu loquace sur le déroulement de la réunion.
La représentante du comité des jeunes de la région de Laval, Joëlle Querin, qui appuie Richard Legendre, qualifie de « significatif » le résultat du vote. « On a souvent dit qu'André Boisclair parle au nom des jeunes. Les résultats prouvent qu'il ne peut pas se permettre de dire qu'il a l'appui de la jeunesse. Il ne peut plus répandre ce mensonge », a-t-elle lancé.
Furieux, le représentant du comité des jeunes de Montréal-Ville-Marie, Maxime Paquin-Charbonneau, partisan d'André Boisclair, croit à l'inverse que « ces résultats ne veulent rien dire ». Des représentants ont voté en faveur d'un candidat, dont Richard Legendre, en faisant fi de l'opinion des péquistes de leur région qui appuient majoritairement M. Boisclair, a-t-il expliqué.
Craignant toutefois l'impact des récents événements sur la candidature de son favori, le camp d'André Boisclair a multiplié les appels au cours des deux derniers jours pour organiser une démontration de force. Aujourd'hui, six jeunes présidents régionaux et deux membres de l'exécutif du comité annonceront, à titre personnel, leur appui à M. Boisclair. Quatre représentants qui avaient préféré s'abstenir samedi sortiront donc de leur neutralité.
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tipet a écritÇa y est mon choix est fait
J'ai parlé à pleins de monde, j'ai lu, j'ai écouté et tout et maintenant, je suis décidé. Même les futurs débats ne me feront pas changer d'idée
Je suis contente, fallait que je vous en parle.
Cela dit, le fait que les débats ne t'influencent pas me tique un peu, si ton candidat (ou ta candidate) sort la pire connerie, tu voteras quand même pour lui (ou elle) ???
J'ai parlé à pleins de monde, j'ai lu, j'ai écouté et tout et maintenant, je suis décidé. Même les futurs débats ne me feront pas changer d'idée
Je suis contente, fallait que je vous en parle.
Cela dit, le fait que les débats ne t'influencent pas me tique un peu, si ton candidat (ou ta candidate) sort la pire connerie, tu voteras quand même pour lui (ou elle) ???
raphaellec a écrit
Cela dit, le fait que les débats ne t'influencent pas me tique un peu, si ton candidat (ou ta candidate) sort la pire connerie, tu voteras quand même pour lui (ou elle) ???
Ben là! C'est sûr que s'il sort qu'il laisse tomber la souveraineté, m'a changer de candidat assez rapidement
Mais pour le reste, comme le programme est décidé et adopté par le parti, je ne cours pas grand risque ;)
Je suis contente de m'être décidée, je commençais à me demander si j'allais finir par me brancher un jour
Cela dit, le fait que les débats ne t'influencent pas me tique un peu, si ton candidat (ou ta candidate) sort la pire connerie, tu voteras quand même pour lui (ou elle) ???
Ben là! C'est sûr que s'il sort qu'il laisse tomber la souveraineté, m'a changer de candidat assez rapidement
Mais pour le reste, comme le programme est décidé et adopté par le parti, je ne cours pas grand risque ;)
Je suis contente de m'être décidée, je commençais à me demander si j'allais finir par me brancher un jour
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raphaellec a écritC'est vrai que c'est difficile pareil, on parle de choisir celui qui tentera de nous amener à la souveraineté et c'est probablement notre dernière chance...
Dans le fond, je commencais à me demander si j'avais finalement bien fait de prendre ma carte du parti :/:. Crime j'vais plein de deuxième choix mais pas un premier. J'en étais même rendu à me demander si je devais vraiment voter...
J'ai eu la chance de rencontrer des gens proches de deux candidats et la réponse m'est comme apparu comme une illumination Mais là, moi et mon chum on s'obstine depuis
Dans le fond, je commencais à me demander si j'avais finalement bien fait de prendre ma carte du parti :/:. Crime j'vais plein de deuxième choix mais pas un premier. J'en étais même rendu à me demander si je devais vraiment voter...
J'ai eu la chance de rencontrer des gens proches de deux candidats et la réponse m'est comme apparu comme une illumination Mais là, moi et mon chum on s'obstine depuis
Fabine a écrit
C'est qui? C'est qui?
D'habitude j'ai pas de scrupule à faire connaître mes opinions politiques, mais là, je sais pas....Mettons que mon choix est vraiment un feeling, j'ai pas vraiment d'argument raisonnable et terre-à-terre qui pourraient appuyer mon candidat. Et j'ai pas vraiment envie de me justifier
Anyway vous allez finir par le savoir après la course. Si j't'en maudit ou pas
C'est qui? C'est qui?
D'habitude j'ai pas de scrupule à faire connaître mes opinions politiques, mais là, je sais pas....Mettons que mon choix est vraiment un feeling, j'ai pas vraiment d'argument raisonnable et terre-à-terre qui pourraient appuyer mon candidat. Et j'ai pas vraiment envie de me justifier
Anyway vous allez finir par le savoir après la course. Si j't'en maudit ou pas
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Ben moi je connais personnellement André Boisclair alors si tu veux que j't'en parle (Quoi, deux poignées de mains et quelques mots échangés, ça fait de nous des grands chums, non? Sans compter que j'étais la femme derrière lui durant tout "Tout le monde en parle" (derrière chaque grand homme se cache une grande femme!))
...si vous me cherchez...chu dehors....
...si vous me cherchez...chu dehors....
raphaellec a écritC'est vrai que c'est difficile pareil, on parle de choisir celui qui tentera de nous amener à la souveraineté et c'est probablement notre dernière chance...
C'est loin d'être notre dernière chance. Certains peuples ont mis 3000 ans avant de gagner leur indépendance. Nous au pire ça sautera une génération, et l'idée reviendra dans 50 ans. Tant que la souveraineté n'est pas faite, elle reste à faire
Au début du 19e siècle, on voulait déjà l'indépendance, dans la deuxième moitié du siècle, l'idée à perdu de sa popularité, car on avait peur des États-Uniens qui voulaient toujours plus de territoires, on a donc décidé de rester avec l'Angleterre et les Anglais pour mieux se défendre. Au tournant du 20e siècle, l'idée est revenue et a toujours progressé jusqu'au BOOM de 1960 avec le RIN. Je ne crois pas que ce soit notre dernière chance, si on ne réussit pas en 2008, dans 100 ans les Québécois essaieront encore, à moins d'être assimilés bien sûr
C'est loin d'être notre dernière chance. Certains peuples ont mis 3000 ans avant de gagner leur indépendance. Nous au pire ça sautera une génération, et l'idée reviendra dans 50 ans. Tant que la souveraineté n'est pas faite, elle reste à faire
Au début du 19e siècle, on voulait déjà l'indépendance, dans la deuxième moitié du siècle, l'idée à perdu de sa popularité, car on avait peur des États-Uniens qui voulaient toujours plus de territoires, on a donc décidé de rester avec l'Angleterre et les Anglais pour mieux se défendre. Au tournant du 20e siècle, l'idée est revenue et a toujours progressé jusqu'au BOOM de 1960 avec le RIN. Je ne crois pas que ce soit notre dernière chance, si on ne réussit pas en 2008, dans 100 ans les Québécois essaieront encore, à moins d'être assimilés bien sûr
Au Parti québécois, Paquette et Ouimet veulent parler de contenu
MONTREAL (PC) - Deux candidats à la direction du Parti québécois, Jean Ouimet et Gilbert Paquette, se disent déçus de l'accent mis sur l'image et les sondages dans la présente course et veulent "ramener cette course sur le contenu".
"On veut se regrouper, les candidats qui trouvent qu'ils n'ont pas assez de visibilité, pour être capables de percer un peu plus, pour être capables de rejoindre les membres du Parti québécois parce que c'est eux qui vont avoir à voter et ils doivent être capables d'écouter les différents candidats", a expliqué M. Ouimet, ancien chef du Parti vert.
Les deux candidats ont donc convoqué la presse mardi, à Montréal, pour parler de projet de constitution québécoise provisoire, de contrat social, de lutte contre la pauvreté, de partage de la richesse entre le Nord et le Sud, de véritable développement durable et de changement en profondeur du système politique pour favoriser une participation accrue des citoyens.
La course à la succession de Bernard Landry, déplore M. Paquette, est "polluée par des sondages peu représentatifs puisqu'ils ne sont pas faits auprès des membres du parti" mais du public en général. Or, ce seront les membres du PQ qui éliront leur prochain chef, du 13 au 15 novembre.
M. Paquette trouve aussi que les médias mettent trop l'accent sur ces sondages, sur l'appui de tel député à tel candidat et ne traitent pas assez du contenu, des idées. Or, pour renouveler véritablement le parti, il faut débattre d'idées, dit-il.
MM. Ouimet et Paquette déplorent aussi que la formule de sept tribunes thématiques entre les neuf candidats à la direction du PQ ne laisse pas assez de place aux véritables débats entre les candidats et aux interactions avec les membres du parti.
Jean Ouimet, par exemple, croit que "la clef du développement durable c'est le partage de la richesse", non pas seulement favoriser la croissance à tout prix pour créer de la richesse en accentuant le déséquilibre entre le Nord et le Sud. Il veut instaurer "une nouvelle culture politique dans le sens de la collégialité", qui assurerait plus de continuité dans les décisions gouvernementales au fil des ans et des mandats. Il veut aussi que ces changements politiques favorisent une participation accrue de la population aux décisions collectives.
Gilbert Paquette, quant à lui, veut que "d'ici à l'élection, on (le PQ) prépare un projet de constitution provisoire" et de contrat social, en consultation avec la société civile. Ce projet de constitution serait ensuite diffusé et expliqué à la population. "C'est ça le sens de l'élection: on demande un mandat pour préparer la souveraineté, qui sera confirmée par le peuple au moment du référendum." La question au référendum serait: "êtes-vous d'accord pour mettre en vigueur la constitution provisoire du Québec qui fera du Québec un pays souverain et indépendant?"
MONTREAL (PC) - Deux candidats à la direction du Parti québécois, Jean Ouimet et Gilbert Paquette, se disent déçus de l'accent mis sur l'image et les sondages dans la présente course et veulent "ramener cette course sur le contenu".
"On veut se regrouper, les candidats qui trouvent qu'ils n'ont pas assez de visibilité, pour être capables de percer un peu plus, pour être capables de rejoindre les membres du Parti québécois parce que c'est eux qui vont avoir à voter et ils doivent être capables d'écouter les différents candidats", a expliqué M. Ouimet, ancien chef du Parti vert.
Les deux candidats ont donc convoqué la presse mardi, à Montréal, pour parler de projet de constitution québécoise provisoire, de contrat social, de lutte contre la pauvreté, de partage de la richesse entre le Nord et le Sud, de véritable développement durable et de changement en profondeur du système politique pour favoriser une participation accrue des citoyens.
La course à la succession de Bernard Landry, déplore M. Paquette, est "polluée par des sondages peu représentatifs puisqu'ils ne sont pas faits auprès des membres du parti" mais du public en général. Or, ce seront les membres du PQ qui éliront leur prochain chef, du 13 au 15 novembre.
M. Paquette trouve aussi que les médias mettent trop l'accent sur ces sondages, sur l'appui de tel député à tel candidat et ne traitent pas assez du contenu, des idées. Or, pour renouveler véritablement le parti, il faut débattre d'idées, dit-il.
MM. Ouimet et Paquette déplorent aussi que la formule de sept tribunes thématiques entre les neuf candidats à la direction du PQ ne laisse pas assez de place aux véritables débats entre les candidats et aux interactions avec les membres du parti.
Jean Ouimet, par exemple, croit que "la clef du développement durable c'est le partage de la richesse", non pas seulement favoriser la croissance à tout prix pour créer de la richesse en accentuant le déséquilibre entre le Nord et le Sud. Il veut instaurer "une nouvelle culture politique dans le sens de la collégialité", qui assurerait plus de continuité dans les décisions gouvernementales au fil des ans et des mandats. Il veut aussi que ces changements politiques favorisent une participation accrue de la population aux décisions collectives.
Gilbert Paquette, quant à lui, veut que "d'ici à l'élection, on (le PQ) prépare un projet de constitution provisoire" et de contrat social, en consultation avec la société civile. Ce projet de constitution serait ensuite diffusé et expliqué à la population. "C'est ça le sens de l'élection: on demande un mandat pour préparer la souveraineté, qui sera confirmée par le peuple au moment du référendum." La question au référendum serait: "êtes-vous d'accord pour mettre en vigueur la constitution provisoire du Québec qui fera du Québec un pays souverain et indépendant?"
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- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
Raven a écrit
C'est loin d'être notre dernière chance. Certains peuples ont mis 3000 ans avant de gagner leur indépendance. Nous au pire ça sautera une génération, et l'idée reviendra dans 50 ans. Tant que la souveraineté n'est pas faite, elle reste à faire
À nous personnellement peut-être par contre...
Mais c'est vrai, j'ai parlé un peu vite
C'est loin d'être notre dernière chance. Certains peuples ont mis 3000 ans avant de gagner leur indépendance. Nous au pire ça sautera une génération, et l'idée reviendra dans 50 ans. Tant que la souveraineté n'est pas faite, elle reste à faire
À nous personnellement peut-être par contre...
Mais c'est vrai, j'ai parlé un peu vite
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- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
tipet a écrit
D'habitude j'ai pas de scrupule à faire connaître mes opinions politiques, mais là, je sais pas....Mettons que mon choix est vraiment un feeling, j'ai pas vraiment d'argument raisonnable et terre-à-terre qui pourraient appuyer mon candidat. Et j'ai pas vraiment envie de me justifier
Anyway vous allez finir par le savoir après la course. Si j't'en maudit ou pas
Je crois qu'à ce moment de la course, pas mal tous les membres du PQ ont fait un choix et que peu changeront d'avis (à moins d'une gaffe monumentale de leur choix no.1). Alors, t'en fais pas, je ne crois pas que c'est nécessaire de justifier ton choix et d'argumenter Perso, je suis contente que tu sois maintenant membre du PQ, peu importe ton choix
D'habitude j'ai pas de scrupule à faire connaître mes opinions politiques, mais là, je sais pas....Mettons que mon choix est vraiment un feeling, j'ai pas vraiment d'argument raisonnable et terre-à-terre qui pourraient appuyer mon candidat. Et j'ai pas vraiment envie de me justifier
Anyway vous allez finir par le savoir après la course. Si j't'en maudit ou pas
Je crois qu'à ce moment de la course, pas mal tous les membres du PQ ont fait un choix et que peu changeront d'avis (à moins d'une gaffe monumentale de leur choix no.1). Alors, t'en fais pas, je ne crois pas que c'est nécessaire de justifier ton choix et d'argumenter Perso, je suis contente que tu sois maintenant membre du PQ, peu importe ton choix
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