VOTE FINAL à la course au leadership au PQ
Oliver a écritÀ 17 h 30, le Parti québécois a fait savoir que plus 29 % des membres, soit 40 618 personnes, s'étaient déjà prononcés
source: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... ebut.shtml
Au PQ on gnaise pas avec la puck
source: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Po ... ebut.shtml
Au PQ on gnaise pas avec la puck
Oliver a écrit
ben oui... c'Est sur que de se faire harceler comme il l'a été ça fait de la belle pub
Parlez-en en bien, parlez-en en mal, mais parlez-en. Toute cette histoire plate de dope a eu l'avantage pour Boisclair de se faire connaître, de se faire inviter à Tout le monde en parle, etc. Tandis que les autres candidats... Lebel? Qui c'est ça Lebel? tu vois le genre?
Et comme je l'ai déjà dit ici je ne sais plus où, même avant l'histoire de dope, tous les médias n'avaient que son nom à la bouche comme étant le favori, etc. Je me rappelle précisément m'être "plaint" de ça avec des amis, du fait que l'on parlait tellement seulement de Boisclair que l'on ne connaissait pas les autres.
ben oui... c'Est sur que de se faire harceler comme il l'a été ça fait de la belle pub
Parlez-en en bien, parlez-en en mal, mais parlez-en. Toute cette histoire plate de dope a eu l'avantage pour Boisclair de se faire connaître, de se faire inviter à Tout le monde en parle, etc. Tandis que les autres candidats... Lebel? Qui c'est ça Lebel? tu vois le genre?
Et comme je l'ai déjà dit ici je ne sais plus où, même avant l'histoire de dope, tous les médias n'avaient que son nom à la bouche comme étant le favori, etc. Je me rappelle précisément m'être "plaint" de ça avec des amis, du fait que l'on parlait tellement seulement de Boisclair que l'on ne connaissait pas les autres.
Des péquistes pressés de voter
Marie-Pierre Paquin-Boutin
Édition du lundi 14 novembre 2005
Après une première journée de vote sans problème, plus de 36 % des membres du PQ ont fait leur choix hier, soit 51 025. Ils étaient manifestement impatients d'élire leur prochain chef puisque, déjà en mi-journée, 25 % des 150 000 membres en règle avaient exprimé leurs préférences.
«Nous nous attendions à une forte participation en ce dimanche, et nous savions qu'il y avait un engouement après cinq mois de campagne, mais nous sommes tout de même un peu surpris. Dès l'ouverture hier matin, des gens attendaient pour voter», a déclaré la présidente d'élection, Lyne Marcoux. C'est la première fois en quinze ans que les membres du PQ sont appelés à élire leur chef, le dernier en lice étant Pierre Marc Johnson élu en 1985.
Malgré cette affluence et le mode non traditionnel de ce scrutin par téléphone, les organisateurs ne craignaient pas les ratés technologiques. «L'opération se déroule très bien et on est très satisfaits. Jusqu'à présent, on ne signale aucun accroc pour voter, seulement un délai pour les gens qui ont des questions de précisions», a précisé Mme Marcoux.
Depuis 8h hier matin et jusqu'à 17h demain soir, les membres du PQ peuvent voter en utilisant l'une des 1000 lignes téléphoniques mises à leur disposition. Les électeurs doivent indiquer, par ordre de préférence, leurs choix parmi les huit candidats. Si aucun d'eux n'obtient 50 % +1 des suffrages au premier tour, un second décompte est prévu en répartissant les voix des candidats ayant obtenu moins de 15 % des votes. Le nom du vainqueur sera connu demain soir lors d'un rassemblement au Centre de foires de Québec.
Les deux principaux candidats à la direction, Pauline Marois et André Boisclair, ont profité de cette fin de campagne pour effectuer une tournée éclair dans plusieurs régions du Québec.
Après un saut en Outaouais et dans les Laurentides samedi, André Boisclair était de passage hier en Mauricie et en Estrie. Aujourd'hui, l'aspirant chef ira courtiser les militants de Québec et du Bas-Saint-Laurent. «L'opération "sortie de vote" bat son plein», a confié hier au Devoir M. Boisclair en route vers Granby pour un autre bain de foule. «L'accueil et le travail des bénévoles sur le terrain est fantastique, tout le monde est à pied d'oeuvre et a les yeux rivés sur le 15 novembre», a-t-il dit.
Interrogé sur ses chances de remporter le scrutin demain soir, M. Boisclair tempère son enthousiasme et soutient que «même si les choses se déroulent bien, on est loin du compte». «Pour le moment, je me concentre sur le vote, et mon premier objectif est que le parti sorte plus uni que jamais de cette course», ajoute-t-il. Le quotidien La Presse rapportait hier que l'organisation d'André Boisclair, confiante de remporter la victoire, avait déjà commencé à planifier les lendemains de l'élection au PQ. Selon cette source, le directeur du bureau de relations publiques montréalais National, Daniel Audet, a quitté ses fonctions afin de se rendre «plus disponible» pour l'équipe de M. Boisclair.
M. Audet a été chef de cabinet de Bernard Landry quand le PQ a pris le pouvoir avec Jacques Parizeau en 1994. Il a aussi été délégué général du Québec à Londres sous l'administration de Lucien Bouchard. Depuis juin dernier, Daniel Audet était déjà parmi les principaux conseillers d'André Boisclair, dans la course à la direction.
Pauline Marois a pour sa part rencontré des militants en Estrie. Samedi soir, elle a lancé devant quelque 700 militants réunis au Spectrum de Montréal un appel aux partisans de l'ancien chef du PQ, Bernard Landry, leur assurant qu'il aurait toujours un rôle à jouer dans la marche vers la souveraineté. «On a besoin de lui, il répondra présent», a-t-elle déclaré. Mme Marois a obtenu de nouveaux appuis, samedi, dont ceux de l'ancien ministre des gouvernements Parizeau et Bouchard, Jacques Baril, et de la députée bloquiste de Compton-Stanstead, France Bonsant. Elle a de plus reçu l'appui d'une trentaine de responsables locaux et régionaux du PQ.
M. Boisclair n'est pas en reste, puisque quelque 30 députés péquistes ou bloquistes lui ont réitéré leur appui en vantant son expérience et ses idées, en soutenant qu'il est animé par le sentiment d'urgence au sujet de la souveraineté et qu'il est parvenu à redonner le goût de la politique à des milliers de Québécois.
Les aspirants chefs ont par ailleurs tous deux affirmé qu'ils accepteraient le choix des membres du parti et qu'ils se rallieraient au chef élu.
Trop de candidats
En marge de la tenue de ce scrutin, Bernard Landry a déclaré que la campagne à sa succession avait peut-être été un peu trop longue, ce qui a donné lieu à certains «petits» dérapages «qui ont été dénoncés avec raison par [sa] successeure Louise Harel».
«Les affrontements politiques ne sont pas toujours esthétiques, ne sont pas toujours élégants. L'important est que la démocratie joue et que la meilleure personne prenne ma succession», a dit l'ancien premier ministre en entrevue à NTR.
Il a de plus regretté le nombre de candidats qui se sont lancés dans la course. «C'était leur droit [...] mais plus il y a de candidats, moins il y a de temps de parole pour les candidats principaux.»
Celui qui est demeuré à l'écart de la campagne refuse toujours de dévoiler son choix. «Je ne veux pas abuser de mon influence d'ancien chef, et j'ai des amis fidèles et partisans dans à peu près tous les camps. De plus, je ne veux pas introduire un élément de discorde», a expliqué M. Landry qui n'écarte pas la possibilité de jouer un rôle politique au cours des prochaines années. «Je serai disponible pour l'avenir du Québec. L'indépendance nationale du Québec est le combat de ma vie. Ce n'est pas parce que je ne suis plus chef du Parti québécois que je vais arrêter de le mener où le besoin se fera sentir.»
Avec la Presse canadienne
Marie-Pierre Paquin-Boutin
Édition du lundi 14 novembre 2005
Après une première journée de vote sans problème, plus de 36 % des membres du PQ ont fait leur choix hier, soit 51 025. Ils étaient manifestement impatients d'élire leur prochain chef puisque, déjà en mi-journée, 25 % des 150 000 membres en règle avaient exprimé leurs préférences.
«Nous nous attendions à une forte participation en ce dimanche, et nous savions qu'il y avait un engouement après cinq mois de campagne, mais nous sommes tout de même un peu surpris. Dès l'ouverture hier matin, des gens attendaient pour voter», a déclaré la présidente d'élection, Lyne Marcoux. C'est la première fois en quinze ans que les membres du PQ sont appelés à élire leur chef, le dernier en lice étant Pierre Marc Johnson élu en 1985.
Malgré cette affluence et le mode non traditionnel de ce scrutin par téléphone, les organisateurs ne craignaient pas les ratés technologiques. «L'opération se déroule très bien et on est très satisfaits. Jusqu'à présent, on ne signale aucun accroc pour voter, seulement un délai pour les gens qui ont des questions de précisions», a précisé Mme Marcoux.
Depuis 8h hier matin et jusqu'à 17h demain soir, les membres du PQ peuvent voter en utilisant l'une des 1000 lignes téléphoniques mises à leur disposition. Les électeurs doivent indiquer, par ordre de préférence, leurs choix parmi les huit candidats. Si aucun d'eux n'obtient 50 % +1 des suffrages au premier tour, un second décompte est prévu en répartissant les voix des candidats ayant obtenu moins de 15 % des votes. Le nom du vainqueur sera connu demain soir lors d'un rassemblement au Centre de foires de Québec.
Les deux principaux candidats à la direction, Pauline Marois et André Boisclair, ont profité de cette fin de campagne pour effectuer une tournée éclair dans plusieurs régions du Québec.
Après un saut en Outaouais et dans les Laurentides samedi, André Boisclair était de passage hier en Mauricie et en Estrie. Aujourd'hui, l'aspirant chef ira courtiser les militants de Québec et du Bas-Saint-Laurent. «L'opération "sortie de vote" bat son plein», a confié hier au Devoir M. Boisclair en route vers Granby pour un autre bain de foule. «L'accueil et le travail des bénévoles sur le terrain est fantastique, tout le monde est à pied d'oeuvre et a les yeux rivés sur le 15 novembre», a-t-il dit.
Interrogé sur ses chances de remporter le scrutin demain soir, M. Boisclair tempère son enthousiasme et soutient que «même si les choses se déroulent bien, on est loin du compte». «Pour le moment, je me concentre sur le vote, et mon premier objectif est que le parti sorte plus uni que jamais de cette course», ajoute-t-il. Le quotidien La Presse rapportait hier que l'organisation d'André Boisclair, confiante de remporter la victoire, avait déjà commencé à planifier les lendemains de l'élection au PQ. Selon cette source, le directeur du bureau de relations publiques montréalais National, Daniel Audet, a quitté ses fonctions afin de se rendre «plus disponible» pour l'équipe de M. Boisclair.
M. Audet a été chef de cabinet de Bernard Landry quand le PQ a pris le pouvoir avec Jacques Parizeau en 1994. Il a aussi été délégué général du Québec à Londres sous l'administration de Lucien Bouchard. Depuis juin dernier, Daniel Audet était déjà parmi les principaux conseillers d'André Boisclair, dans la course à la direction.
Pauline Marois a pour sa part rencontré des militants en Estrie. Samedi soir, elle a lancé devant quelque 700 militants réunis au Spectrum de Montréal un appel aux partisans de l'ancien chef du PQ, Bernard Landry, leur assurant qu'il aurait toujours un rôle à jouer dans la marche vers la souveraineté. «On a besoin de lui, il répondra présent», a-t-elle déclaré. Mme Marois a obtenu de nouveaux appuis, samedi, dont ceux de l'ancien ministre des gouvernements Parizeau et Bouchard, Jacques Baril, et de la députée bloquiste de Compton-Stanstead, France Bonsant. Elle a de plus reçu l'appui d'une trentaine de responsables locaux et régionaux du PQ.
M. Boisclair n'est pas en reste, puisque quelque 30 députés péquistes ou bloquistes lui ont réitéré leur appui en vantant son expérience et ses idées, en soutenant qu'il est animé par le sentiment d'urgence au sujet de la souveraineté et qu'il est parvenu à redonner le goût de la politique à des milliers de Québécois.
Les aspirants chefs ont par ailleurs tous deux affirmé qu'ils accepteraient le choix des membres du parti et qu'ils se rallieraient au chef élu.
Trop de candidats
En marge de la tenue de ce scrutin, Bernard Landry a déclaré que la campagne à sa succession avait peut-être été un peu trop longue, ce qui a donné lieu à certains «petits» dérapages «qui ont été dénoncés avec raison par [sa] successeure Louise Harel».
«Les affrontements politiques ne sont pas toujours esthétiques, ne sont pas toujours élégants. L'important est que la démocratie joue et que la meilleure personne prenne ma succession», a dit l'ancien premier ministre en entrevue à NTR.
Il a de plus regretté le nombre de candidats qui se sont lancés dans la course. «C'était leur droit [...] mais plus il y a de candidats, moins il y a de temps de parole pour les candidats principaux.»
Celui qui est demeuré à l'écart de la campagne refuse toujours de dévoiler son choix. «Je ne veux pas abuser de mon influence d'ancien chef, et j'ai des amis fidèles et partisans dans à peu près tous les camps. De plus, je ne veux pas introduire un élément de discorde», a expliqué M. Landry qui n'écarte pas la possibilité de jouer un rôle politique au cours des prochaines années. «Je serai disponible pour l'avenir du Québec. L'indépendance nationale du Québec est le combat de ma vie. Ce n'est pas parce que je ne suis plus chef du Parti québécois que je vais arrêter de le mener où le besoin se fera sentir.»
Avec la Presse canadienne
Éolianne a écrit
Parlez-en en bien, parlez-en en mal, mais parlez-en. Toute cette histoire plate de dope a eu l'avantage pour Boisclair de se faire connaître, de se faire inviter à Tout le monde en parle, etc. Tandis que les autres candidats... Lebel? Qui c'est ça Lebel? tu vois le genre?
Et comme je l'ai déjà dit ici je ne sais plus où, même avant l'histoire de dope, tous les médias n'avaient que son nom à la bouche comme étant le favori, etc. Je me rappelle précisément m'être "plaint" de ça avec des amis, du fait que l'on parlait tellement seulement de Boisclair que l'on ne connaissait pas les autres.
Ceux qui suivent la politique connaissent bien Lebel, il a longtemps été député au Bloc Pour les autres candidats, il suffit de s'abonner ;a leur liste d'envoie pour connaître leurs idées, et de suivre les débats et le déroulement. Il ne faut pas toujours se fier sur les médias pour avoir tout cuit dans le bec
Parlez-en en bien, parlez-en en mal, mais parlez-en. Toute cette histoire plate de dope a eu l'avantage pour Boisclair de se faire connaître, de se faire inviter à Tout le monde en parle, etc. Tandis que les autres candidats... Lebel? Qui c'est ça Lebel? tu vois le genre?
Et comme je l'ai déjà dit ici je ne sais plus où, même avant l'histoire de dope, tous les médias n'avaient que son nom à la bouche comme étant le favori, etc. Je me rappelle précisément m'être "plaint" de ça avec des amis, du fait que l'on parlait tellement seulement de Boisclair que l'on ne connaissait pas les autres.
Ceux qui suivent la politique connaissent bien Lebel, il a longtemps été député au Bloc Pour les autres candidats, il suffit de s'abonner ;a leur liste d'envoie pour connaître leurs idées, et de suivre les débats et le déroulement. Il ne faut pas toujours se fier sur les médias pour avoir tout cuit dans le bec
Lebel était député dans mon comté et très aimé. Il avait son franc parler et personne n'aurait pu lui faire approuver quelque chose quand il n'était pas d'accord.
C'est lui qui a blâmé Landry pour les terres qu'il a données au autochtones et Lebel n'avait pas mâché ses mots. Duceppe l'avait sommé de s'excuser et il avait refusé et il a siégé comme indépendant. J'étais d'accord avec lui.
Quand vint les élections, beaucoup de gens ont été le trouver, d'autres lui ont téléphoné pour dire qu'ils approuvaient sa réaction mais qu'ils étaient comme obligés de voter pour le représentant du Bloc. Alors il s'est retiré.
Je lui ai écris pour dire combien je regrettais son départ mais il est vrai qu'il n'aurait pas été élu car mon comté est un château fort pour le PQ et le Bloc.
Il m'a téléphoné (j'ai fort apprécié) et nous avons jasé plus de 1 hre 30 je pense. Fort sympa cet homme et tellement séparatiste!
Je sais que bien des personnes (à cause de celui qui l'a remplacé et du fait que Duceppe avait exigé des excuses), ont tout simplement annulé leur vote et ce, pour la 1ère fois depuis que le Bloc existe. Pourtant ce sont des séparatistes convaincus.
Oui Lebel est un homme comme il y en a peu au gouvernement.
C'est lui qui a blâmé Landry pour les terres qu'il a données au autochtones et Lebel n'avait pas mâché ses mots. Duceppe l'avait sommé de s'excuser et il avait refusé et il a siégé comme indépendant. J'étais d'accord avec lui.
Quand vint les élections, beaucoup de gens ont été le trouver, d'autres lui ont téléphoné pour dire qu'ils approuvaient sa réaction mais qu'ils étaient comme obligés de voter pour le représentant du Bloc. Alors il s'est retiré.
Je lui ai écris pour dire combien je regrettais son départ mais il est vrai qu'il n'aurait pas été élu car mon comté est un château fort pour le PQ et le Bloc.
Il m'a téléphoné (j'ai fort apprécié) et nous avons jasé plus de 1 hre 30 je pense. Fort sympa cet homme et tellement séparatiste!
Je sais que bien des personnes (à cause de celui qui l'a remplacé et du fait que Duceppe avait exigé des excuses), ont tout simplement annulé leur vote et ce, pour la 1ère fois depuis que le Bloc existe. Pourtant ce sont des séparatistes convaincus.
Oui Lebel est un homme comme il y en a peu au gouvernement.
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
Course à la direction du PQ
Le vote va bon train
Le vote téléphonique à l'issue duquel sera déterminé le successeur de Bernard Landry à la tête du Parti québécois a commencé dimanche matin à 8 h, et prendra fin mardi à 17 h.
À 15 h 30 lundi, 71 478 membres du parti avaient inscrit leur vote, pour un taux de participation de 55,1 %.
Les organisateurs de ce scrutin non traditionnel sont convaincus que le système téléphonique ne connaîtra pas les ratés qui ont transformé, dimanche dernier, les élections municipales québécoises en un véritable fiasco.
La présidente de l'élection, Lyne Marcoux, soutient que les 1000 lignes téléphoniques et les quelque cinquante personnes chargées de surveiller le système seront suffisantes pour permettre aux 140 000 membres du PQ de voter sans anicroche.
Les électeurs doivent choisir, par ordre de préférence, quatre des huit candidats en lice. Un second tour est prévu si aucun des candidats n'obtient les 50 % des voix nécessaires pour être élu lors d'un premier tour.
Les candidats ayant obtenu moins de 15 % des voix seront ainsi éliminés, et le deuxième choix de leurs électeurs sera pris en compte.
Les résultats du scrutin devraient être connus vers 20 h 15, mardi, mais peut-être un peu plus tard dans la soirée si un second tour est nécessaire.
André Boisclair dément préparer la transition
Par ailleurs, André Boisclair dément les informations selon lesquelles il prépare déjà la période de transition, advenant son élection à la tête du Parti québécois.
De passage à Sherbrooke, M. Boisclair a nié également avoir l'intention de nommer Daniel Audet, un de ses amis de longue date, comme chef de cabinet.
Daniel Audet a démissionné de son poste de directeur d'une firme de relations publiques vendredi, ce qui alimente les rumeurs.
source: radio-canada.ca
Le vote va bon train
Le vote téléphonique à l'issue duquel sera déterminé le successeur de Bernard Landry à la tête du Parti québécois a commencé dimanche matin à 8 h, et prendra fin mardi à 17 h.
À 15 h 30 lundi, 71 478 membres du parti avaient inscrit leur vote, pour un taux de participation de 55,1 %.
Les organisateurs de ce scrutin non traditionnel sont convaincus que le système téléphonique ne connaîtra pas les ratés qui ont transformé, dimanche dernier, les élections municipales québécoises en un véritable fiasco.
La présidente de l'élection, Lyne Marcoux, soutient que les 1000 lignes téléphoniques et les quelque cinquante personnes chargées de surveiller le système seront suffisantes pour permettre aux 140 000 membres du PQ de voter sans anicroche.
Les électeurs doivent choisir, par ordre de préférence, quatre des huit candidats en lice. Un second tour est prévu si aucun des candidats n'obtient les 50 % des voix nécessaires pour être élu lors d'un premier tour.
Les candidats ayant obtenu moins de 15 % des voix seront ainsi éliminés, et le deuxième choix de leurs électeurs sera pris en compte.
Les résultats du scrutin devraient être connus vers 20 h 15, mardi, mais peut-être un peu plus tard dans la soirée si un second tour est nécessaire.
André Boisclair dément préparer la transition
Par ailleurs, André Boisclair dément les informations selon lesquelles il prépare déjà la période de transition, advenant son élection à la tête du Parti québécois.
De passage à Sherbrooke, M. Boisclair a nié également avoir l'intention de nommer Daniel Audet, un de ses amis de longue date, comme chef de cabinet.
Daniel Audet a démissionné de son poste de directeur d'une firme de relations publiques vendredi, ce qui alimente les rumeurs.
source: radio-canada.ca
- *Raphaëlle*
- Immortel du Domaine
- Messages : 22597
- Inscription : jeu. janv. 27, 2005 4:00 am
-
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 2123
- Inscription : lun. nov. 03, 2003 1:00 am
je viens de voter et oui effectivement comme tout le monde dit, c'est un système tres simple et pas compliqué du tout!
jai décidé finalement de mettre boisclair de mes choix.
mes choix finaux:
Legendre
Bernard
Boisclair
Ouimet
Que sa soit legendre, bernard ou boisclair le vainqueur, j'vais etre bien content mais je crois que cest boisclair qui a vraiment plus de chance que les autres.. jespere que legendre et bernard vont obtenir un poste important.
jai décidé finalement de mettre boisclair de mes choix.
mes choix finaux:
Legendre
Bernard
Boisclair
Ouimet
Que sa soit legendre, bernard ou boisclair le vainqueur, j'vais etre bien content mais je crois que cest boisclair qui a vraiment plus de chance que les autres.. jespere que legendre et bernard vont obtenir un poste important.
Une petite question concernant le droit de vote.
Lorsqu'on s'inscrit en tant que membre du PQ, nous donnons nos coorconnées via le web. Nos adresses de courriels, sont-elles à la portée de tous?
J'ai reçu une courriel plutôt méprisant à l'égard d'un candidat se présentant à la chefferie du PQ. Dans le haut de la lettre, il y a le logo du Parti Québécois. Est-ce que tous les candidats peuvent se servir de nos adresses et du sigle du parti qu'ils représentent pour discréditer chacun des autres candidats se présentant au même poste qu'eux? --Message edité par Sophie20 le 2005-11-15 02:09:51--
Lorsqu'on s'inscrit en tant que membre du PQ, nous donnons nos coorconnées via le web. Nos adresses de courriels, sont-elles à la portée de tous?
J'ai reçu une courriel plutôt méprisant à l'égard d'un candidat se présentant à la chefferie du PQ. Dans le haut de la lettre, il y a le logo du Parti Québécois. Est-ce que tous les candidats peuvent se servir de nos adresses et du sigle du parti qu'ils représentent pour discréditer chacun des autres candidats se présentant au même poste qu'eux? --Message edité par Sophie20 le 2005-11-15 02:09:51--
Raven a écrit
Ceux qui suivent la politique connaissent bien Lebel, il a longtemps été député au Bloc Pour les autres candidats, il suffit de s'abonner ;a leur liste d'envoie pour connaître leurs idées, et de suivre les débats et le déroulement. Il ne faut pas toujours se fier sur les médias pour avoir tout cuit dans le bec
Ça c'est dans un monde idéal, pour les membres très intéressés. Moi ce dont je parle c'est du concours de popularité. C'est comme pour une élection. Crois-tu vraiment que tout le monde va vouloir tout savoir sur les candidats avant de se faire une idée? c'est malheureusement rarement le cas. Ils votent pour celui dont ils entendent le plus souvent parler, celui que les médias disent que c'est le meilleur (quelle syntaxe!), celui qui mène dans les sondages. Exactement à cause de ça, Boisclair a BEAUCOUP plus de chances que les autres. Concours de popularité. Star-Académie-esque, comme certains ont fait remarquer...
Ceux qui suivent la politique connaissent bien Lebel, il a longtemps été député au Bloc Pour les autres candidats, il suffit de s'abonner ;a leur liste d'envoie pour connaître leurs idées, et de suivre les débats et le déroulement. Il ne faut pas toujours se fier sur les médias pour avoir tout cuit dans le bec
Ça c'est dans un monde idéal, pour les membres très intéressés. Moi ce dont je parle c'est du concours de popularité. C'est comme pour une élection. Crois-tu vraiment que tout le monde va vouloir tout savoir sur les candidats avant de se faire une idée? c'est malheureusement rarement le cas. Ils votent pour celui dont ils entendent le plus souvent parler, celui que les médias disent que c'est le meilleur (quelle syntaxe!), celui qui mène dans les sondages. Exactement à cause de ça, Boisclair a BEAUCOUP plus de chances que les autres. Concours de popularité. Star-Académie-esque, comme certains ont fait remarquer...
Éolianne a écrit
Ça c'est dans un monde idéal, pour les membres très intéressés. Moi ce dont je parle c'est du concours de popularité. C'est comme pour une élection. Crois-tu vraiment que tout le monde va vouloir tout savoir sur les candidats avant de se faire une idée? c'est malheureusement rarement le cas. Ils votent pour celui dont ils entendent le plus souvent parler, celui que les médias disent que c'est le meilleur (quelle syntaxe!), celui qui mène dans les sondages. Exactement à cause de ça, Boisclair a BEAUCOUP plus de chances que les autres. Concours de popularité. Star-Académie-esque, comme certains ont fait remarquer...
J'imagine que quand tu décides de faire partie d'un parti politique, c'est parce que tu connais un tant soit peu la chose politique. Et surtout, tu dois en connaître passablement plus sur le parti où tu adhères que la majorité de la population.
Plusieurs personnes semblent oublier que c'est une course à la chefferie, où les seuls membres du parti concerné, votent. Ce n'est pas la population au complet.
Ça c'est dans un monde idéal, pour les membres très intéressés. Moi ce dont je parle c'est du concours de popularité. C'est comme pour une élection. Crois-tu vraiment que tout le monde va vouloir tout savoir sur les candidats avant de se faire une idée? c'est malheureusement rarement le cas. Ils votent pour celui dont ils entendent le plus souvent parler, celui que les médias disent que c'est le meilleur (quelle syntaxe!), celui qui mène dans les sondages. Exactement à cause de ça, Boisclair a BEAUCOUP plus de chances que les autres. Concours de popularité. Star-Académie-esque, comme certains ont fait remarquer...
J'imagine que quand tu décides de faire partie d'un parti politique, c'est parce que tu connais un tant soit peu la chose politique. Et surtout, tu dois en connaître passablement plus sur le parti où tu adhères que la majorité de la population.
Plusieurs personnes semblent oublier que c'est une course à la chefferie, où les seuls membres du parti concerné, votent. Ce n'est pas la population au complet.
sophie20 a écritUne petite question concernant le droit de vote.
Lorsqu'on s'inscrit en tant que membre du PQ, nous donnons nos coorconnées via le web. Nos adresses de courriels, sont-elles à la portée de tous?
J'ai reçu une courriel plutôt méprisant à l'égard d'un candidat se présentant à la chefferie du PQ. Dans le haut de la lettre, il y a le logo du Parti Québécois. Est-ce que tous les candidats peuvent se servir de nos adresses et du sigle du parti qu'ils représentent pour discréditer chacun des autres candidats se présentant au même poste qu'eux?
Je sais que chaque candidat enregistré a droit de recevoir la liste des membres afin qu'il puisse communiquer avec eux pour pouvoir les convaincre, normalement ces listes ne comprennent que le strict minimum d'informations, juste le nécessaire pour pouvoir contacter les gens, probable que le courriel a été ajouté ces dernières années.
Ça me surprendrait énormément qu'à ce point-ci de la course qu,un candidat se livrerait à un tel stratagème mais je sais pas, ça peut venir de quelqu'un de son organisation qui agirait ainsi à son insu peut-être???!!!...ça serait bon que le candidat en question le sache et tu devrais si tu te sens mal d'avoir reçu ce message le faire savoir à l'organisation de ce candidat
Lorsqu'on s'inscrit en tant que membre du PQ, nous donnons nos coorconnées via le web. Nos adresses de courriels, sont-elles à la portée de tous?
J'ai reçu une courriel plutôt méprisant à l'égard d'un candidat se présentant à la chefferie du PQ. Dans le haut de la lettre, il y a le logo du Parti Québécois. Est-ce que tous les candidats peuvent se servir de nos adresses et du sigle du parti qu'ils représentent pour discréditer chacun des autres candidats se présentant au même poste qu'eux?
Je sais que chaque candidat enregistré a droit de recevoir la liste des membres afin qu'il puisse communiquer avec eux pour pouvoir les convaincre, normalement ces listes ne comprennent que le strict minimum d'informations, juste le nécessaire pour pouvoir contacter les gens, probable que le courriel a été ajouté ces dernières années.
Ça me surprendrait énormément qu'à ce point-ci de la course qu,un candidat se livrerait à un tel stratagème mais je sais pas, ça peut venir de quelqu'un de son organisation qui agirait ainsi à son insu peut-être???!!!...ça serait bon que le candidat en question le sache et tu devrais si tu te sens mal d'avoir reçu ce message le faire savoir à l'organisation de ce candidat
COURSE À LA DIRECTION DU PQ
Les deux tiers des membres ont voté
Presse Canadienne
Montreal
C'est mardi soir que sera dévoilé le nom du nouveau chef du Parti québécois.
Le vote téléphonique va bon train. À minuit, les deux tiers des 140 000 membres de la formation — plus de 90 500 personnes — avaient voté.
Les militants du PQ ont jusqu'à 17 heures pour choisir le successeur de Bernard Landry.
La présidente du parti, Monique Richard, affirme que le système de votation téléphonique fonctionne sans accroc.
Les deux tiers des membres ont voté
Presse Canadienne
Montreal
C'est mardi soir que sera dévoilé le nom du nouveau chef du Parti québécois.
Le vote téléphonique va bon train. À minuit, les deux tiers des 140 000 membres de la formation — plus de 90 500 personnes — avaient voté.
Les militants du PQ ont jusqu'à 17 heures pour choisir le successeur de Bernard Landry.
La présidente du parti, Monique Richard, affirme que le système de votation téléphonique fonctionne sans accroc.
tuberale a écritCOURSE À LA DIRECTION DU PQ
Les deux tiers des membres ont voté
Presse Canadienne
Montreal
C'est mardi soir que sera dévoilé le nom du nouveau chef du Parti québécois.
Le vote téléphonique va bon train. À minuit, les deux tiers des 140 000 membres de la formation — plus de 90 500 personnes — avaient voté.
Les militants du PQ ont jusqu'à 17 heures pour choisir le successeur de Bernard Landry.
La présidente du parti, Monique Richard, affirme que le système de votation téléphonique fonctionne sans accroc.
Ayoye! Super bon taux de participation à date
Les deux tiers des membres ont voté
Presse Canadienne
Montreal
C'est mardi soir que sera dévoilé le nom du nouveau chef du Parti québécois.
Le vote téléphonique va bon train. À minuit, les deux tiers des 140 000 membres de la formation — plus de 90 500 personnes — avaient voté.
Les militants du PQ ont jusqu'à 17 heures pour choisir le successeur de Bernard Landry.
La présidente du parti, Monique Richard, affirme que le système de votation téléphonique fonctionne sans accroc.
Ayoye! Super bon taux de participation à date