la pêche au requin
Mise à jour: 03/02/2006 16h47
LCN
Saguenay
Une amende parce qu'elle a pêché un requin
La dame qui a pêché un requin dans les eaux de la rivière Saguenay cette semaine a reçu la visite vendredi des agents de Pêches et Océan Canada.
Ils ont saisi la carcasse, qui pèse 230 kilos.
Pêches et Océan Canada mène une enquête, puisque Diane Guillemette n'avait pas de permis pour pêcher le requin.
Elle aurait donc dû couper le cordon de sa canne à pêche et le remettre à l'eau.
Les agents pourraient lui remettre un billet d'infraction la semaine prochaine.
Le requin du Groenland pourrait ne pas se retrouver au Musée du Fjord à Saguenay, comme on le croyait.
L'Institut Maurice-Lamontagne de Rimouski a plutôt réquisitionné le cétacé.
LCN
Saguenay
Une amende parce qu'elle a pêché un requin
La dame qui a pêché un requin dans les eaux de la rivière Saguenay cette semaine a reçu la visite vendredi des agents de Pêches et Océan Canada.
Ils ont saisi la carcasse, qui pèse 230 kilos.
Pêches et Océan Canada mène une enquête, puisque Diane Guillemette n'avait pas de permis pour pêcher le requin.
Elle aurait donc dû couper le cordon de sa canne à pêche et le remettre à l'eau.
Les agents pourraient lui remettre un billet d'infraction la semaine prochaine.
Le requin du Groenland pourrait ne pas se retrouver au Musée du Fjord à Saguenay, comme on le croyait.
L'Institut Maurice-Lamontagne de Rimouski a plutôt réquisitionné le cétacé.
Katchinaphotos.iquebec.com
Mise à jour: 30/07/2005 18:06
Saguenay
Un bar rayé qui aime bien voyager!
LCN
LCN
Personne ne croyait la dernière histoire de pêche d'un Jonquiérois, convaincu d'avoir fait une prise rare.
Mais le ministère de la Faune a confirmé au pêcheur qu'il s'agissait d'une espèce jamais vue au Saguenay, le bar rayé, disparue du Saint-Laurent depuis les années 1960.
Le 6 juillet dernier, Basil Fortin pêchait paisiblement sur le bord de la rive, près du pont d'aluminium de Jonquière, comme il le fait toutes les semaines.
Mais cette fois, ce n'est pas un doré ou une ouananiche qui est sorti de l'eau.
«J'ai 'pogné' un poisson assez rare, je n'en avais jamais pêché un comme ça. Je l'ai ramené chez moi, puis je l'ai emmené au ministère pour savoir c'était quelle sorte de poisson», raconte le pêcheur.
Dans les laboratoires de Faune Québec, le biologiste a été surpris de découvrir qu'il s'agit d'un bar rayé, le premier spécimen a être pêché dans le Saguenay.
Surtout que l'espèce de bar rayé du Saint-Laurent est disparue depuis 1960.
«La population du Saint-Laurent est disparue, mais il y en a d'autres, notamment sur la côte est américaine, comme le programme d'ensemencement du Saint-Laurent. C'est une population du Nouveau-Brunswick», explique Renald Lefebvre, biologiste chez Faune Québec.
Depuis 2002, le ministère ensemence toutefois le Saint-Laurent à Québec dans le cadre d'un programme de réintroduction du bar rayé et il se pourrait bien que le poisson provienne de cet endroit.
La prise d'un peu plus de deux livres, mesurant 45 cm, est jeune puisque le poisson, qui peut vivre une trentaine d'années, atteint parfois les 20 livres.
Et il s'agit d'un bon nageur, qui parcourt souvent 30 kilomètres par jour. «Ce qui est surprenant, c'est que lorsqu'il était abondant, il s'étendait de Saint-Pierre à Kamouraska, mais il ne venait pas aussi loin qu'au Saguenay», précise M. Lefebvre.
Les pêcheurs du Saguenay doivent savoir que la pêche du bar rayé est interdite. À Québec, des affiches sur le bord des rives les préviennent même de remettre cette espèce à l'eau. Le ministère envisage maintenant de faire de même au Saguenay!
En vidéo, écoutez le reportage d’Émilie Beaulieu.
Saguenay
Un bar rayé qui aime bien voyager!
LCN
LCN
Personne ne croyait la dernière histoire de pêche d'un Jonquiérois, convaincu d'avoir fait une prise rare.
Mais le ministère de la Faune a confirmé au pêcheur qu'il s'agissait d'une espèce jamais vue au Saguenay, le bar rayé, disparue du Saint-Laurent depuis les années 1960.
Le 6 juillet dernier, Basil Fortin pêchait paisiblement sur le bord de la rive, près du pont d'aluminium de Jonquière, comme il le fait toutes les semaines.
Mais cette fois, ce n'est pas un doré ou une ouananiche qui est sorti de l'eau.
«J'ai 'pogné' un poisson assez rare, je n'en avais jamais pêché un comme ça. Je l'ai ramené chez moi, puis je l'ai emmené au ministère pour savoir c'était quelle sorte de poisson», raconte le pêcheur.
Dans les laboratoires de Faune Québec, le biologiste a été surpris de découvrir qu'il s'agit d'un bar rayé, le premier spécimen a être pêché dans le Saguenay.
Surtout que l'espèce de bar rayé du Saint-Laurent est disparue depuis 1960.
«La population du Saint-Laurent est disparue, mais il y en a d'autres, notamment sur la côte est américaine, comme le programme d'ensemencement du Saint-Laurent. C'est une population du Nouveau-Brunswick», explique Renald Lefebvre, biologiste chez Faune Québec.
Depuis 2002, le ministère ensemence toutefois le Saint-Laurent à Québec dans le cadre d'un programme de réintroduction du bar rayé et il se pourrait bien que le poisson provienne de cet endroit.
La prise d'un peu plus de deux livres, mesurant 45 cm, est jeune puisque le poisson, qui peut vivre une trentaine d'années, atteint parfois les 20 livres.
Et il s'agit d'un bon nageur, qui parcourt souvent 30 kilomètres par jour. «Ce qui est surprenant, c'est que lorsqu'il était abondant, il s'étendait de Saint-Pierre à Kamouraska, mais il ne venait pas aussi loin qu'au Saguenay», précise M. Lefebvre.
Les pêcheurs du Saguenay doivent savoir que la pêche du bar rayé est interdite. À Québec, des affiches sur le bord des rives les préviennent même de remettre cette espèce à l'eau. Le ministère envisage maintenant de faire de même au Saguenay!
En vidéo, écoutez le reportage d’Émilie Beaulieu.
Katchinaphotos.iquebec.com
PÊCHE ILLÉGALE, DIT LA LOI
Le fédéral saisit le requin de Ste-Rose
Roger Blackburn
Le Quotidien
Chicoutimi
Les agents de Pêches et Océans Canada ont saisi le célèbre requin du Saguenay, capturé samedi dernier sous les glaces de Sainte-Rose-du-Nord. La prise du poisson est considérée comme illégale car la pêcheuse, Diane Guillemette, n'avait pas de permis.
Après une semaine forte en émotions, ponctuée de nombreuses entrevues dans les médias, la Saguenéenne Diane Guillemette fut très surprise de voir débarquer deux agents des pêches fédérales à sa résidence, à 8 h 30 hier matin.
"On ne pensait jamais que c'était illégal. Nous avions même pris la peine de nous informer auprès de la biologiste du Musée du fjord. On a pris toutes sortes de précautions pour protéger la carcasse du requin pour le conserver en bon état pour les scientifiques. Les biologistes étaient même très contents d'avoir un spécimen de requin du Groenland pour y pratiquer des analyses et des prélèvements", explique celle qui a fait la manchette des médias nationaux, ces derniers jours, avec sa prise de 230 kilos.
Le journaliste du Quotidien était à la résidence de madame Guillemette quand les agents des pêches ont procédé à l'enquête.
L'agent Guy Gagnon a procédé à la lecture de ses droits prenant son collège, l'agent Brian Cross à témoin. La dame a demandé l'assistance d'un avocat, à la proposition des agents, mais n'a jamais pu avoir cette aide, même après une heure de démarches. Elle a accepté de livrer son aventure, se défendant d'avoir pêché illégalement.
Les règlements de pêche Atlantique du fédéral précisent qu'il faut un permis pour pêcher le requin. Les permis émis sont des autorisations pour une pêche scientifique, une pêche d'éducation ou une pêche commerciale.
Diane Guillemette pratiquait la pêche au poisson de fond dans le Saguenay. La capture accidentelle du requin est donc devenue une pêche illégale car elle n'avait pas de permis. Selon la loi, la pêcheuse aurait dû remettre le requin à l'eau, mort ou vif.
La dame qui croyait bien agir en conservant le spécimen pour les scientifiques pourrait être accusée de pêche illégale du requin et se voir imposer une amende variant de 200 $ à 8000 $ selon la gravité de l'offense.
Les agents des pêches ont agi dans ce dossier après avoir reçu des plaintes de citoyens. L'enquête poursuit son cours afin de voir si des accusations seront portées.
Le fédéral saisit le requin de Ste-Rose
Roger Blackburn
Le Quotidien
Chicoutimi
Les agents de Pêches et Océans Canada ont saisi le célèbre requin du Saguenay, capturé samedi dernier sous les glaces de Sainte-Rose-du-Nord. La prise du poisson est considérée comme illégale car la pêcheuse, Diane Guillemette, n'avait pas de permis.
Après une semaine forte en émotions, ponctuée de nombreuses entrevues dans les médias, la Saguenéenne Diane Guillemette fut très surprise de voir débarquer deux agents des pêches fédérales à sa résidence, à 8 h 30 hier matin.
"On ne pensait jamais que c'était illégal. Nous avions même pris la peine de nous informer auprès de la biologiste du Musée du fjord. On a pris toutes sortes de précautions pour protéger la carcasse du requin pour le conserver en bon état pour les scientifiques. Les biologistes étaient même très contents d'avoir un spécimen de requin du Groenland pour y pratiquer des analyses et des prélèvements", explique celle qui a fait la manchette des médias nationaux, ces derniers jours, avec sa prise de 230 kilos.
Le journaliste du Quotidien était à la résidence de madame Guillemette quand les agents des pêches ont procédé à l'enquête.
L'agent Guy Gagnon a procédé à la lecture de ses droits prenant son collège, l'agent Brian Cross à témoin. La dame a demandé l'assistance d'un avocat, à la proposition des agents, mais n'a jamais pu avoir cette aide, même après une heure de démarches. Elle a accepté de livrer son aventure, se défendant d'avoir pêché illégalement.
Les règlements de pêche Atlantique du fédéral précisent qu'il faut un permis pour pêcher le requin. Les permis émis sont des autorisations pour une pêche scientifique, une pêche d'éducation ou une pêche commerciale.
Diane Guillemette pratiquait la pêche au poisson de fond dans le Saguenay. La capture accidentelle du requin est donc devenue une pêche illégale car elle n'avait pas de permis. Selon la loi, la pêcheuse aurait dû remettre le requin à l'eau, mort ou vif.
La dame qui croyait bien agir en conservant le spécimen pour les scientifiques pourrait être accusée de pêche illégale du requin et se voir imposer une amende variant de 200 $ à 8000 $ selon la gravité de l'offense.
Les agents des pêches ont agi dans ce dossier après avoir reçu des plaintes de citoyens. L'enquête poursuit son cours afin de voir si des accusations seront portées.
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- Blanche Neige
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Katchina a écritPÊCHE ILLÉGALE, DIT LA LOI
Le fédéral saisit le requin de Ste-Rose
Roger Blackburn
Le Quotidien
Chicoutimi
Les agents de Pêches et Océans Canada ont saisi le célèbre requin du Saguenay, capturé samedi dernier sous les glaces de Sainte-Rose-du-Nord. La prise du poisson est considérée comme illégale car la pêcheuse, Diane Guillemette, n'avait pas de permis.
Après une semaine forte en émotions, ponctuée de nombreuses entrevues dans les médias, la Saguenéenne Diane Guillemette fut très surprise de voir débarquer deux agents des pêches fédérales à sa résidence, à 8 h 30 hier matin.
"On ne pensait jamais que c'était illégal. Nous avions même pris la peine de nous informer auprès de la biologiste du Musée du fjord. On a pris toutes sortes de précautions pour protéger la carcasse du requin pour le conserver en bon état pour les scientifiques. Les biologistes étaient même très contents d'avoir un spécimen de requin du Groenland pour y pratiquer des analyses et des prélèvements", explique celle qui a fait la manchette des médias nationaux, ces derniers jours, avec sa prise de 230 kilos.
Le journaliste du Quotidien était à la résidence de madame Guillemette quand les agents des pêches ont procédé à l'enquête.
L'agent Guy Gagnon a procédé à la lecture de ses droits prenant son collège, l'agent Brian Cross à témoin. La dame a demandé l'assistance d'un avocat, à la proposition des agents, mais n'a jamais pu avoir cette aide, même après une heure de démarches. Elle a accepté de livrer son aventure, se défendant d'avoir pêché illégalement.
Les règlements de pêche Atlantique du fédéral précisent qu'il faut un permis pour pêcher le requin. Les permis émis sont des autorisations pour une pêche scientifique, une pêche d'éducation ou une pêche commerciale.
Diane Guillemette pratiquait la pêche au poisson de fond dans le Saguenay. La capture accidentelle du requin est donc devenue une pêche illégale car elle n'avait pas de permis. Selon la loi, la pêcheuse aurait dû remettre le requin à l'eau, mort ou vif.
La dame qui croyait bien agir en conservant le spécimen pour les scientifiques pourrait être accusée de pêche illégale du requin et se voir imposer une amende variant de 200 $ à 8000 $ selon la gravité de l'offense.
Les agents des pêches ont agi dans ce dossier après avoir reçu des plaintes de citoyens. L'enquête poursuit son cours afin de voir si des accusations seront portées.
C’est sur que si elle conteste sa contravention, le juge va lui donner raison, elle n’avait sûrement pas l’intention de pécher le requin cette journée là.
Mais ce qui est bizarre, c’est qu’il y ait des citoyens qui se sont plaints, c’est peut-être cela la nouvelle démocratie, empêchez son voisin de vivre!!!
Le fédéral saisit le requin de Ste-Rose
Roger Blackburn
Le Quotidien
Chicoutimi
Les agents de Pêches et Océans Canada ont saisi le célèbre requin du Saguenay, capturé samedi dernier sous les glaces de Sainte-Rose-du-Nord. La prise du poisson est considérée comme illégale car la pêcheuse, Diane Guillemette, n'avait pas de permis.
Après une semaine forte en émotions, ponctuée de nombreuses entrevues dans les médias, la Saguenéenne Diane Guillemette fut très surprise de voir débarquer deux agents des pêches fédérales à sa résidence, à 8 h 30 hier matin.
"On ne pensait jamais que c'était illégal. Nous avions même pris la peine de nous informer auprès de la biologiste du Musée du fjord. On a pris toutes sortes de précautions pour protéger la carcasse du requin pour le conserver en bon état pour les scientifiques. Les biologistes étaient même très contents d'avoir un spécimen de requin du Groenland pour y pratiquer des analyses et des prélèvements", explique celle qui a fait la manchette des médias nationaux, ces derniers jours, avec sa prise de 230 kilos.
Le journaliste du Quotidien était à la résidence de madame Guillemette quand les agents des pêches ont procédé à l'enquête.
L'agent Guy Gagnon a procédé à la lecture de ses droits prenant son collège, l'agent Brian Cross à témoin. La dame a demandé l'assistance d'un avocat, à la proposition des agents, mais n'a jamais pu avoir cette aide, même après une heure de démarches. Elle a accepté de livrer son aventure, se défendant d'avoir pêché illégalement.
Les règlements de pêche Atlantique du fédéral précisent qu'il faut un permis pour pêcher le requin. Les permis émis sont des autorisations pour une pêche scientifique, une pêche d'éducation ou une pêche commerciale.
Diane Guillemette pratiquait la pêche au poisson de fond dans le Saguenay. La capture accidentelle du requin est donc devenue une pêche illégale car elle n'avait pas de permis. Selon la loi, la pêcheuse aurait dû remettre le requin à l'eau, mort ou vif.
La dame qui croyait bien agir en conservant le spécimen pour les scientifiques pourrait être accusée de pêche illégale du requin et se voir imposer une amende variant de 200 $ à 8000 $ selon la gravité de l'offense.
Les agents des pêches ont agi dans ce dossier après avoir reçu des plaintes de citoyens. L'enquête poursuit son cours afin de voir si des accusations seront portées.
C’est sur que si elle conteste sa contravention, le juge va lui donner raison, elle n’avait sûrement pas l’intention de pécher le requin cette journée là.
Mais ce qui est bizarre, c’est qu’il y ait des citoyens qui se sont plaints, c’est peut-être cela la nouvelle démocratie, empêchez son voisin de vivre!!!
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.
Saguenay
La pêcheuse de requin ne recevra pas de billet d'infraction
La dame qui a pêché un requin des eaux de la rivière Saguenay, la semaine dernière, peut pousser un soupir de soulagement.
Les agents de Pêches et Océans Canada ont décidé de ne pas lui remettre de billet d'infraction pour ne pas avoir remis à l'eau le poisson.
Diane Guillemette n'avait pas de permis pour pêcher le requin. Elle aurait donc dû couper la corde de sa canne à pêche ou remettre le requin à l'eau.
Mme Guillemette a dit avoir appris sa leçon.
La carcasse de 230 kilos devrait être remis au musée du Fjord de Saguenay.
La pêcheuse de requin ne recevra pas de billet d'infraction
La dame qui a pêché un requin des eaux de la rivière Saguenay, la semaine dernière, peut pousser un soupir de soulagement.
Les agents de Pêches et Océans Canada ont décidé de ne pas lui remettre de billet d'infraction pour ne pas avoir remis à l'eau le poisson.
Diane Guillemette n'avait pas de permis pour pêcher le requin. Elle aurait donc dû couper la corde de sa canne à pêche ou remettre le requin à l'eau.
Mme Guillemette a dit avoir appris sa leçon.
La carcasse de 230 kilos devrait être remis au musée du Fjord de Saguenay.
Katchinaphotos.iquebec.com