j aimerais que ceux qui vois ce message et qu ils ont la presse
j aimerais savoir a la page a 14 l entrevue avec ariane khol en savoir plus car moi je l ai pas et j aimerais avoir un resumé un gros merci sincere
est ce que quelq un a acheté la presse ce matin
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Elise-Gisèle
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As-tu vérifié sur le site de Cyberpresse, peut-être que l'entrevue est là
http://www.cyberpresse.ca/
http://www.cyberpresse.ca/
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau
Voici le texte publié dans La Presse de ce jour.
Respirons par le nez,
Nous ne savons pas quand une pandémie de grippe frappera le Québec. Mais nous avons une bonne idée de ce qui pourrait se passer. Plus du tiers de la population serait touchée, 8 500 personnes en mourraient. Ces prévisions en font frissonner plus d'un depuis que le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a dévoilé son plan d'urgence, jeudi. Mais avant de paniquer, lisons le mode d'emploi.
Le Plan québécois de lutte contre une pandémie d'influenza serait déclenché, comme son nom l'indique en cas de pandémie, il faut que le virus soit transmissible de personne à personne. Pour l'instant, le H5N1 qui circule depuis 10 ans en Asie ne remplit pas cette condition. Les 175 personnes qui l'ont contracté jusqu'ici l'ont attrapé de volailles infestées, souvent dans des conditions de promiscuité sans équivalent chez nous.
Il faut être conscient qu'une nouvelle souche de grippe virulente peut gagner le Québec dans peu de temps, et se préparer à y faire face. L'épisode de SRAS à Toronto nous a enseigné à quel point la situation peut déraper lorsque cette préparation est insuffisante. Mais il faut éviter de se laisser éblouir par l'aspect sensationnel du scénario.
On n'a pas encore trouve au Canada un seul oiseau migrateur, encore moins un volatile de ferme, atteint du virus H5N1. Et si cela devait se produire, il faudrait s'inquiéter en priorité de la santé de ceux qui travaillent au contact de la volaille. D'ici là, respirons par le nez.
Ariane Krol
Respirons par le nez,
Nous ne savons pas quand une pandémie de grippe frappera le Québec. Mais nous avons une bonne idée de ce qui pourrait se passer. Plus du tiers de la population serait touchée, 8 500 personnes en mourraient. Ces prévisions en font frissonner plus d'un depuis que le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a dévoilé son plan d'urgence, jeudi. Mais avant de paniquer, lisons le mode d'emploi.
Le Plan québécois de lutte contre une pandémie d'influenza serait déclenché, comme son nom l'indique en cas de pandémie, il faut que le virus soit transmissible de personne à personne. Pour l'instant, le H5N1 qui circule depuis 10 ans en Asie ne remplit pas cette condition. Les 175 personnes qui l'ont contracté jusqu'ici l'ont attrapé de volailles infestées, souvent dans des conditions de promiscuité sans équivalent chez nous.
Il faut être conscient qu'une nouvelle souche de grippe virulente peut gagner le Québec dans peu de temps, et se préparer à y faire face. L'épisode de SRAS à Toronto nous a enseigné à quel point la situation peut déraper lorsque cette préparation est insuffisante. Mais il faut éviter de se laisser éblouir par l'aspect sensationnel du scénario.
On n'a pas encore trouve au Canada un seul oiseau migrateur, encore moins un volatile de ferme, atteint du virus H5N1. Et si cela devait se produire, il faudrait s'inquiéter en priorité de la santé de ceux qui travaillent au contact de la volaille. D'ici là, respirons par le nez.
Ariane Krol
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritVoici le texte publié dans La Presse de ce jour.
Respirons par le nez,
Nous ne savons pas quand une pandémie de grippe frappera le Québec. Mais nous avons une bonne idée de ce qui pourrait se passer. Plus du tiers de la population serait touchée, 8 500 personnes en mourraient. Ces prévisions en font frissonner plus d'un depuis que le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a dévoilé son plan d'urgence, jeudi. Mais avant de paniquer, lisons le mode d'emploi.
Le Plan québécois de lutte contre une pandémie d'influenza serait déclenché, comme son nom l'indique en cas de pandémie, il faut que le virus soit transmissible de personne à personne. Pour l'instant, le H5N1 qui circule depuis 10 ans en Asie ne remplit pas cette condition. Les 175 personnes qui l'ont contracté jusqu'ici l'ont attrapé de volailles infestées, souvent dans des conditions de promiscuité sans équivalent chez nous.
Il faut être conscient qu'une nouvelle souche de grippe virulente peut gagner le Québec dans peu de temps, et se préparer à y faire face. L'épisode de SRAS à Toronto nous a enseigné à quel point la situation peut déraper lorsque cette préparation est insuffisante. Mais il faut éviter de se laisser éblouir par l'aspect sensationnel du scénario.
On n'a pas encore trouve au Canada un seul oiseau migrateur, encore moins un volatile de ferme, atteint du virus H5N1. Et si cela devait se produire, il faudrait s'inquiéter en priorité de la santé de ceux qui travaillent au contact de la volaille. D'ici là, respirons par le nez.
Ariane Krol
Merci Beppo , mais je crois qu'elle parlait de l'article de dimanche sur le sirop d'érable.......
Respirons par le nez,
Nous ne savons pas quand une pandémie de grippe frappera le Québec. Mais nous avons une bonne idée de ce qui pourrait se passer. Plus du tiers de la population serait touchée, 8 500 personnes en mourraient. Ces prévisions en font frissonner plus d'un depuis que le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a dévoilé son plan d'urgence, jeudi. Mais avant de paniquer, lisons le mode d'emploi.
Le Plan québécois de lutte contre une pandémie d'influenza serait déclenché, comme son nom l'indique en cas de pandémie, il faut que le virus soit transmissible de personne à personne. Pour l'instant, le H5N1 qui circule depuis 10 ans en Asie ne remplit pas cette condition. Les 175 personnes qui l'ont contracté jusqu'ici l'ont attrapé de volailles infestées, souvent dans des conditions de promiscuité sans équivalent chez nous.
Il faut être conscient qu'une nouvelle souche de grippe virulente peut gagner le Québec dans peu de temps, et se préparer à y faire face. L'épisode de SRAS à Toronto nous a enseigné à quel point la situation peut déraper lorsque cette préparation est insuffisante. Mais il faut éviter de se laisser éblouir par l'aspect sensationnel du scénario.
On n'a pas encore trouve au Canada un seul oiseau migrateur, encore moins un volatile de ferme, atteint du virus H5N1. Et si cela devait se produire, il faudrait s'inquiéter en priorité de la santé de ceux qui travaillent au contact de la volaille. D'ici là, respirons par le nez.
Ariane Krol
Merci Beppo , mais je crois qu'elle parlait de l'article de dimanche sur le sirop d'érable.......
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