J'ai écouté le bulletin de 18 heures et 22 heures et il y a eu un reportage sur les hopitaux et ils en classaient par cathégories (pires et meilleurs) en nommant les noms.
Je les ai manqué tous les 2 et j'aimerais savoir si je peux les avoir quelque part sur le net ... j'ai beau chercher mais je trouve rien.
TVA 18 Heures & 22 Heures - Reportages du 1 mai 2006
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : lun. nov. 03, 2003 1:00 am
c'est une enquete du journal lapresse ;)
voici le lien pour voir le palmarès des hopitaux du québec
http://www.cyberpresse.ca/assets/jpg/CP30551.JPG
bonne soirée
voici le lien pour voir le palmarès des hopitaux du québec
http://www.cyberpresse.ca/assets/jpg/CP30551.JPG
bonne soirée
Urgences
La patience des usagers à l'épreuve
Un palmarès des 88 salles d'urgence du Québec établi par les journaux du groupe Gesca dresse un tableau peu encourageant de la situation.
Selon La Presse, seulement 13 hôpitaux de la province ont amélioré leur temps d'attente à l'urgence depuis la dernière évaluation publique du ministère de la Santé, en 2002, tandis que la situation s'est détériorée de façon significative dans une trentaine d'autres. La durée moyenne d'une visite à l'urgence serait de 15,9 heures, alors que l'objectif du ministère de la Santé est de 12 heures. Les séjours de plus de 48 heures auraient aussi passablement augmenté.
Le palmarès attribue notamment la lettre E au pavillon Notre-Dame du CHUM et à l'hôpital général du Lakeshore, alors qu'au sommet de la liste se retrouvent quatre hôpitaux de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches.
Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, salue l'initiative du groupe Gesca, mais déplore que le palmarès se fonde sur des données récoltées par le ministère en 2004-2005, alors que celles pour 2005-2006 étaient pourtant disponibles. Il reconnaît la situation difficile encore vécue dans certaines urgences, notamment à Montréal, malgré des améliorations sensibles dans les deux dernières années.
Selon le ministre Couillard, les temps d'attente particulièrement longs dans certains hôpitaux montréalais tiennent entre autres au fait qu'ils doivent desservir une population vieillissante et s'occuper de cas spécialisés particulièrement complexes. Il ajoute que plusieurs de ces cas ont été référés par des hôpitaux de la province.
Il souligne cependant que le succès des urgences en région vient notamment des liens tissés depuis des années entre les hôpitaux, les CLSC et les cliniques médicales. Il en conclut que les grands hôpitaux montréalais devraient s'inspirer des pratiques qui y ont cours.
Le ministre de la Santé précise enfin que les importants investissements en cours dans le développement des cliniques réseau et des soins à domicile devraient d'ici peu avoir un effet bénéfique sur le temps d'attente.
Les données utilisées pour évaluer la durée moyenne du séjour aux urgences proviennent du ministère de la Santé et des Services sociaux et ont été récoltées en 2004-2005. La méthodologie est empruntée pour l'essentiel à celle développée par l'ancien ministre péquiste de la Santé, François Legault, qui avait publié un premier bulletin des hôpitaux en 2002.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/soc ... nces.shtml
La patience des usagers à l'épreuve
Un palmarès des 88 salles d'urgence du Québec établi par les journaux du groupe Gesca dresse un tableau peu encourageant de la situation.
Selon La Presse, seulement 13 hôpitaux de la province ont amélioré leur temps d'attente à l'urgence depuis la dernière évaluation publique du ministère de la Santé, en 2002, tandis que la situation s'est détériorée de façon significative dans une trentaine d'autres. La durée moyenne d'une visite à l'urgence serait de 15,9 heures, alors que l'objectif du ministère de la Santé est de 12 heures. Les séjours de plus de 48 heures auraient aussi passablement augmenté.
Le palmarès attribue notamment la lettre E au pavillon Notre-Dame du CHUM et à l'hôpital général du Lakeshore, alors qu'au sommet de la liste se retrouvent quatre hôpitaux de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches.
Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, salue l'initiative du groupe Gesca, mais déplore que le palmarès se fonde sur des données récoltées par le ministère en 2004-2005, alors que celles pour 2005-2006 étaient pourtant disponibles. Il reconnaît la situation difficile encore vécue dans certaines urgences, notamment à Montréal, malgré des améliorations sensibles dans les deux dernières années.
Selon le ministre Couillard, les temps d'attente particulièrement longs dans certains hôpitaux montréalais tiennent entre autres au fait qu'ils doivent desservir une population vieillissante et s'occuper de cas spécialisés particulièrement complexes. Il ajoute que plusieurs de ces cas ont été référés par des hôpitaux de la province.
Il souligne cependant que le succès des urgences en région vient notamment des liens tissés depuis des années entre les hôpitaux, les CLSC et les cliniques médicales. Il en conclut que les grands hôpitaux montréalais devraient s'inspirer des pratiques qui y ont cours.
Le ministre de la Santé précise enfin que les importants investissements en cours dans le développement des cliniques réseau et des soins à domicile devraient d'ici peu avoir un effet bénéfique sur le temps d'attente.
Les données utilisées pour évaluer la durée moyenne du séjour aux urgences proviennent du ministère de la Santé et des Services sociaux et ont été récoltées en 2004-2005. La méthodologie est empruntée pour l'essentiel à celle développée par l'ancien ministre péquiste de la Santé, François Legault, qui avait publié un premier bulletin des hôpitaux en 2002.
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/soc ... nces.shtml
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... /FRONTPAGE
Les pires urgences sont à Montréal
Pascale Breton
La Presse
Les pires urgences se trouvent à Montréal. Plusieurs hôpitaux de la Montérégie et de l'Outaouais connaissent aussi des ratés. Nous avons voulu savoir pourquoi certains hôpitaux ont plus de difficultés que d'autres. Pourquoi et comment les urgences en Gaspésie et dans Chaudière-Appalaches sont les plus efficaces.
La situation s'est détériorée dans le tiers des urgences de la province depuis trois ans. Et tandis que Montréal a les urgences les moins performantes de la province, celles de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches sont les plus efficace
>> Lisez la méthodologie complète
C'est ce que révèle une enquête de La Presse et des six autres journaux du groupe Gesca, qui vous présentent aujourd'hui le premier palmarès des urgences du Québec.
Premier constat, les patients attendent encore trop longtemps sur les civières. La durée moyenne du séjour est de 15,9 heures dans les urgences du Québec. C'est quatre heures de trop, si l'on se fie aux objectifs fixés par le ministère de la Santé.
Dans les pires cas, les patients passent une journée entière aux urgences. À l'Hôtel-Dieu du CHUM, à Montréal, la durée moyenne du séjour est de 28,2 heures. À l'Hôtel-Dieu de Sorel, les patients restent 29,7 heures aux urgences.
C'est en région que les gens attendent le moins. À l'hôpital de Maniwaki, en Outaouais, la durée moyenne du séjour est de seulement 4,8 heures. À Gaspé et à Rimouski, l'attente est de huit heures.
En 2002, l'ancien ministre de la Santé, François Legault, avait publié un bulletin des hôpitaux. Le Ministère avait évalué l'efficacité des urgences en leur attribuant une note de A à E. Un seul critère avait été pris en compte, la durée moyenne de séjour aux urgences. C'était le seul classement public à avoir été fait à ce jour.
La Presse a refait l'exercice avec les données ministérielles de l'année 2004-2005, les plus récentes. En comparant la durée moyenne de séjour, on constate que la situation s'est détériorée dans le tiers des urgences de la province.
Mais afin de nuancer le palmarès, publié intégralement en page A4, La Presse s'est basée sur quatre critères d'évaluation recommandés par de multiples sources au sein du réseau de la santé. Outre la durée moyenne du séjour, nous avons donc tenu compte du pourcentage des séjours de 48 heures et plus aux urgences et, dans une moindre mesure, de la clientèle âgée qui se présente aux urgences et des patients qui sont hospitalisés à la suite de leur visite.
Des résultats inquiétants Globalement, les urgences sont encore en difficulté. À peine 13 hôpitaux ont fait des progrès suffisamment importants pour changer de catégorie: l'hôpital Fleury, à Montréal, est par exemple passé de la note E à la note B+.
En revanche, la situation s'est dégradée dans 40 hôpitaux, et 20 des 88 hôpitaux recensés récoltent une note variant de D+ à E+. Les urgences les plus chaotiques se trouvent à Montréal. L'hôpital du Lakeshore, dans l'Ouest-de-l'Île, et l'hôpital Notre-Dame du CHUM terminent en queue de peloton avec une note de E+. Plusieurs urgences de la Montérégie et de l'Outaouais ont aussi de piètres résultats.
En tête du palmarès, 10 hôpitaux obtiennent une note de A ou A-. Les urgences de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches sont premières de la classe. Le centre hospitalier Baie-des-Chaleurs, à Maria, l'Hôtel-Dieu de Gaspé, le centre hospitalier de l'Amiante et l'Hôtel-Dieu de Montmagny récoltent tous un A-.
Ces résultats démontrent que l'objectif fixé par le Ministère est encore loin d'être atteint. Dans quatre ans, la durée moyenne des séjours aux urgences ne devra pas dépasser 12 heures, peu importe l'hôpital, a indiqué à La Presse la directrice de l'accessibilité des services médicaux, la Dre Yolaine Galarneau.
En campagne électorale, le premier ministre Jean Charest avait pourtant promis de remettre le système de santé sur les rails, les urgences aussi. Le ministère de la Santé et des Services sociaux suit attentivement une trentaine d'urgences problématiques dans la province.
Un comité de coordination a été mis en place. Il aide les directions d'hôpital à devenir plus efficaces. Un exemple? Il faut libérer les lits rapidement. Sitôt qu'un patient reçoit son congé, une équipe vient nettoyer la chambre pour donner la place à un patient qui attend aux urgences.
Le défi est de taille. Les progrès sont lents. Le palmarès de La Presse le reflète bien. Il ne s'agit pas seulement de désengorger les urgences. Il faut changer tout un système, explique la directrice des services professionnels à l'hôpital du Lakeshore, la Dre Sylvie Douyon.
Le modèle est encore conçu pour soigner un patient de 30 ans qui fait une pneumonie et qui retourne chez lui une fois guéri. «Aujourd'hui, les patients sont de plus en plus âgés, ils vivent de plus en plus longtemps, mais pas nécessairement en bonne santé. Beaucoup d'entre eux ont des maladies chroniques. Notre modèle de santé n'est pas encore adapté. Nous sommes en train de faire un virage», indique la Dre Douyon en reconnaissant que le processus est long.
Télécharger :
Le palmarès des urgences du Québec (3421 ko) Image jpg
va sur le lien pour charger le document
Les pires urgences sont à Montréal
Pascale Breton
La Presse
Les pires urgences se trouvent à Montréal. Plusieurs hôpitaux de la Montérégie et de l'Outaouais connaissent aussi des ratés. Nous avons voulu savoir pourquoi certains hôpitaux ont plus de difficultés que d'autres. Pourquoi et comment les urgences en Gaspésie et dans Chaudière-Appalaches sont les plus efficaces.
La situation s'est détériorée dans le tiers des urgences de la province depuis trois ans. Et tandis que Montréal a les urgences les moins performantes de la province, celles de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches sont les plus efficace
>> Lisez la méthodologie complète
C'est ce que révèle une enquête de La Presse et des six autres journaux du groupe Gesca, qui vous présentent aujourd'hui le premier palmarès des urgences du Québec.
Premier constat, les patients attendent encore trop longtemps sur les civières. La durée moyenne du séjour est de 15,9 heures dans les urgences du Québec. C'est quatre heures de trop, si l'on se fie aux objectifs fixés par le ministère de la Santé.
Dans les pires cas, les patients passent une journée entière aux urgences. À l'Hôtel-Dieu du CHUM, à Montréal, la durée moyenne du séjour est de 28,2 heures. À l'Hôtel-Dieu de Sorel, les patients restent 29,7 heures aux urgences.
C'est en région que les gens attendent le moins. À l'hôpital de Maniwaki, en Outaouais, la durée moyenne du séjour est de seulement 4,8 heures. À Gaspé et à Rimouski, l'attente est de huit heures.
En 2002, l'ancien ministre de la Santé, François Legault, avait publié un bulletin des hôpitaux. Le Ministère avait évalué l'efficacité des urgences en leur attribuant une note de A à E. Un seul critère avait été pris en compte, la durée moyenne de séjour aux urgences. C'était le seul classement public à avoir été fait à ce jour.
La Presse a refait l'exercice avec les données ministérielles de l'année 2004-2005, les plus récentes. En comparant la durée moyenne de séjour, on constate que la situation s'est détériorée dans le tiers des urgences de la province.
Mais afin de nuancer le palmarès, publié intégralement en page A4, La Presse s'est basée sur quatre critères d'évaluation recommandés par de multiples sources au sein du réseau de la santé. Outre la durée moyenne du séjour, nous avons donc tenu compte du pourcentage des séjours de 48 heures et plus aux urgences et, dans une moindre mesure, de la clientèle âgée qui se présente aux urgences et des patients qui sont hospitalisés à la suite de leur visite.
Des résultats inquiétants Globalement, les urgences sont encore en difficulté. À peine 13 hôpitaux ont fait des progrès suffisamment importants pour changer de catégorie: l'hôpital Fleury, à Montréal, est par exemple passé de la note E à la note B+.
En revanche, la situation s'est dégradée dans 40 hôpitaux, et 20 des 88 hôpitaux recensés récoltent une note variant de D+ à E+. Les urgences les plus chaotiques se trouvent à Montréal. L'hôpital du Lakeshore, dans l'Ouest-de-l'Île, et l'hôpital Notre-Dame du CHUM terminent en queue de peloton avec une note de E+. Plusieurs urgences de la Montérégie et de l'Outaouais ont aussi de piètres résultats.
En tête du palmarès, 10 hôpitaux obtiennent une note de A ou A-. Les urgences de la Gaspésie et de Chaudière-Appalaches sont premières de la classe. Le centre hospitalier Baie-des-Chaleurs, à Maria, l'Hôtel-Dieu de Gaspé, le centre hospitalier de l'Amiante et l'Hôtel-Dieu de Montmagny récoltent tous un A-.
Ces résultats démontrent que l'objectif fixé par le Ministère est encore loin d'être atteint. Dans quatre ans, la durée moyenne des séjours aux urgences ne devra pas dépasser 12 heures, peu importe l'hôpital, a indiqué à La Presse la directrice de l'accessibilité des services médicaux, la Dre Yolaine Galarneau.
En campagne électorale, le premier ministre Jean Charest avait pourtant promis de remettre le système de santé sur les rails, les urgences aussi. Le ministère de la Santé et des Services sociaux suit attentivement une trentaine d'urgences problématiques dans la province.
Un comité de coordination a été mis en place. Il aide les directions d'hôpital à devenir plus efficaces. Un exemple? Il faut libérer les lits rapidement. Sitôt qu'un patient reçoit son congé, une équipe vient nettoyer la chambre pour donner la place à un patient qui attend aux urgences.
Le défi est de taille. Les progrès sont lents. Le palmarès de La Presse le reflète bien. Il ne s'agit pas seulement de désengorger les urgences. Il faut changer tout un système, explique la directrice des services professionnels à l'hôpital du Lakeshore, la Dre Sylvie Douyon.
Le modèle est encore conçu pour soigner un patient de 30 ans qui fait une pneumonie et qui retourne chez lui une fois guéri. «Aujourd'hui, les patients sont de plus en plus âgés, ils vivent de plus en plus longtemps, mais pas nécessairement en bonne santé. Beaucoup d'entre eux ont des maladies chroniques. Notre modèle de santé n'est pas encore adapté. Nous sommes en train de faire un virage», indique la Dre Douyon en reconnaissant que le processus est long.
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Le palmarès des urgences du Québec (3421 ko) Image jpg
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Merci énormément tout le monde!
Sauf que j,peux pas croire que la mienne est coté B+ batard! C'est l'enfer y attendre, meme qu'ils ont un systeme de triage qui fait en sorte que si t'arrives mettons 4 ieme a l'urgence, tu peux facilement tomber la 30 ieme facilement au fur et a mesure que les gens arrivent dans la salle d'attente pour passer a l'urgence.
J,me suis déja vu y retourner 3 jours consécutives et la 3 ieme journée, je me suis jurée que si je passais pas, j'allais a l'hopital de Maria pour passer a l'urgence, ils sont tres rapides eux!
Le pire c'est que j'avais une streptocoque et la 3 ieme journée, je ne m'endurais plus alors je me suis présentée a l'urgence a 5h30 le matin et je me suis fait dire que je devais attendre a 8h pour passer, le docteur dormait!
B+ ...
Sauf que j,peux pas croire que la mienne est coté B+ batard! C'est l'enfer y attendre, meme qu'ils ont un systeme de triage qui fait en sorte que si t'arrives mettons 4 ieme a l'urgence, tu peux facilement tomber la 30 ieme facilement au fur et a mesure que les gens arrivent dans la salle d'attente pour passer a l'urgence.
J,me suis déja vu y retourner 3 jours consécutives et la 3 ieme journée, je me suis jurée que si je passais pas, j'allais a l'hopital de Maria pour passer a l'urgence, ils sont tres rapides eux!
Le pire c'est que j'avais une streptocoque et la 3 ieme journée, je ne m'endurais plus alors je me suis présentée a l'urgence a 5h30 le matin et je me suis fait dire que je devais attendre a 8h pour passer, le docteur dormait!
B+ ...
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : lun. nov. 03, 2003 1:00 am
Petale26 a écritMerci énormément tout le monde!
Sauf que j,peux pas croire que la mienne est coté B+ batard! C'est l'enfer y attendre, meme qu'ils ont un systeme de triage qui fait en sorte que si t'arrives mettons 4 ieme a l'urgence, tu peux facilement tomber la 30 ieme facilement au fur et a mesure que les gens arrivent dans la salle d'attente pour passer a l'urgence.
J,me suis déja vu y retourner 3 jours consécutives et la 3 ieme journée, je me suis jurée que si je passais pas, j'allais a l'hopital de Maria pour passer a l'urgence, ils sont tres rapides eux!
Le pire c'est que j'avais une streptocoque et la 3 ieme journée, je ne m'endurais plus alors je me suis présentée a l'urgence a 5h30 le matin et je me suis fait dire que je devais attendre a 8h pour passer, le docteur dormait!
B+ ...
bof moi selon moi, ses classements sont pas toujours bon.
ils se fient à des données mais en réalité c'est peut-etre pas la meme situation. on peut etre fait leur évaluation une semaine que ca allait ben dans cette hopital OU que tu y es allé dans un mauvais moment
Sauf que j,peux pas croire que la mienne est coté B+ batard! C'est l'enfer y attendre, meme qu'ils ont un systeme de triage qui fait en sorte que si t'arrives mettons 4 ieme a l'urgence, tu peux facilement tomber la 30 ieme facilement au fur et a mesure que les gens arrivent dans la salle d'attente pour passer a l'urgence.
J,me suis déja vu y retourner 3 jours consécutives et la 3 ieme journée, je me suis jurée que si je passais pas, j'allais a l'hopital de Maria pour passer a l'urgence, ils sont tres rapides eux!
Le pire c'est que j'avais une streptocoque et la 3 ieme journée, je ne m'endurais plus alors je me suis présentée a l'urgence a 5h30 le matin et je me suis fait dire que je devais attendre a 8h pour passer, le docteur dormait!
B+ ...
bof moi selon moi, ses classements sont pas toujours bon.
ils se fient à des données mais en réalité c'est peut-etre pas la meme situation. on peut etre fait leur évaluation une semaine que ca allait ben dans cette hopital OU que tu y es allé dans un mauvais moment