La souveraineté!
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BouleAMites_ a écrit C'était Jennifer Caroll (pas sûre de l'orthographe), et elle avait monté sur le podium avec un drapeau du Québec. Mais ce n'est pas trop clair, cette histoire-là...
Crime il y a pas grand chose sur Google qui traite de cet incident mais voici ce que j'ai trouvé de plus explicatif:
"(...)La médaillée d'argent des Jeux de Manchester a subi les foudres de son entraîneur et de Natation Canada à la suite de l'incident.
Son entraîneur, Dave Johnson, avait même recommandé la suspension de la nageuse pour une période de six mois. (...) "
http://lcn.canoe.com/sports/nouvelles/a ... 65753.html
Crime il y a pas grand chose sur Google qui traite de cet incident mais voici ce que j'ai trouvé de plus explicatif:
"(...)La médaillée d'argent des Jeux de Manchester a subi les foudres de son entraîneur et de Natation Canada à la suite de l'incident.
Son entraîneur, Dave Johnson, avait même recommandé la suspension de la nageuse pour une période de six mois. (...) "
http://lcn.canoe.com/sports/nouvelles/a ... 65753.html
Charest brandira le spectre d'un référendum pour se faire réélire
Il est de bon ton, en certains milieux, de croire que le désaveu de la population envers le gouvernement Charest est tel que sa défaite aux prochaines élections paraît déjà inéluctable.
Pourtant, loin de s'avouer vaincu, le premier ministre Jean Charest est persuadé d'avoir trouvé l'argument massue pour convaincre la population de lui confier un second mandat: brandir le spectre d'un nouveau référendum.
«En proposant de diviser profondément la société québécoise, de nous replonger dans une chicane référendaire qui va nous diviser profondément, qui va créer des conflits, c'est une invitation que les Québécois vont refuser», est d'avis M. Charest.
Lors une entrevue de fin d'année à La Presse Canadienne, le chef du gouvernement québécois s'est montré caustique envers son nouveau rival, le chef du Parti québécois, André Boisclair.
Il estime que la plus grande faiblesse de ce dernier est de ne pas avoir pris ses distances du programme du parti, en s'engageant à «faire un référendum le plus vite possible, sachant qu'il va nous plonger dans plusieurs années de perturbations, comme l'a dit Pauline Marois».
«Est-ce que c'est un avenir dans lequel vous voulez qu'André Boisclair vous plonge, sans vous dire par ailleurs les conséquences de ce qu'il propose?'
Voilà donc le genre de questions que Jean Charest posera aux électeurs, lors du prochain scrutin, attendu normalement au printemps 2007.
Une autre question risque de hanter le chef péquiste lors de la prochaine campagne électorale, selon M. Charest: sa consommation passée de cocaïne.
Au risque associé à un référendum sur la souveraineté s'ajouterait donc, aux yeux de l'électorat, celui de confier le pouvoir à un homme qui fréquentait une drogue dure alors qu'il était membre du gouvernement.
«Les gens vont certainement être préoccupés du fait que, comme ministre du gouvernement, il consommait de la cocaïne. C'est un fait. Aux citoyens de juger de l'impact que cela aura pour sa capacité de gouverner», a-t-il indiqué.
À propos de la présente campagne électorale fédérale, M. Charest égratigne une fois de plus son rival péquiste, auquel il reproche d'être à la remorque du chef du Bloc québécois, Giles Duceppe.
«M. Boisclair a décidé que non seulement il allait porter les bagages de Gilles Duceppe, mais qu'il allait porter le message de Duceppe, et cela n'est pas dans l'intérêt du Québec», selon lui, qui, en revanche, prétend parler «au nom de tous les Québécois».
Paul Martin: pas de contradiction
Invité par ailleurs à commenter l'apparente volte-face du premier ministre Paul Martin quant à la place du Québec sur la scène internationale, M. Charest se montre peu enclin à critiquer son homologue fédéral.
M. Martin a dit cette semaine que le Canada ne doit parler que «d'une seule voix», alors qu'au cours de la dernière campagne fédérale, en mai 2004, il s'était montré très ouvert aux revendications du Québec à ce chapitre.
«M. Martin dit une chose qu'on ne peut pas prétendre être fausse, dans la mesure où il dit: on parle d'une seule voix. On n'a jamais prétendu que le fait que le Québec parle contredisait le reste du Canada. Ca n'a jamais été une contradiction», selon lui.
«Il y a une réalité fédéraliste incontournable, c'est que dans nos domaines de compétence, il n'y a que nous qui pouvons parler pour nous-mêmes. C'est pas une contradiction avec le Canada», a-t-il fait valoir.
Jean Charest dit avoir hâte au début de la «vraie» campagne, qui va démarrer après les Fêtes. Il répète son engagement de ne pas prendre position dans la campagne fédérale, tout en clamant l'importance, pour lui, «de tout mettre en oeuvre pour que durant la grande campagne on puisse répondre à des questions précises qui touchent les Québécois».
Sauf que le premier ministre devra suivre la campagne électorale à distance. Après le congé des Fêtes, il quitte le pays pour l'Inde, en vue de diriger une mission économique qui le conduira à New Delhi, Bombay (Mumbai) et Calcutta (Kolkotta), où il participera à un grand sommet vers lequel convergeront les grands décideurs économiques de l'Asie.
Il reviendra juste à temps pour voter.
Il est de bon ton, en certains milieux, de croire que le désaveu de la population envers le gouvernement Charest est tel que sa défaite aux prochaines élections paraît déjà inéluctable.
Pourtant, loin de s'avouer vaincu, le premier ministre Jean Charest est persuadé d'avoir trouvé l'argument massue pour convaincre la population de lui confier un second mandat: brandir le spectre d'un nouveau référendum.
«En proposant de diviser profondément la société québécoise, de nous replonger dans une chicane référendaire qui va nous diviser profondément, qui va créer des conflits, c'est une invitation que les Québécois vont refuser», est d'avis M. Charest.
Lors une entrevue de fin d'année à La Presse Canadienne, le chef du gouvernement québécois s'est montré caustique envers son nouveau rival, le chef du Parti québécois, André Boisclair.
Il estime que la plus grande faiblesse de ce dernier est de ne pas avoir pris ses distances du programme du parti, en s'engageant à «faire un référendum le plus vite possible, sachant qu'il va nous plonger dans plusieurs années de perturbations, comme l'a dit Pauline Marois».
«Est-ce que c'est un avenir dans lequel vous voulez qu'André Boisclair vous plonge, sans vous dire par ailleurs les conséquences de ce qu'il propose?'
Voilà donc le genre de questions que Jean Charest posera aux électeurs, lors du prochain scrutin, attendu normalement au printemps 2007.
Une autre question risque de hanter le chef péquiste lors de la prochaine campagne électorale, selon M. Charest: sa consommation passée de cocaïne.
Au risque associé à un référendum sur la souveraineté s'ajouterait donc, aux yeux de l'électorat, celui de confier le pouvoir à un homme qui fréquentait une drogue dure alors qu'il était membre du gouvernement.
«Les gens vont certainement être préoccupés du fait que, comme ministre du gouvernement, il consommait de la cocaïne. C'est un fait. Aux citoyens de juger de l'impact que cela aura pour sa capacité de gouverner», a-t-il indiqué.
À propos de la présente campagne électorale fédérale, M. Charest égratigne une fois de plus son rival péquiste, auquel il reproche d'être à la remorque du chef du Bloc québécois, Giles Duceppe.
«M. Boisclair a décidé que non seulement il allait porter les bagages de Gilles Duceppe, mais qu'il allait porter le message de Duceppe, et cela n'est pas dans l'intérêt du Québec», selon lui, qui, en revanche, prétend parler «au nom de tous les Québécois».
Paul Martin: pas de contradiction
Invité par ailleurs à commenter l'apparente volte-face du premier ministre Paul Martin quant à la place du Québec sur la scène internationale, M. Charest se montre peu enclin à critiquer son homologue fédéral.
M. Martin a dit cette semaine que le Canada ne doit parler que «d'une seule voix», alors qu'au cours de la dernière campagne fédérale, en mai 2004, il s'était montré très ouvert aux revendications du Québec à ce chapitre.
«M. Martin dit une chose qu'on ne peut pas prétendre être fausse, dans la mesure où il dit: on parle d'une seule voix. On n'a jamais prétendu que le fait que le Québec parle contredisait le reste du Canada. Ca n'a jamais été une contradiction», selon lui.
«Il y a une réalité fédéraliste incontournable, c'est que dans nos domaines de compétence, il n'y a que nous qui pouvons parler pour nous-mêmes. C'est pas une contradiction avec le Canada», a-t-il fait valoir.
Jean Charest dit avoir hâte au début de la «vraie» campagne, qui va démarrer après les Fêtes. Il répète son engagement de ne pas prendre position dans la campagne fédérale, tout en clamant l'importance, pour lui, «de tout mettre en oeuvre pour que durant la grande campagne on puisse répondre à des questions précises qui touchent les Québécois».
Sauf que le premier ministre devra suivre la campagne électorale à distance. Après le congé des Fêtes, il quitte le pays pour l'Inde, en vue de diriger une mission économique qui le conduira à New Delhi, Bombay (Mumbai) et Calcutta (Kolkotta), où il participera à un grand sommet vers lequel convergeront les grands décideurs économiques de l'Asie.
Il reviendra juste à temps pour voter.
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tipet a écrit
Crime il y a pas grand chose sur Google qui traite de cet incident mais voici ce que j'ai trouvé de plus explicatif:
"(...)La médaillée d'argent des Jeux de Manchester a subi les foudres de son entraîneur et de Natation Canada à la suite de l'incident.
Son entraîneur, Dave Johnson, avait même recommandé la suspension de la nageuse pour une période de six mois. (...) "
http://lcn.canoe.com/sports/nouvelles/a ... 65753.html
Je n'ai pas accès aux archives, mais je sais qu'à un certain moment, Pierre Foglia, dans La Presse, avait écrit un article sur le sujet. C'était moins clair que ça semblait l'être à première vue, en fait il donnait un peu raison à Johnson. Ma mémoire est floue et je ne peux pas dire que c'est Foglia qui a LA vérité, mais bon, j'ai juste pensé le mentionner...
Ceci dit, je n'aime pas particulièrement Johnson non plus... Mais bon, enfin, il est parti, et vive son remplaçant! (J'ai oublié son nom, shame on me!)
Crime il y a pas grand chose sur Google qui traite de cet incident mais voici ce que j'ai trouvé de plus explicatif:
"(...)La médaillée d'argent des Jeux de Manchester a subi les foudres de son entraîneur et de Natation Canada à la suite de l'incident.
Son entraîneur, Dave Johnson, avait même recommandé la suspension de la nageuse pour une période de six mois. (...) "
http://lcn.canoe.com/sports/nouvelles/a ... 65753.html
Je n'ai pas accès aux archives, mais je sais qu'à un certain moment, Pierre Foglia, dans La Presse, avait écrit un article sur le sujet. C'était moins clair que ça semblait l'être à première vue, en fait il donnait un peu raison à Johnson. Ma mémoire est floue et je ne peux pas dire que c'est Foglia qui a LA vérité, mais bon, j'ai juste pensé le mentionner...
Ceci dit, je n'aime pas particulièrement Johnson non plus... Mais bon, enfin, il est parti, et vive son remplaçant! (J'ai oublié son nom, shame on me!)
Je n'ai pas tout lu mais une bonne partie. Je retiens comme premier argument ou celui qui est revenu le plus souvent dans ce que j'ai lu, le déséquilibre fiscal. Je suis d'accord sur ce point, par contre nous ne sommes pas la seule province qui le subit donc cet argument peut en être un entre plusieurs autres seulement. Si le Canada était une vrai confédération ce problème serait inexistant.
Pour que le Québec désire sa souveraineté, il faut plus qu'un problème de partage des impôts.
J'ai ce texte d'opinion qui définit les raisons de l'indépendance que certains trouveront trop ethnique.
Les raisons profondes de faire l'indépendance
Denis MONIÈRE
juillet-août 2000
--------------------------------------------------------------------------------
Nous sommes des Québécois. Cela veut dire que le
Québec est le seul coin du monde où nous puissions être
pleinement nous-mêmes.
René Lévesque, Option Québec
POURQUOI refuser d'être Canadien? Pourquoi vouloir un Québec souverain ? Quels sont les arguments qui sont employés pour justifier le changement de statut politique du Québec ?
L'argument clé consiste à soutenir qu'historiquement et sociologiquement, la population québécoise forme un peuple qui, dans le cadre du système politique canadien, ne peut exister qu'à titre de minorité ethnique, ce qui implique que le peuple québécois ne peut se diriger lui-même et que son destin est dépendant de la majorité canadienne.
Accepter le statut de minorité ethnique signifierait que la communauté francophone qui est massivement concentrée sur le territoire du Québec renonce à l'égalité politique avec la majorité anglophone et remette son sort entre les mains de cette dernière. Cette subordination impliquerait aussi qu'elle renonce à son identité spécifique et qu'elle se fonde dans l'identité nationale canadienne.
L'évolution du statut d'une langue est une question de rapport de forces démographique et politique et ne peut être laissée aux hasards des ambitions individuelles. Comme le Québec est le seul territoire où les francophones sont en majorité et peuvent contrôler un gouvernement et puisque la plupart des Québécois s'identifient d'abord et avant tout comme Québécois, il revient à l'État du Québec d'assurer la promotion de la langue française et de l'identité québécoise.
Or, cette exigence est inconciliable avec le nationalisme canadien qui non seulement refuse de reconnaître l'existence du peuple québécois mais qui combat activement l'affirmation identitaire québécoise.
Pour sortir d'un système de domination
Les souverainistes considèrent que le Canada est fondé sur une oppression nationale et que la constitution canadienne n'a pas de légitimité historique puisqu'elle a été adoptée par un parlement étranger pour satisfaire les intérêts de l'Empire britannique et qu'elle n'a jamais été ratifiée par le peuple.
Cet argument de l'absence de légitimité a été repris plus récemment à la suite du rapatriement de la constitution en 1981-1982 qui a eu pour effet d'imposer une formule d'amendement et une charte des droits sans que la population ne soit consultée et en dépit d'un désaccord formel et bipartisan de l'Assemblée nationale du Québec.
La domination politique du Québec à l'intérieur du système canadien va de pair avec l'évolution démographique du Canada car la proportion de la population québécoise diminue constamment dans l'ensemble canadien. On peut désormais gouverner le Canada sans tenir compte du Québec.
Pour rendre la gestion des affaires publiques plus rationnelle
Le discours souverainiste entretient et renouvelle périodiquement son arsenal de critiques du fonctionnement du fédéralisme canadien.
On dénonce les tendances à la centralisation, à l'uniformisation, les effets structurels délétères sur le développement économique du Québec, les conflits de juridiction qui nuisent à l'efficacité de la gestion du bien public, les abus du pouvoir de dépenser, les réductions des paiements de transfert, les iniquités dans les subventions, etc.
Il s'agit de démontrer que non seulement le Québec n'a pas les pouvoirs suffisants pour assumer des responsabilités normales d'un Etat national, mais aussi qu'il y a de nombreux chevauchements de compétences entre les deux paliers de gouvernement et que le gouvernement fédéral a tendance à s'ingérer de plus en plus dans les champs de juridiction provinciale afin d'imposer des politiques et des normes nationales qui restreignent d'autant l'autonomie des provinces.
Le rapport de la Commission Bélanger-Campeau illustre parfaitement ces critiques. On y soutenait entre autres que les conflits de juridiction nuisaient à l'assainissement des finances publique et que la concurrence entre les deux niveaux de gouvernement produisait du gaspillage de ressources et des incohérences dans les politiques publiques.
La plus récente manifestation de ces dédoublements fut les bourses du millénaire qui dédoublaient le système québécois des prêts-bourses. Le fédéralisme, aux dires des souverainistes, engendre donc un déficit de rationalité que la souveraineté pourrait corriger.
Un État souverain donnerait aussi aux Québécois le contrôle des leviers de développement économique et social. Le Québec ne serait plus à la merci du gouvernement fédéral qui change unilatéralement les règles du jeu et réduit d'autant l'efficacité des politiques québécoises.
Pour améliorer le fonctionnement de la démocratie
L'État canadien ne satisfait pas les hautes exigences d'une société démocratique. C'est d'abord une monarchie et même si on nous dit que celle-ci n'est que symbolique, il en découle Implicitement une conception dirigiste du gouvernement.
Le déficit démocratique se manifeste aussi dans les déséquilibres entre les ressources financières qu'accapare le gouvernement fédéral et les responsabilités qu'ont à assumer les provinces qui, elles, n'ont pas les revenus nécessaires pour remplir leurs obligations. Les services les plus coûteux sont de juridiction provinciale alors que les provinces n'ont pas les capacités fiscales et financières.
Raisons pour l'indépendance
Contrairement à ce que prétendent les fédéralistes, la constitution des grands ensembles économiques est compatible avec la souveraineté des petites nations. Plus les tendances à la mondialisation économique s'affirment, plus les espaces politiques tendent à recouper les identités nationales.
Ce phénomene est attesté par l'émergence d'un grand nombre de nouvelles nations. Plus les centres de décision s'internationalisent, plus une nation doit être présente pour faire valoir ses intérêts et participer aux décisions.
Pour débloquer l'impasse constitutionnelle
Depuis le rapatriement unilatéral de la Constitution, le fédéralisme n'est pas réformable. Après quarante ans de négociations constitutionnelles, tous les partis qui se sont succédé au pouvoir ont échoué dans leurs tentatives d'obtenir une révision du partage des pouvoirs.
Au lieu d'accroître ses champs de juridiction, le Québec a au contraire perdu la maîtrise de la politique linguistique, de la politique sociale et de la politique culturelle. L'introduction de la Charte des droits et les différents jugements de la Cour suprême ont réduit l'autonomie provinciale comme une peau de chagrin.
Les autorités politiques canadiennes et les Canadiens veulent un système où le gouvernement fédéral se comporte comme un gouvernement national et décide pour l'ensemble du Canada. Il n'y a donc plus d'espoir et d'espaces pour la thèse du statut particulier. Les Canadiens jugent inacceptable un fédéralisme à géométrie variable. Le fédéralisme ne peut plus être réformé dans le respect des besoins du Québec.
Pour ne plus être minoritaire
Tout en étant conjoncturellement pertinents, ces arguments évoqués précédemment ne sont pas fondamentaux. Le vice fondamental du fédéralisme canadien est qu'il ne permet pas de réconcilier le besoin d'identité collective et le désir de liberté individuelle, qu'il enferme l'individu dans la logique de l'ethnicité et fait du Canadien français un être enchaîné au carcan de la survivance.
Cette situation n'a rien de stimulant, rien qui invite au dépassement de soi ou qui pousse à l'audace créatrice. À ce destin replié, courbé sous les vents de l'histoire et écrasé par l'infériorité numérique, le souverainiste préfère les risques de vie qu'offre l'indépendance.
C'est le sens de l'appartenance, la définition de l'identité qui est l'enjeu majeur de la souveraineté où nous avons à choisir entre le statut de minorité et le statut de peuple.
Que sera la nation québécoise ?
L'indépendance politique nous ouvrira les portes de la modernité. Après deux siècles de subordination politique, nous retrouverons tous les pouvoirs indispensables pour construire une société qui nous ressemble.
Pour que le Québec désire sa souveraineté, il faut plus qu'un problème de partage des impôts.
J'ai ce texte d'opinion qui définit les raisons de l'indépendance que certains trouveront trop ethnique.
Les raisons profondes de faire l'indépendance
Denis MONIÈRE
juillet-août 2000
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Nous sommes des Québécois. Cela veut dire que le
Québec est le seul coin du monde où nous puissions être
pleinement nous-mêmes.
René Lévesque, Option Québec
POURQUOI refuser d'être Canadien? Pourquoi vouloir un Québec souverain ? Quels sont les arguments qui sont employés pour justifier le changement de statut politique du Québec ?
L'argument clé consiste à soutenir qu'historiquement et sociologiquement, la population québécoise forme un peuple qui, dans le cadre du système politique canadien, ne peut exister qu'à titre de minorité ethnique, ce qui implique que le peuple québécois ne peut se diriger lui-même et que son destin est dépendant de la majorité canadienne.
Accepter le statut de minorité ethnique signifierait que la communauté francophone qui est massivement concentrée sur le territoire du Québec renonce à l'égalité politique avec la majorité anglophone et remette son sort entre les mains de cette dernière. Cette subordination impliquerait aussi qu'elle renonce à son identité spécifique et qu'elle se fonde dans l'identité nationale canadienne.
L'évolution du statut d'une langue est une question de rapport de forces démographique et politique et ne peut être laissée aux hasards des ambitions individuelles. Comme le Québec est le seul territoire où les francophones sont en majorité et peuvent contrôler un gouvernement et puisque la plupart des Québécois s'identifient d'abord et avant tout comme Québécois, il revient à l'État du Québec d'assurer la promotion de la langue française et de l'identité québécoise.
Or, cette exigence est inconciliable avec le nationalisme canadien qui non seulement refuse de reconnaître l'existence du peuple québécois mais qui combat activement l'affirmation identitaire québécoise.
Pour sortir d'un système de domination
Les souverainistes considèrent que le Canada est fondé sur une oppression nationale et que la constitution canadienne n'a pas de légitimité historique puisqu'elle a été adoptée par un parlement étranger pour satisfaire les intérêts de l'Empire britannique et qu'elle n'a jamais été ratifiée par le peuple.
Cet argument de l'absence de légitimité a été repris plus récemment à la suite du rapatriement de la constitution en 1981-1982 qui a eu pour effet d'imposer une formule d'amendement et une charte des droits sans que la population ne soit consultée et en dépit d'un désaccord formel et bipartisan de l'Assemblée nationale du Québec.
La domination politique du Québec à l'intérieur du système canadien va de pair avec l'évolution démographique du Canada car la proportion de la population québécoise diminue constamment dans l'ensemble canadien. On peut désormais gouverner le Canada sans tenir compte du Québec.
Pour rendre la gestion des affaires publiques plus rationnelle
Le discours souverainiste entretient et renouvelle périodiquement son arsenal de critiques du fonctionnement du fédéralisme canadien.
On dénonce les tendances à la centralisation, à l'uniformisation, les effets structurels délétères sur le développement économique du Québec, les conflits de juridiction qui nuisent à l'efficacité de la gestion du bien public, les abus du pouvoir de dépenser, les réductions des paiements de transfert, les iniquités dans les subventions, etc.
Il s'agit de démontrer que non seulement le Québec n'a pas les pouvoirs suffisants pour assumer des responsabilités normales d'un Etat national, mais aussi qu'il y a de nombreux chevauchements de compétences entre les deux paliers de gouvernement et que le gouvernement fédéral a tendance à s'ingérer de plus en plus dans les champs de juridiction provinciale afin d'imposer des politiques et des normes nationales qui restreignent d'autant l'autonomie des provinces.
Le rapport de la Commission Bélanger-Campeau illustre parfaitement ces critiques. On y soutenait entre autres que les conflits de juridiction nuisaient à l'assainissement des finances publique et que la concurrence entre les deux niveaux de gouvernement produisait du gaspillage de ressources et des incohérences dans les politiques publiques.
La plus récente manifestation de ces dédoublements fut les bourses du millénaire qui dédoublaient le système québécois des prêts-bourses. Le fédéralisme, aux dires des souverainistes, engendre donc un déficit de rationalité que la souveraineté pourrait corriger.
Un État souverain donnerait aussi aux Québécois le contrôle des leviers de développement économique et social. Le Québec ne serait plus à la merci du gouvernement fédéral qui change unilatéralement les règles du jeu et réduit d'autant l'efficacité des politiques québécoises.
Pour améliorer le fonctionnement de la démocratie
L'État canadien ne satisfait pas les hautes exigences d'une société démocratique. C'est d'abord une monarchie et même si on nous dit que celle-ci n'est que symbolique, il en découle Implicitement une conception dirigiste du gouvernement.
Le déficit démocratique se manifeste aussi dans les déséquilibres entre les ressources financières qu'accapare le gouvernement fédéral et les responsabilités qu'ont à assumer les provinces qui, elles, n'ont pas les revenus nécessaires pour remplir leurs obligations. Les services les plus coûteux sont de juridiction provinciale alors que les provinces n'ont pas les capacités fiscales et financières.
Raisons pour l'indépendance
Contrairement à ce que prétendent les fédéralistes, la constitution des grands ensembles économiques est compatible avec la souveraineté des petites nations. Plus les tendances à la mondialisation économique s'affirment, plus les espaces politiques tendent à recouper les identités nationales.
Ce phénomene est attesté par l'émergence d'un grand nombre de nouvelles nations. Plus les centres de décision s'internationalisent, plus une nation doit être présente pour faire valoir ses intérêts et participer aux décisions.
Pour débloquer l'impasse constitutionnelle
Depuis le rapatriement unilatéral de la Constitution, le fédéralisme n'est pas réformable. Après quarante ans de négociations constitutionnelles, tous les partis qui se sont succédé au pouvoir ont échoué dans leurs tentatives d'obtenir une révision du partage des pouvoirs.
Au lieu d'accroître ses champs de juridiction, le Québec a au contraire perdu la maîtrise de la politique linguistique, de la politique sociale et de la politique culturelle. L'introduction de la Charte des droits et les différents jugements de la Cour suprême ont réduit l'autonomie provinciale comme une peau de chagrin.
Les autorités politiques canadiennes et les Canadiens veulent un système où le gouvernement fédéral se comporte comme un gouvernement national et décide pour l'ensemble du Canada. Il n'y a donc plus d'espoir et d'espaces pour la thèse du statut particulier. Les Canadiens jugent inacceptable un fédéralisme à géométrie variable. Le fédéralisme ne peut plus être réformé dans le respect des besoins du Québec.
Pour ne plus être minoritaire
Tout en étant conjoncturellement pertinents, ces arguments évoqués précédemment ne sont pas fondamentaux. Le vice fondamental du fédéralisme canadien est qu'il ne permet pas de réconcilier le besoin d'identité collective et le désir de liberté individuelle, qu'il enferme l'individu dans la logique de l'ethnicité et fait du Canadien français un être enchaîné au carcan de la survivance.
Cette situation n'a rien de stimulant, rien qui invite au dépassement de soi ou qui pousse à l'audace créatrice. À ce destin replié, courbé sous les vents de l'histoire et écrasé par l'infériorité numérique, le souverainiste préfère les risques de vie qu'offre l'indépendance.
C'est le sens de l'appartenance, la définition de l'identité qui est l'enjeu majeur de la souveraineté où nous avons à choisir entre le statut de minorité et le statut de peuple.
Que sera la nation québécoise ?
L'indépendance politique nous ouvrira les portes de la modernité. Après deux siècles de subordination politique, nous retrouverons tous les pouvoirs indispensables pour construire une société qui nous ressemble.
j'ai un petit grain de sel a ajouter!!!!!
j'aimerais bien que l'on arrete de se comparer à tout le monde!
je trouve les arguments qui nous compare a d'autre très peu solide car oui la cour de certain voisin sera toujours enviable et oui la cour de d'autre voisin sera toujours pire que la notre mais, pouvons nous arreter de se comparer et être Nous!!!!
c'est pas parce que c'est pire ailleurs que nous ne devons pas aspirer a plus et ce n'est pas parce que c'est mieux ailleurs que mous ne pouvons pas être ce que nous voulons!
bref, ce n'est pas parce que nous ne sommes pas les pires dans tel domaine que nous devons pas aspirer a être meilleur!
voilà c'était mon petit grain de sel car je suis tanné d'entendre oui mais ailleurs blablabla..... alors pourquoi nous .......j'ai l'impression d'avoir a me sentir inférieur dans ces temps la et je n'aime pas ca!
j'espere juste etre clair hihi!
j'aimerais bien que l'on arrete de se comparer à tout le monde!
je trouve les arguments qui nous compare a d'autre très peu solide car oui la cour de certain voisin sera toujours enviable et oui la cour de d'autre voisin sera toujours pire que la notre mais, pouvons nous arreter de se comparer et être Nous!!!!
c'est pas parce que c'est pire ailleurs que nous ne devons pas aspirer a plus et ce n'est pas parce que c'est mieux ailleurs que mous ne pouvons pas être ce que nous voulons!
bref, ce n'est pas parce que nous ne sommes pas les pires dans tel domaine que nous devons pas aspirer a être meilleur!
voilà c'était mon petit grain de sel car je suis tanné d'entendre oui mais ailleurs blablabla..... alors pourquoi nous .......j'ai l'impression d'avoir a me sentir inférieur dans ces temps la et je n'aime pas ca!
j'espere juste etre clair hihi!


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BouleAMites_ a écrit Je n'ai pas accès aux archives, mais je sais qu'à un certain moment, Pierre Foglia, dans La Presse, avait écrit un article sur le sujet. C'était moins clair que ça semblait l'être à première vue, en fait il donnait un peu raison à Johnson. Ma mémoire est floue et je ne peux pas dire que c'est Foglia qui a LA vérité, mais bon, j'ai juste pensé le mentionner...
Ceci dit, je n'aime pas particulièrement Johnson non plus... Mais bon, enfin, il est parti, et vive son remplaçant! (J'ai oublié son nom, shame on me!)
En faisant une recherche pour avoir des explications sur cet incident, je suis tombée sur une entrevue avec Johnson qui avouait lui-même y être allé un peu loin. La journaliste lui a demandé pourquoi Carroll n'avait pas pu monter sur le podium avec son drapeau québécois et que Lemay-Doan (pas sûre de l'ortho) avait pu apporter un drapeau de la Saskatchewan sur son podium. Johnson a répondu qu'elle avait le drapeau canadien avec elle aussi, mais Carrol aussi semble-t-il, le journaliste lui faisant remarquer, Jonhson avoue que l'incident a pris des proportions exagéré et qu'il avait sa part de responsabilité.
D'ailleurs cet incident à crée un précédent, maintenant les athlèthes peuvent apporter le drapeau qu'ils veulent.
Et Foglia Qu'est-ce qu'il en dirait pas pour aller dans le sens contraire de tout le monde *Commentaire purement gratuit et sans fondement qui n'apportera absolument rien dans la discussion, j'en suis complètement consciente *
Ceci dit, je n'aime pas particulièrement Johnson non plus... Mais bon, enfin, il est parti, et vive son remplaçant! (J'ai oublié son nom, shame on me!)
En faisant une recherche pour avoir des explications sur cet incident, je suis tombée sur une entrevue avec Johnson qui avouait lui-même y être allé un peu loin. La journaliste lui a demandé pourquoi Carroll n'avait pas pu monter sur le podium avec son drapeau québécois et que Lemay-Doan (pas sûre de l'ortho) avait pu apporter un drapeau de la Saskatchewan sur son podium. Johnson a répondu qu'elle avait le drapeau canadien avec elle aussi, mais Carrol aussi semble-t-il, le journaliste lui faisant remarquer, Jonhson avoue que l'incident a pris des proportions exagéré et qu'il avait sa part de responsabilité.
D'ailleurs cet incident à crée un précédent, maintenant les athlèthes peuvent apporter le drapeau qu'ils veulent.
Et Foglia Qu'est-ce qu'il en dirait pas pour aller dans le sens contraire de tout le monde *Commentaire purement gratuit et sans fondement qui n'apportera absolument rien dans la discussion, j'en suis complètement consciente *
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J'aime bien ce topic!! Je ne m'y connais pas beaucoup en politique et je l'avoue, ce que j'entend à la télévision me décourage...mais avec ce que j'ai lu ici et les liens que Raven nous a donné (que je vais lire dans pas long ) m'ont et vont m'éclairer sur certaines choses que je ne connaissait pas nécessairement...
En passant Raven, tu devrais devenir professeur!! Tu es un très bon vulgarisateur et on comprend beaucoup de choses par tes écrits!!
En passant Raven, tu devrais devenir professeur!! Tu es un très bon vulgarisateur et on comprend beaucoup de choses par tes écrits!!
Cherry a écritJ'aime bien ce topic!! Je ne m'y connais pas beaucoup en politique et je l'avoue, ce que j'entend à la télévision me décourage...mais avec ce que j'ai lu ici et les liens que Raven nous a donné (que je vais lire dans pas long ) m'ont et vont m'éclairer sur certaines choses que je ne connaissait pas nécessairement...
En passant Raven, tu devrais devenir professeur!! Tu es un très bon vulgarisateur et on comprend beaucoup de choses par tes écrits!!
Ah ben merci, c'est possiblement ce que je vais faire
Pour ce qui est des rapports et études que j'ai mis, je crois en effet qu'elles permettent de voir plus clair Malheureusement, j'ai cherché longtemps hier sur Internet la Commision Bélanger-Campeau qui a été réalisée en 1991 sur l'avenir constitutionnel du Québec, et je ne l'ai pas trouvé en version complète... J'aurais aimé cela vous copier ce lien, car cette étude à pour mérite d'être réalisé conjointement par le PLQ et le PQ et a tenté de rester neutre tout le long de la commission. Elle est très intéressante, je la cite souvent d'ailleurs Si après la lecture des rapports que j'ai copiés tu en veux encore plus, je te conseillerais cette commission qui est disponible dans toutes les Universités du QuébecEt si quelqu'un la trouve sur le net, venez nous mettre un lien Ou peut-être que quelqu'un va la trouver sur le net
En passant Raven, tu devrais devenir professeur!! Tu es un très bon vulgarisateur et on comprend beaucoup de choses par tes écrits!!
Ah ben merci, c'est possiblement ce que je vais faire
Pour ce qui est des rapports et études que j'ai mis, je crois en effet qu'elles permettent de voir plus clair Malheureusement, j'ai cherché longtemps hier sur Internet la Commision Bélanger-Campeau qui a été réalisée en 1991 sur l'avenir constitutionnel du Québec, et je ne l'ai pas trouvé en version complète... J'aurais aimé cela vous copier ce lien, car cette étude à pour mérite d'être réalisé conjointement par le PLQ et le PQ et a tenté de rester neutre tout le long de la commission. Elle est très intéressante, je la cite souvent d'ailleurs Si après la lecture des rapports que j'ai copiés tu en veux encore plus, je te conseillerais cette commission qui est disponible dans toutes les Universités du QuébecEt si quelqu'un la trouve sur le net, venez nous mettre un lien Ou peut-être que quelqu'un va la trouver sur le net
Je te remercie beaucoup Raven!! Pour ce qui est de la constitution, si quelqu'un trouve le lien, j'aimerais bien l'avoir!! J'essaie de me renseigner pour les prochaines élections à venir! La politique est un domaine très complexe mais à 25 ans, je crois qu'il commence à être temps que je comprennent un peu les enjeux du Québec et du Canada!!
Bon, allons faire un peu de lecture
Bon, allons faire un peu de lecture
La constitution canadienne de 1867
http://lois.justice.gc.ca/fr/const/c1867_f.html
Loi constitutionnelle de 1982
http://lois.justice.gc.ca/fr/const/annex_f.html
Un document très interressant pour l'historique du rapatriement de la constitution. Tu as intérêt à l'imprimer car à un moment donné tu auras mal au cou avec les annexes.
ACTIVITÉ AU PLAN CONSTITUTIONNEL :
DU RAPATRIEMENT DE LA CONSTITUTION
À L'ACCORD DE CHARLOTTETOWN (1980-1992)
http://www.parl.gc.ca/information/libra ... %20société
Pour le rapport Bélanger-Campeau il est disponible à la Bibliothèque Nationale mais sur place seulement.
Bonne lecture.
http://lois.justice.gc.ca/fr/const/c1867_f.html
Loi constitutionnelle de 1982
http://lois.justice.gc.ca/fr/const/annex_f.html
Un document très interressant pour l'historique du rapatriement de la constitution. Tu as intérêt à l'imprimer car à un moment donné tu auras mal au cou avec les annexes.
ACTIVITÉ AU PLAN CONSTITUTIONNEL :
DU RAPATRIEMENT DE LA CONSTITUTION
À L'ACCORD DE CHARLOTTETOWN (1980-1992)
http://www.parl.gc.ca/information/libra ... %20société
Pour le rapport Bélanger-Campeau il est disponible à la Bibliothèque Nationale mais sur place seulement.
Bonne lecture.
ophelie20 a écritmais moi jai une question qui me trotte dans la tete!!!
il y a toujours deux coter a une medaille! alors je me dit que il ne peux pas y avoir que de bons points pour la souverainete..... c'est sure quil y des mauvais points...pas que jen cherche a tout prix la mais si quelqu'un peut en parler ou expliquer sa serait constructif je crois!
bon bien comme personne ne m'a répondu, je vais le prendre comme sil n'y avait pas de mauvais coter a la medaille!!! tant mieux alors....c'est juste que je voulais en savoir plus ;)
il y a toujours deux coter a une medaille! alors je me dit que il ne peux pas y avoir que de bons points pour la souverainete..... c'est sure quil y des mauvais points...pas que jen cherche a tout prix la mais si quelqu'un peut en parler ou expliquer sa serait constructif je crois!
bon bien comme personne ne m'a répondu, je vais le prendre comme sil n'y avait pas de mauvais coter a la medaille!!! tant mieux alors....c'est juste que je voulais en savoir plus ;)


ophelie20 a écrit
bon bien comme personne ne m'a répondu, je vais le prendre comme sil n'y avait pas de mauvais coter a la medaille!!! tant mieux alors....c'est juste que je voulais en savoir plus ;)
Je ne voulais pas répondre afin de laisser la chance aux fédéralistes de le faire eux-mêmes. Mais s'ils ne le font pas, je peu changer de camp l'instant de quelques heures afin de remettre du piquant dans le topic Mais je vais attendre encore un peu, ce serait plus objectif si quelqu'un de l'autre camp vous répondait
bon bien comme personne ne m'a répondu, je vais le prendre comme sil n'y avait pas de mauvais coter a la medaille!!! tant mieux alors....c'est juste que je voulais en savoir plus ;)
Je ne voulais pas répondre afin de laisser la chance aux fédéralistes de le faire eux-mêmes. Mais s'ils ne le font pas, je peu changer de camp l'instant de quelques heures afin de remettre du piquant dans le topic Mais je vais attendre encore un peu, ce serait plus objectif si quelqu'un de l'autre camp vous répondait
Raven a écrit
Je ne voulais pas répondre afin de laisser la chance aux fédéralistes de le faire eux-mêmes. Mais s'ils ne le font pas, je peu changer de camp l'instant de quelques heures afin de remettre du piquant dans le topic Mais je vais attendre encore un peu, ce serait plus objectif si quelqu'un de l'autre camp vous répondait
tu sais tu n'es pas obligé de me vouvoyer
Je ne voulais pas répondre afin de laisser la chance aux fédéralistes de le faire eux-mêmes. Mais s'ils ne le font pas, je peu changer de camp l'instant de quelques heures afin de remettre du piquant dans le topic Mais je vais attendre encore un peu, ce serait plus objectif si quelqu'un de l'autre camp vous répondait

tu sais tu n'es pas obligé de me vouvoyer

