Fidel Castro hospitalisé
État de santé précaire de Fidel Castro - Cuba garde le cap révolutionnaire
AFP
Édition du samedi 5 et du dimanche 6 août 2006
La Havane -- Le régime cubain, placé provisoirement sous la houlette de Raúl Castro, a réaffirmé hier sa volonté de maintenir le cap et opposé une fin de non-recevoir aux appels pour un «changement démocratique» venus des États-Unis.
L'organe officiel du Parti communiste cubain, Granma, s'est insurgé contre la première déclaration personnelle du président américain, George W. Bush, qui a appelé la population «à travailler au changement démocratique» sur l'île.
«Inadmissible», a estimé Granma, qui a qualifié de «projets annexionnistes» le plan d'aide préparé par les États-Unis en vue d'une transition démocratique sur l'île.
La Conférence des évêques catholiques de Cuba est par ailleurs sortie de son silence hier pour appeler à prier pour que Dieu «accompagne» le président Fidel Castro malade et qu'il «éclaire» ceux qui assurent l'intérim, dont son frère Raúl.
Dans son communiqué, la hiérarchie catholique a souligné «l'état de santé délicat» du chef de l'État et fait part de son inquiétude. L'appel, qui sera lu demain dans les églises, a été lancé car «il s'agit d'un moment particulièrement important» pour le peuple cubain, a-t-elle souligné.
Les médias cubains ont poursuivi leur campagne de «promotion» de Raúl Castro, éternel numéro deux, âgé de 75 ans, propulsé sur le devant de la scène par l'annonce lundi que son aîné avait été opéré et devait lui céder ses pouvoirs de président, chef du gouvernement, du parti et de l'armée.
Raúl Castro est «fermement à la barre de la nation», a affirmé Granma, dans un souci évident de rassurer et de légitimer le ministre de la Défense, qui n'est toujours pas apparu depuis sa désignation lundi à la tête de l'État cubain.
Sous le titre «Ce qui ne peut s'ignorer», Granma a publié une photo en une du frère cadet après sa capture en 1953 lors de l'assaut de la caserne de la Moncada, acte fondateur de l'épopée castriste.
Arrêté avant Fidel Castro, qui avait dirigé toute l'opération, Raúl en avait revendiqué la responsabilité : «Quelqu'un devait assumer», avait-il dit ensuite.
«C'est une histoire qui ne peut être ignorée au vu des événements actuels», a souligné le journal qui, la veille, avait invoqué «le droit historique» du ministre de la Défense à prendre les commandes.
Le noyau dirigeant de six personnes désigné par Fidel Castro pour entourer son frère Raúl est un subtil mélange entre la «vieille garde» du castrisme et une génération plus jeune.
Exilée à Miami, Juanita Castro, soeur cadette de Fidel et Raúl, a estimé que, si ce dernier prend le pouvoir, le changement offrira une occasion dont il faudra profiter, car il est «plus ouvert» que son frère Fidel, a-t-elle affirmé dans une interview publiée hier par le quotidien espagnol El Periodico. La propre fille de Fidel Castro, Alina Fernandez, qui a fui Cuba en 1993, a pour sa part déclaré hier que son oncle Raúl n'était pas un leader comme Fidel, «mais il a la plus forte institution de Cuba, l'armée, qui le soutient».
Alina Fernandez, qui s'exprimait sur la chaîne CNN, a encore estimé qu'il s'agissait d'«un moment vraiment critique pour Cuba».
L'invocation d'une possible «agression militaire» américaine reste omniprésente dans la propagande cubaine depuis la maladie du chef de l'État et accompagne une discrète mobilisation du puissant appareil de sécurité. «Nous autres, Cubains, sommes prêts à la défense» du pays, a souligné Granma.
AFP
Édition du samedi 5 et du dimanche 6 août 2006
La Havane -- Le régime cubain, placé provisoirement sous la houlette de Raúl Castro, a réaffirmé hier sa volonté de maintenir le cap et opposé une fin de non-recevoir aux appels pour un «changement démocratique» venus des États-Unis.
L'organe officiel du Parti communiste cubain, Granma, s'est insurgé contre la première déclaration personnelle du président américain, George W. Bush, qui a appelé la population «à travailler au changement démocratique» sur l'île.
«Inadmissible», a estimé Granma, qui a qualifié de «projets annexionnistes» le plan d'aide préparé par les États-Unis en vue d'une transition démocratique sur l'île.
La Conférence des évêques catholiques de Cuba est par ailleurs sortie de son silence hier pour appeler à prier pour que Dieu «accompagne» le président Fidel Castro malade et qu'il «éclaire» ceux qui assurent l'intérim, dont son frère Raúl.
Dans son communiqué, la hiérarchie catholique a souligné «l'état de santé délicat» du chef de l'État et fait part de son inquiétude. L'appel, qui sera lu demain dans les églises, a été lancé car «il s'agit d'un moment particulièrement important» pour le peuple cubain, a-t-elle souligné.
Les médias cubains ont poursuivi leur campagne de «promotion» de Raúl Castro, éternel numéro deux, âgé de 75 ans, propulsé sur le devant de la scène par l'annonce lundi que son aîné avait été opéré et devait lui céder ses pouvoirs de président, chef du gouvernement, du parti et de l'armée.
Raúl Castro est «fermement à la barre de la nation», a affirmé Granma, dans un souci évident de rassurer et de légitimer le ministre de la Défense, qui n'est toujours pas apparu depuis sa désignation lundi à la tête de l'État cubain.
Sous le titre «Ce qui ne peut s'ignorer», Granma a publié une photo en une du frère cadet après sa capture en 1953 lors de l'assaut de la caserne de la Moncada, acte fondateur de l'épopée castriste.
Arrêté avant Fidel Castro, qui avait dirigé toute l'opération, Raúl en avait revendiqué la responsabilité : «Quelqu'un devait assumer», avait-il dit ensuite.
«C'est une histoire qui ne peut être ignorée au vu des événements actuels», a souligné le journal qui, la veille, avait invoqué «le droit historique» du ministre de la Défense à prendre les commandes.
Le noyau dirigeant de six personnes désigné par Fidel Castro pour entourer son frère Raúl est un subtil mélange entre la «vieille garde» du castrisme et une génération plus jeune.
Exilée à Miami, Juanita Castro, soeur cadette de Fidel et Raúl, a estimé que, si ce dernier prend le pouvoir, le changement offrira une occasion dont il faudra profiter, car il est «plus ouvert» que son frère Fidel, a-t-elle affirmé dans une interview publiée hier par le quotidien espagnol El Periodico. La propre fille de Fidel Castro, Alina Fernandez, qui a fui Cuba en 1993, a pour sa part déclaré hier que son oncle Raúl n'était pas un leader comme Fidel, «mais il a la plus forte institution de Cuba, l'armée, qui le soutient».
Alina Fernandez, qui s'exprimait sur la chaîne CNN, a encore estimé qu'il s'agissait d'«un moment vraiment critique pour Cuba».
L'invocation d'une possible «agression militaire» américaine reste omniprésente dans la propagande cubaine depuis la maladie du chef de l'État et accompagne une discrète mobilisation du puissant appareil de sécurité. «Nous autres, Cubains, sommes prêts à la défense» du pays, a souligné Granma.
Le petit frèrot à 75 ans ne tiendra pas longtemps. Il va se perdre dans les chaussures de Fidel qui est ou était un homme absolument charismatique.
Ce sera la fin du Cuba que nous connaissons et ce sera tant mieux pour moi. La seul chose que j'ai peur est que ça finisse par une guerre civile car comment instauré un état démocratique quand deux générations n'ont appris qu'à attendre que l'état subvienne à leur besoin de base, pas plus, pas moins.
J'espère que tout ce fera en douceur......ce n'est qu'un espérance, je suis plus réaliste que ça.
Ce sera la fin du Cuba que nous connaissons et ce sera tant mieux pour moi. La seul chose que j'ai peur est que ça finisse par une guerre civile car comment instauré un état démocratique quand deux générations n'ont appris qu'à attendre que l'état subvienne à leur besoin de base, pas plus, pas moins.
J'espère que tout ce fera en douceur......ce n'est qu'un espérance, je suis plus réaliste que ça.
Fabine a écritLe petit frèrot à 75 ans ne tiendra pas longtemps. Il va se perdre dans les chaussures de Fidel qui est ou était un homme absolument charismatique.
Ce sera la fin du Cuba que nous connaissons et ce sera tant mieux pour moi. La seul chose que j'ai peur est que ça finisse par une guerre civile car comment instauré un état démocratique quand deux générations n'ont appris qu'à attendre que l'état subvienne à leur besoin de base, pas plus, pas moins.
J'espère que tout ce fera en douceur......ce n'est qu'un espérance, je suis plus réaliste que ça.
Et qui te dit que les Cubains veulent sortir de ce modèle politique de la gauche, où l'État passe avant tout, et qu'ainsi, il est normal que l'État possède le plein pouvoir ? Peut-être qu'après la mort des Castro, le peuple décidera tout simplement de trouver un remplacant ! À ce que je sache, les Cubains sont loin de désirer partir une révolution pour chasser le gouvernement de Castro. Laissons donc ce peuple vive comme il le désire
Ce sera la fin du Cuba que nous connaissons et ce sera tant mieux pour moi. La seul chose que j'ai peur est que ça finisse par une guerre civile car comment instauré un état démocratique quand deux générations n'ont appris qu'à attendre que l'état subvienne à leur besoin de base, pas plus, pas moins.
J'espère que tout ce fera en douceur......ce n'est qu'un espérance, je suis plus réaliste que ça.
Et qui te dit que les Cubains veulent sortir de ce modèle politique de la gauche, où l'État passe avant tout, et qu'ainsi, il est normal que l'État possède le plein pouvoir ? Peut-être qu'après la mort des Castro, le peuple décidera tout simplement de trouver un remplacant ! À ce que je sache, les Cubains sont loin de désirer partir une révolution pour chasser le gouvernement de Castro. Laissons donc ce peuple vive comme il le désire
Certains semblent croire que dictature est nécésairement mauvais. Pourtant l'histoire nous démontre que souvent, des peuples ont choisis volontairement de se doter d'une dictature afin de sauver le pays et/ou régler des problèmes internes importants.
C'était souvent le cas sous la république romaine. Le Sénat donnait volontairement le pouvoir à un seul homme (normalement puissant et charismatique) pour la durée d'un an, le temps que celui-ci régle les problèmes internes. Encore au 20e siècle, pour contrer les révolutions communistes ou les guerres civiles, des dictatures ont été choisi comme moyen de sauver les meubles. C'est le cas entre autre de Franco en Espagne. ;)
Les dicatateurs ne sont pas tous des fous comme Hitler ou Staline. Fidel Castro est un homme qui dégage beaucoup de puissance et de charisme. À la suite de la révolution cubaine, le peuple a accepté de lui donner le pouvoir, car il fallait un homme fort pour diriger le pays et résister aux États-Uniens. Depuis ce temps, il a fait un excellent travail à ce niveau, et c'est pour cela qu'il est encore aimé et admiré de plusieurs Cubains.
Ok ! Je ne suis pas d'accord avec toutes ses actions. Je condamne entre autre l'absence de liberté de presse à Cuba. Mais si on regarde en général ce que Castro a fait pour les Cubains, je trouve qu'il a accompli de grandes choses !
C'était souvent le cas sous la république romaine. Le Sénat donnait volontairement le pouvoir à un seul homme (normalement puissant et charismatique) pour la durée d'un an, le temps que celui-ci régle les problèmes internes. Encore au 20e siècle, pour contrer les révolutions communistes ou les guerres civiles, des dictatures ont été choisi comme moyen de sauver les meubles. C'est le cas entre autre de Franco en Espagne. ;)
Les dicatateurs ne sont pas tous des fous comme Hitler ou Staline. Fidel Castro est un homme qui dégage beaucoup de puissance et de charisme. À la suite de la révolution cubaine, le peuple a accepté de lui donner le pouvoir, car il fallait un homme fort pour diriger le pays et résister aux États-Uniens. Depuis ce temps, il a fait un excellent travail à ce niveau, et c'est pour cela qu'il est encore aimé et admiré de plusieurs Cubains.
Ok ! Je ne suis pas d'accord avec toutes ses actions. Je condamne entre autre l'absence de liberté de presse à Cuba. Mais si on regarde en général ce que Castro a fait pour les Cubains, je trouve qu'il a accompli de grandes choses !
Raven a écrit
Et qui te dit que les Cubains veulent sortir de ce modèle politique de la gauche, où l'État passe avant tout, et qu'ainsi, il est normal que l'État possède le plein pouvoir ? Peut-être qu'après la mort des Castro, le peuple décidera tout simplement de trouver un remplacant ! À ce que je sache, les Cubains sont loin de désirer partir une révolution pour chasser le gouvernement de Castro. Laissons donc ce peuple vive comme il le désire
Étant donné que les Cubains vivent sous une dictature et que la liberté d'expression est nulle, il est difficile de savoir ce qu'ils pensent vraiment, pour ce qu'ils désirent, probablement de bien vivre un peu comme les touristes des hotels et la possibilité d'y passer une semaine de vacances eux aussi. En attendant c'est interdit pour eux.
Pour ce qui est de choisr, ce sera compliqué quand la majorité de la population n'a jamais eu la possibilité de choisir. Et choisir dans quel sens quand elle n'a pas la possibilité de s'informer. Cuba est un des pays les moins branchés sur Internet et ceux qui le sont ont dû obtenir une autorisation spéciale de l'état. Et encore là, le réseau est tellement censuré que tu n'y retrouve pas grand chose.
Pour pouvoir vraiment en discuter librement il faudrait le faire avec des cubains exilés et ces derniers ont connait un peu leur parti pris.
Et qui te dit que les Cubains veulent sortir de ce modèle politique de la gauche, où l'État passe avant tout, et qu'ainsi, il est normal que l'État possède le plein pouvoir ? Peut-être qu'après la mort des Castro, le peuple décidera tout simplement de trouver un remplacant ! À ce que je sache, les Cubains sont loin de désirer partir une révolution pour chasser le gouvernement de Castro. Laissons donc ce peuple vive comme il le désire
Étant donné que les Cubains vivent sous une dictature et que la liberté d'expression est nulle, il est difficile de savoir ce qu'ils pensent vraiment, pour ce qu'ils désirent, probablement de bien vivre un peu comme les touristes des hotels et la possibilité d'y passer une semaine de vacances eux aussi. En attendant c'est interdit pour eux.
Pour ce qui est de choisr, ce sera compliqué quand la majorité de la population n'a jamais eu la possibilité de choisir. Et choisir dans quel sens quand elle n'a pas la possibilité de s'informer. Cuba est un des pays les moins branchés sur Internet et ceux qui le sont ont dû obtenir une autorisation spéciale de l'état. Et encore là, le réseau est tellement censuré que tu n'y retrouve pas grand chose.
Pour pouvoir vraiment en discuter librement il faudrait le faire avec des cubains exilés et ces derniers ont connait un peu leur parti pris.
Fabine a écrit
Étant donné que les Cubains vivent sous une dictature et que la liberté d'expression est nulle, il est difficile de savoir ce qu'ils pensent vraiment, pour ce qu'ils désirent, probablement de bien vivre un peu comme les touristes des hotels et la possibilité d'y passer une semaine de vacances eux aussi. En attendant c'est interdit pour eux.
Pour ce qui est de choisr, ce sera compliqué quand la majorité de la population n'a jamais eu la possibilité de choisir. Et choisir dans quel sens quand elle n'a pas la possibilité de s'informer. Cuba est un des pays les moins branchés sur Internet et ceux qui le sont ont dû obtenir une autorisation spéciale de l'état. Et encore là, le réseau est tellement censuré que tu n'y retrouve pas grand chose.
Pour pouvoir vraiment en discuter librement il faudrait le faire avec des cubains exilés et ces derniers ont connait un peu leur parti pris.
Exactement, on ne peut demander l'avis des exilés cubain. L'opinion du régime est biaisé d'avance dans leur cas Tout comme on ne peut demander l'avis d'un membre du régime, car encore là, l'opinion serait biaisé, mais à l'inverse dans ce cas-ci.
Il faut donc se fier aux faits que nous pouvons constater. Et nous pouvons constater qu'aucune grande opposition d'importance au régime de Castro n'est en branle à Cuba. Pas de révolution en vue, le peuple en général semble accepter leur réalité. Normalement, lorsqu'un peuple est tanné de son gouvernement, c'est pas long que celui-ci tombe. Sans l'appui de son peuple, je doute très fortement que Castro ait pu rester 50 ans au pouvoir --Message edité par Raven le 2006-08-10 12:47:10--
Étant donné que les Cubains vivent sous une dictature et que la liberté d'expression est nulle, il est difficile de savoir ce qu'ils pensent vraiment, pour ce qu'ils désirent, probablement de bien vivre un peu comme les touristes des hotels et la possibilité d'y passer une semaine de vacances eux aussi. En attendant c'est interdit pour eux.
Pour ce qui est de choisr, ce sera compliqué quand la majorité de la population n'a jamais eu la possibilité de choisir. Et choisir dans quel sens quand elle n'a pas la possibilité de s'informer. Cuba est un des pays les moins branchés sur Internet et ceux qui le sont ont dû obtenir une autorisation spéciale de l'état. Et encore là, le réseau est tellement censuré que tu n'y retrouve pas grand chose.
Pour pouvoir vraiment en discuter librement il faudrait le faire avec des cubains exilés et ces derniers ont connait un peu leur parti pris.
Exactement, on ne peut demander l'avis des exilés cubain. L'opinion du régime est biaisé d'avance dans leur cas Tout comme on ne peut demander l'avis d'un membre du régime, car encore là, l'opinion serait biaisé, mais à l'inverse dans ce cas-ci.
Il faut donc se fier aux faits que nous pouvons constater. Et nous pouvons constater qu'aucune grande opposition d'importance au régime de Castro n'est en branle à Cuba. Pas de révolution en vue, le peuple en général semble accepter leur réalité. Normalement, lorsqu'un peuple est tanné de son gouvernement, c'est pas long que celui-ci tombe. Sans l'appui de son peuple, je doute très fortement que Castro ait pu rester 50 ans au pouvoir --Message edité par Raven le 2006-08-10 12:47:10--
Raven a écrit
Exactement, on ne peut demander l'avis des exilés cubain. L'opinion du régime est biaisé d'avance dans leur cas Tout comme on ne peut demander l'avis d'un membre du régime, car encore là, l'opinion serait biaisé, mais à l'inverse dans ce cas-ci.
Il faut donc se fier aux faits que nous pouvons constater. Et nous pouvons constater qu'aucune grande opposition d'importance au régime de Castro n'est en branle à Cuba. Pas de révolution en vue, le peuple en général semble accepter leur réalité. Normalement, lorsqu'un peuple est tanné de son gouvernement, c'est pas long que celui-ci tombe. Sans l'appui de son peuple, je doute très fortement que Castro ait pu rester 50 ans au pouvoir
C'est ce que je pense aussi. Il y a bien eu de l'opposition circonstancielle mais dont le nombre de parisans était relativement bas de sorte que l'opinion mondiale n'a jamais senti le grand besoin d'intervenir.
Exactement, on ne peut demander l'avis des exilés cubain. L'opinion du régime est biaisé d'avance dans leur cas Tout comme on ne peut demander l'avis d'un membre du régime, car encore là, l'opinion serait biaisé, mais à l'inverse dans ce cas-ci.
Il faut donc se fier aux faits que nous pouvons constater. Et nous pouvons constater qu'aucune grande opposition d'importance au régime de Castro n'est en branle à Cuba. Pas de révolution en vue, le peuple en général semble accepter leur réalité. Normalement, lorsqu'un peuple est tanné de son gouvernement, c'est pas long que celui-ci tombe. Sans l'appui de son peuple, je doute très fortement que Castro ait pu rester 50 ans au pouvoir
C'est ce que je pense aussi. Il y a bien eu de l'opposition circonstancielle mais dont le nombre de parisans était relativement bas de sorte que l'opinion mondiale n'a jamais senti le grand besoin d'intervenir.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»