Guy Cloutier tentera aujourd'hui d'obtenir sa libération conditionnel
National | Mercredi 12 avr 2006 | 06:44
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(INFO690) - L'ex-imprésario Guy Cloutier tentera aujourd'hui d'obtenir sa libération conditionnelle, après avoir purgé le tier de sa peine. Il devra ainsi convaincre deux commissaires qu'il peut être libéré après 16 mois fermes de prison.
Parmi les facteurs qui militent en sa faveur, notons son plaidoyer de culpabilité, les remords qu'il dit éprouver pour les victimes, le fait qu'il ait réglé la poursuite civile de Nathalie Simard et la thérapie qu'il a entreprise.
Carole Ménard est porte-parole de la Commission nationale des libérations conditionnelles.
Par ailleurs, si Guy Cloutier estime être prêt à recouvrer sa liberté, trois Québécois sur quatre estiment qu'il devrait rester en prison.
Un sondage Léger Marketing publié dans le Journal de Montréal indique pourtant que seulement 34 % des répondants trouvent qu'il représente un danger pour la société, 39 % estiment le contraire et 27 % ne savent pas quoi penser. --Message edité par Katchina le 2006-04-12 10:40:25--
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(INFO690) - L'ex-imprésario Guy Cloutier tentera aujourd'hui d'obtenir sa libération conditionnelle, après avoir purgé le tier de sa peine. Il devra ainsi convaincre deux commissaires qu'il peut être libéré après 16 mois fermes de prison.
Parmi les facteurs qui militent en sa faveur, notons son plaidoyer de culpabilité, les remords qu'il dit éprouver pour les victimes, le fait qu'il ait réglé la poursuite civile de Nathalie Simard et la thérapie qu'il a entreprise.
Carole Ménard est porte-parole de la Commission nationale des libérations conditionnelles.
Par ailleurs, si Guy Cloutier estime être prêt à recouvrer sa liberté, trois Québécois sur quatre estiment qu'il devrait rester en prison.
Un sondage Léger Marketing publié dans le Journal de Montréal indique pourtant que seulement 34 % des répondants trouvent qu'il représente un danger pour la société, 39 % estiment le contraire et 27 % ne savent pas quoi penser. --Message edité par Katchina le 2006-04-12 10:40:25--
Katchinaphotos.iquebec.com
Le 12 avril 2006 - 09:03
Guy Cloutier devra prouver sa conversion pour obtenir sa liberté
Presse Canadienne
Pour sortir du pénitencier où il se trouve depuis 15 mois, l'ex-imprésario Guy Cloutier devra convaincre deux commissaires de la Commission nationale des libérations conditionnelles, mercredi en matinée, qu'il ne constitue plus un danger.
Il plaidera aussi qu'il y a lieu de lui redonner sa liberté perdue le 20 décembre 2004 après sa condamnation à demeurer derrière les barreaux pendant 42 mois pour avoir agressé deux enfants, dont Nathalie Simard.
La plaidoirie du détenu Cloutier se fera devant une dizaine d'observateurs (journalistes et citoyens qui en ont fait la demande et ont été agréés) tandis que les autres suivront les échanges devant durer de deux à trois heures dans une salle adjacente munie d'un téléviseur, en circuit fermé. Tout cela dans un pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul, à Laval. Comme Guy Cloutier a purgé le tiers de sa sentence, les commissaires doivent obligatoirement étudier sa demande.
Avant de lui donner la parole, les commissaires entendront son agent de libération, du Service correctionnel, qui jouera un rôle déterminant puisqu'il lui revient de présenter les différents rapports psychologiques, d'observation et d'évaluation afin de permettre aux commissaires d'évaluer s'il y a ou non réhabilitation.
Cet agent conclura par une recommandation sur le sort à réserver à Guy Cloutier, compte tenu de son évolution au pénitencier et compte tenu de la protection publique à assurer. Il n'y aura en cela aucune surprise, ni pour les commissaires ni pour Guy Cloutier qui sait depuis 15 jours à quoi s'en tenir, comme le veut la règle.
Puis ce sera au tour du détenu à répondre aux questions des commissaires qui chercheront à connaître son état d'esprit au moment des crimes commis sur deux enfants alors que lors des premières agressions ils n'avaient respectivement que 11 ans et 12 ans.
Il lui faudra ensuite indiquer son évolution au cours de son séjour au pénitencier à l'égard des problèmes qui l'y ont amené et des efforts déployés pour se réhabiliter. Dernière étape, on examinera si le plan de libération proposée est de nature à assurer la protection du public. Un avocat et un membre de la famille pourra l'assister, voire plaider en faveur de la libération de Guy Cloutier.
Selon Carole Ménard, gestionnaire régionale à la Commission des libérations conditionnelles, il est possible que les commissaires ordonnent le huis clos si, par exemple, le plan de réinsertion sociale prévoyait un travail à mener dans la communauté et qu'ils voulaient s'assurer que l'endroit en question soit rendu public. Il s'agit d'une précaution souvent prise quand le détenu est une personne connue.
Si Guy Cloutier obtenait une libération, celle-ci ne se ferait pas sur le champ. «Il y un certain délai administratif, parfois de quelques jours, pour la paperasse», a indiqué Mme Ménard. Si sa demande était refusée, il lui faudrait entendre un an avant de présenter une autre demande. Dans un cas comme dans l'autre, les commissaires devraient annoncer leur décision peu après l'audience, comme dans la majorité des cas.
Katchinaphotos.iquebec.com
Le 11 avril 2006 - 17:44
Guy Cloutier a à prouver sa conversion depuis ses agressions sur deux enfants
Presse Canadienne
Pour sortir du pénitencier où il se trouve depuis 15 mois, l'ex-imprésario Guy Cloutier devra convaincre deux commissaires de la Commission nationale des libérations conditionnelles, mercredi en matinée, qu'il ne constitue plus un danger.
Il plaidera aussi qu'il y a lieu de lui redonner sa liberté perdue le 20 décembre 2004 après sa condamnation à demeurer derrière les barreaux pendant 42 mois pour avoir agressé deux enfants, dont Nathalie Simard.
La plaidoirie du détenu Cloutier se fera devant une dizaine d'observateurs (journalistes et citoyens qui en ont fait la demande et ont été agréés) tandis que les autres suivront les échanges devant durer de deux à trois heures dans une salle adjacente munie d'un téléviseur, en circuit fermé. Tout cela dans un pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul, à Laval.
Comme Guy Cloutier a purgé le tiers de sa sentence, les commissaires doivent obligatoirement étudier sa demande.
Avant de lui donner la parole, les commissaires entendront son agent de libération, du Service correctionnel, qui jouera un rôle déterminant puisqu'il lui revient de présenter les différents rapports psychologiques, d'observation et d'évaluation afin de permettre aux commissaires d'évaluer s'il y a ou non réhabilitation.
Cet agent conclura par une recommandation sur le sort à réserver à Guy Cloutier, compte tenu de son évolution au pénitencier et compte tenu de la protection publique à assurer.
Il n'y aura en cela aucune surprise, ni pour les commissaires ni pour Guy Cloutier qui sait depuis 15 jours à quoi s'en tenir, comme le veut la règle.
Puis ce sera au tour du détenu à répondre aux questions des commissaires qui chercheront à connaître son état d'esprit au moment des crimes commis sur deux enfants alors que lors des premières agressions ils n'avaient respectivement que 11 ans et 12 ans.
Il lui faudra ensuite indiquer son évolution au cours de son séjour au pénitencier à l'égard des problèmes qui l'y ont amené et des efforts déployés pour se réhabiliter. Dernière étape, on examinera si le plan de libération proposée est de nature à assurer la protection du public.
Un avocat et un membre de la famille pourra l'assister, voire plaider en faveur de la libération de Guy Cloutier.
Selon Carole Ménard, gestionnaire régionale à la Commission des libérations conditionnelles, il est possible que les commissaires ordonnent le huis clos si, par exemple, le plan de réinsertion sociale prévoyait un travail à mener dans la communauté et qu'ils voulaient s'assurer que l'endroit en question soit rendu public. Il s'agit d'une précaution souvent prise quand le détenu est une personne connue.
Si Guy Cloutier obtenait une libération, celle-ci ne se ferait pas sur le champ.
"Il y un certain délai administratif, parfois de quelques jours, pour la paperasse", a indiqué Mme Ménard.
Si sa demande était refusée, il lui faudrait entendre un an avant de présenter une autre demande.
Dans un cas comme dans l'autre, les commissaires devraient annoncer leur décision peu après l'audience, comme dans la majorité des cas.
Guy Cloutier a à prouver sa conversion depuis ses agressions sur deux enfants
Presse Canadienne
Pour sortir du pénitencier où il se trouve depuis 15 mois, l'ex-imprésario Guy Cloutier devra convaincre deux commissaires de la Commission nationale des libérations conditionnelles, mercredi en matinée, qu'il ne constitue plus un danger.
Il plaidera aussi qu'il y a lieu de lui redonner sa liberté perdue le 20 décembre 2004 après sa condamnation à demeurer derrière les barreaux pendant 42 mois pour avoir agressé deux enfants, dont Nathalie Simard.
La plaidoirie du détenu Cloutier se fera devant une dizaine d'observateurs (journalistes et citoyens qui en ont fait la demande et ont été agréés) tandis que les autres suivront les échanges devant durer de deux à trois heures dans une salle adjacente munie d'un téléviseur, en circuit fermé. Tout cela dans un pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul, à Laval.
Comme Guy Cloutier a purgé le tiers de sa sentence, les commissaires doivent obligatoirement étudier sa demande.
Avant de lui donner la parole, les commissaires entendront son agent de libération, du Service correctionnel, qui jouera un rôle déterminant puisqu'il lui revient de présenter les différents rapports psychologiques, d'observation et d'évaluation afin de permettre aux commissaires d'évaluer s'il y a ou non réhabilitation.
Cet agent conclura par une recommandation sur le sort à réserver à Guy Cloutier, compte tenu de son évolution au pénitencier et compte tenu de la protection publique à assurer.
Il n'y aura en cela aucune surprise, ni pour les commissaires ni pour Guy Cloutier qui sait depuis 15 jours à quoi s'en tenir, comme le veut la règle.
Puis ce sera au tour du détenu à répondre aux questions des commissaires qui chercheront à connaître son état d'esprit au moment des crimes commis sur deux enfants alors que lors des premières agressions ils n'avaient respectivement que 11 ans et 12 ans.
Il lui faudra ensuite indiquer son évolution au cours de son séjour au pénitencier à l'égard des problèmes qui l'y ont amené et des efforts déployés pour se réhabiliter. Dernière étape, on examinera si le plan de libération proposée est de nature à assurer la protection du public.
Un avocat et un membre de la famille pourra l'assister, voire plaider en faveur de la libération de Guy Cloutier.
Selon Carole Ménard, gestionnaire régionale à la Commission des libérations conditionnelles, il est possible que les commissaires ordonnent le huis clos si, par exemple, le plan de réinsertion sociale prévoyait un travail à mener dans la communauté et qu'ils voulaient s'assurer que l'endroit en question soit rendu public. Il s'agit d'une précaution souvent prise quand le détenu est une personne connue.
Si Guy Cloutier obtenait une libération, celle-ci ne se ferait pas sur le champ.
"Il y un certain délai administratif, parfois de quelques jours, pour la paperasse", a indiqué Mme Ménard.
Si sa demande était refusée, il lui faudrait entendre un an avant de présenter une autre demande.
Dans un cas comme dans l'autre, les commissaires devraient annoncer leur décision peu après l'audience, comme dans la majorité des cas.
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Libération conditionnelle
Guy Cloutier présente sa demande mercredi matin
Guy Cloutier doit présenter mercredi sa demande de libération conditionnelle. Il aura à expliquer pourquoi il devrait être libéré, indiquer s'il a suivi une thérapie et donner des détails sur ses projets.
Guy Cloutier parlera publiquement mercredi pour la première fois depuis son plaidoyer de culpabilité. Accompagné de son avocat et de son agent, il tentera de convaincre deux commissaires aux libérations conditionnelles de le remettre en liberté.
Trois possibilités s'offrent aux commissaires : garder Guy Cloutier incarcéré, lui offrir une semi-liberté dans une maison de transition ou lui accorder une libération conditionnelle totale. S’il se voit accorder une certaine liberté, il devra rapporter ses sorties.
Parmi les facteurs qui militent en faveur de sa remise en liberté, notons son plaidoyer de culpabilité, les remords qu'il dit éprouver pour les victimes, le fait qu'il ait réglé la poursuite civile de Nathalie Simard et la thérapie qu'il a entreprise.
Sa notoriété pourrait toutefois jouer contre lui. S’il doit séjourner en maison de transition, sa situation pourrait attirer l’attention des médias et du voisinage, nuisant ainsi aux autres pensionnaires.
La possible libération de Guy Cloutier doit être débattue par les commissaires, non seulement pour savoir s’il représente un danger pour le public mais aussi pour déterminer si sa libération l’aiderait à se réhabiliter. Ils devront aussi tenir compte du taux de récidive des délinquants sexuels.
Comme toutes les victimes d’agression sexuelle, Nathalie Simard aurait pu témoigner devant la commission, mais elle a déjà indiqué qu'elle ne le ferait pas.
Advenant sa libération, probablement sous certaines conditions, Guy Cloutier n'aura purgé que le tiers de sa peine de trois ans et demi pour avoir agressé sexuellement deux enfants, dont la chanteuse Nathalie Simard.
Mercredi matin, LCN diffusera une émission spéciale dès 9h sur ce sujet.
Guy Cloutier présente sa demande mercredi matin
Guy Cloutier doit présenter mercredi sa demande de libération conditionnelle. Il aura à expliquer pourquoi il devrait être libéré, indiquer s'il a suivi une thérapie et donner des détails sur ses projets.
Guy Cloutier parlera publiquement mercredi pour la première fois depuis son plaidoyer de culpabilité. Accompagné de son avocat et de son agent, il tentera de convaincre deux commissaires aux libérations conditionnelles de le remettre en liberté.
Trois possibilités s'offrent aux commissaires : garder Guy Cloutier incarcéré, lui offrir une semi-liberté dans une maison de transition ou lui accorder une libération conditionnelle totale. S’il se voit accorder une certaine liberté, il devra rapporter ses sorties.
Parmi les facteurs qui militent en faveur de sa remise en liberté, notons son plaidoyer de culpabilité, les remords qu'il dit éprouver pour les victimes, le fait qu'il ait réglé la poursuite civile de Nathalie Simard et la thérapie qu'il a entreprise.
Sa notoriété pourrait toutefois jouer contre lui. S’il doit séjourner en maison de transition, sa situation pourrait attirer l’attention des médias et du voisinage, nuisant ainsi aux autres pensionnaires.
La possible libération de Guy Cloutier doit être débattue par les commissaires, non seulement pour savoir s’il représente un danger pour le public mais aussi pour déterminer si sa libération l’aiderait à se réhabiliter. Ils devront aussi tenir compte du taux de récidive des délinquants sexuels.
Comme toutes les victimes d’agression sexuelle, Nathalie Simard aurait pu témoigner devant la commission, mais elle a déjà indiqué qu'elle ne le ferait pas.
Advenant sa libération, probablement sous certaines conditions, Guy Cloutier n'aura purgé que le tiers de sa peine de trois ans et demi pour avoir agressé sexuellement deux enfants, dont la chanteuse Nathalie Simard.
Mercredi matin, LCN diffusera une émission spéciale dès 9h sur ce sujet.
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laudience de guy cloutier a été reporté car les commisaires ont recu un courriel dune femem qui a dit été agressé par cloutier en 1974-75 le message a été envoyé ce matin
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
mais je ne comprends pas trop comment ça pourrait interférer sur le jugement présent?.......il a été condamné pour X agressions, il purge son temps. S'il a commit d,autre délits, il y aura d,autre procès......me semble que tu ne peux pas juste porter plainte et le gars reste en dedans au lieu de sortir......rien n,est prouvé dans ces plaintes encore.....
ben la si y a une nouvelle victime je crois qu il ne sortiras pas toute suite qu il es loin de sortir
jespere seulement que cé pas une personne qui cé amuser a inventer sa aussi
crime la y a plein de supposition ça l air que cloutier c est prit la tete a 2 main pis il pleurait pis si cé vrai qui a fais cela cloutier aurais du avouer en théraphie
les journaliste dise que cé une personne malsaine de faire cela a la derniere minute moi je me dit qu il n est jamais trop tard pour dénoncer la personne avais peux etre peur aussi oufffffffffffffff
jespere seulement que cé pas une personne qui cé amuser a inventer sa aussi
crime la y a plein de supposition ça l air que cloutier c est prit la tete a 2 main pis il pleurait pis si cé vrai qui a fais cela cloutier aurais du avouer en théraphie
les journaliste dise que cé une personne malsaine de faire cela a la derniere minute moi je me dit qu il n est jamais trop tard pour dénoncer la personne avais peux etre peur aussi oufffffffffffffff
Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi.
tuberale a écritmais je ne comprends pas trop comment ça pourrait interférer sur le jugement présent?.......il a été condamné pour X agressions, il purge son temps. S'il a commit d,autre délits, il y aura d,autre procès......me semble que tu ne peux pas juste porter plainte et le gars reste en dedans au lieu de sortir......rien n,est prouvé dans ces plaintes encore.....
ben ça peux l empecher de sortir certain du moin je crois bien
ben ça peux l empecher de sortir certain du moin je crois bien
Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi.
les journalistes ont dit que c'était une personne malsaine pour vrai?..........ayoye.......savent pas c'est quoi eux autres de savoir ton tortionnaire bientôt libre..........le freak out que ça peut te causer à la pensée de risquer de le croiser en quelque part......c'est ça qui a dû décider la personne......
Claude Poirier vient de dire que c'est une plainte d'une
personne qui s'est identifie. Elle va etre rencontre par
les enqueteurs.
Il dit qu'en 40 ans de metier il n'a jamais vu un coup de
theatre semblable... Guy Cloutier s'est pris la tete entre
les mains et a pleure quand la nouvelle a sortie pendant
son audiance...
personne qui s'est identifie. Elle va etre rencontre par
les enqueteurs.
Il dit qu'en 40 ans de metier il n'a jamais vu un coup de
theatre semblable... Guy Cloutier s'est pris la tete entre
les mains et a pleure quand la nouvelle a sortie pendant
son audiance...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
(INFO690) - La Commission nationale des libérations conditionnelles ajourne l'audience de remise en liberté de Guy Cloutier, après avoir reçu une information selon laquelle une autre présumée victime du pédophile se serait manifestée.
Cloutier a donc repris le chemin des cellules, sans savoir à quel moment l'audience reprendra, au Centre fédéral de formation à Laval.
Selon plusieurs sources, la Commission a reçu, hier soir, au bureau d'Ottawa, un envoi par courrier électronique d'une personne faisant état qu'elle fût victime d'agressions sexuelles de l'ancien impresario, en 1974 et 1975.
Le texte aurait été transmis ce matin aux commissaires présidant l'audience de Guy Cloutier, quelques minutes avant son début. Ceux-ci auraient donc conclu qu'une vérification de cette information devait être faite avant de poursuivre l'audience.
Selon des témoins assistant au début des travaux ce matin, M. Cloutier donnait l'impression d'avoir appris ce revirement en même temps que l'assistance. Il semblait ravagé en apprenant la nouvelle et le report de l'audience.
Cloutier a donc repris le chemin des cellules, sans savoir à quel moment l'audience reprendra, au Centre fédéral de formation à Laval.
Selon plusieurs sources, la Commission a reçu, hier soir, au bureau d'Ottawa, un envoi par courrier électronique d'une personne faisant état qu'elle fût victime d'agressions sexuelles de l'ancien impresario, en 1974 et 1975.
Le texte aurait été transmis ce matin aux commissaires présidant l'audience de Guy Cloutier, quelques minutes avant son début. Ceux-ci auraient donc conclu qu'une vérification de cette information devait être faite avant de poursuivre l'audience.
Selon des témoins assistant au début des travaux ce matin, M. Cloutier donnait l'impression d'avoir appris ce revirement en même temps que l'assistance. Il semblait ravagé en apprenant la nouvelle et le report de l'audience.
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tuberale a écritles journalistes ont dit que c'était une personne malsaine pour vrai?..........ayoye.......savent pas c'est quoi eux autres de savoir ton tortionnaire bientôt libre..........le freak out que ça peut te causer à la pensée de risquer de le croiser en quelque part......c'est ça qui a dû décider la personne......
Bien d'accord...
Bien d'accord...
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
- Niko Bellic
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- Inscription : sam. janv. 14, 2006 1:00 am