Des fenêtres opaques pour plaire à la communauté hassidique!
- quetzalcoatl
- Modeste Jacasseur
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Moi ce que je ne comprends pas, c'est que certains pensent que ceux qui font ces demandes sont absolument des émigrants....qui sait, peut-être sont-ils des québecois de souche?? Alors je ne vois pas la pertinence de dire si je vais dans leurs pays bla bla bla.....
Pour en revenir au sujet,je trouve la demande exagéré mais pas de là à avoir la veine du coup qui veut exploser à force de médire les adeptes des autres religions.
Pour en revenir au sujet,je trouve la demande exagéré mais pas de là à avoir la veine du coup qui veut exploser à force de médire les adeptes des autres religions.
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
brunetta a écritJe m'excuse je ne suis nullement raciste mais y'a toujours un maudit bout. Les droits des immigrés s'arrêteront où? Si je vais dans leur pays d'origine c'est moi qui vais devoir me plier à leur pratique pas le contraire alors rendu ici ils devraient se plier aux nôtres c'est tout.
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec. --Message edité par Red Ketchup le 2006-11-11 22:00:49--
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec. --Message edité par Red Ketchup le 2006-11-11 22:00:49--
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- Seigneur de la Causerie
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quetzalcoatl a écritMoi ce que je ne comprends pas, c'est que certains pensent que ceux qui font ces demandes sont absolument des émigrants....qui sait, peut-être sont-ils des québecois de souche?? Alors je ne vois pas la pertinence de dire si je vais dans leurs pays bla bla bla.....
Pour en revenir au sujet,je trouve la demande exagéré mais pas de là à avoir la veine du coup qui veut exploser à force de médire les adeptes des autres religions.
J'avais pas lu ton message avant d'écrire le mien. Ça se rejoint pas mal finalement.
Pour en revenir au sujet,je trouve la demande exagéré mais pas de là à avoir la veine du coup qui veut exploser à force de médire les adeptes des autres religions.
J'avais pas lu ton message avant d'écrire le mien. Ça se rejoint pas mal finalement.
Red Ketchup a écrit
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec.
Je citais en exemple les immigrés en général, juste de dire que oui si j'allais en voyage en Israël je devrais me plier aux exigences et valeur de ce pays ce ne seront pas eux qui vont se plier aux miennes et ce même si je devais aller y vivre.
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec.
Je citais en exemple les immigrés en général, juste de dire que oui si j'allais en voyage en Israël je devrais me plier aux exigences et valeur de ce pays ce ne seront pas eux qui vont se plier aux miennes et ce même si je devais aller y vivre.
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Red Ketchup a écrit
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec.
Peut-on considérer les juifs hassidique comme des immigrés? Jusqu'où le terme immigrant peut-il aller? Les amérindiens diront que nous sommes des immigrants. Est-ce que la communauté italienne qui est ici depuis un bon bout sont encore considérés comme des immigrés? Et moi dont mon ancêtre est anglophone suis-je un immigré?
Et quel est au juste le pays d'origine des juifs hassidiques?
Je considère les pratiques de cette communauté un peu extrème mais il ne faut pas tomber dans la généralité. Ce ne sont pas seulement les francophones venu de France qui ont une histoire au Québec.
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
brunetta a écrit
Je citais en exemple les immigrés en général, juste de dire que oui si j'allais en voyage en Israël je devrais me plier aux exigences et valeur de ce pays ce ne seront pas eux qui vont se plier aux miennes et ce même si je devais aller y vivre.
Un peuple, ce n'est pas uniforme.
Il y a plusieurs lignes de pensée juive en Israël.
Mais pour revenir au sujet, je trouve certaines réactions intransigeantes et je me demande ce que sont les valeurs québécoises tant "exigées". Sommes nous un "peuple" si parfait pour juger les autres de la sorte?
Moi j'ai appris qu'il ne fallait pas se promener torse nu en ville (je viens de la campagne et j'ai souvent travaillé en "bédaine"). Il semble que ça peut déranger. Bon, je respecte ça et ça ne me dérange pas du tout.
Il y a aussi un débat au sujet des femmes désirant allaiter leur bébé en public. Certains n'y voient aucun inconvénients, d'autres trouvent ça dérangeant.
La tolérance, c'est pas juste une question de nationalité.
Je citais en exemple les immigrés en général, juste de dire que oui si j'allais en voyage en Israël je devrais me plier aux exigences et valeur de ce pays ce ne seront pas eux qui vont se plier aux miennes et ce même si je devais aller y vivre.
Un peuple, ce n'est pas uniforme.
Il y a plusieurs lignes de pensée juive en Israël.
Mais pour revenir au sujet, je trouve certaines réactions intransigeantes et je me demande ce que sont les valeurs québécoises tant "exigées". Sommes nous un "peuple" si parfait pour juger les autres de la sorte?
Moi j'ai appris qu'il ne fallait pas se promener torse nu en ville (je viens de la campagne et j'ai souvent travaillé en "bédaine"). Il semble que ça peut déranger. Bon, je respecte ça et ça ne me dérange pas du tout.
Il y a aussi un débat au sujet des femmes désirant allaiter leur bébé en public. Certains n'y voient aucun inconvénients, d'autres trouvent ça dérangeant.
La tolérance, c'est pas juste une question de nationalité.
Tibibi a écritEt ensuite, on souhaite la paix dans le monde... Crime! on n'est même pas capable d'endurer son voisin.
Euhhh, personne ne parle du fait que ce sont eux-mêmes, les hassidiques qui ont défrayé les coûts ?
oui c'est vrai que ce sont eux qui ont payé....par contre , ils auraient du recouvrir leurs fenêtres et non celle du voisin....
Euhhh, personne ne parle du fait que ce sont eux-mêmes, les hassidiques qui ont défrayé les coûts ?
oui c'est vrai que ce sont eux qui ont payé....par contre , ils auraient du recouvrir leurs fenêtres et non celle du voisin....
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
ACCOMMODEMENT RAISONNABLE
Les policières invitées à s'effacer devant des hassidim
Gabriel Béland
La Presse
Il n'y a pas que le YMCA de l'avenue du Parc qui tente d'accommoder les juifs hassidim. Dans une brochure, le SPVM recommande à ses policières de parfois faire intervenir leurs collègues masculins lorsqu'elles ont affaire à des membres de cette communauté.
Si des hassidim refusent de les regarder, les policières ne doivent pas s'en offusquer, explique le document. Et s'ils ne veulent s'adresser qu'à des hommes, elles doivent faire appel à leur partenaire de patrouille.
Ces conseils ont été publiés en octobre dans L'heure juste, une publication mensuelle du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) destinée aux policiers. Le texte, accompagné d'une photo où l'on voit un hassidim aux côtés d'une policière, est présenté sous la forme d'une mise en situation.
«Vous êtes à l'angle des rues Hutchison et Saint-Viateur», soit au coeur du quartier de la communauté hassidique, commence le texte. Après un vol dans une boulangerie, le commis doit expliquer à deux policiers ce qui s'est produit. Ce jour-là, c'est à la policière de rédiger les rapports. Mais alors qu'elle pose des questions, le commis de confession juive «répond toujours à (son) confrère». L'homme s'abstient aussi de la regarder.
Cela est normal, explique l'auteur du document, puisque «selon la Torah, le livre saint des juifs, les hommes ne devraient pas fraterniser avec les femmes». Qu'est-ce que les policières doivent faire? Parfois, il n'y a pas d'autre possibilité que de «faire intervenir votre collègue masculin».
Le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, a été très surpris de cette recommandation. «C'est complètement aberrant que nos policières n'aient pas droit au même respect que les hommes, dit-il. On est au Canada quand même.»
Selon lui, les efforts en vue de satisfaire les groupes religieux ne doivent pas nuire aux droits d'une catégorie de policiers. « Ils vont dire aux policières qu'elles peuvent être ignorées et que ce n'est pas grave.»
Stéphane Roch, porte-parole du SPVM, a pour sa part minimisé la portée du document. «Ce n'est qu'un texte pour s'attaquer aux préjugés, pour faciliter la communication entre les policiers et certaines populations», indique-t-il.
Le monde change...
Les hassidim rencontrés par La Presse ont paru apprécier la consigne lancée par le SPVM. «Je crois que c'est respectueux de la part de la police», explique Faivel Binder, un commerçant de la rue Saint-Viateur. «Mais moi, je ne suis pas trop compliqué, ajoute-t-il. S'il y a une policière et un policier, c'est sûr que je vais m'adresser à l'homme. Mais s'il n'y a qu'une policière, alors, je vais m'adresser à elle.»
Faivel Binder croit que ce genre de problème est assez nouveau. «Il y a 20 ans, il n'y avait pas de femmes policiers, ni de femmes médecins. Nous, on n'a pas changé. C'est le monde qui change.»
Voilâ le fameux texte en question....
Désolant c'est le seul mot qui me vient à l'idée... --Message edité par vevie1965 le 2006-11-15 15:59:50--
Les policières invitées à s'effacer devant des hassidim
Gabriel Béland
La Presse
Il n'y a pas que le YMCA de l'avenue du Parc qui tente d'accommoder les juifs hassidim. Dans une brochure, le SPVM recommande à ses policières de parfois faire intervenir leurs collègues masculins lorsqu'elles ont affaire à des membres de cette communauté.
Si des hassidim refusent de les regarder, les policières ne doivent pas s'en offusquer, explique le document. Et s'ils ne veulent s'adresser qu'à des hommes, elles doivent faire appel à leur partenaire de patrouille.
Ces conseils ont été publiés en octobre dans L'heure juste, une publication mensuelle du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) destinée aux policiers. Le texte, accompagné d'une photo où l'on voit un hassidim aux côtés d'une policière, est présenté sous la forme d'une mise en situation.
«Vous êtes à l'angle des rues Hutchison et Saint-Viateur», soit au coeur du quartier de la communauté hassidique, commence le texte. Après un vol dans une boulangerie, le commis doit expliquer à deux policiers ce qui s'est produit. Ce jour-là, c'est à la policière de rédiger les rapports. Mais alors qu'elle pose des questions, le commis de confession juive «répond toujours à (son) confrère». L'homme s'abstient aussi de la regarder.
Cela est normal, explique l'auteur du document, puisque «selon la Torah, le livre saint des juifs, les hommes ne devraient pas fraterniser avec les femmes». Qu'est-ce que les policières doivent faire? Parfois, il n'y a pas d'autre possibilité que de «faire intervenir votre collègue masculin».
Le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, a été très surpris de cette recommandation. «C'est complètement aberrant que nos policières n'aient pas droit au même respect que les hommes, dit-il. On est au Canada quand même.»
Selon lui, les efforts en vue de satisfaire les groupes religieux ne doivent pas nuire aux droits d'une catégorie de policiers. « Ils vont dire aux policières qu'elles peuvent être ignorées et que ce n'est pas grave.»
Stéphane Roch, porte-parole du SPVM, a pour sa part minimisé la portée du document. «Ce n'est qu'un texte pour s'attaquer aux préjugés, pour faciliter la communication entre les policiers et certaines populations», indique-t-il.
Le monde change...
Les hassidim rencontrés par La Presse ont paru apprécier la consigne lancée par le SPVM. «Je crois que c'est respectueux de la part de la police», explique Faivel Binder, un commerçant de la rue Saint-Viateur. «Mais moi, je ne suis pas trop compliqué, ajoute-t-il. S'il y a une policière et un policier, c'est sûr que je vais m'adresser à l'homme. Mais s'il n'y a qu'une policière, alors, je vais m'adresser à elle.»
Faivel Binder croit que ce genre de problème est assez nouveau. «Il y a 20 ans, il n'y avait pas de femmes policiers, ni de femmes médecins. Nous, on n'a pas changé. C'est le monde qui change.»
Voilâ le fameux texte en question....
Désolant c'est le seul mot qui me vient à l'idée... --Message edité par vevie1965 le 2006-11-15 15:59:50--
vevie1965 a écritACCOMMODEMENT RAISONNABLE
Les policières invitées à s'effacer devant des hassidim
Gabriel Béland
La Presse
Il n'y a pas que le YMCA de l'avenue du Parc qui tente d'accommoder les juifs hassidim. Dans une brochure, le SPVM recommande à ses policières de parfois faire intervenir leurs collègues masculins lorsqu'elles ont affaire à des membres de cette communauté.
Si des hassidim refusent de les regarder, les policières ne doivent pas s'en offusquer, explique le document. Et s'ils ne veulent s'adresser qu'à des hommes, elles doivent faire appel à leur partenaire de patrouille.
Ces conseils ont été publiés en octobre dans L'heure juste, une publication mensuelle du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) destinée aux policiers. Le texte, accompagné d'une photo où l'on voit un hassidim aux côtés d'une policière, est présenté sous la forme d'une mise en situation.
«Vous êtes à l'angle des rues Hutchison et Saint-Viateur», soit au coeur du quartier de la communauté hassidique, commence le texte. Après un vol dans une boulangerie, le commis doit expliquer à deux policiers ce qui s'est produit. Ce jour-là, c'est à la policière de rédiger les rapports. Mais alors qu'elle pose des questions, le commis de confession juive «répond toujours à (son) confrère». L'homme s'abstient aussi de la regarder.
Cela est normal, explique l'auteur du document, puisque «selon la Torah, le livre saint des juifs, les hommes ne devraient pas fraterniser avec les femmes». Qu'est-ce que les policières doivent faire? Parfois, il n'y a pas d'autre possibilité que de «faire intervenir votre collègue masculin».
Le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, a été très surpris de cette recommandation. «C'est complètement aberrant que nos policières n'aient pas droit au même respect que les hommes, dit-il. On est au Canada quand même.»
Selon lui, les efforts en vue de satisfaire les groupes religieux ne doivent pas nuire aux droits d'une catégorie de policiers. « Ils vont dire aux policières qu'elles peuvent être ignorées et que ce n'est pas grave.»
Stéphane Roch, porte-parole du SPVM, a pour sa part minimisé la portée du document. «Ce n'est qu'un texte pour s'attaquer aux préjugés, pour faciliter la communication entre les policiers et certaines populations», indique-t-il.
Le monde change...
Les hassidim rencontrés par La Presse ont paru apprécier la consigne lancée par le SPVM. «Je crois que c'est respectueux de la part de la police», explique Faivel Binder, un commerçant de la rue Saint-Viateur. «Mais moi, je ne suis pas trop compliqué, ajoute-t-il. S'il y a une policière et un policier, c'est sûr que je vais m'adresser à l'homme. Mais s'il n'y a qu'une policière, alors, je vais m'adresser à elle.»
Faivel Binder croit que ce genre de problème est assez nouveau. «Il y a 20 ans, il n'y avait pas de femmes policiers, ni de femmes médecins. Nous, on n'a pas changé. C'est le monde qui change.»
Voilâ le fameux texte en question....
Désolant c'est le seul mot qui me vient à l'idée...
ET C'EST PAS FINI ............. C'EST RIEN QU'UN DÉBUT!!!!!
Les policières invitées à s'effacer devant des hassidim
Gabriel Béland
La Presse
Il n'y a pas que le YMCA de l'avenue du Parc qui tente d'accommoder les juifs hassidim. Dans une brochure, le SPVM recommande à ses policières de parfois faire intervenir leurs collègues masculins lorsqu'elles ont affaire à des membres de cette communauté.
Si des hassidim refusent de les regarder, les policières ne doivent pas s'en offusquer, explique le document. Et s'ils ne veulent s'adresser qu'à des hommes, elles doivent faire appel à leur partenaire de patrouille.
Ces conseils ont été publiés en octobre dans L'heure juste, une publication mensuelle du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) destinée aux policiers. Le texte, accompagné d'une photo où l'on voit un hassidim aux côtés d'une policière, est présenté sous la forme d'une mise en situation.
«Vous êtes à l'angle des rues Hutchison et Saint-Viateur», soit au coeur du quartier de la communauté hassidique, commence le texte. Après un vol dans une boulangerie, le commis doit expliquer à deux policiers ce qui s'est produit. Ce jour-là, c'est à la policière de rédiger les rapports. Mais alors qu'elle pose des questions, le commis de confession juive «répond toujours à (son) confrère». L'homme s'abstient aussi de la regarder.
Cela est normal, explique l'auteur du document, puisque «selon la Torah, le livre saint des juifs, les hommes ne devraient pas fraterniser avec les femmes». Qu'est-ce que les policières doivent faire? Parfois, il n'y a pas d'autre possibilité que de «faire intervenir votre collègue masculin».
Le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, a été très surpris de cette recommandation. «C'est complètement aberrant que nos policières n'aient pas droit au même respect que les hommes, dit-il. On est au Canada quand même.»
Selon lui, les efforts en vue de satisfaire les groupes religieux ne doivent pas nuire aux droits d'une catégorie de policiers. « Ils vont dire aux policières qu'elles peuvent être ignorées et que ce n'est pas grave.»
Stéphane Roch, porte-parole du SPVM, a pour sa part minimisé la portée du document. «Ce n'est qu'un texte pour s'attaquer aux préjugés, pour faciliter la communication entre les policiers et certaines populations», indique-t-il.
Le monde change...
Les hassidim rencontrés par La Presse ont paru apprécier la consigne lancée par le SPVM. «Je crois que c'est respectueux de la part de la police», explique Faivel Binder, un commerçant de la rue Saint-Viateur. «Mais moi, je ne suis pas trop compliqué, ajoute-t-il. S'il y a une policière et un policier, c'est sûr que je vais m'adresser à l'homme. Mais s'il n'y a qu'une policière, alors, je vais m'adresser à elle.»
Faivel Binder croit que ce genre de problème est assez nouveau. «Il y a 20 ans, il n'y avait pas de femmes policiers, ni de femmes médecins. Nous, on n'a pas changé. C'est le monde qui change.»
Voilâ le fameux texte en question....
Désolant c'est le seul mot qui me vient à l'idée...
ET C'EST PAS FINI ............. C'EST RIEN QU'UN DÉBUT!!!!!
Youppidou
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Accommodement raisonnable
Un CLSC refuse des hommes
Djibril Diallo
Le Journal de Montréal
16/11/2006 05h21 - Mise à jour 16/11/2006 09h12
Pendant plusieurs mois, le CLSC de Parc-Extension a refusé systématiquement que les hommes assistent à ses cours prénataux pour accommoder des femmes musulmanes, hindoues ou sikhs.
Si des femmes souhaitaient quand même suivre un cours prénatal avec leur conjoint, elles étaient obligées de se rendre au CLSC Côte-des-Neiges ou au CLSC Métro.
Des frais de 50$ étaient alors exigés aux couples tandis qu'ils étaient gratuits à Parc-Extension. Et ils n'avaient pas toujours le choix de la langue.
Lundi, un journaliste qui se faisait passer pour un mari désirant suivre un cours prénatal a appelé le CLSC Parc-Extension. Il a été éconduit.
«Nous avons des rencontres entre femmes seulement. Si vous voulez quand même suivre un cours, vous devez aller à Côte-des-Neiges», lui a dit la responsable du cours, Truc Huynh. L'infirmière a expliqué que c'est parce que les femmes de certaines religions ne souhaitent pas la présence des hommes au cours.
Dans certaines interprétations de la religion musulmane, on recommande de séparer systématiquement les hommes des femmes.
Selon certaines sources, cette politique était en vigueur depuis un an. Jusqu'à ce que Le Journal de Montréal s'intéresse à l'affaire, cette semaine...
La députée péquiste du quartier, Elsie Lefebvre, a dit avoir discuté avec les responsables du CLSC, ces derniers jours. «Mais vous savez, ils disent que c'est le seul moyen qu'ils ont pour atteindre ces femmes-là, ils disent qu'ils n'ont pas d'autre choix», a indiqué madame Lefebvre.
Pour les immigrantes?
Interrogé sur cette pratique, le directeur Marc Sougavinski, du Centre de santé La Montagne, dont dépend ce CLSC, a nié l'existence d'une telle discrimination, mardi. Il a tout de même admis que les cours prénataux n'accueillaient pratiquement que des femmes.
«Nous accueillons majoritairement des immigrantes récentes qui peuvent être à risques, elles peuvent sentir le besoin de se retrouver entre elles», a indiqué Marc Sougavinski. La population de Parc-Extension est en effet très diversifiée. Plus de la moitié de ses habitants sont membres des minorités visibles. Après après discuté avec Marc Sougavinski, il semble que le CLSC a changé sa politique. Les hommes seraient, depuis hier, accueillis dans ses cours.
Cas isolé?
Parmi la dizaine de CLSC de Montréal contactés pour connaître l'ampleur du phénomène, aucun n'a dit refuser la présence des hommes au cours prénatal. Au contraire. Certains se sont dit scandalisés par une telle pratique et ont suggéré qu'une plainte soit déposée auprès des autorités compétentes.
Un CLSC refuse des hommes
Djibril Diallo
Le Journal de Montréal
16/11/2006 05h21 - Mise à jour 16/11/2006 09h12
Pendant plusieurs mois, le CLSC de Parc-Extension a refusé systématiquement que les hommes assistent à ses cours prénataux pour accommoder des femmes musulmanes, hindoues ou sikhs.
Si des femmes souhaitaient quand même suivre un cours prénatal avec leur conjoint, elles étaient obligées de se rendre au CLSC Côte-des-Neiges ou au CLSC Métro.
Des frais de 50$ étaient alors exigés aux couples tandis qu'ils étaient gratuits à Parc-Extension. Et ils n'avaient pas toujours le choix de la langue.
Lundi, un journaliste qui se faisait passer pour un mari désirant suivre un cours prénatal a appelé le CLSC Parc-Extension. Il a été éconduit.
«Nous avons des rencontres entre femmes seulement. Si vous voulez quand même suivre un cours, vous devez aller à Côte-des-Neiges», lui a dit la responsable du cours, Truc Huynh. L'infirmière a expliqué que c'est parce que les femmes de certaines religions ne souhaitent pas la présence des hommes au cours.
Dans certaines interprétations de la religion musulmane, on recommande de séparer systématiquement les hommes des femmes.
Selon certaines sources, cette politique était en vigueur depuis un an. Jusqu'à ce que Le Journal de Montréal s'intéresse à l'affaire, cette semaine...
La députée péquiste du quartier, Elsie Lefebvre, a dit avoir discuté avec les responsables du CLSC, ces derniers jours. «Mais vous savez, ils disent que c'est le seul moyen qu'ils ont pour atteindre ces femmes-là, ils disent qu'ils n'ont pas d'autre choix», a indiqué madame Lefebvre.
Pour les immigrantes?
Interrogé sur cette pratique, le directeur Marc Sougavinski, du Centre de santé La Montagne, dont dépend ce CLSC, a nié l'existence d'une telle discrimination, mardi. Il a tout de même admis que les cours prénataux n'accueillaient pratiquement que des femmes.
«Nous accueillons majoritairement des immigrantes récentes qui peuvent être à risques, elles peuvent sentir le besoin de se retrouver entre elles», a indiqué Marc Sougavinski. La population de Parc-Extension est en effet très diversifiée. Plus de la moitié de ses habitants sont membres des minorités visibles. Après après discuté avec Marc Sougavinski, il semble que le CLSC a changé sa politique. Les hommes seraient, depuis hier, accueillis dans ses cours.
Cas isolé?
Parmi la dizaine de CLSC de Montréal contactés pour connaître l'ampleur du phénomène, aucun n'a dit refuser la présence des hommes au cours prénatal. Au contraire. Certains se sont dit scandalisés par une telle pratique et ont suggéré qu'une plainte soit déposée auprès des autorités compétentes.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritAccommodement raisonnable
Un CLSC refuse des hommes
Djibril Diallo
Le Journal de Montréal
16/11/2006 05h21 - Mise à jour 16/11/2006 09h12
Pendant plusieurs mois, le CLSC de Parc-Extension a refusé systématiquement que les hommes assistent à ses cours prénataux pour accommoder des femmes musulmanes, hindoues ou sikhs.
Si des femmes souhaitaient quand même suivre un cours prénatal avec leur conjoint, elles étaient obligées de se rendre au CLSC Côte-des-Neiges ou au CLSC Métro.
Des frais de 50$ étaient alors exigés aux couples tandis qu'ils étaient gratuits à Parc-Extension. Et ils n'avaient pas toujours le choix de la langue.
Lundi, un journaliste qui se faisait passer pour un mari désirant suivre un cours prénatal a appelé le CLSC Parc-Extension. Il a été éconduit.
«Nous avons des rencontres entre femmes seulement. Si vous voulez quand même suivre un cours, vous devez aller à Côte-des-Neiges», lui a dit la responsable du cours, Truc Huynh. L'infirmière a expliqué que c'est parce que les femmes de certaines religions ne souhaitent pas la présence des hommes au cours.
Dans certaines interprétations de la religion musulmane, on recommande de séparer systématiquement les hommes des femmes.
Selon certaines sources, cette politique était en vigueur depuis un an. Jusqu'à ce que Le Journal de Montréal s'intéresse à l'affaire, cette semaine...
La députée péquiste du quartier, Elsie Lefebvre, a dit avoir discuté avec les responsables du CLSC, ces derniers jours. «Mais vous savez, ils disent que c'est le seul moyen qu'ils ont pour atteindre ces femmes-là, ils disent qu'ils n'ont pas d'autre choix», a indiqué madame Lefebvre.
Pour les immigrantes?
Interrogé sur cette pratique, le directeur Marc Sougavinski, du Centre de santé La Montagne, dont dépend ce CLSC, a nié l'existence d'une telle discrimination, mardi. Il a tout de même admis que les cours prénataux n'accueillaient pratiquement que des femmes.
«Nous accueillons majoritairement des immigrantes récentes qui peuvent être à risques, elles peuvent sentir le besoin de se retrouver entre elles», a indiqué Marc Sougavinski. La population de Parc-Extension est en effet très diversifiée. Plus de la moitié de ses habitants sont membres des minorités visibles. Après après discuté avec Marc Sougavinski, il semble que le CLSC a changé sa politique. Les hommes seraient, depuis hier, accueillis dans ses cours.
Cas isolé?
Parmi la dizaine de CLSC de Montréal contactés pour connaître l'ampleur du phénomène, aucun n'a dit refuser la présence des hommes au cours prénatal. Au contraire. Certains se sont dit scandalisés par une telle pratique et ont suggéré qu'une plainte soit déposée auprès des autorités compétentes.
Oups On joue à la cachette à matin!
Un CLSC refuse des hommes
Djibril Diallo
Le Journal de Montréal
16/11/2006 05h21 - Mise à jour 16/11/2006 09h12
Pendant plusieurs mois, le CLSC de Parc-Extension a refusé systématiquement que les hommes assistent à ses cours prénataux pour accommoder des femmes musulmanes, hindoues ou sikhs.
Si des femmes souhaitaient quand même suivre un cours prénatal avec leur conjoint, elles étaient obligées de se rendre au CLSC Côte-des-Neiges ou au CLSC Métro.
Des frais de 50$ étaient alors exigés aux couples tandis qu'ils étaient gratuits à Parc-Extension. Et ils n'avaient pas toujours le choix de la langue.
Lundi, un journaliste qui se faisait passer pour un mari désirant suivre un cours prénatal a appelé le CLSC Parc-Extension. Il a été éconduit.
«Nous avons des rencontres entre femmes seulement. Si vous voulez quand même suivre un cours, vous devez aller à Côte-des-Neiges», lui a dit la responsable du cours, Truc Huynh. L'infirmière a expliqué que c'est parce que les femmes de certaines religions ne souhaitent pas la présence des hommes au cours.
Dans certaines interprétations de la religion musulmane, on recommande de séparer systématiquement les hommes des femmes.
Selon certaines sources, cette politique était en vigueur depuis un an. Jusqu'à ce que Le Journal de Montréal s'intéresse à l'affaire, cette semaine...
La députée péquiste du quartier, Elsie Lefebvre, a dit avoir discuté avec les responsables du CLSC, ces derniers jours. «Mais vous savez, ils disent que c'est le seul moyen qu'ils ont pour atteindre ces femmes-là, ils disent qu'ils n'ont pas d'autre choix», a indiqué madame Lefebvre.
Pour les immigrantes?
Interrogé sur cette pratique, le directeur Marc Sougavinski, du Centre de santé La Montagne, dont dépend ce CLSC, a nié l'existence d'une telle discrimination, mardi. Il a tout de même admis que les cours prénataux n'accueillaient pratiquement que des femmes.
«Nous accueillons majoritairement des immigrantes récentes qui peuvent être à risques, elles peuvent sentir le besoin de se retrouver entre elles», a indiqué Marc Sougavinski. La population de Parc-Extension est en effet très diversifiée. Plus de la moitié de ses habitants sont membres des minorités visibles. Après après discuté avec Marc Sougavinski, il semble que le CLSC a changé sa politique. Les hommes seraient, depuis hier, accueillis dans ses cours.
Cas isolé?
Parmi la dizaine de CLSC de Montréal contactés pour connaître l'ampleur du phénomène, aucun n'a dit refuser la présence des hommes au cours prénatal. Au contraire. Certains se sont dit scandalisés par une telle pratique et ont suggéré qu'une plainte soit déposée auprès des autorités compétentes.
Oups On joue à la cachette à matin!