Un Monde de Fous...!! (et autres lectures de bol...)
A Téhéran, on change de nez comme de chemise
Hormis le plâtre qui lui couvre le nez, Goli Abadi a un visage superbe. Comme moult Iraniennes, la jeune femme a succombé à la mode de la chirurgie esthétique. “Je me suis cassé le nez quand j’étais à la maternelle. J’ai pris un coup qui m’a laissé une petite bosse. Sinon, je ne me serais jamais fait opérer”, raconte cette hygiéniste dentaire actuellement au chômage. “Après mon accident, j’avais du mal à respirer. Je ne pouvais pas dormir sur le ventre, il fallait que je me mette sur le dos”, explique quant à elle Laïla, 23 ans, le visage tuméfié et les yeux injectés de sang après une intervention similaire.
Les rues de Téhéran grouillent de jeunes avec le nez dans le plâtre. Mais, si les Iraniens branchés ont manifestement besoin d’afficher leur rhinoplastie – selon les médecins, certains se font même plâtrer le nez sans s’être fait opérer pour étaler leur statut social –, rares sont ceux qui avouent les motifs réels de leur intervention. “Ils racontent tous qu’ils ont eu un accident, des troubles respiratoires ou une déviation de la cloison nasale”, soupire un spécialiste de Téhéran. “C’est un virus”, commente de son côté Goli Abadi. “Presque toutes mes amies se sont fait refaire le nez. Les filles rivalisent entre elles pour être la plus belle. C’est débile, mais ça permet aussi de passer le temps.”
La République islamique a le plus fort taux de rhinoplastie au monde, même s’il est difficile d’obtenir des chiffres précis. Les Iraniens appellent le nez parfait “le nez à 1 million de tomans [885 euros]”. En fait, les interventions atteignent parfois les 3 900 euros.
L’un des grands chirurgiens plasticiens de Téhéran affirme compter parmi ses patients les filles de hauts responsables religieux. C’est l’ayatollah Khomeyni, le père de la révolution islamique, qui a officiellement autorisé la chirurgie esthétique en Iran, après avoir été consulté par une personnalité religieuse dont la fille devait être opérée par Mohammed Abidipour, le premier chirurgien plasticien du pays. Comment expliquer la popularité de la rhinoplastie ? De nombreuses raisons ont été avancées. La première serait le code vestimentaire musulman. Les femmes devant se couvrir les cheveux et le corps, l’attention se focalise sur le visage. La seconde, c’est que le régime de Téhéran ne favorise pas les activités sociales. Résultat : les jeunes sont désœuvrés. Ils rêvent de ressembler à Jennifer Lopez, Nicole Kidman et Tom Cruise, ces stars de Hollywood qu’ils voient à la télévision par satellite (officiellement interdite).
Le nombre croissant de personnes défigurées par le bistouri de chirurgiens non qualifiés commence à devenir préoccupant. L’Iran ne compte officiellement que 115 chirurgiens plasticiens, mais l’explosion de la demande a incité au moins dix fois plus de praticiens issus d’autres spécialités, les ORL par exemple, à se lancer dans le secteur.
“Il se passe des choses terribles”, confie le Dr Abidipour, qui a dirigé le département de chirurgie plastique de la faculté de médecine de Téhéran. “On m’a envoyé un jour une patiente pour une rhinoplastie correctrice. Elle avait subi vingt opérations du nez, à raison de 120 dollars à chaque fois. Les interventions avaient été faites par le même médecin. Elle avait le nez dans un état épouvantable.”
Le ministère de la Justice a constitué un service spécial pour traiter les ratés de la médecine. Entre 2001 et 2004, il a examiné 2 715 affaires de chirurgie esthétique : 459 médecins ont reçu un blâme écrit et 21 ont été suspendus pour une période allant jusqu’à quatre ans. Pour certains, c’est une maigre consolation. Sina Maadelat, par exemple, 25 ans, chauffeur de taxi à Téhéran, vient de payer 250 euros pour une troisième opération. “La première fois, j’ai beaucoup saigné. Je n’ai pas pu respirer pendant deux semaines, raconte-t-il. Et puis les médecins ont eu du mal à enlever le plâtre et les points de suture. La pointe [de mon nez] est retombée. En fait, je n’avais aucun problème. Mon nez était mieux avant que je passe sur le billard.”
Hormis le plâtre qui lui couvre le nez, Goli Abadi a un visage superbe. Comme moult Iraniennes, la jeune femme a succombé à la mode de la chirurgie esthétique. “Je me suis cassé le nez quand j’étais à la maternelle. J’ai pris un coup qui m’a laissé une petite bosse. Sinon, je ne me serais jamais fait opérer”, raconte cette hygiéniste dentaire actuellement au chômage. “Après mon accident, j’avais du mal à respirer. Je ne pouvais pas dormir sur le ventre, il fallait que je me mette sur le dos”, explique quant à elle Laïla, 23 ans, le visage tuméfié et les yeux injectés de sang après une intervention similaire.
Les rues de Téhéran grouillent de jeunes avec le nez dans le plâtre. Mais, si les Iraniens branchés ont manifestement besoin d’afficher leur rhinoplastie – selon les médecins, certains se font même plâtrer le nez sans s’être fait opérer pour étaler leur statut social –, rares sont ceux qui avouent les motifs réels de leur intervention. “Ils racontent tous qu’ils ont eu un accident, des troubles respiratoires ou une déviation de la cloison nasale”, soupire un spécialiste de Téhéran. “C’est un virus”, commente de son côté Goli Abadi. “Presque toutes mes amies se sont fait refaire le nez. Les filles rivalisent entre elles pour être la plus belle. C’est débile, mais ça permet aussi de passer le temps.”
La République islamique a le plus fort taux de rhinoplastie au monde, même s’il est difficile d’obtenir des chiffres précis. Les Iraniens appellent le nez parfait “le nez à 1 million de tomans [885 euros]”. En fait, les interventions atteignent parfois les 3 900 euros.
L’un des grands chirurgiens plasticiens de Téhéran affirme compter parmi ses patients les filles de hauts responsables religieux. C’est l’ayatollah Khomeyni, le père de la révolution islamique, qui a officiellement autorisé la chirurgie esthétique en Iran, après avoir été consulté par une personnalité religieuse dont la fille devait être opérée par Mohammed Abidipour, le premier chirurgien plasticien du pays. Comment expliquer la popularité de la rhinoplastie ? De nombreuses raisons ont été avancées. La première serait le code vestimentaire musulman. Les femmes devant se couvrir les cheveux et le corps, l’attention se focalise sur le visage. La seconde, c’est que le régime de Téhéran ne favorise pas les activités sociales. Résultat : les jeunes sont désœuvrés. Ils rêvent de ressembler à Jennifer Lopez, Nicole Kidman et Tom Cruise, ces stars de Hollywood qu’ils voient à la télévision par satellite (officiellement interdite).
Le nombre croissant de personnes défigurées par le bistouri de chirurgiens non qualifiés commence à devenir préoccupant. L’Iran ne compte officiellement que 115 chirurgiens plasticiens, mais l’explosion de la demande a incité au moins dix fois plus de praticiens issus d’autres spécialités, les ORL par exemple, à se lancer dans le secteur.
“Il se passe des choses terribles”, confie le Dr Abidipour, qui a dirigé le département de chirurgie plastique de la faculté de médecine de Téhéran. “On m’a envoyé un jour une patiente pour une rhinoplastie correctrice. Elle avait subi vingt opérations du nez, à raison de 120 dollars à chaque fois. Les interventions avaient été faites par le même médecin. Elle avait le nez dans un état épouvantable.”
Le ministère de la Justice a constitué un service spécial pour traiter les ratés de la médecine. Entre 2001 et 2004, il a examiné 2 715 affaires de chirurgie esthétique : 459 médecins ont reçu un blâme écrit et 21 ont été suspendus pour une période allant jusqu’à quatre ans. Pour certains, c’est une maigre consolation. Sina Maadelat, par exemple, 25 ans, chauffeur de taxi à Téhéran, vient de payer 250 euros pour une troisième opération. “La première fois, j’ai beaucoup saigné. Je n’ai pas pu respirer pendant deux semaines, raconte-t-il. Et puis les médecins ont eu du mal à enlever le plâtre et les points de suture. La pointe [de mon nez] est retombée. En fait, je n’avais aucun problème. Mon nez était mieux avant que je passe sur le billard.”
Premier championnat d'endurance en sauna en Allemagne
Reuters 27.06.2005 - 14:21
BERLIN (Reuters) - Le vainqueur du premier championnat allemand d'endurance en sauna, organisé à Dolle, a tenu 4 minutes et 52 secondes par 110 degrés Celsius, rapporte lundi le journal Magdeburger Volksstimme.
Andreas Kramp, de Lemgo, a tenu la dragée haute à tous les concurrents de cette première édition organisée en Allemagne mais a manqué de 12 minutes la performance du Finlandais Leo Pusa, vainqueur l'an dernier des championnats internationaux qui se tenaient à Heinola, en Finlande.
L'épreuve germanique a repris les mêmes règles de compétition: les participants s'assoient dans un sauna par une température de 110 degrés, avec vaporisation d'eau toutes les 30 secondes.
Reuters 27.06.2005 - 14:21
BERLIN (Reuters) - Le vainqueur du premier championnat allemand d'endurance en sauna, organisé à Dolle, a tenu 4 minutes et 52 secondes par 110 degrés Celsius, rapporte lundi le journal Magdeburger Volksstimme.
Andreas Kramp, de Lemgo, a tenu la dragée haute à tous les concurrents de cette première édition organisée en Allemagne mais a manqué de 12 minutes la performance du Finlandais Leo Pusa, vainqueur l'an dernier des championnats internationaux qui se tenaient à Heinola, en Finlande.
L'épreuve germanique a repris les mêmes règles de compétition: les participants s'assoient dans un sauna par une température de 110 degrés, avec vaporisation d'eau toutes les 30 secondes.
Japon: victime d'un accident de voiture... à titre posthume
Reuters 26.06.2005 - 17:23
TOKYO (Reuters) - Une jeune Japonaise retrouvée sur les lieux d'un accident de voiture ayant coûté la vie à son mari et à son fils était pour sa part morte depuis au moins 24 heures, rapporte la police nipponne, citée par l'agence de presse Kyodo.
Quand les secouristes sont arrivés sur les lieux de l'accident, ils ont constaté que le corps de Rie Ishikawa, âgée de 28 ans, se trouvait déjà en état de rigidité cadavérique.
Selon la police, son décès a eu lieu un ou deux jours avant l'accident, qui s'est produit dimanche matin sur une autoroute près de Tokyo. On ignore pour l'heure les causes de sa mort.
Au Japon, les toilettes high-tech sont de véritables laboratoires d'analyse
AFP 27.06.2005 - 12:21
Hygiéniques et confortables à l'origine, les toilettes électroniques nippones qui surprennent l'étranger de passage se muent progressivement en véritables laboratoires d'analyses médicales personnels.
Toto, le numéro un mondial du secteur, a ainsi conçu avec le promoteur immobilier Daiwa House de nouveaux sanitaires baptisés "Intelligence Toilets" (toilettes intelligentes), qui analysent l'urine, mesurent la pression artérielle, dosent la proportion de graisse dans le corps, et pèsent la masse corporelle. Ce n'est certes pas le premier modèle dont les fonctions dépassent largement les simples commodités, mais il s'agit d'un des plus complets.
"Nous avons déjà près de cent commandes depuis que ce modèle est commercialisé", a déclaré à l'AFP une porte-parole de Daiwa House, Miki Chino, précisant que les clients sont en majorité des quadragénaires et des quinquagénaires. Ces WC intelligents regorgent de technologies mécaniques, chimiques, électroniques et informatiques.
Pour l'analyse d'urine, une dosette vient se positionner au bon endroit pour recueillir la dose utile (quelques centimètres cube) puis aller automatiquement en déverser une partie dans un système d'analyse situé à l'arrière. Pendant ce temps, l'usager/patient peut prendre sa pression artérielle à l'aide d'un tensiomètre positionné à côté du support de rouleau à papier.
Une fois ces opérations, indolores, achevées, il ne lui reste plus qu'à se peser, ce qui se fait automatiquement au moment du lavage des mains, le pèse-personne se trouvant inséré dans le sol au bon emplacement.
Enfin, pour achever la séance de contrôle, l'utilisateur devra saisir une sorte de guidon situé devant lui entre le miroir et le lavabo, se placer droit devant, tendre les bras, ce qui permet à l'appareil en question de quantifier la proportion de graisse que contient son corps.
Le suivi médical exigeant régularité et comparaison d'analyses, toutes les données ainsi recueillies peuvent être traitées ensuite sur ordinateur personnel grâce à un logiciel spécifique, qui conservera trace des résultats de toute la maisonnée (quatre personnes sous surveillance régulière au maximum).
Les visiteurs de passage pourront également utiliser ces sanitaires, mais leurs analyses ne seront pas conservées.
Toto domine le marché japonais des sanitaires innovants depuis la fin des années 1970, époque à partir de laquelle les toilettes de style occidental ont commencé à détrôner les traditionnels modèles japonais d'antan, plus proches des toilettes "à la turque".
L'entreprise nippone a acheté à l'époque un brevet déposé par une petite firme américaine spécialisée dans la conception de sanitaires pour handicapés, selon une porte-parole de Toto. Le numéro un mondial s'honore d'avoir vendu quelque 20 millions de toilettes depuis 1980, au Japon et à l'étranger.
Ce fabricant, peu connu en Europe, a d'abord révolutionné le mode de fonctionnement des chasse d'eau grâce à un système de propulsion qui nettoie la cuvette en utilisant la force centrifuge de l'eau au lieu de simplement la faire couler le long des parois.
Sont arrivées ensuite d'autres fioritures comme le désodorisant et le détergent automatiques, le siège chauffant, la musique d'ambiance, le simulateur de bruit de chasse-d'eau pour couvrir les sons embarrassants et autres gadgets qui font des toilettes japonaises des appareils aussi intrigants que pratiques.
Tous les fabricants de sanitaires nippons (Inax, Matsushita/National) ont depuis suivi la même voie que Toto dans la course à l'innovation. Selon Toto, il n'y a aucun doute que le succès de ces appareils est né de l'obsession nippone pour l'hygiène et la propreté.
AFP 27.06.2005 - 12:21
Hygiéniques et confortables à l'origine, les toilettes électroniques nippones qui surprennent l'étranger de passage se muent progressivement en véritables laboratoires d'analyses médicales personnels.
Toto, le numéro un mondial du secteur, a ainsi conçu avec le promoteur immobilier Daiwa House de nouveaux sanitaires baptisés "Intelligence Toilets" (toilettes intelligentes), qui analysent l'urine, mesurent la pression artérielle, dosent la proportion de graisse dans le corps, et pèsent la masse corporelle. Ce n'est certes pas le premier modèle dont les fonctions dépassent largement les simples commodités, mais il s'agit d'un des plus complets.
"Nous avons déjà près de cent commandes depuis que ce modèle est commercialisé", a déclaré à l'AFP une porte-parole de Daiwa House, Miki Chino, précisant que les clients sont en majorité des quadragénaires et des quinquagénaires. Ces WC intelligents regorgent de technologies mécaniques, chimiques, électroniques et informatiques.
Pour l'analyse d'urine, une dosette vient se positionner au bon endroit pour recueillir la dose utile (quelques centimètres cube) puis aller automatiquement en déverser une partie dans un système d'analyse situé à l'arrière. Pendant ce temps, l'usager/patient peut prendre sa pression artérielle à l'aide d'un tensiomètre positionné à côté du support de rouleau à papier.
Une fois ces opérations, indolores, achevées, il ne lui reste plus qu'à se peser, ce qui se fait automatiquement au moment du lavage des mains, le pèse-personne se trouvant inséré dans le sol au bon emplacement.
Enfin, pour achever la séance de contrôle, l'utilisateur devra saisir une sorte de guidon situé devant lui entre le miroir et le lavabo, se placer droit devant, tendre les bras, ce qui permet à l'appareil en question de quantifier la proportion de graisse que contient son corps.
Le suivi médical exigeant régularité et comparaison d'analyses, toutes les données ainsi recueillies peuvent être traitées ensuite sur ordinateur personnel grâce à un logiciel spécifique, qui conservera trace des résultats de toute la maisonnée (quatre personnes sous surveillance régulière au maximum).
Les visiteurs de passage pourront également utiliser ces sanitaires, mais leurs analyses ne seront pas conservées.
Toto domine le marché japonais des sanitaires innovants depuis la fin des années 1970, époque à partir de laquelle les toilettes de style occidental ont commencé à détrôner les traditionnels modèles japonais d'antan, plus proches des toilettes "à la turque".
L'entreprise nippone a acheté à l'époque un brevet déposé par une petite firme américaine spécialisée dans la conception de sanitaires pour handicapés, selon une porte-parole de Toto. Le numéro un mondial s'honore d'avoir vendu quelque 20 millions de toilettes depuis 1980, au Japon et à l'étranger.
Ce fabricant, peu connu en Europe, a d'abord révolutionné le mode de fonctionnement des chasse d'eau grâce à un système de propulsion qui nettoie la cuvette en utilisant la force centrifuge de l'eau au lieu de simplement la faire couler le long des parois.
Sont arrivées ensuite d'autres fioritures comme le désodorisant et le détergent automatiques, le siège chauffant, la musique d'ambiance, le simulateur de bruit de chasse-d'eau pour couvrir les sons embarrassants et autres gadgets qui font des toilettes japonaises des appareils aussi intrigants que pratiques.
Tous les fabricants de sanitaires nippons (Inax, Matsushita/National) ont depuis suivi la même voie que Toto dans la course à l'innovation. Selon Toto, il n'y a aucun doute que le succès de ces appareils est né de l'obsession nippone pour l'hygiène et la propreté.
Un sprinteur japonais bat un record à 95 ans !
Le sprinteur japonais Kozo Haraguchi, 95 ans, a battu hier le record du monde du 100 mètres, catégorie 95-99 ans, en 22 sec 04/100, pulvérisant la précédente marque de près de deux secondes. Unique participant de cette course au record disputée sous la pluie, Haraguchi, déjà détenteur du record du monde des 90-94 ans (18.08 en 2000) a effacé des tablettes l'Autrichien Erwin Jaskulski qui avait couru la ligne droite en 24 sec 01, à 96 ans, en 1999.
"C'est la première fois que je courrais sous la pluie. Je n'ai pas cessé de penser à éviter de glisser jusqu'à la ligne d'arrivée", a expliqué le Japonais, initié à l'athlétisme à l'âge de 65 ans, et dont le record doit désormais être homologué par le World Masters Athletics, organisme gérant la compétition des athlètes d'âge mûr.
Le sprinteur japonais Kozo Haraguchi, 95 ans, a battu hier le record du monde du 100 mètres, catégorie 95-99 ans, en 22 sec 04/100, pulvérisant la précédente marque de près de deux secondes. Unique participant de cette course au record disputée sous la pluie, Haraguchi, déjà détenteur du record du monde des 90-94 ans (18.08 en 2000) a effacé des tablettes l'Autrichien Erwin Jaskulski qui avait couru la ligne droite en 24 sec 01, à 96 ans, en 1999.
"C'est la première fois que je courrais sous la pluie. Je n'ai pas cessé de penser à éviter de glisser jusqu'à la ligne d'arrivée", a expliqué le Japonais, initié à l'athlétisme à l'âge de 65 ans, et dont le record doit désormais être homologué par le World Masters Athletics, organisme gérant la compétition des athlètes d'âge mûr.
Une arrière-grand-mère jalouse tue son ancien petit ami dans sa maison de retraite ! !
Furieuse d'avoir été quittée pour une autre, une arrière-grand-mère de 78 ans a tué par balles son ancien petit ami, âgé de 85 ans, alors qu'il lisait le journal dans sa maison de retraite.
"Je l'ai fait et je le referais, si c'était à refaire !" a hurlé Lena Driskell aux policiers venus l'arrêter il y a deux semaines. Elle était en robe de chambre et en pantoufles, le doigt sur la gâchette d'un antique pistolet.
Elle est accusée d'avoir tué Herman Winslow, 85 ans, parce qu'elle était furieuse d'avoir été quittée au bout de plusieurs années de romance, remplacée par une autre femme.
L'arrière-grand-mère tueuse a été assignée à résidence après son audition vendredi. Le juge du comté lui a imposé de porter un bracelet électronique et de vivre avec sa petite-fille Lena Holt.
"Je ne veux pas la voir traîner dans les rues", s'est-il justifié. "Qui sait combien d'autres revolvers elle possède ?"
Après sa rupture avec Winslow, elle avait continué à lui rendre visite sans invitation dans sa chambre de la maison de retraite où ils vivaient ensemble. Un vigile avait tenté de la calmer, mais elle avait sorti son pistolet, et tiré dans la tête de son ancien compagnon à quatre reprises, selon la police.
Furieuse d'avoir été quittée pour une autre, une arrière-grand-mère de 78 ans a tué par balles son ancien petit ami, âgé de 85 ans, alors qu'il lisait le journal dans sa maison de retraite.
"Je l'ai fait et je le referais, si c'était à refaire !" a hurlé Lena Driskell aux policiers venus l'arrêter il y a deux semaines. Elle était en robe de chambre et en pantoufles, le doigt sur la gâchette d'un antique pistolet.
Elle est accusée d'avoir tué Herman Winslow, 85 ans, parce qu'elle était furieuse d'avoir été quittée au bout de plusieurs années de romance, remplacée par une autre femme.
L'arrière-grand-mère tueuse a été assignée à résidence après son audition vendredi. Le juge du comté lui a imposé de porter un bracelet électronique et de vivre avec sa petite-fille Lena Holt.
"Je ne veux pas la voir traîner dans les rues", s'est-il justifié. "Qui sait combien d'autres revolvers elle possède ?"
Après sa rupture avec Winslow, elle avait continué à lui rendre visite sans invitation dans sa chambre de la maison de retraite où ils vivaient ensemble. Un vigile avait tenté de la calmer, mais elle avait sorti son pistolet, et tiré dans la tête de son ancien compagnon à quatre reprises, selon la police.
Un chien vraiment trop fidèle ! ] - [ Yes @ 10:48:16 ]
Un curé du Costa Rica a tué une chienne sous prétexte qu'elle dérangeait les fidèles pendant ses offices !
Sa ferveur l'a tuée. Camila ne manquait aucun office religieux. Mariages, baptêmes, enterrements, elle était de toutes les messes. Mais trop zélée sans doute pour Carlos Artavia, le curé de la paroisse de Tibas pour qui elle dérangeait les fidèles.
Camila. Une croyante au décolleté sexy qui déconcentrait les hommes durant leurs prières ? Une fervente adoratrice du Seigneur qui chantait haut, fort et faux ? Point de cela. Et pour cause, Camila était une chienne. Un simple cabot des rues qui aimait à se réfugier dans les églises. Et qui était très appréciée des fidèles
Camila a été euthanasiée par le curé. Pour cet acte vraiment pas catholique, le tribunal du Costa Rica l'a condamné à 30 jours de prison. Les habitants du quartier s'étaient mobilisés et avaient porté plainte contre le religieux.
Le juge a expliqué sa décision en soulignant que d'après l'enquête, la chienne n'était ni malade ni dangereuse. Le prêtre pourra éviter la prison s'il verse une amende de 30.000 colons (50 euros) dans un délai de 15 jours. Il devra par ailleurs payer les frais de justice. --Message edité par °Cybelle° le 2005-06-27 14:29:58--
Un curé du Costa Rica a tué une chienne sous prétexte qu'elle dérangeait les fidèles pendant ses offices !
Sa ferveur l'a tuée. Camila ne manquait aucun office religieux. Mariages, baptêmes, enterrements, elle était de toutes les messes. Mais trop zélée sans doute pour Carlos Artavia, le curé de la paroisse de Tibas pour qui elle dérangeait les fidèles.
Camila. Une croyante au décolleté sexy qui déconcentrait les hommes durant leurs prières ? Une fervente adoratrice du Seigneur qui chantait haut, fort et faux ? Point de cela. Et pour cause, Camila était une chienne. Un simple cabot des rues qui aimait à se réfugier dans les églises. Et qui était très appréciée des fidèles
Camila a été euthanasiée par le curé. Pour cet acte vraiment pas catholique, le tribunal du Costa Rica l'a condamné à 30 jours de prison. Les habitants du quartier s'étaient mobilisés et avaient porté plainte contre le religieux.
Le juge a expliqué sa décision en soulignant que d'après l'enquête, la chienne n'était ni malade ni dangereuse. Le prêtre pourra éviter la prison s'il verse une amende de 30.000 colons (50 euros) dans un délai de 15 jours. Il devra par ailleurs payer les frais de justice. --Message edité par °Cybelle° le 2005-06-27 14:29:58--
Les spams peuvent aider à perdre du poids
WASHINGTON (Reuters) - Les spams peuvent avoir un effet positif s'ils se transforment en un flux régulier d'informations sur la santé, affirment des chercheurs canadiens.
Les internautes, qui reçoivent des messages non sollicités sur les habitudes alimentaires et les façons de rester actifs, tendent à faire de l'exercice et à perdre du poids, selon les scientifiques de l'Université d'Alberta.
Durant douze semaines, le Dr Ron Plotnikoff et ses collègues ont envoyé des courriels hebdomadaires à des volontaires répartis dans cinq grands lieux de travail au Canada, et qui participaient à une étude plus large sur la santé et les exercices physiques.
Ceux qui ont reçu des courriels de rappel ont pratiqué davantage d'exercices physiques et étaient mieux informés des bénéfices qu'ils pouvaient en tirer que ceux qui ne les ont pas reçus, relève Plotnikoff dans l'Americain Journal of Health Promotion. Ils ont également réduit leur indice de masse corporelle (IMC), contrairement aux autres.
WASHINGTON (Reuters) - Les spams peuvent avoir un effet positif s'ils se transforment en un flux régulier d'informations sur la santé, affirment des chercheurs canadiens.
Les internautes, qui reçoivent des messages non sollicités sur les habitudes alimentaires et les façons de rester actifs, tendent à faire de l'exercice et à perdre du poids, selon les scientifiques de l'Université d'Alberta.
Durant douze semaines, le Dr Ron Plotnikoff et ses collègues ont envoyé des courriels hebdomadaires à des volontaires répartis dans cinq grands lieux de travail au Canada, et qui participaient à une étude plus large sur la santé et les exercices physiques.
Ceux qui ont reçu des courriels de rappel ont pratiqué davantage d'exercices physiques et étaient mieux informés des bénéfices qu'ils pouvaient en tirer que ceux qui ne les ont pas reçus, relève Plotnikoff dans l'Americain Journal of Health Promotion. Ils ont également réduit leur indice de masse corporelle (IMC), contrairement aux autres.
jeudi 30 juin 2005, 8h46
Ni kilt ni "haggis" pour Bush au sommet du G8 en Ecosse
LONDRES (AFP) - Le président américain George W. Bush, qui fêtera son 59e anniversaire la semaine prochaine au cours du sommet du G8 en Ecosse, a l'intention de repousser poliment mais fermement toutes les tentatives pour lui faire goûter la spécialité locale, le "haggis", ou panse de brebis farcie.
"Oui, le +haggis+, on m'a parlé du haggis", a répondu M. Bush lorsqu'un journaliste du quotidien Times lui a demandé s'il était tenté de goûter ce plat réputé. "Non", a-t-il ajouté.
"D'habitude, pour mon anniversaire, ma mère me demandait: qu'est-ce que tu veux à manger ? et je ne me rappelle pas lui avoir jamais répondu: du haggis, maman", a raconté le président américain dans l'interview publiée dans le quotidien londonien daté de jeudi.
M. Bush a également indiqué qu'il n'avait pas non plus envie de porter le kilt écossais pour la photo de groupe traditionnelle des leaders du G8.
Le président américain s'est souvenu qu'il avait vu son ami Bill Gammell, un ancien international écossais de rugby qui dirige actuellement une firme de prospection de pétrole et de gaz, porter un kilt lors d'un banquet royal donné en l'honneur de M. Bush pendant sa visite d'Etat en Grande-Bretagne en 2003.
"Gammell est apparu dans son kilt. Je lui ai dit: Ecoute, mon gars, tu peux porter ton kilt, mais je ne vais pas en mettre un", a raconté le président.
M. Bush séjournera la semaine prochaine dans le complexe hôtelier somptueux de Gleneagles pendant les trois jours du sommet avec le Premier ministre britannique Tony Blair et les autres leaders des Huit nations les plus industrialisées du monde. Son anniversaire tombe mercredi prochain, premier jour de la réunion.
Un natif du bélier, s'estimant diffamé par son horoscope, devant la justice
MONTBÉLIARD (AFP) - Un habitant de Montbéliard qui poursuit en justice un journal ayant publié un horoscope jugé diffamatoire à son égard a affirmé devant le tribunal d'instance que cette interprétation du langage des astres pouvait lui nuire au niveau personnel et professionnel.
Le lecteur, natif du bélier, n'avait pas apprécié que ce signe soit, dans les pages du journal, associé à la prédiction suivante : "certains retrouveront les émois de l'adolescence, surtout dans le domaine sentimental où l'envie de s'amuser prend le pas sur le besoin de construire du solide".
Devant le tribunal d'instance de Montbéliard mardi, cet homme de 31 ans s'est présenté comme "un père de famille sérieux" et a estimé, "qu'en tant que bélier", il pouvait être considéré par un employeur, au regard de cette prévision, comme "un coureur de filles", peu fiable professionnellement.
Au cours de l'audience d'une demi-heure, la juge a notamment tenté de lui expliquer qu'en droit, la diffamation vise un individu nommément, ce qui n'était pas le cas de l'horoscope.
Le Montbéliardais - au chômage depuis deux ans - réclame 51 euros d'indemnités au journal qui a diffusé l'horoscope et un avertissement contre l'astrologue à laquelle il recommande "d'aller voir un médecin".
La décision a été mise en délibéré au 20 septembre prochain.
J'ai mon voyage.......
MONTBÉLIARD (AFP) - Un habitant de Montbéliard qui poursuit en justice un journal ayant publié un horoscope jugé diffamatoire à son égard a affirmé devant le tribunal d'instance que cette interprétation du langage des astres pouvait lui nuire au niveau personnel et professionnel.
Le lecteur, natif du bélier, n'avait pas apprécié que ce signe soit, dans les pages du journal, associé à la prédiction suivante : "certains retrouveront les émois de l'adolescence, surtout dans le domaine sentimental où l'envie de s'amuser prend le pas sur le besoin de construire du solide".
Devant le tribunal d'instance de Montbéliard mardi, cet homme de 31 ans s'est présenté comme "un père de famille sérieux" et a estimé, "qu'en tant que bélier", il pouvait être considéré par un employeur, au regard de cette prévision, comme "un coureur de filles", peu fiable professionnellement.
Au cours de l'audience d'une demi-heure, la juge a notamment tenté de lui expliquer qu'en droit, la diffamation vise un individu nommément, ce qui n'était pas le cas de l'horoscope.
Le Montbéliardais - au chômage depuis deux ans - réclame 51 euros d'indemnités au journal qui a diffusé l'horoscope et un avertissement contre l'astrologue à laquelle il recommande "d'aller voir un médecin".
La décision a été mise en délibéré au 20 septembre prochain.
J'ai mon voyage.......
tuberale a écritUn natif du bélier, s'estimant diffamé par son horoscope, devant la justice
MONTBÉLIARD (AFP) - Un habitant de Montbéliard qui poursuit en justice un journal ayant publié un horoscope jugé diffamatoire à son égard a affirmé devant le tribunal d'instance que cette interprétation du langage des astres pouvait lui nuire au niveau personnel et professionnel.
Le lecteur, natif du bélier, n'avait pas apprécié que ce signe soit, dans les pages du journal, associé à la prédiction suivante : "certains retrouveront les émois de l'adolescence, surtout dans le domaine sentimental où l'envie de s'amuser prend le pas sur le besoin de construire du solide".
Devant le tribunal d'instance de Montbéliard mardi, cet homme de 31 ans s'est présenté comme "un père de famille sérieux" et a estimé, "qu'en tant que bélier", il pouvait être considéré par un employeur, au regard de cette prévision, comme "un coureur de filles", peu fiable professionnellement.
Au cours de l'audience d'une demi-heure, la juge a notamment tenté de lui expliquer qu'en droit, la diffamation vise un individu nommément, ce qui n'était pas le cas de l'horoscope.
Le Montbéliardais - au chômage depuis deux ans - réclame 51 euros d'indemnités au journal qui a diffusé l'horoscope et un avertissement contre l'astrologue à laquelle il recommande "d'aller voir un médecin".
La décision a été mise en délibéré au 20 septembre prochain.
J'ai mon voyage.......
Ouf...
ridicule...
MONTBÉLIARD (AFP) - Un habitant de Montbéliard qui poursuit en justice un journal ayant publié un horoscope jugé diffamatoire à son égard a affirmé devant le tribunal d'instance que cette interprétation du langage des astres pouvait lui nuire au niveau personnel et professionnel.
Le lecteur, natif du bélier, n'avait pas apprécié que ce signe soit, dans les pages du journal, associé à la prédiction suivante : "certains retrouveront les émois de l'adolescence, surtout dans le domaine sentimental où l'envie de s'amuser prend le pas sur le besoin de construire du solide".
Devant le tribunal d'instance de Montbéliard mardi, cet homme de 31 ans s'est présenté comme "un père de famille sérieux" et a estimé, "qu'en tant que bélier", il pouvait être considéré par un employeur, au regard de cette prévision, comme "un coureur de filles", peu fiable professionnellement.
Au cours de l'audience d'une demi-heure, la juge a notamment tenté de lui expliquer qu'en droit, la diffamation vise un individu nommément, ce qui n'était pas le cas de l'horoscope.
Le Montbéliardais - au chômage depuis deux ans - réclame 51 euros d'indemnités au journal qui a diffusé l'horoscope et un avertissement contre l'astrologue à laquelle il recommande "d'aller voir un médecin".
La décision a été mise en délibéré au 20 septembre prochain.
J'ai mon voyage.......
Ouf...
ridicule...
"Et sur mon corps ton corps étend
La nappe de son miroir clair." (Paul Éluard)
tuberale a écritJe trouve que ça bat les américains et leur manie de poursuivre tout et tout le monde.......yeille faire une poursuite pour un mauvais horoscope......ça en dit beaucoup sur l'avocat qui a accepté la job je trouve.......franchement, le titre du topic colle comme un gant en tk....
Mets-en ! J'en reviens pas...
Mets-en ! J'en reviens pas...
"Et sur mon corps ton corps étend
La nappe de son miroir clair." (Paul Éluard)
Scoopy, le chihuahua de Ralf Schumacher, a été enlevé
MAGNY-COURS, Nièvre (Reuters) - Ralf Schumacher ne nourrit aucune inquiétude à l'idée de remonter dans sa monoplace au Grand Prix de France.
En revanche, le pilote Toyota, victime d'un accident lors des essais libres à Indianapolis il y a deux semaines, se ronge les sangs au sujet de son chihuahua Scoopy, disparu près de Saint-Tropez cette semaine.
"Il a été volé, je ne l'ai pas perdu", a affirmé Ralf, le frère cadet de Michael Schumacher.
"Je suis sorti et habituellement il court autour de moi. Soudain, il n'était plus là."
"Il paraît qu'il arrive souvent que les chiens soient enlevés et revendus mais personne ne nous a encore contactés", a ajouté Ralf, qui passait des vacances en famille dans le sud de la France.
"C'est un chien adorable, espérons que nous le récupèrerons."
Interdit de course pour raisons médicales au GP des Etats-Unis, Ralf a dit attendre la course de dimanche avec impatience. "Je me sens bien, cela fait du bien de revenir", a-t-il dit.
blague = tant qu'à moi, ce n,est pas son chien qu,ils auraient dû enlever mais son frère!!!
MAGNY-COURS, Nièvre (Reuters) - Ralf Schumacher ne nourrit aucune inquiétude à l'idée de remonter dans sa monoplace au Grand Prix de France.
En revanche, le pilote Toyota, victime d'un accident lors des essais libres à Indianapolis il y a deux semaines, se ronge les sangs au sujet de son chihuahua Scoopy, disparu près de Saint-Tropez cette semaine.
"Il a été volé, je ne l'ai pas perdu", a affirmé Ralf, le frère cadet de Michael Schumacher.
"Je suis sorti et habituellement il court autour de moi. Soudain, il n'était plus là."
"Il paraît qu'il arrive souvent que les chiens soient enlevés et revendus mais personne ne nous a encore contactés", a ajouté Ralf, qui passait des vacances en famille dans le sud de la France.
"C'est un chien adorable, espérons que nous le récupèrerons."
Interdit de course pour raisons médicales au GP des Etats-Unis, Ralf a dit attendre la course de dimanche avec impatience. "Je me sens bien, cela fait du bien de revenir", a-t-il dit.
blague = tant qu'à moi, ce n,est pas son chien qu,ils auraient dû enlever mais son frère!!!
Une note salée
OMAHA, Nebraska (AP) -- C'est ce qui s'appelle payer une note salée: un acheteur anonyme a déboursé la somme de 351.100 dollars (290.357 euros) lors d'une vente aux enchères pour déjeuner avec... un milliardaire.
Au total, 110 offres ont été proposées jusqu'à jeudi soir sur le site internet eBay pour avoir le privilège de manger avec l'investisseur Warren Buffett, connu sous le nom d'"Oracle d'Omaha". La mise à prix de cette vente, lancée le 23 juin, était de 25.000 dollars (20.675 euros).
L'acquéreur pourra amener sept amis avec lui pour dîner avec le milliardaire à Omaha ou New York. Les deux parties doivent simplement se mettre d'accord sur la date et le lieu. Son identité n'a pas été révélée, mais il est probable qu'il souhaitera rester anonyme, a précisé Mary Dunbar, une porte-parole de la Fondation Glide, qui recevra le produit de cette vente particulière.
L'organisation aide les pauvres et les sans-abris à San Francisco. Warren Buffett, dont la fortune est évaluée à environ 44 milliards de dollars (36,4 milliards d'euros), avait proposé de vendre un déjeuner sur eBay pour récolter des fonds, a-t-on appris auprès du directeur de la fondation, le révérend Cecil Williams. AP
OMAHA, Nebraska (AP) -- C'est ce qui s'appelle payer une note salée: un acheteur anonyme a déboursé la somme de 351.100 dollars (290.357 euros) lors d'une vente aux enchères pour déjeuner avec... un milliardaire.
Au total, 110 offres ont été proposées jusqu'à jeudi soir sur le site internet eBay pour avoir le privilège de manger avec l'investisseur Warren Buffett, connu sous le nom d'"Oracle d'Omaha". La mise à prix de cette vente, lancée le 23 juin, était de 25.000 dollars (20.675 euros).
L'acquéreur pourra amener sept amis avec lui pour dîner avec le milliardaire à Omaha ou New York. Les deux parties doivent simplement se mettre d'accord sur la date et le lieu. Son identité n'a pas été révélée, mais il est probable qu'il souhaitera rester anonyme, a précisé Mary Dunbar, une porte-parole de la Fondation Glide, qui recevra le produit de cette vente particulière.
L'organisation aide les pauvres et les sans-abris à San Francisco. Warren Buffett, dont la fortune est évaluée à environ 44 milliards de dollars (36,4 milliards d'euros), avait proposé de vendre un déjeuner sur eBay pour récolter des fonds, a-t-on appris auprès du directeur de la fondation, le révérend Cecil Williams. AP
Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis
FREMONT, Nebraska (AP) -- Jerry Wedergren et Joanne Todarello McComb se sont enfin mariés. Et ce, 53 ans après s'être fiancés la première fois... Ils s'étaient rencontrés en 1951 au cours d'un bal à Washington, puis fiancés en 1952. La guerre de Corée les sépara: son fiancé au loin, Joanne rompit les fiançailles et ils se marièrent et eurent des enfants chacun de son côté.
En 1997, Thomas McComb, époux de Joanne, décédait, suivi en 2000 par Patricia, femme de Jerry.
Solitaire, ce dernier se mit alors à la recherche de son amour de jeunesse, réussissant à la retrouver et à renouer le contact. Après moult conversations téléphoniques, Joanne, finalement, en août 2001, prit l'avion pour Omaha, Nebraska...
"Elle était la dernière à descendre de l'avion. Je me suis dit 'mon Dieu, elle a reculé au dernier moment'", raconte Jerry.
C'est ainsi que, en juin 2002, 50 ans tout juste après s'être fiancés une première fois, les tourtereaux sur le retour ont remis ça. Le mariage a ensuite traîné pour des raisons administratives, mais c'est enfin chose faite. "Il est resté le même homme, doux, gentleman", explique Joanne, ravie. "C'est une chose qui aurait dû arriver. Je suis aux anges qu'elle soit finalement arrivée". AP
FREMONT, Nebraska (AP) -- Jerry Wedergren et Joanne Todarello McComb se sont enfin mariés. Et ce, 53 ans après s'être fiancés la première fois... Ils s'étaient rencontrés en 1951 au cours d'un bal à Washington, puis fiancés en 1952. La guerre de Corée les sépara: son fiancé au loin, Joanne rompit les fiançailles et ils se marièrent et eurent des enfants chacun de son côté.
En 1997, Thomas McComb, époux de Joanne, décédait, suivi en 2000 par Patricia, femme de Jerry.
Solitaire, ce dernier se mit alors à la recherche de son amour de jeunesse, réussissant à la retrouver et à renouer le contact. Après moult conversations téléphoniques, Joanne, finalement, en août 2001, prit l'avion pour Omaha, Nebraska...
"Elle était la dernière à descendre de l'avion. Je me suis dit 'mon Dieu, elle a reculé au dernier moment'", raconte Jerry.
C'est ainsi que, en juin 2002, 50 ans tout juste après s'être fiancés une première fois, les tourtereaux sur le retour ont remis ça. Le mariage a ensuite traîné pour des raisons administratives, mais c'est enfin chose faite. "Il est resté le même homme, doux, gentleman", explique Joanne, ravie. "C'est une chose qui aurait dû arriver. Je suis aux anges qu'elle soit finalement arrivée". AP
Faut pas gâcher
EVERETT, Washington (AP) -- Katie Hosking, 22 ans, a annulé son mariage, mais elle a quand même fait la fête. Sauf que la plupart des invités étaient des SDF.
Les habitants de l'Interfaith Family Shelter ont adoré la fête organisée par cette assistante médicale et ses parents. Et surtout l'idée de la leur offrir. "Il y avait un DJ, de la très bonne musique, une ambiance chaleureuse, amicale. La nourriture était délicieuse. C'était un merveilleux moment, qui a permis aux gens d'oublier leurs soucis pour une nuit", a expliqué Carol Oliva, gérante du centre d'accueil.
Susan Hosking, la mère de la "mariée", se souvient surtout de cette femme qui tout à coup se mit à danser avec son fils handicapé, après l'avoir fait sortir de son fauteuil roulant. "C'était magnifique à voir. Ça m'a ouvert les yeux."
Coincée de toutes manières avec la note du mariage, Susan Hosking avait décidé de faire ce geste.
Quelque 50 membres de la famille et amis de l'ex-future mariée se sont donc mélangés avec quelque 40 SDF, employés et bénévoles du centre d'accueil. Ce dernier avait pris à sa charge le transfert jusqu'au club loué pour l'occasion...
"Mon Dieu, on s'est tellement marrés", conclut Katie Hosking, sans vouloir dire pourquoi elle a rompu son engagement, 12 jours avant la date prévue... AP
EVERETT, Washington (AP) -- Katie Hosking, 22 ans, a annulé son mariage, mais elle a quand même fait la fête. Sauf que la plupart des invités étaient des SDF.
Les habitants de l'Interfaith Family Shelter ont adoré la fête organisée par cette assistante médicale et ses parents. Et surtout l'idée de la leur offrir. "Il y avait un DJ, de la très bonne musique, une ambiance chaleureuse, amicale. La nourriture était délicieuse. C'était un merveilleux moment, qui a permis aux gens d'oublier leurs soucis pour une nuit", a expliqué Carol Oliva, gérante du centre d'accueil.
Susan Hosking, la mère de la "mariée", se souvient surtout de cette femme qui tout à coup se mit à danser avec son fils handicapé, après l'avoir fait sortir de son fauteuil roulant. "C'était magnifique à voir. Ça m'a ouvert les yeux."
Coincée de toutes manières avec la note du mariage, Susan Hosking avait décidé de faire ce geste.
Quelque 50 membres de la famille et amis de l'ex-future mariée se sont donc mélangés avec quelque 40 SDF, employés et bénévoles du centre d'accueil. Ce dernier avait pris à sa charge le transfert jusqu'au club loué pour l'occasion...
"Mon Dieu, on s'est tellement marrés", conclut Katie Hosking, sans vouloir dire pourquoi elle a rompu son engagement, 12 jours avant la date prévue... AP
Red Bull, quand le taureau se moque de la vache
MAGNY-COURS, Nièvre (Reuters) - "Magny-Cours est l'endroit idéal si vous voulez regarder les vaches et bien sûr, comme ce sont des vaches françaises, elles sont très chic, bronzées et portent les cils longs."
Le dernier extrait d'un pamphlet anti-français ? Une blague qui circule dans le paddock avant le Grand Prix de France ?
Pas exactement. Il s'agit d'un communiqué officiel de l'écurie Red Bull, probablement fâchée de ne pouvoir vendre dans l'Hexagone sa boisson à base de caféine, de glucose et de vitamine B12.
Les canettes, jugées dangereuses pour la santé par les autorités françaises, sont toutefois présentes dans le paddock du GP de France.
Mais elles ne sont pas à vendre, juste en libre service pour les journalistes exténués après avoir fait la "tournée des bars et restaurants en Amérique du Nord".
Red Bull n'est pas vraiment dégoûtée par la France. L'équipe autrichienne, qui a repris Jaguar avant le début de la saison, semble juste regretter le temps où le GP de France se déroulait sur le circuit Paul Ricard, en pleine "Riviera".
L'arrivée de la course à Magny-Cours, estime Red Bull, est logique pour un pays gouverné successivement par "Astérix le Gaulois, son fils Charles de Gaulle, Sacha Distel, Brigitte Bardot, cet acteur avec un gros nez et Johnny Halliday". Qui est Belge.
Dans un dernier élan de sympathie et soucieuse du confort du suiveur assez fou pour s'aventurer dans le centre de la France, Red Bull prodigue quelques derniers conseils.
"Aéroport le plus proche: Paris.
"Boîte de nuit correcte la plus proche: Paris.
"Visite touristique: l'Arc de Triomphe à Paris..."
Si l'on prend l'écurie au pied de la lettre, il y a fort à parier qu'elle ne sera pas à Magny-Cours l'année prochaine.
"La ville la plus proche du circuit est Nevers et si l'on prononce ce mot à l'anglaise (Never, ie jamais), on comprend combien de fois les gens veulent y revenir."
MAGNY-COURS, Nièvre (Reuters) - "Magny-Cours est l'endroit idéal si vous voulez regarder les vaches et bien sûr, comme ce sont des vaches françaises, elles sont très chic, bronzées et portent les cils longs."
Le dernier extrait d'un pamphlet anti-français ? Une blague qui circule dans le paddock avant le Grand Prix de France ?
Pas exactement. Il s'agit d'un communiqué officiel de l'écurie Red Bull, probablement fâchée de ne pouvoir vendre dans l'Hexagone sa boisson à base de caféine, de glucose et de vitamine B12.
Les canettes, jugées dangereuses pour la santé par les autorités françaises, sont toutefois présentes dans le paddock du GP de France.
Mais elles ne sont pas à vendre, juste en libre service pour les journalistes exténués après avoir fait la "tournée des bars et restaurants en Amérique du Nord".
Red Bull n'est pas vraiment dégoûtée par la France. L'équipe autrichienne, qui a repris Jaguar avant le début de la saison, semble juste regretter le temps où le GP de France se déroulait sur le circuit Paul Ricard, en pleine "Riviera".
L'arrivée de la course à Magny-Cours, estime Red Bull, est logique pour un pays gouverné successivement par "Astérix le Gaulois, son fils Charles de Gaulle, Sacha Distel, Brigitte Bardot, cet acteur avec un gros nez et Johnny Halliday". Qui est Belge.
Dans un dernier élan de sympathie et soucieuse du confort du suiveur assez fou pour s'aventurer dans le centre de la France, Red Bull prodigue quelques derniers conseils.
"Aéroport le plus proche: Paris.
"Boîte de nuit correcte la plus proche: Paris.
"Visite touristique: l'Arc de Triomphe à Paris..."
Si l'on prend l'écurie au pied de la lettre, il y a fort à parier qu'elle ne sera pas à Magny-Cours l'année prochaine.
"La ville la plus proche du circuit est Nevers et si l'on prononce ce mot à l'anglaise (Never, ie jamais), on comprend combien de fois les gens veulent y revenir."
Le remodelage vaginal, dernière mode de la chirurgie esthétique
OTTAWA (AFP) - Après les lipposuccions, la pose d'implants mammaires et le lifting du visage, la chirurgie esthétique gagne de nouvelles adeptes avec le remodelage du vagin.
Selon la Société américaine de chirurgie plastique, il s'agit de la plus importante tendance de ces dernières années. Au Canada et aux Etats-Unis, des dizaines de cliniques offrent ce type d'intervention médicale.
Certaines sociétés offrent même ces opérations en Asie, après avoir signé des accords avec une firme californienne pionnière dans la commercialisation de la chirurgie esthétique vaginale, chose qui ne se pratiquait auparavant que lors de circonstances graves.
Que ce soit en France, en Suède, en Indonésie, au Chili, en Australie ou en République dominicaine, de nombreux chirurgiens commencent à emboîter le pas.
Parmi les opérations les plus demandées, on compte le resserrement du vagin, pour augmenter le plaisir sexuel, ainsi que le remodelage des lèvres et la reconstruction de l'hymen, destinés aux femmes issues de pays où le fait de se marier vierge est très important.
"J'effectue ces opérations depuis 4-5 ans" explique Roy Jackson, un obstétricien de Vancouver (ouest du Canada), spécialisé dans la chirurgie esthétique vulvaire et vaginale, qui précise que son cabinet est "soudainement devenu plus occupé".
Les premières patientes à bénéficier de ce genre d'opération étaient des femmes qui souffraient d'incontinence ou qui avaient des complications à la suite d'accouchements. Elles ont révélé ensuite à leur médecin que leur vie sexuelle s'était améliorée, explique le docteur David Matlock, qui exerce à Los Angeles.
Avec ces succès et un peu de publicité, ce dernier a été inondé de demandes de femmes qui voulaient se faire resserrer le vagin, tandis que d'autres amenaient des revues porno et demandaient à ce que leurs parties génitales soient refaites comme celles des actrices photographiées.
David Matlock a traité des femmes de tous âges et de toutes classes sociales, de l'adolescente à la grand-mère, de l'avocate à la femme au foyer.
"Je n'aimais pas l'apparence de mon vagin", dit une étudiante universitaire de 21 ans, qui préfère ne pas être nommée, et qui s'est fait refaire les petites lèvres il y a six semaines. "Je regardais les filles dans Playboy et je ne ressemblais pas à ça".
Depuis lors, la jeune fille se dit "plus heureuse et plus confiante", tant et si bien que sa mère a décidé de l'imiter. "Ce n'est pas pour que tout le monde le voit, mais c'est quelque chose qui contribue à mon bien-être personnel", dit-elle.
Mais selon Leroy Young, co-président de la Société américaine de chirurgie plastique, ce genre d'intervention n'est pas sans risque.
"Avec son Institut laser de rajeunissement vaginal, le docteur Matlock a lancé des franchises, comme McDonald", explique-t-il. "La publicité présente le tout comme une opération visant à améliorer la vie sexuelle, mais on ne dit rien des côtés négatifs".
Selon le docteur Leroy, le terme laser est d'ailleurs une arnaque, puisqu'"il ne sert qu'à faire une petite incision".
Ce dernier affirme également que des problèmes de guérison peuvent survenir comme des dommages aux nerfs et des cicatrices douleureuses, le tout résultant en une perte et non une augmentation des sensations sexuelles, et ceci sans compter les dangers inhérents à toute chirurgie comme les saignements et les dommages à d'autres organes. Dans certains cas, un resserrement peut se produire et empêcher tout rapport intime.
OTTAWA (AFP) - Après les lipposuccions, la pose d'implants mammaires et le lifting du visage, la chirurgie esthétique gagne de nouvelles adeptes avec le remodelage du vagin.
Selon la Société américaine de chirurgie plastique, il s'agit de la plus importante tendance de ces dernières années. Au Canada et aux Etats-Unis, des dizaines de cliniques offrent ce type d'intervention médicale.
Certaines sociétés offrent même ces opérations en Asie, après avoir signé des accords avec une firme californienne pionnière dans la commercialisation de la chirurgie esthétique vaginale, chose qui ne se pratiquait auparavant que lors de circonstances graves.
Que ce soit en France, en Suède, en Indonésie, au Chili, en Australie ou en République dominicaine, de nombreux chirurgiens commencent à emboîter le pas.
Parmi les opérations les plus demandées, on compte le resserrement du vagin, pour augmenter le plaisir sexuel, ainsi que le remodelage des lèvres et la reconstruction de l'hymen, destinés aux femmes issues de pays où le fait de se marier vierge est très important.
"J'effectue ces opérations depuis 4-5 ans" explique Roy Jackson, un obstétricien de Vancouver (ouest du Canada), spécialisé dans la chirurgie esthétique vulvaire et vaginale, qui précise que son cabinet est "soudainement devenu plus occupé".
Les premières patientes à bénéficier de ce genre d'opération étaient des femmes qui souffraient d'incontinence ou qui avaient des complications à la suite d'accouchements. Elles ont révélé ensuite à leur médecin que leur vie sexuelle s'était améliorée, explique le docteur David Matlock, qui exerce à Los Angeles.
Avec ces succès et un peu de publicité, ce dernier a été inondé de demandes de femmes qui voulaient se faire resserrer le vagin, tandis que d'autres amenaient des revues porno et demandaient à ce que leurs parties génitales soient refaites comme celles des actrices photographiées.
David Matlock a traité des femmes de tous âges et de toutes classes sociales, de l'adolescente à la grand-mère, de l'avocate à la femme au foyer.
"Je n'aimais pas l'apparence de mon vagin", dit une étudiante universitaire de 21 ans, qui préfère ne pas être nommée, et qui s'est fait refaire les petites lèvres il y a six semaines. "Je regardais les filles dans Playboy et je ne ressemblais pas à ça".
Depuis lors, la jeune fille se dit "plus heureuse et plus confiante", tant et si bien que sa mère a décidé de l'imiter. "Ce n'est pas pour que tout le monde le voit, mais c'est quelque chose qui contribue à mon bien-être personnel", dit-elle.
Mais selon Leroy Young, co-président de la Société américaine de chirurgie plastique, ce genre d'intervention n'est pas sans risque.
"Avec son Institut laser de rajeunissement vaginal, le docteur Matlock a lancé des franchises, comme McDonald", explique-t-il. "La publicité présente le tout comme une opération visant à améliorer la vie sexuelle, mais on ne dit rien des côtés négatifs".
Selon le docteur Leroy, le terme laser est d'ailleurs une arnaque, puisqu'"il ne sert qu'à faire une petite incision".
Ce dernier affirme également que des problèmes de guérison peuvent survenir comme des dommages aux nerfs et des cicatrices douleureuses, le tout résultant en une perte et non une augmentation des sensations sexuelles, et ceci sans compter les dangers inhérents à toute chirurgie comme les saignements et les dommages à d'autres organes. Dans certains cas, un resserrement peut se produire et empêcher tout rapport intime.
De l'art de dénoncer le gaspillage de l'eau en la gaspillant
LONDRES (Reuters) - Un artiste britannique engagé dont la dernière oeuvre, un robinet ouvert, visait à dénoncer le gaspillage de l'eau, s'est vu prié de le fermer et de cesser de dilapider l'eau.
Mark Mcgowen envisageait de laisser couler le robinet dans une galerie du sud de Londres pendant un an, prévoyant un gaspillage final de 15 millions de litres d'eau.
Depuis qu'il a ouvert ce robinet il y a six jours, des dizaines de milliers de litres sont déjà partis dans les égouts londoniens.
Un acte militant que le service concerné, les Eaux de la Tamise, voient d'un mauvais oeil. "Nous cherchons des recours légaux", a déclaré son porte-parole. "Il pourrait rendre un service à tout le monde en refermant son robinet maintenant."
Mcgowen, 37 ans, avait fait les gros titres de la presse il y a deux ans en poussant une noisette avec son nez sur sept miles (11,3 km) sur les trottoirs de Londres jusqu'à la résidence de Tony Blair, au 10 Downing street, pour dénoncer le problème de la dette étudiante.
De son dernier projet, il a dit : "L'eau est l'élixir de la vie, nous en sommes constitués et sans elle nous sommes menacés, alors arrêtons de la gaspiller."
Son robinet artistique a été ouvert alors que les compagnies des eaux du sud de l'Angleterre cherchent à prendre des mesures de préservation après avoir traversé le deuxième hiver le plus sec depuis 100 ans en Grande-Bretagne.
On ignore pour l'instant si les Eaux de la Tamise peuvent obliger Mcgowen à fermer son robinet, mais lundi l'artiste n'en démordait pas. "Ils devraient commencer par se poursuivre eux-mêmes", a-t-il déclaré à Reuters. "Il gaspillent l'eau alors que leur profit augmente."
L'entreprise à capitaux allemands, qui a dégagé un profit de 182 millions de livres l'année dernière (269,2 millions d'euros), admet qu'environ un tiers de l'approvisionnement londonien en eau est perdue en raison des fuites qui affectent les 32.200 kilomètres de canalisations. Elles sont actuellement en cours de rénovation.
LONDRES (Reuters) - Un artiste britannique engagé dont la dernière oeuvre, un robinet ouvert, visait à dénoncer le gaspillage de l'eau, s'est vu prié de le fermer et de cesser de dilapider l'eau.
Mark Mcgowen envisageait de laisser couler le robinet dans une galerie du sud de Londres pendant un an, prévoyant un gaspillage final de 15 millions de litres d'eau.
Depuis qu'il a ouvert ce robinet il y a six jours, des dizaines de milliers de litres sont déjà partis dans les égouts londoniens.
Un acte militant que le service concerné, les Eaux de la Tamise, voient d'un mauvais oeil. "Nous cherchons des recours légaux", a déclaré son porte-parole. "Il pourrait rendre un service à tout le monde en refermant son robinet maintenant."
Mcgowen, 37 ans, avait fait les gros titres de la presse il y a deux ans en poussant une noisette avec son nez sur sept miles (11,3 km) sur les trottoirs de Londres jusqu'à la résidence de Tony Blair, au 10 Downing street, pour dénoncer le problème de la dette étudiante.
De son dernier projet, il a dit : "L'eau est l'élixir de la vie, nous en sommes constitués et sans elle nous sommes menacés, alors arrêtons de la gaspiller."
Son robinet artistique a été ouvert alors que les compagnies des eaux du sud de l'Angleterre cherchent à prendre des mesures de préservation après avoir traversé le deuxième hiver le plus sec depuis 100 ans en Grande-Bretagne.
On ignore pour l'instant si les Eaux de la Tamise peuvent obliger Mcgowen à fermer son robinet, mais lundi l'artiste n'en démordait pas. "Ils devraient commencer par se poursuivre eux-mêmes", a-t-il déclaré à Reuters. "Il gaspillent l'eau alors que leur profit augmente."
L'entreprise à capitaux allemands, qui a dégagé un profit de 182 millions de livres l'année dernière (269,2 millions d'euros), admet qu'environ un tiers de l'approvisionnement londonien en eau est perdue en raison des fuites qui affectent les 32.200 kilomètres de canalisations. Elles sont actuellement en cours de rénovation.