Dépression : Le mal du siècle?
brunetta a écritJ'ai fait une dépression majeure et la cause n'était pas dans ma vie personnelle ou que je me regardais le nombril. La vraie cause se situais au travail, tsé quand ton employeur te demande une certaine performance qui ne dépend pas de toi mais il te le demande quand même. Je ne suis pas la seule qui a fait une dépression cette année-là et jamais l'employeur s'est dit oups j'en exige probablement trop. Les chiffres de vente dans l'alimentation ne dépendent pas du simple employé surtout quand la production est toute là. On ne peut forcer le client a acheter ce qu'il ne veut pas acheter.....................ben difficile à comprendre pour un patron parfois.
C'est une partie de la réponse. Ton employeur t'as poussé à la dépression en te demandant de performer au-delà de tes capacités puisque tu n'avais pas le contrôle de l'ensemble. Probablement que ton patron était aussi dans un état de stress intense et même s'il n'a pas fait de dépression jusqu'à aujourd'hui, il est quand même à grand risque car à lui aussi il est demandé d'être le meilleur de tous et malheureusement il n'y a qu'un meilleur et non 100.
En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition.
Je dirais que ma génération est plus outillé car j'ai vécu mon éducation scolaire avec des rangs, des notes, des comparaisons avec les meilleurs et les pires. J'ai débuté sur le marché du travail à vivre avec des consignes claires sur un travail donné. A cette époque, je n'étais pas responsable des profits ou non de mon entreprise, je n'avais qu'à faire ce que le patron me demandait et en échange j'avais un salaire.
Doucement tout à changé mais l'humain a la capactité de s'adapter en autant que ce ne soit pas trop rapide. Alors j'ai eu le temps de voir venir et j'ai pu m'adapter. Toutefois, j'arrive près de la retraite et vraiment, je sympathise avec les jeunes. Ce ne sera pas facile.
Cet exemple est celle du marché du travail mais il y a aussi toute la société qui fonctionne sur ce mode avec l'obligation de consommer à outrance pour faire mieux que le voisin et de ne pas se sentir complètement nul.
C'est une partie de la réponse. Ton employeur t'as poussé à la dépression en te demandant de performer au-delà de tes capacités puisque tu n'avais pas le contrôle de l'ensemble. Probablement que ton patron était aussi dans un état de stress intense et même s'il n'a pas fait de dépression jusqu'à aujourd'hui, il est quand même à grand risque car à lui aussi il est demandé d'être le meilleur de tous et malheureusement il n'y a qu'un meilleur et non 100.
En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition.
Je dirais que ma génération est plus outillé car j'ai vécu mon éducation scolaire avec des rangs, des notes, des comparaisons avec les meilleurs et les pires. J'ai débuté sur le marché du travail à vivre avec des consignes claires sur un travail donné. A cette époque, je n'étais pas responsable des profits ou non de mon entreprise, je n'avais qu'à faire ce que le patron me demandait et en échange j'avais un salaire.
Doucement tout à changé mais l'humain a la capactité de s'adapter en autant que ce ne soit pas trop rapide. Alors j'ai eu le temps de voir venir et j'ai pu m'adapter. Toutefois, j'arrive près de la retraite et vraiment, je sympathise avec les jeunes. Ce ne sera pas facile.
Cet exemple est celle du marché du travail mais il y a aussi toute la société qui fonctionne sur ce mode avec l'obligation de consommer à outrance pour faire mieux que le voisin et de ne pas se sentir complètement nul.
Citation :En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition
Ça c'est un très bon point...
Que va t-il se passer pour les futurs jeunes qui n'ont aucun effort a fournir pour réussir ? lorsqu'ils seront adultes avec cette compétion de fou...
Ça c'est un très bon point...
Que va t-il se passer pour les futurs jeunes qui n'ont aucun effort a fournir pour réussir ? lorsqu'ils seront adultes avec cette compétion de fou...
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Rénatane a écritCitation :En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition
Ça c'est un très bon point...
Que va t-il se passer pour les futurs jeunes qui n'ont aucun effort a fournir pour réussir ? lorsqu'ils seront adultes avec cette compétion de fou...
N'étant pas entrainés, ils feront des dépressions à répétition devant leurs échecs.
Ça c'est un très bon point...
Que va t-il se passer pour les futurs jeunes qui n'ont aucun effort a fournir pour réussir ? lorsqu'ils seront adultes avec cette compétion de fou...
N'étant pas entrainés, ils feront des dépressions à répétition devant leurs échecs.
matricule_211121 a écritLa dépression, c'est pas ça qu'on apelle la maladie des lâches?....Avez-vous déjà vu un fermier faire une dépression? ...ok, je m'écrase les doigts en dessous de mon clavier un petit 5 minutes
Matricule, il y a beaucoup de dépressions et de suicides chez nos agriculteurs. Ce sont de tristes faits.
D'ailleurs, en 2006, Radio-Canada avait passé un excellent reportage sur ce sujet.
Merci de nous traiter de lâches, ceux qui comme moi, ont déjà souffert de dépression, ou sont encore aux prises avec cette maladie.
Tant que des commentaires comme ceux-là seront véhiculés, les personnes souffrantes se sentiront encore plus démunies et stupides de ne pas être capables d'être normalement fonctionnelles.
Et même si c'était une blague, elle n'est pas drôle.
Matricule, il y a beaucoup de dépressions et de suicides chez nos agriculteurs. Ce sont de tristes faits.
D'ailleurs, en 2006, Radio-Canada avait passé un excellent reportage sur ce sujet.
Merci de nous traiter de lâches, ceux qui comme moi, ont déjà souffert de dépression, ou sont encore aux prises avec cette maladie.
Tant que des commentaires comme ceux-là seront véhiculés, les personnes souffrantes se sentiront encore plus démunies et stupides de ne pas être capables d'être normalement fonctionnelles.
Et même si c'était une blague, elle n'est pas drôle.
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]
Je crois que l'élastique va péter pour beaucoup de jeunes et pour la société en général.
C'est le temps des remises en questions...
Je pensais à cela ce matin. Avant les années 80, quand tu voulais rejoindre quelqu'un tu attendais le soir ou la fin de semaine pour l'appeler chez lui. Maintenant, on est rejoignable 24h sur 24.
Quand une nouvelle importante circulait, les gens avaient le temps d'en discuter et de la digérer. Maintenant, les nouvelles, c'est du fast-food, aussitôt entrées, aussitôt sorties... voyez l'image ?
Au travail, quasiment tout est automatisé, informatisé. On sauve du temps, mais on se crée des problèmes et on s'ajoute des tâches.
Les enfants sont physiquement à la garderie et à l'école, 9 à 10h par jour... hallucinant...
On rush tous les jours, on se compare avec le voisin ou avec le collègue... les conversations de soupers entre amis tournent autour des acquisitions matérielles et des meilleurs vins achetés à un prix de fou.
Il faut suivre les tendances et comme la saveur de l'année s'est transformée au fil du temps en la saveur du mois, on a même pu le temps d'apprécier ce qu'on a...
On commence sa vie jeune et pas riche et un jour, on se rend compte que nous avons scrappé l'essentiel de notre présence sur terre seulement pour se retrouver enseveli de bébelles, avec une petite boîte de pilules dans la main pour mieux faire passer l'indigestion.
C'est caricaturé et cela ne s'applique pas à tout le monde.
Mais il n'empêche qu'il faut être conscient en titi pour ne pas se laisser emporter par les vagues de consommation et de performance qui nous entourent, comme vous l'avez souligné auparavent.
Il faut se parler régulièrement et établir ses propres objectifs. L'humain se définit selon les valeurs auxquelles il décide d'adhérer. C'est un bel exercice en soi.
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]
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Sabi a écrit
Je crois que l'élastique va péter pour beaucoup de jeunes et pour la société en général.
C'est le temps des remises en questions...
Je pensais à cela ce matin. Avant les années 80, quand tu voulais rejoindre quelqu'un tu attendais le soir ou la fin de semaine pour l'appeler chez lui. Maintenant, on est rejoignable 24h sur 24.
Quand une nouvelle importante circulait, les gens avaient le temps d'en discuter et de la digérer. Maintenant, les nouvelles, c'est du fast-food, aussitôt entrées, aussitôt sorties... voyez l'image ?
Au travail, quasiment tout est automatisé, informatisé. On sauve du temps, mais on se crée des problèmes et on s'ajoute des tâches.
Les enfants sont physiquement à la garderie et à l'école, 9 à 10h par jour... hallucinant...
On rush tous les jours, on se compare avec le voisin ou avec le collègue... les conversations de soupers entre amis tournent autour des acquisitions matérielles et des meilleurs vins achetés à un prix de fou.
Il faut suivre les tendances et comme la saveur de l'année s'est transformée au fil du temps en la saveur du mois, on a même pu le temps d'apprécier ce qu'on a...
On commence sa vie jeune et pas riche et un jour, on se rend compte que nous avons scrappé l'essentiel de notre présence sur terre seulement pour se retrouver enseveli de bébelles, avec une petite boîte de pilules dans la main pour mieux faire passer l'indigestion.
C'est caricaturé et cela ne s'applique pas à tout le monde.
Mais il n'empêche qu'il faut être conscient en titi pour ne pas se laisser emporter par les vagues de consommation et de performance qui nous entourent, comme vous l'avez souligné auparavent.
Il faut se parler régulièrement et établir ses propres objectifs. L'humain se définit selon les valeurs auxquelles il décide d'adhérer. C'est un bel exercice en soi.
S'écouter, écouter nos besoins, suivre notre route, effectivement pas facile quand de tout bord, tout côté on essaie de nous imposer qu'une voie a suivre. Et surtout arrêter de prendre pour du cash ce que la société de consommation essaie de nous faire gober...
Je crois que l'élastique va péter pour beaucoup de jeunes et pour la société en général.
C'est le temps des remises en questions...
Je pensais à cela ce matin. Avant les années 80, quand tu voulais rejoindre quelqu'un tu attendais le soir ou la fin de semaine pour l'appeler chez lui. Maintenant, on est rejoignable 24h sur 24.
Quand une nouvelle importante circulait, les gens avaient le temps d'en discuter et de la digérer. Maintenant, les nouvelles, c'est du fast-food, aussitôt entrées, aussitôt sorties... voyez l'image ?
Au travail, quasiment tout est automatisé, informatisé. On sauve du temps, mais on se crée des problèmes et on s'ajoute des tâches.
Les enfants sont physiquement à la garderie et à l'école, 9 à 10h par jour... hallucinant...
On rush tous les jours, on se compare avec le voisin ou avec le collègue... les conversations de soupers entre amis tournent autour des acquisitions matérielles et des meilleurs vins achetés à un prix de fou.
Il faut suivre les tendances et comme la saveur de l'année s'est transformée au fil du temps en la saveur du mois, on a même pu le temps d'apprécier ce qu'on a...
On commence sa vie jeune et pas riche et un jour, on se rend compte que nous avons scrappé l'essentiel de notre présence sur terre seulement pour se retrouver enseveli de bébelles, avec une petite boîte de pilules dans la main pour mieux faire passer l'indigestion.
C'est caricaturé et cela ne s'applique pas à tout le monde.
Mais il n'empêche qu'il faut être conscient en titi pour ne pas se laisser emporter par les vagues de consommation et de performance qui nous entourent, comme vous l'avez souligné auparavent.
Il faut se parler régulièrement et établir ses propres objectifs. L'humain se définit selon les valeurs auxquelles il décide d'adhérer. C'est un bel exercice en soi.
S'écouter, écouter nos besoins, suivre notre route, effectivement pas facile quand de tout bord, tout côté on essaie de nous imposer qu'une voie a suivre. Et surtout arrêter de prendre pour du cash ce que la société de consommation essaie de nous faire gober...
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matricule_211121 a écritle 5 minutes étant passé....
La femme du fermier en faire une avec 6 enfants aux couches, le lavage à la main,le poêle à bois en guise de fourneau, la traite des vaches, les balles de foin pis rigodon etc....
ok, je vous laisse à une discussion sérieuse
Ben oui tout le monde sait que les fermiers vivent encore en 1934.
La femme du fermier en faire une avec 6 enfants aux couches, le lavage à la main,le poêle à bois en guise de fourneau, la traite des vaches, les balles de foin pis rigodon etc....
ok, je vous laisse à une discussion sérieuse
Ben oui tout le monde sait que les fermiers vivent encore en 1934.
linus611 a écrit
S'écouter, écouter nos besoins, suivre notre route, effectivement pas facile quand de tout bord, tout côté on essaie de nous imposer qu'une voie a suivre. Et surtout arrêter de prendre pour du cash ce que la société de consommation essaie de nous faire gober...
S'écouter, écouter nos besoins, suivre notre route, effectivement pas facile quand de tout bord, tout côté on essaie de nous imposer qu'une voie a suivre. Et surtout arrêter de prendre pour du cash ce que la société de consommation essaie de nous faire gober...
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Rénatane a écritJe le savais que mon message serait pris au premier degré...
Pas du tout Rénatane, j'ai seulement apporté une autre vision c'est tout --Message edité par brunetta le 2007-02-18 14:28:49--
Pas du tout Rénatane, j'ai seulement apporté une autre vision c'est tout --Message edité par brunetta le 2007-02-18 14:28:49--
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Fabine a écrit
C'est une partie de la réponse. Ton employeur t'as poussé à la dépression en te demandant de performer au-delà de tes capacités puisque tu n'avais pas le contrôle de l'ensemble. Probablement que ton patron était aussi dans un état de stress intense et même s'il n'a pas fait de dépression jusqu'à aujourd'hui, il est quand même à grand risque car à lui aussi il est demandé d'être le meilleur de tous et malheureusement il n'y a qu'un meilleur et non 100.
En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition.
Je dirais que ma génération est plus outillé car j'ai vécu mon éducation scolaire avec des rangs, des notes, des comparaisons avec les meilleurs et les pires. J'ai débuté sur le marché du travail à vivre avec des consignes claires sur un travail donné. A cette époque, je n'étais pas responsable des profits ou non de mon entreprise, je n'avais qu'à faire ce que le patron me demandait et en échange j'avais un salaire.
Doucement tout à changé mais l'humain a la capactité de s'adapter en autant que ce ne soit pas trop rapide. Alors j'ai eu le temps de voir venir et j'ai pu m'adapter. Toutefois, j'arrive près de la retraite et vraiment, je sympathise avec les jeunes. Ce ne sera pas facile.
Cet exemple est celle du marché du travail mais il y a aussi toute la société qui fonctionne sur ce mode avec l'obligation de consommer à outrance pour faire mieux que le voisin et de ne pas se sentir complètement nul.
J'ai vue mon père travailler des 50-60 heures par semaines et je n'ai jamais cru que le marché du travail était facile. J'ai toujours aimé travailler avec le public parce que j'aime les gens mais le domaine de l'alimentation est très très difficile. Même le télémarketing est moins pire, en tout cas dans les contrats que j'ai eu à travailler.
Je plains les jeunes qui arrivent sur le marché du travail aujourd'hui tout est question de surperformance. On te demande de tout savoir, de tout maîtriser avant même de connaître le travail que tu dois faire. Il faudrait que tu aies l'expérience avant qu'on te permettre d'en acquérir. Tout va vite et tout est en fonction de la rentabilité rapide comment arriver à se trouver dans tout ça.
C'est une partie de la réponse. Ton employeur t'as poussé à la dépression en te demandant de performer au-delà de tes capacités puisque tu n'avais pas le contrôle de l'ensemble. Probablement que ton patron était aussi dans un état de stress intense et même s'il n'a pas fait de dépression jusqu'à aujourd'hui, il est quand même à grand risque car à lui aussi il est demandé d'être le meilleur de tous et malheureusement il n'y a qu'un meilleur et non 100.
En plus tous les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ne sont absolument pas outillés pour faire face à cette tyrannie étant donné le système d'éducation qui est aveugle devant la compétition.
Je dirais que ma génération est plus outillé car j'ai vécu mon éducation scolaire avec des rangs, des notes, des comparaisons avec les meilleurs et les pires. J'ai débuté sur le marché du travail à vivre avec des consignes claires sur un travail donné. A cette époque, je n'étais pas responsable des profits ou non de mon entreprise, je n'avais qu'à faire ce que le patron me demandait et en échange j'avais un salaire.
Doucement tout à changé mais l'humain a la capactité de s'adapter en autant que ce ne soit pas trop rapide. Alors j'ai eu le temps de voir venir et j'ai pu m'adapter. Toutefois, j'arrive près de la retraite et vraiment, je sympathise avec les jeunes. Ce ne sera pas facile.
Cet exemple est celle du marché du travail mais il y a aussi toute la société qui fonctionne sur ce mode avec l'obligation de consommer à outrance pour faire mieux que le voisin et de ne pas se sentir complètement nul.
J'ai vue mon père travailler des 50-60 heures par semaines et je n'ai jamais cru que le marché du travail était facile. J'ai toujours aimé travailler avec le public parce que j'aime les gens mais le domaine de l'alimentation est très très difficile. Même le télémarketing est moins pire, en tout cas dans les contrats que j'ai eu à travailler.
Je plains les jeunes qui arrivent sur le marché du travail aujourd'hui tout est question de surperformance. On te demande de tout savoir, de tout maîtriser avant même de connaître le travail que tu dois faire. Il faudrait que tu aies l'expérience avant qu'on te permettre d'en acquérir. Tout va vite et tout est en fonction de la rentabilité rapide comment arriver à se trouver dans tout ça.
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Dans la vie, il faut arrêter de vouloir ce que l'on a pas et se contenter de ce que l'on a.
Il faut surtout savoir arrêter pour profiter de la vie humaine au lieu de la vie matérialiste.
C'est sût qu'il va toujours y avoir du monde qui vont avoir plus que l'on a. Et qu'il va y avoir de monde qui auront moins que nous.
IL faut avoir la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer... le courage de changer les choses que je peux changer et la sagesse d'en connaître la différence. --Message edité par starlette le 2007-02-18 20:26:02--
Il faut surtout savoir arrêter pour profiter de la vie humaine au lieu de la vie matérialiste.
C'est sût qu'il va toujours y avoir du monde qui vont avoir plus que l'on a. Et qu'il va y avoir de monde qui auront moins que nous.
IL faut avoir la sérénité d'accepter les choses que je ne peux pas changer... le courage de changer les choses que je peux changer et la sagesse d'en connaître la différence. --Message edité par starlette le 2007-02-18 20:26:02--
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- Modeste Jacasseur
- Messages : 238
- Inscription : ven. oct. 21, 2005 12:00 am
Des fois quand qqn fait une blague, même si elle est de mauvais goût pour certaines personnes il serait temps de s'arrêter et de se poser de sérieuses questions quand on prends tout au premier degré...
Mon mari vient d'une famille de fermier et c'est du monde qui a la coeur à l'ouvrage, pris d'une toute autre façon, mes propos voulaient dire que les fermiers, étant leur propre patron, n'ont pas à subir un boss TDC qui les mets à terre et que les fermières, même si exagérés pour 2007, mon propos est vrai pareil si l,on considère quMavec toutes les tâches qu'une femme fait en plus de son travail, c'est p-ê trop...mais en tout cas...
Quand on prends tout au premier degré et que le commentaires ultime que l'on écrit est ...vaut mieux rien répondre...
Je m'excuse pour ceux et celles qui se sont senti visés par mes propos mais c'est ce que je pense et ça ne changera pas, tout comme votre opinion ne changera pas...
Mon mari vient d'une famille de fermier et c'est du monde qui a la coeur à l'ouvrage, pris d'une toute autre façon, mes propos voulaient dire que les fermiers, étant leur propre patron, n'ont pas à subir un boss TDC qui les mets à terre et que les fermières, même si exagérés pour 2007, mon propos est vrai pareil si l,on considère quMavec toutes les tâches qu'une femme fait en plus de son travail, c'est p-ê trop...mais en tout cas...
Quand on prends tout au premier degré et que le commentaires ultime que l'on écrit est ...vaut mieux rien répondre...
Je m'excuse pour ceux et celles qui se sont senti visés par mes propos mais c'est ce que je pense et ça ne changera pas, tout comme votre opinion ne changera pas...
- sleepy-girl
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. avr. 16, 2006 12:00 am
c'est ton droit puisque c,est ta façon de penser mais quand même,je serai curieuse de demander à des psychiatres sérieux si selon eux il est vrai de prétendre que la déression est la maladie des lâches..tsé,même eux en sont souvent affectés comme tout le monde qui travaillent peuvent en être affecter

Matricule, tu dis que les gens ont perçu ton message au 1er degré...ben alors pourrais-tu nous expliquer ce qu'on devrait comprendre de ton message parce que j'avoue que moi non plus je saisi pas bien et que ton message m'a plutôt agacé.
Il y a tellement de préjugés sur la dépression et quand je lis des propos comme les tiens, ça m'enlève le goût de débattre tellement on part de loin En plus, tu dis clairement que ton opinion ne changera pas. Savais-tu que la dépression est un dérèglement chimique au niveau du cerveau et que ceux qui en souffrent ne sont pas plus faibles que ceux aux prises avec une maladie physique ?? Savais-tu que tu crés beaucoup de tort à ces personnes en véhiculant de tels propos ?? Et j'appuie totalement Sabi, même si c'était de l'humour, c'est de trèèèès mauvais goût à mon avis.
Il y a tellement de préjugés sur la dépression et quand je lis des propos comme les tiens, ça m'enlève le goût de débattre tellement on part de loin En plus, tu dis clairement que ton opinion ne changera pas. Savais-tu que la dépression est un dérèglement chimique au niveau du cerveau et que ceux qui en souffrent ne sont pas plus faibles que ceux aux prises avec une maladie physique ?? Savais-tu que tu crés beaucoup de tort à ces personnes en véhiculant de tels propos ?? Et j'appuie totalement Sabi, même si c'était de l'humour, c'est de trèèèès mauvais goût à mon avis.