lucide a écrit
Par contre si on veut des statistiques c'est une majorité de parents qui ne se présentent pas aux rencontres scolaires, à la remise des bulletins ou toute autre assemblée pédagogique. 15 personnes a l'assemblée du conseil d'établissement mais une tralée pour protester ce que ce conseil peut décider.
Et si on en veut des statistiques on les trouve oû??
Personnellement je crois que ce que tu avances dépends énormément des milieux... Mon expérience personnelle des rencontres de parents et remise de bulletin témoignent du contraire...
POur les C.E. par contre, je ne peux pas me prononcer... je n'ai pas d'expérience dans ce domaine, pas plus que pour le vote des commissaires...Mais pour ces deux éléments je crois que tu as probablement raison...
Les parents-rois s'installent à l'école
À l'école primaire de mon patelin, environ une vingtaine de parents se déplacent pour l'Assemblée générale annuelle.
Les rencotres-classes sont pleines par contre, seul 1 ou 2 parents par groupe s'abstiennent d'y assister et les remises de bulletins sont fréquentées par la grosse majorité des parents
Les rencotres-classes sont pleines par contre, seul 1 ou 2 parents par groupe s'abstiennent d'y assister et les remises de bulletins sont fréquentées par la grosse majorité des parents
Annouk a écritÀ l'école primaire de mon patelin, environ une vingtaine de parents se déplacent pour l'Assemblée générale annuelle.
Les rencotres-classes sont pleines par contre, seul 1 ou 2 parents par groupe s'abstiennent d'y assister et les remises de bulletins sont fréquentées par la grosse majorité des parents
Il en est ainsi à mon école. Très peu de parents à l'assemblée générale annuelle et moins pour la rencontre concernant les élections du Comité. Toutefois, à la rencontre de classe du début d'année, tous les parents sont présents ( à quelques exceptions près et l'absence est généralement motivée ) et lors de la remise des bulletins, je rencontre tous les parents de mon groupe sans exception.
Les rencotres-classes sont pleines par contre, seul 1 ou 2 parents par groupe s'abstiennent d'y assister et les remises de bulletins sont fréquentées par la grosse majorité des parents
Il en est ainsi à mon école. Très peu de parents à l'assemblée générale annuelle et moins pour la rencontre concernant les élections du Comité. Toutefois, à la rencontre de classe du début d'année, tous les parents sont présents ( à quelques exceptions près et l'absence est généralement motivée ) et lors de la remise des bulletins, je rencontre tous les parents de mon groupe sans exception.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
titegen a écrit
Et si on en veut des statistiques on les trouve oû??
Personnellement je crois que ce que tu avances dépends énormément des milieux... Mon expérience personnelle des rencontres de parents et remise de bulletin témoignent du contraire...
POur les C.E. par contre, je ne peux pas me prononcer... je n'ai pas d'expérience dans ce domaine, pas plus que pour le vote des commissaires...Mais pour ces deux éléments je crois que tu as probablement raison...
Je parle pour ma part d'une école secondaire de 1700 etudiants de milieu aisé.... et l'école tient les statistiques de chaque visite des parents pour cette année....
40% en secondaire 1
30% en secondaire 2
32% en secondaire 3
28% en secondaire 4
15% en secondaire 5
Inscrïption pour une conférence sur comment aider votre enfant à ne pas décrocher... 18 parents
Inscripition pour une conférence sur comment survivre a l'adolescence de votre enfant 38 parents
Les conférences étaient gratuites. --Message edité par lucide le 2007-02-20 16:44:48--
Et si on en veut des statistiques on les trouve oû??
Personnellement je crois que ce que tu avances dépends énormément des milieux... Mon expérience personnelle des rencontres de parents et remise de bulletin témoignent du contraire...
POur les C.E. par contre, je ne peux pas me prononcer... je n'ai pas d'expérience dans ce domaine, pas plus que pour le vote des commissaires...Mais pour ces deux éléments je crois que tu as probablement raison...
Je parle pour ma part d'une école secondaire de 1700 etudiants de milieu aisé.... et l'école tient les statistiques de chaque visite des parents pour cette année....
40% en secondaire 1
30% en secondaire 2
32% en secondaire 3
28% en secondaire 4
15% en secondaire 5
Inscrïption pour une conférence sur comment aider votre enfant à ne pas décrocher... 18 parents
Inscripition pour une conférence sur comment survivre a l'adolescence de votre enfant 38 parents
Les conférences étaient gratuites. --Message edité par lucide le 2007-02-20 16:44:48--
lucide a écrit
Je parle pour ma part d'une école secondaire de 1700 etudiants de milieu aisé.... et l'école tient les statistiques de chaque visite des parents pour cette année....
40% en secondaire 1
30% en secondaire 2
32% en secondaire 3
28% en secondaire 4
15% en secondaire 5
Inscrïption pour une conférence sur comment aider votre enfant à ne pas décrocher... 18 parents
Inscripition pour une conférence sur comment survivre a l'adolescence de votre enfant 38 parents
Les conférences étaient gratuites.
Ah! pour les conférences et les sessions, j'avoue que chez-nous ce n'est pas fort non plus.
Je parle pour ma part d'une école secondaire de 1700 etudiants de milieu aisé.... et l'école tient les statistiques de chaque visite des parents pour cette année....
40% en secondaire 1
30% en secondaire 2
32% en secondaire 3
28% en secondaire 4
15% en secondaire 5
Inscrïption pour une conférence sur comment aider votre enfant à ne pas décrocher... 18 parents
Inscripition pour une conférence sur comment survivre a l'adolescence de votre enfant 38 parents
Les conférences étaient gratuites.
Ah! pour les conférences et les sessions, j'avoue que chez-nous ce n'est pas fort non plus.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Annouk a écrit
Idem ici Faut croire que des parents crient plus fort pour les demandes d'aides individuelles que pour les formations qui leur sont offertes pour accroitre la compétence parentale
En effet! On dirait bien!
Désolée Lucide, je ne savais pas que tu pralis d'école secondaire... Il est certain que c'et un contexte différent que celui du primaire...
Idem ici Faut croire que des parents crient plus fort pour les demandes d'aides individuelles que pour les formations qui leur sont offertes pour accroitre la compétence parentale
En effet! On dirait bien!
Désolée Lucide, je ne savais pas que tu pralis d'école secondaire... Il est certain que c'et un contexte différent que celui du primaire...
titegen a écrit
En effet! On dirait bien!
Désolée Lucide, je ne savais pas que tu pralis d'école secondaire... Il est certain que c'et un contexte différent que celui du primaire...
Un contexte différent oui mais il faut pas penser parce qu'ils sont au secondaire que des enfants de 12 ans ont pas besoin de la supervision et de la motivation positve de leurs parents pour réussir leurs études
En effet! On dirait bien!
Désolée Lucide, je ne savais pas que tu pralis d'école secondaire... Il est certain que c'et un contexte différent que celui du primaire...
Un contexte différent oui mais il faut pas penser parce qu'ils sont au secondaire que des enfants de 12 ans ont pas besoin de la supervision et de la motivation positve de leurs parents pour réussir leurs études
Une histoire dasn ce contexte. Dans mon école on organise un petit gala méritas et à cause son enfant était pas dans les 3 nominés pour le gala ses parents nous appelais chaque jour et nous harcelait quon DEVAIT mettre son enfant en nomination que ya pas plus gentil et parfait que leur enfant...
et je vous jure ils ont appelé pendant 2 semaines à chaques jours et menacait de faire des plaintes à la direction...
On capotait on savait pu si on devait rire ou être découragée... c'Est capoté!!!
et je vous jure ils ont appelé pendant 2 semaines à chaques jours et menacait de faire des plaintes à la direction...
On capotait on savait pu si on devait rire ou être découragée... c'Est capoté!!!
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Annouk a écritJe pense que ton intervention était appropriée Moss et que tu n'as pas dépassé les limites du tout.
Pour ce qui est des articles, en les lisant, je devais avoir cette face là
Pardonnez-moi, mais ils doivent être en réponse au fait que la population a blâmer un enseignant dans l'histoire de l'isoloir en treillis Autant il ne faut rien dire sur un enseignant autant je peux dire que le métier de parent est méprisé par les enseigants. C'est bien dommage....Les enseignants et les parents devraient pourtant n'avoir qu'un seul but, soit celui de la réussite de l'enfant mais il y a beaucoup d'énergie perdue dans cette lutte de pouvoir
Merci Annouk pour tes encouragements, c'est apprécié.
Pour ce qui sont des articles, honnêtement, je ne comprends pas pourquoi ils t'ont fait lever les yeux au ciel On y mentionne bien qu'il s'agit d'une catégorie de parents et non de la majorité.
Lorsque je dis vivre personnellement cette situation, je peux dire aussi que j'ai la chance de rencontrer d'autres parents en or qui désirent participer à la vie de la classe et m'appuyer dans ce que je fais.
Toutefois, je pense que le phénomène des parents-rois existe bel et bien et qu'il est important d'en parler pour analyser cette problématique. Tout comme il faudrait analyser la pertinence d'un ordre professionnel chez les enseignants.
Les deux côtés de la médaille existent, c'est évident. D'en parler, ça peut améliorer les choses.
Pour ce qui est des articles, en les lisant, je devais avoir cette face là
Pardonnez-moi, mais ils doivent être en réponse au fait que la population a blâmer un enseignant dans l'histoire de l'isoloir en treillis Autant il ne faut rien dire sur un enseignant autant je peux dire que le métier de parent est méprisé par les enseigants. C'est bien dommage....Les enseignants et les parents devraient pourtant n'avoir qu'un seul but, soit celui de la réussite de l'enfant mais il y a beaucoup d'énergie perdue dans cette lutte de pouvoir
Merci Annouk pour tes encouragements, c'est apprécié.
Pour ce qui sont des articles, honnêtement, je ne comprends pas pourquoi ils t'ont fait lever les yeux au ciel On y mentionne bien qu'il s'agit d'une catégorie de parents et non de la majorité.
Lorsque je dis vivre personnellement cette situation, je peux dire aussi que j'ai la chance de rencontrer d'autres parents en or qui désirent participer à la vie de la classe et m'appuyer dans ce que je fais.
Toutefois, je pense que le phénomène des parents-rois existe bel et bien et qu'il est important d'en parler pour analyser cette problématique. Tout comme il faudrait analyser la pertinence d'un ordre professionnel chez les enseignants.
Les deux côtés de la médaille existent, c'est évident. D'en parler, ça peut améliorer les choses.
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Je ne vois pas pourquoi cette intervention était totchée. On parle ici de relations interpersonnelles entre une enseignante et ses élèves. Il est normal et sain que si les élèves sont invités à s'ouvrir sur ce qu'ils vivent et ressentent en classe, l'enseignant y ait droit aussi. C'est un bel échange moi je trouve, qui démontre un désir d'améliorer la situation...Un genre de conseil de classe ou le professeur a aussi le droit de s'exprimer
-
gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am
moss a écritComme j'ai du temps ce matin (mautadine d'insomnie), j'aimerais vous faire part d'une situation que j'ai vécue en début d'année scolaire et vous me direz ce que vous en pensez.
Je fais du temps partagé, c'est-à-dire que je me promène dans trois classes différentes. Trois enseignantes qui travaillent 4 jours/semaine et moi je fais l'autre journée.
Une de ces classes me demandait beaucoup plus d'énergie en début d'année au niveau de la discipline. Depuis les 6 premières semaines, ça se terminait toujours par un arrêt complet pour faire une intervention de groupe.
Comme je crois beaucoup à la communication, j'ai décidé, un jour, de leur ouvrir mon coeur et de leur dire comment je me sentais. Je leur ai expliqué que je ne me sentais pas du tout bien dans la classe. Que j'avais un jour choisi d'être enseignante et non une policière. Je leur ai expliqué que ce n'était plus un plaisir pour moi de venir dans leur classe. Le matin, en sachant que je m'en allais travailler avec le groupe X, je perdais le sourire et que je voulais absolument le retrouver, mais que tant qu'ils auraient ce genre de comportement, je devrais avoir "un air de boeuf". Cet air, je l'aurais tant et aussi lontemps que ça ne changerait pas. J'ai sûrement dit autre chose, mais ceci est un résumé.
Personnellement, j'avais trouvé mon intervention très appropriée et efficace, puisque le climat de la classe avait changé du tout au tout. J'ai enfin senti de la part des élèves un désir de changer les choses.
Toutefois, la semaine suivante, le directeur adjoint est venu me rencontrer pour me dire qu'une mère l'avait contacté pour lui parler de mon intervention. Elle était en furie et menaçait, s'il n'intervenait pas auprès de moi, de faire une plainte à la commission scolaire. Elle trouvait inacceptable que je dise à des enfants (de 4e année) d'avoir un air de boeuf à cause d'eux et de ne pas aimer leur enseigner. Elle soutenait que j'avais traumatisé son enfant (son enfant, en passant, est un des leaders négatifs de la classe et son passe-temps favori est de piquer les plus faibles de la classe...).
Bref, le directeur m'a tout simplement demandé de changer mon intervention en classe et que si j'avais besoin d'aide au niveau de ma gestion de classe, qu'il existait des ressources... Pour les personnes qui pensent qu'une direction prend automatiquement pour le prof, vous voyez dans ce cas-ci que c'est faux.
Étant une jeune enseignante, avec peu de confiance en elle, je peux vous affirmer que je fus démolie pour quelques jours. Je ne voyais pas en quoi j'avais pu dépasser les limites... Également blessée de ne pas sentir de soutien de ma direction. De plus, cette rencontre se déroula 3 minutes avant le début des classes et les élèves nous regardaient par la fenêtre de la classe. Je devais me cacher pour qu'ils ne voient pas mes larmes... Pas besoin de vous dire que l'enfant en question avait un beau sourire de victoire à son entrée.
Plusieurs jours plus tard, j'ai eu l'occasion de dîner avec le directeur. Je lui ai demandé s'il avait eu des nouvelles de la mère et je lui ai expliqué à quel point j'avais été blessée là-dedans. Je lui ai dit que la communication était essentielle pour moi et que je trouvais important de faire part aux élèves de comment je me sentais. Dans le projet éducatif de l'école, il a été décidé de travailler le programme "Vers le pacifique" dans lequel la communication est l'élément clé... Je ne voyais pas pourquoi cela fonctionnait pour les élèves et non pour nous. Il a fini par dire que j'avais raison. Que j'avais le droit d'intervenir comme bon me semblait, selon mes valeurs à moi, à la condition de respecter les enfants. Ce qui me semble que j'avais fait...
Qu'en pensez-vous ? Désolée pour le roman !
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je crois que c'est une mauvaise interprétation des faits. L'enfant a rapporté tes paroles à sa façon, le parent a réagi vivement, sans même valider avant de foncer et de contester. Aujourd'hui, les gens sont très bons pour juger, protester, dénoncer...Plus personne ne prend la peine d'écouter l'autre, ce qu'il a à dire, comment trouver une solution qui sera juste et satisfaisante pour chacun.
Si la direction n'appuie pas ses professeurs, comment pourraient-ils être respectés des parents et des enfants. Pourquoi n'a-t-il pas pris le temps de bien connaître les faits, le directeur lui, semble avoir bien saisi la situation.
À moins que le professeur soit réellement inadéquat, ce qui peut arriver quand même, ses interventions ne devraient pas être discutées. Les parents blâment souvent l'école de ne pas éduquer les enfants et il faudrait que cela soit fait exactement à leur façon. Ils sont très exigeants. Ils veulent bien souvent que les autres donnent à leur enfants ce qu'ils ne peuvent donner eux-mêmes. Ils sont les premiers à exploser s'ils sentent qu'on veut leur dire quoi faire...Ils devraient laisser les professeurs enseigner et s'occuper de leurs enfants à la maison, être là pour supporter les profs et intervenir de façon adéquate.
Les profs font des dépressions parce que plus personne n'occupe la place qu'il devrait...
Je fais du temps partagé, c'est-à-dire que je me promène dans trois classes différentes. Trois enseignantes qui travaillent 4 jours/semaine et moi je fais l'autre journée.
Une de ces classes me demandait beaucoup plus d'énergie en début d'année au niveau de la discipline. Depuis les 6 premières semaines, ça se terminait toujours par un arrêt complet pour faire une intervention de groupe.
Comme je crois beaucoup à la communication, j'ai décidé, un jour, de leur ouvrir mon coeur et de leur dire comment je me sentais. Je leur ai expliqué que je ne me sentais pas du tout bien dans la classe. Que j'avais un jour choisi d'être enseignante et non une policière. Je leur ai expliqué que ce n'était plus un plaisir pour moi de venir dans leur classe. Le matin, en sachant que je m'en allais travailler avec le groupe X, je perdais le sourire et que je voulais absolument le retrouver, mais que tant qu'ils auraient ce genre de comportement, je devrais avoir "un air de boeuf". Cet air, je l'aurais tant et aussi lontemps que ça ne changerait pas. J'ai sûrement dit autre chose, mais ceci est un résumé.
Personnellement, j'avais trouvé mon intervention très appropriée et efficace, puisque le climat de la classe avait changé du tout au tout. J'ai enfin senti de la part des élèves un désir de changer les choses.
Toutefois, la semaine suivante, le directeur adjoint est venu me rencontrer pour me dire qu'une mère l'avait contacté pour lui parler de mon intervention. Elle était en furie et menaçait, s'il n'intervenait pas auprès de moi, de faire une plainte à la commission scolaire. Elle trouvait inacceptable que je dise à des enfants (de 4e année) d'avoir un air de boeuf à cause d'eux et de ne pas aimer leur enseigner. Elle soutenait que j'avais traumatisé son enfant (son enfant, en passant, est un des leaders négatifs de la classe et son passe-temps favori est de piquer les plus faibles de la classe...).
Bref, le directeur m'a tout simplement demandé de changer mon intervention en classe et que si j'avais besoin d'aide au niveau de ma gestion de classe, qu'il existait des ressources... Pour les personnes qui pensent qu'une direction prend automatiquement pour le prof, vous voyez dans ce cas-ci que c'est faux.
Étant une jeune enseignante, avec peu de confiance en elle, je peux vous affirmer que je fus démolie pour quelques jours. Je ne voyais pas en quoi j'avais pu dépasser les limites... Également blessée de ne pas sentir de soutien de ma direction. De plus, cette rencontre se déroula 3 minutes avant le début des classes et les élèves nous regardaient par la fenêtre de la classe. Je devais me cacher pour qu'ils ne voient pas mes larmes... Pas besoin de vous dire que l'enfant en question avait un beau sourire de victoire à son entrée.
Plusieurs jours plus tard, j'ai eu l'occasion de dîner avec le directeur. Je lui ai demandé s'il avait eu des nouvelles de la mère et je lui ai expliqué à quel point j'avais été blessée là-dedans. Je lui ai dit que la communication était essentielle pour moi et que je trouvais important de faire part aux élèves de comment je me sentais. Dans le projet éducatif de l'école, il a été décidé de travailler le programme "Vers le pacifique" dans lequel la communication est l'élément clé... Je ne voyais pas pourquoi cela fonctionnait pour les élèves et non pour nous. Il a fini par dire que j'avais raison. Que j'avais le droit d'intervenir comme bon me semblait, selon mes valeurs à moi, à la condition de respecter les enfants. Ce qui me semble que j'avais fait...
Qu'en pensez-vous ? Désolée pour le roman !
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je crois que c'est une mauvaise interprétation des faits. L'enfant a rapporté tes paroles à sa façon, le parent a réagi vivement, sans même valider avant de foncer et de contester. Aujourd'hui, les gens sont très bons pour juger, protester, dénoncer...Plus personne ne prend la peine d'écouter l'autre, ce qu'il a à dire, comment trouver une solution qui sera juste et satisfaisante pour chacun.
Si la direction n'appuie pas ses professeurs, comment pourraient-ils être respectés des parents et des enfants. Pourquoi n'a-t-il pas pris le temps de bien connaître les faits, le directeur lui, semble avoir bien saisi la situation.
À moins que le professeur soit réellement inadéquat, ce qui peut arriver quand même, ses interventions ne devraient pas être discutées. Les parents blâment souvent l'école de ne pas éduquer les enfants et il faudrait que cela soit fait exactement à leur façon. Ils sont très exigeants. Ils veulent bien souvent que les autres donnent à leur enfants ce qu'ils ne peuvent donner eux-mêmes. Ils sont les premiers à exploser s'ils sentent qu'on veut leur dire quoi faire...Ils devraient laisser les professeurs enseigner et s'occuper de leurs enfants à la maison, être là pour supporter les profs et intervenir de façon adéquate.
Les profs font des dépressions parce que plus personne n'occupe la place qu'il devrait...
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Annouk a écritJe ne vois pas pourquoi cette intervention était totchée. On parle ici de relations interpersonnelles entre une enseignante et ses élèves. Il est normal et sain que si les élèves sont invités à s'ouvrir sur ce qu'ils vivent et ressentent en classe, l'enseignant y ait droit aussi. C'est un bel échange moi je trouve, qui démontre un désir d'améliorer la situation...Un genre de conseil de classe ou le professeur a aussi le droit de s'exprimer "Totchée" n'a peut-être pas le même sens pour toi que pour moi. Je crois que ce genre d'intervention est très délicat, qu'il faut s'en servir au bon moment et que comme la suite des événements l'a démontré, c'est toujours un peu risqué. Disons que ça prend beaucoup de doigté... et de guts! C'est bête à dire, mais les enseignants sont des humains qui ont de mauvaises journées, des difficultés et des problèmes comme tout le monde, mais à quelque part je pense que la perception générale est que cela ne doit pas affecter les enfants, alors un prof qui s'ouvre un peu va forcément à contre-courant. C'est ce que je voulais dire par "totché".
Ceci dit, je suis d'accord avec ce que tu as écrit. Je ne dis pas que ce n'était pas un bel échange. Je pense qu'au contraire, le résultat auprès des enfants et même - plus tard - auprès du directeur démontre justement que la situation a été bien gérée. --Message edité par Boule à mites le 2007-02-20 19:51:53--
Ceci dit, je suis d'accord avec ce que tu as écrit. Je ne dis pas que ce n'était pas un bel échange. Je pense qu'au contraire, le résultat auprès des enfants et même - plus tard - auprès du directeur démontre justement que la situation a été bien gérée. --Message edité par Boule à mites le 2007-02-20 19:51:53--
gingerstar a écrit
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je suis du même avis que toi, mais j'ajouterais un petit quelque chose...s'il y aurait eu un petit mémo de la part de l'enseignante appuyé dans sa démarche par la direction. Envoyé a l'ensemble des parents qui expliquait la situation et les conséquences qui allait suivrent.
Ca aurait été clair pour tout le monde...enfin (les propos et la situation n'aurait pas été déformé...
p-e pas pour certains parents qui n'aurait pas été d'accord mais bien pour l'ensemble des parents pour qu'ils puissent à leurs tour en discuter avec leurs enfants. Pour pouvoir a leurs tour aider le bon fonctinnement de l'école.
Je ne parle pas de la situation que moss a vécu....mais des relations école parents....et il un manque flagrant de comunicuation.
Je parle de mon cas...moi je veux juste avoir de l'information sur le fonctionnement de l'école des mes filles et bien honêtement je me dais répondre par la directrice et l'enseignante que ce n'est pas de mes affaires et ce qui se passe a l'école ne me regarde pas...quand je veux juste de l'information. et que j'accuse personne et que je ne prends la défense de personne.
(ma filles a quelque difficulté a l'école, mais comment mieux l'aider quand on se fait répondre ca) Ca chiale que les parents ne s'implque pas, puis quand c est le contraire....bien c est la même chose...
Mais quand les actes de l'école ou de l'enseignant porte atteintea a l'intégrité physique...je ne me considère pas comme un parent roi...et pour etre certaine j'ai demander de l'aide extérieur de l'école discuter avec plus d'unprofessionnel de la santé...pour m'aider pour résoudre les problème. et la réponse...c est a qu'elle école votre enfant va!..mais voyons madame ca serait nous qui agirait de la sorte et on aurait la dpj sur le dos.
Est-ce que je paye a cause de ses parents rois?
La communication c est aussi savoir s'écouter mutuellement...et trouver des solutions en commun. pas s'accuser a tour de role et dénigrer le role de l'Autre...
je ne sais pas si j ai été bien comprise...
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je suis du même avis que toi, mais j'ajouterais un petit quelque chose...s'il y aurait eu un petit mémo de la part de l'enseignante appuyé dans sa démarche par la direction. Envoyé a l'ensemble des parents qui expliquait la situation et les conséquences qui allait suivrent.
Ca aurait été clair pour tout le monde...enfin (les propos et la situation n'aurait pas été déformé...
p-e pas pour certains parents qui n'aurait pas été d'accord mais bien pour l'ensemble des parents pour qu'ils puissent à leurs tour en discuter avec leurs enfants. Pour pouvoir a leurs tour aider le bon fonctinnement de l'école.
Je ne parle pas de la situation que moss a vécu....mais des relations école parents....et il un manque flagrant de comunicuation.
Je parle de mon cas...moi je veux juste avoir de l'information sur le fonctionnement de l'école des mes filles et bien honêtement je me dais répondre par la directrice et l'enseignante que ce n'est pas de mes affaires et ce qui se passe a l'école ne me regarde pas...quand je veux juste de l'information. et que j'accuse personne et que je ne prends la défense de personne.
(ma filles a quelque difficulté a l'école, mais comment mieux l'aider quand on se fait répondre ca) Ca chiale que les parents ne s'implque pas, puis quand c est le contraire....bien c est la même chose...
Mais quand les actes de l'école ou de l'enseignant porte atteintea a l'intégrité physique...je ne me considère pas comme un parent roi...et pour etre certaine j'ai demander de l'aide extérieur de l'école discuter avec plus d'unprofessionnel de la santé...pour m'aider pour résoudre les problème. et la réponse...c est a qu'elle école votre enfant va!..mais voyons madame ca serait nous qui agirait de la sorte et on aurait la dpj sur le dos.
Est-ce que je paye a cause de ses parents rois?
La communication c est aussi savoir s'écouter mutuellement...et trouver des solutions en commun. pas s'accuser a tour de role et dénigrer le role de l'Autre...
je ne sais pas si j ai été bien comprise...
gingerstar a écrit
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je crois que c'est une mauvaise interprétation des faits. L'enfant a rapporté tes paroles à sa façon, le parent a réagi vivement, sans même valider avant de foncer et de contester. Aujourd'hui, les gens sont très bons pour juger, protester, dénoncer...Plus personne ne prend la peine d'écouter l'autre, ce qu'il a à dire, comment trouver une solution qui sera juste et satisfaisante pour chacun.
Si la direction n'appuie pas ses professeurs, comment pourraient-ils être respectés des parents et des enfants. Pourquoi n'a-t-il pas pris le temps de bien connaître les faits, le directeur lui, semble avoir bien saisi la situation.
À moins que le professeur soit réellement inadéquat, ce qui peut arriver quand même, ses interventions ne devraient pas être discutées. Les parents blâment souvent l'école de ne pas éduquer les enfants et il faudrait que cela soit fait exactement à leur façon. Ils sont très exigeants. Ils veulent bien souvent que les autres donnent à leur enfants ce qu'ils ne peuvent donner eux-mêmes. Ils sont les premiers à exploser s'ils sentent qu'on veut leur dire quoi faire...Ils devraient laisser les professeurs enseigner et s'occuper de leurs enfants à la maison, être là pour supporter les profs et intervenir de façon adéquate.
Les profs font des dépressions parce que plus personne n'occupe la place qu'il devrait...
C'est ce que j'aurais aimé moi aussi. J'aurais tellement aimé que la mère communique avec moi pour que je lui explique mon point de vue. Si malgré tout elle persistait à être contre, là elle aurait pu en parler à mon directeur.
Je pense aussi que c'était sur le coup de l'émotion car ni le directeur, ni moi, n'avons eu de retour à ce sujet par la mère.
On ne le dira jamais assez, la communication est la clé de la réussite entre les échanges parents-école.
Je pense que ton intervention était très bonne Moss, tu t'es ouverte aux enfants en expliquant bien ce que tu vivais avec eux. Tu leur donnais aussi le choix de changer d'attitude et de voir leur professeur s'ajuster en fonction de cela.
Je crois que c'est une mauvaise interprétation des faits. L'enfant a rapporté tes paroles à sa façon, le parent a réagi vivement, sans même valider avant de foncer et de contester. Aujourd'hui, les gens sont très bons pour juger, protester, dénoncer...Plus personne ne prend la peine d'écouter l'autre, ce qu'il a à dire, comment trouver une solution qui sera juste et satisfaisante pour chacun.
Si la direction n'appuie pas ses professeurs, comment pourraient-ils être respectés des parents et des enfants. Pourquoi n'a-t-il pas pris le temps de bien connaître les faits, le directeur lui, semble avoir bien saisi la situation.
À moins que le professeur soit réellement inadéquat, ce qui peut arriver quand même, ses interventions ne devraient pas être discutées. Les parents blâment souvent l'école de ne pas éduquer les enfants et il faudrait que cela soit fait exactement à leur façon. Ils sont très exigeants. Ils veulent bien souvent que les autres donnent à leur enfants ce qu'ils ne peuvent donner eux-mêmes. Ils sont les premiers à exploser s'ils sentent qu'on veut leur dire quoi faire...Ils devraient laisser les professeurs enseigner et s'occuper de leurs enfants à la maison, être là pour supporter les profs et intervenir de façon adéquate.
Les profs font des dépressions parce que plus personne n'occupe la place qu'il devrait...
C'est ce que j'aurais aimé moi aussi. J'aurais tellement aimé que la mère communique avec moi pour que je lui explique mon point de vue. Si malgré tout elle persistait à être contre, là elle aurait pu en parler à mon directeur.
Je pense aussi que c'était sur le coup de l'émotion car ni le directeur, ni moi, n'avons eu de retour à ce sujet par la mère.
On ne le dira jamais assez, la communication est la clé de la réussite entre les échanges parents-école.
Boule à mites a écrit "Totchée" n'a peut-être pas le même sens pour toi que pour moi. Je crois que ce genre d'intervention est très délicat, qu'il faut s'en servir au bon moment et que comme la suite des événements l'a démontré, c'est toujours un peu risqué. Disons que ça prend beaucoup de doigté... et de guts! C'est bête à dire, mais les enseignants sont des humains qui ont de mauvaises journées, des difficultés et des problèmes comme tout le monde, mais à quelque part je pense que la perception générale est que cela ne doit pas affecter les enfants, alors un prof qui s'ouvre un peu va forcément à contre-courant. C'est ce que je voulais dire par "totché".
Ceci dit, je suis d'accord avec ce que tu as écrit. Je ne dis pas que ce n'était pas un bel échange. Je pense qu'au contraire, le résultat auprès des enfants et même - plus tard - auprès du directeur démontre justement que la situation a été bien gérée.
C'est vrai et pas toujours facile, faut l'avouer !
Tu vois, lors de ma première discussion avec le directeur, il m'a dit que j'aurais dû ne rien dire et être juste très bête avec eux. Qu'ils auraient fini par comprendre que ça n'allait pas...
Moi je trouvais que c'était pire ! Être bête, sans dire pourquoi, aurait pu stresser les enfants. Les rendre nerveux et leur faire se poser plein de questions. Je préférais expliquer le pourquoi, pour qu'ils sachent exactement comment agir pour que je retrouve mon sourire !
Ceci dit, je suis d'accord avec ce que tu as écrit. Je ne dis pas que ce n'était pas un bel échange. Je pense qu'au contraire, le résultat auprès des enfants et même - plus tard - auprès du directeur démontre justement que la situation a été bien gérée.
C'est vrai et pas toujours facile, faut l'avouer !
Tu vois, lors de ma première discussion avec le directeur, il m'a dit que j'aurais dû ne rien dire et être juste très bête avec eux. Qu'ils auraient fini par comprendre que ça n'allait pas...
Moi je trouvais que c'était pire ! Être bête, sans dire pourquoi, aurait pu stresser les enfants. Les rendre nerveux et leur faire se poser plein de questions. Je préférais expliquer le pourquoi, pour qu'ils sachent exactement comment agir pour que je retrouve mon sourire !
°Cybelle° a écrit
Je suis du même avis que toi, mais j'ajouterais un petit quelque chose...s'il y aurait eu un petit mémo de la part de l'enseignante appuyé dans sa démarche par la direction. Envoyé a l'ensemble des parents qui expliquait la situation et les conséquences qui allait suivrent.
Ca aurait été clair pour tout le monde...enfin (les propos et la situation n'aurait pas été déformé...
p-e pas pour certains parents qui n'aurait pas été d'accord mais bien pour l'ensemble des parents pour qu'ils puissent à leurs tour en discuter avec leurs enfants. Pour pouvoir a leurs tour aider le bon fonctinnement de l'école.
Je ne parle pas de la situation que moss a vécu....mais des relations école parents....et il un manque flagrant de comunicuation.
Je parle de mon cas...moi je veux juste avoir de l'information sur le fonctionnement de l'école des mes filles et bien honêtement je me dais répondre par la directrice et l'enseignante que ce n'est pas de mes affaires et ce qui se passe a l'école ne me regarde pas...quand je veux juste de l'information. et que j'accuse personne et que je ne prends la défense de personne.
(ma filles a quelque difficulté a l'école, mais comment mieux l'aider quand on se fait répondre ca) Ca chiale que les parents ne s'implque pas, puis quand c est le contraire....bien c est la même chose...
Mais quand les actes de l'école ou de l'enseignant porte atteintea a l'intégrité physique...je ne me considère pas comme un parent roi...et pour etre certaine j'ai demander de l'aide extérieur de l'école discuter avec plus d'unprofessionnel de la santé...pour m'aider pour résoudre les problème. et la réponse...c est a qu'elle école votre enfant va!..mais voyons madame ca serait nous qui agirait de la sorte et on aurait la dpj sur le dos.
Est-ce que je paye a cause de ses parents rois?
La communication c est aussi savoir s'écouter mutuellement...et trouver des solutions en commun. pas s'accuser a tour de role et dénigrer le role de l'Autre...
je ne sais pas si j ai été bien comprise...
Oui, tu as été très claire ! C'est vrai que j'aurais pu envoyer un mémo et en informer la direction. Après cet événement, j'y repenserai sûrement.
Sauf qu'à ce moment, je ne jugeais pas poser une intervention si importante. Si je devais envoyer un mémo à chaque fois que je fais une intervention de groupe, je passerais mon temps sur l'ordi ! Hihihi Dans une journée, il se passe tellement de choses qu'il devient difficile de tout gérer, alors nous procédons par priorité.
Cette même journée, la mère avait d'ailleurs reçu un mot de ma part puisque son enfant avait dénigré un élève en lui disant "Osti que t'es con". Avec moi, c'est tolérance zéro. Perso, je pense que l'enfant n'avait juste pas digéré mon intervention à ce sujet et l'intervention de groupe fut de trop pour lui... --Message edité par moss le 2007-02-20 22:06:16--
Je suis du même avis que toi, mais j'ajouterais un petit quelque chose...s'il y aurait eu un petit mémo de la part de l'enseignante appuyé dans sa démarche par la direction. Envoyé a l'ensemble des parents qui expliquait la situation et les conséquences qui allait suivrent.
Ca aurait été clair pour tout le monde...enfin (les propos et la situation n'aurait pas été déformé...
p-e pas pour certains parents qui n'aurait pas été d'accord mais bien pour l'ensemble des parents pour qu'ils puissent à leurs tour en discuter avec leurs enfants. Pour pouvoir a leurs tour aider le bon fonctinnement de l'école.
Je ne parle pas de la situation que moss a vécu....mais des relations école parents....et il un manque flagrant de comunicuation.
Je parle de mon cas...moi je veux juste avoir de l'information sur le fonctionnement de l'école des mes filles et bien honêtement je me dais répondre par la directrice et l'enseignante que ce n'est pas de mes affaires et ce qui se passe a l'école ne me regarde pas...quand je veux juste de l'information. et que j'accuse personne et que je ne prends la défense de personne.
(ma filles a quelque difficulté a l'école, mais comment mieux l'aider quand on se fait répondre ca) Ca chiale que les parents ne s'implque pas, puis quand c est le contraire....bien c est la même chose...
Mais quand les actes de l'école ou de l'enseignant porte atteintea a l'intégrité physique...je ne me considère pas comme un parent roi...et pour etre certaine j'ai demander de l'aide extérieur de l'école discuter avec plus d'unprofessionnel de la santé...pour m'aider pour résoudre les problème. et la réponse...c est a qu'elle école votre enfant va!..mais voyons madame ca serait nous qui agirait de la sorte et on aurait la dpj sur le dos.
Est-ce que je paye a cause de ses parents rois?
La communication c est aussi savoir s'écouter mutuellement...et trouver des solutions en commun. pas s'accuser a tour de role et dénigrer le role de l'Autre...
je ne sais pas si j ai été bien comprise...
Oui, tu as été très claire ! C'est vrai que j'aurais pu envoyer un mémo et en informer la direction. Après cet événement, j'y repenserai sûrement.
Sauf qu'à ce moment, je ne jugeais pas poser une intervention si importante. Si je devais envoyer un mémo à chaque fois que je fais une intervention de groupe, je passerais mon temps sur l'ordi ! Hihihi Dans une journée, il se passe tellement de choses qu'il devient difficile de tout gérer, alors nous procédons par priorité.
Cette même journée, la mère avait d'ailleurs reçu un mot de ma part puisque son enfant avait dénigré un élève en lui disant "Osti que t'es con". Avec moi, c'est tolérance zéro. Perso, je pense que l'enfant n'avait juste pas digéré mon intervention à ce sujet et l'intervention de groupe fut de trop pour lui... --Message edité par moss le 2007-02-20 22:06:16--
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Boule à mites
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