Pris sur cyberpresse.ca
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ANALYSE
Les libéraux attaquent les maillons faibles de l'ADQ
Denis Lessard
La Presse
Québec
Avec la montée de l'Action démocratique dans les sondages, la campagne électorale risque de se transformer en duel entre Jean Charest et Mario Dumont. Autonomiste contre fédéraliste. Avec ou sans équipe. Les répliques des derniers jours ont de plus en plus l'allure d'un match de tennis entre les deux chefs.
Avec comme conséquence qu'André Boisclair paraît tout à coup laissé pour compte. Les sondages le donnent deuxième, mais avec un tel retard sur les libéraux qu'il ne paraît guère menaçant pour l'instant.
Devant la popularité indéniable du chef adéquiste, les stratèges libéraux comptent se tourner dans les prochains jours vers une stratégie d'encerclement qui les a servis dans le passé. Jean Charest peut marteler à chaque occasion que Mario Dumont est mal entouré, rien n'est aussi efficace que de l'illustrer. Et comme une bonne moitié des 125 candidats adéquistes ont été choisis très rapidement, les probabilités sont fortes de trouver de ce côté des déclarations susceptibles d'embêter Mario Dumont.
Un air de déjà-vu? Bien sûr. Au débat de 2003, Jean Charest avait décoché un missile Scud sur Bernard Landry en lui brandissant sous le nez des propos trouvés quelques heures plus tôt sur Internet. Quelques phrases ambiguës de Jacques Parizeau auront suffi à faire glisser M. Landry et toute sa campagne.
Jusqu'ici, les cyberfouineurs du PLQ étaient restés bon enfant. Glisser à l'oreille d'un reporter qui s'occupe de la campagne sur Internet que le tout jeune Alexandre Tremblay-Michaud, un candidat-poteau de Mario Dumont dans Mont-Royal, est considéré comme un «atout extraordinaire pour l'ADQ» parce qu'il poursuit des études collégiales et qu'il a été emballeur en 2004... La croisière s'amuse à même les fiches mises par l'ADQ sur le Net.
Hier, le coup était plus sévère. Dans son blogue audio Radio XTREM, Jean-François Plante, candidat adéquiste de Deux-Montagnes, remet en question le bien-fondé de l'équité salariale pour les employées de l'État. La discrimination positive à l'endroit des femmes créera, selon lui, une forme «d'apartheid où on bloque les hommes», un «effet pervers» de discrimination. Faire plus de place aux femmes signifie que moins d'hommes seront embauchés, déplore-t-il.
Le 6 décembre, pour souligner la tuerie de Polytechnique, M. Plante insiste : il refuse de porter le ruban blanc, symbole d'appui aux familles des victimes, révélaient ses entrevues sur sa radio XTREM.
Toutes ces interventions sont été éliminées de son site il y a quelques jours «à cause de la mise en garde du Directeur général des élections», a-t-il expliqué hier à La Presse.
Mais les cyberrouges avaient déjà inscrit sur leur disque dur les entrevues controversées de M. Plante, ancien conseiller municipal de Rosemont.
Un extrait? «On vient de passer le 6 décembre et j'ai encore refusé de mettre le ruban blanc. Imagine-toi donc combien on est épouvantable de pas mettre ce ruban-là. Et là, on nous a encore sorti la chanson de la violence faite aux femmes. Pourquoi la violence faite aux femmes? Y a pas de violence faite aux hommes? Ça existe pas? Pourtant, y a des chiffres qui nous disent que, bon, c'est à peu près semblable», disait M. Plante dans une entrevue en décembre dernier.
Relancé par La Presse, hier, l'adéquiste en rajoute : la manifestation qui commémore Polytechnique «ostracise les hommes, comme s'ils étaient les seuls à apporter de la violence». La société nourrit «un sexisme inexcusable envers les hommes», affirme M. Plante. En outre, la nouvelle politique adoptée par Québec afin que la moitié des conseils d'administration des sociétés d'État soient composés de femmes est «discriminatoire». Personne ne devrait être nommé en fonction de son sexe, plaide cet «égalitaire». Autant de propos susceptibles de causer de la controverse...
Plus tôt, le PLQ avait piégé un autre pion de la campagne adéquiste. Claude Roy, candidat adéquiste dans Montmagny-L'Islet, également chroniqueur de chasse et pêche, s'est opposé au maintien du registre fédéral des armes à feu, que souhaite conserver le gouvernement Charest.
Cela lui a valu un communiqué bien senti du ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis. On brandit le spectre de Dawson et on accuse le débonnaire chasseur d'être à la solde du lobby des armes à feu. Mais Jacques Dupuis, en quelques mots, résume l'objectif de toutes ces opérations : «M. Dumont n'a pas d'équipe forte autour de lui et certains de ses candidats ont des valeurs et des positions qui ne sont pas partagées par les Québécois.»
Aux échecs, quand on ne peut mettre le roi adverse en danger, on lui bouffe quelques pions, c'est toujours ça de pris.
Les libéraux attaquent les maillons faibles de l'ADQ...
en tk cest sur je voterai pas pour plante il est dans mon comté et je l,ai vu en personen a mon bowling
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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.anthurium.
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Devant les nombreuses réactions suscitées par ses déclarations sur l'équité salariale et les femmes, le candidat adéquiste dans Deux-Montagnes, Jean-François Plante, a fait son mea-culpa dans un communiqué émis lundi.
Dimanche, M. Plante a remis en question l'équité salariale pour les employées de l'État sur son blogue personnel. Il a aussi dénoncé la politique de Québec voulant que la moitié des personnes siégeant aux conseils d'administration des sociétés d'État soient des femmes.
Le 6 décembre dernier, jour de commémoration de la tuerie de Polytechnique, M. Plante aurait également refusé de porter le ruban blanc, symbole d'appui aux familles des victimes. Selon lui, les politiques d'action positive pour les femmes entraînent de la discrimination à l'endroit des hommes.
« [...] Je tiens à préciser que concernant le dossier de l'équité salariale, j'adhère et ai toujours adhéré pleinement aux principes du "travail égal à salaire égal" et que, conséquemment, c'est sans condition que je supporte l'actuel programme d'équité salariale », écrit-il.
M. Plante reconnaît que ses propos ont pu être critiques, mais se défend d'attaquer le principe même de l'équité salariale.
[Dans] la fonction publique québécoise, il y a plus de femmes que d'hommes, et comme si ce n'était pas assez, on fait encore des mesures pour faire entrer davantage de femmes. On fait un genre d'apartheid où on bloque les hommes. — Jean-François Plante, dans le cadre de son émission de radio sur le web
À propos de la violence faite aux femmes, le candidat adéquiste affirme qu'« en aucun temps [il] n'a eu l'intention de banaliser cette dramatique réalité, pas plus en parlant du drame de Polytechnique que de tout autre événement tragique. »
M. Plante considère qu'il s'agit d'un fléau que « nous avons tous le devoir de combattre et de dénoncer. C'est pourquoi je condamne toute violence, que les victimes en soient des femmes, des enfants ou des hommes. »
Jean-François Plante s'excuse et réitère son adhésion profonde aux principes de l'égalité des personnes et de la non-violence. Il réaffirme aussi son adhésion entière au programme et à la philosophie de l'ADQ.
Mario Dumont se dissocie
Mario Dumont
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, a dû encore une fois s'expliquer sur les propos controversés d'un des candidats du parti.
Interrogé sur le sujet, M. Dumont a dit que l'équité salariale était là pour rester et qu'il n'était pas question de revenir là-dessus. Il a aussi affirmé que l'ADQ ne « banalisait » pas les questions de violences faites aux femmes. Il a rappelé cependant que ces derniers propos de M. Plante n'avaient pas été tenus pendant la campagne, mais qu'il s'en dissociait tout de même totalement.
Le chef adéquiste en a profité pour répliquer à la stratégie libérale qui consiste à fouiller dans le passé des candidats adéquistes afin d'y trouver des éléments susceptibles de déstabiliser le parti.
Selon lui, la stratégie libérale vise à masquer la réalité et à faire oublier les mauvais coups du gouvernement sortant. Il a ainsi reproché à la députée de Matane, Nancy Charest, d'avoir « négligé son monde. » Pour appuyer ses propos, il a affirmé que la députée n'était pas au courant d'une fermeture d'usine à Cap-Chat qui a mis 50 personnes à pied.
On a des ministres qui gèrent mal, des députés qui ne se sont pas occupés de leur monde, et un premier ministre qui a trahi sa parole pendant quatre ans. Moi, je vais m'occuper de discipliner nos candidats. Que Jean Charest réponde de quatre ans d'un gouvernement qui n'a pas répondu aux besoins des Québécois. — Mario Dumont
Dimanche, M. Dumont avait contredit son candidat dans Montmagny-L'Islet, Claude Roy, qui avait déploré le système de contrôle des armes à feu mis en place par le gouvernement fédéral libéral de Jean Chrétien. Le chef adéquiste avait alors indiqué que, contrairement aux propos tenus par M. Roy, son parti était en faveur du contrôle des armes à feu.
Charest condamne les propos
Jean Charest
En point de presse au quai Agésilas-Lepage, à Saguenay, le chef libéral Jean Charest a qualifié les propos de M. Plante « d'extrêmement graves ». Il l'a accusé de banaliser la tragédie de Polytechnique, ce qui est encore plus grave depuis la récente fusillade au Collège Dawson, selon M. Charest.
« À mes yeux, ce candidat devrait non seulement être discipliné, il devrait démissionner, si c'est cela le fond de sa pensée », a déclaré le chef libéral.
La candidate péquiste Jocelyne Caron
De son côté, la candidate péquiste dans Terrebonne, Jocelyne Caron, a qualifié les propos de M. Plante d'inacceptables. Mme Caron était la porte-parole de l'opposition officielle en matière de condition féminine avant la dissolution de l'Assemblée nationale.
« En 2007, d'entendre des propos comme ceux-là, c'est catastrophique. Quand on dit que la lutte pour une égalité de fait pour les femmes n'est pas [finie], je pense que ça le démontre clairement », a déclaré Mme Caron.
> --Message edité par .anthurium. le 2007-03-05 20:02:07--
Dimanche, M. Plante a remis en question l'équité salariale pour les employées de l'État sur son blogue personnel. Il a aussi dénoncé la politique de Québec voulant que la moitié des personnes siégeant aux conseils d'administration des sociétés d'État soient des femmes.
Le 6 décembre dernier, jour de commémoration de la tuerie de Polytechnique, M. Plante aurait également refusé de porter le ruban blanc, symbole d'appui aux familles des victimes. Selon lui, les politiques d'action positive pour les femmes entraînent de la discrimination à l'endroit des hommes.
« [...] Je tiens à préciser que concernant le dossier de l'équité salariale, j'adhère et ai toujours adhéré pleinement aux principes du "travail égal à salaire égal" et que, conséquemment, c'est sans condition que je supporte l'actuel programme d'équité salariale », écrit-il.
M. Plante reconnaît que ses propos ont pu être critiques, mais se défend d'attaquer le principe même de l'équité salariale.
[Dans] la fonction publique québécoise, il y a plus de femmes que d'hommes, et comme si ce n'était pas assez, on fait encore des mesures pour faire entrer davantage de femmes. On fait un genre d'apartheid où on bloque les hommes. — Jean-François Plante, dans le cadre de son émission de radio sur le web
À propos de la violence faite aux femmes, le candidat adéquiste affirme qu'« en aucun temps [il] n'a eu l'intention de banaliser cette dramatique réalité, pas plus en parlant du drame de Polytechnique que de tout autre événement tragique. »
M. Plante considère qu'il s'agit d'un fléau que « nous avons tous le devoir de combattre et de dénoncer. C'est pourquoi je condamne toute violence, que les victimes en soient des femmes, des enfants ou des hommes. »
Jean-François Plante s'excuse et réitère son adhésion profonde aux principes de l'égalité des personnes et de la non-violence. Il réaffirme aussi son adhésion entière au programme et à la philosophie de l'ADQ.
Mario Dumont se dissocie
Mario Dumont
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, a dû encore une fois s'expliquer sur les propos controversés d'un des candidats du parti.
Interrogé sur le sujet, M. Dumont a dit que l'équité salariale était là pour rester et qu'il n'était pas question de revenir là-dessus. Il a aussi affirmé que l'ADQ ne « banalisait » pas les questions de violences faites aux femmes. Il a rappelé cependant que ces derniers propos de M. Plante n'avaient pas été tenus pendant la campagne, mais qu'il s'en dissociait tout de même totalement.
Le chef adéquiste en a profité pour répliquer à la stratégie libérale qui consiste à fouiller dans le passé des candidats adéquistes afin d'y trouver des éléments susceptibles de déstabiliser le parti.
Selon lui, la stratégie libérale vise à masquer la réalité et à faire oublier les mauvais coups du gouvernement sortant. Il a ainsi reproché à la députée de Matane, Nancy Charest, d'avoir « négligé son monde. » Pour appuyer ses propos, il a affirmé que la députée n'était pas au courant d'une fermeture d'usine à Cap-Chat qui a mis 50 personnes à pied.
On a des ministres qui gèrent mal, des députés qui ne se sont pas occupés de leur monde, et un premier ministre qui a trahi sa parole pendant quatre ans. Moi, je vais m'occuper de discipliner nos candidats. Que Jean Charest réponde de quatre ans d'un gouvernement qui n'a pas répondu aux besoins des Québécois. — Mario Dumont
Dimanche, M. Dumont avait contredit son candidat dans Montmagny-L'Islet, Claude Roy, qui avait déploré le système de contrôle des armes à feu mis en place par le gouvernement fédéral libéral de Jean Chrétien. Le chef adéquiste avait alors indiqué que, contrairement aux propos tenus par M. Roy, son parti était en faveur du contrôle des armes à feu.
Charest condamne les propos
Jean Charest
En point de presse au quai Agésilas-Lepage, à Saguenay, le chef libéral Jean Charest a qualifié les propos de M. Plante « d'extrêmement graves ». Il l'a accusé de banaliser la tragédie de Polytechnique, ce qui est encore plus grave depuis la récente fusillade au Collège Dawson, selon M. Charest.
« À mes yeux, ce candidat devrait non seulement être discipliné, il devrait démissionner, si c'est cela le fond de sa pensée », a déclaré le chef libéral.
La candidate péquiste Jocelyne Caron
De son côté, la candidate péquiste dans Terrebonne, Jocelyne Caron, a qualifié les propos de M. Plante d'inacceptables. Mme Caron était la porte-parole de l'opposition officielle en matière de condition féminine avant la dissolution de l'Assemblée nationale.
« En 2007, d'entendre des propos comme ceux-là, c'est catastrophique. Quand on dit que la lutte pour une égalité de fait pour les femmes n'est pas [finie], je pense que ça le démontre clairement », a déclaré Mme Caron.
> --Message edité par .anthurium. le 2007-03-05 20:02:07--
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Les propos ont été déformé mais ça fait parti du jeu politique.
J'aime beaucoup Jeff Plante (J'aime beaucoup l'entendre à la radio et j'aime beaucoup le lire dans divers forum ) J'étais si heureuse qu'il se présente a l'ADQ.
Il a parlé a Radio Pirate aujourd'hui. J'aimerais bien mettre son entrevue ici mais je ne sais pas comment faire.
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.anthurium. a écrit Les propos ont été déformé mais ça fait parti du jeu politique.
J'aime beaucoup Jeff Plante (J'aime beaucoup l'entendre à la radio et j'aime beaucoup le lire dans divers forum ) J'étais si heureuse qu'il se présente a l'ADQ.
Il a parlé a Radio Pirate aujourd'hui. J'aimerais bien mettre son entrevue ici mais je ne sais pas comment faire. Ce topic est en double... Je ne le connais pas vraiment le gars et je ne sais pas trop de quoi il est question... Rapidement je me demande c'est quoi qui est sensé être révoltant dans ça, il doit me manquer d'information pertinante que d'autres ont accès...
Mais ce qui est clair dans ça, c'est sûr quoi Charest met son énergie dans cette campagne ;) J'ai hâte de voir si ça va encore fonctionner...
J'aime beaucoup Jeff Plante (J'aime beaucoup l'entendre à la radio et j'aime beaucoup le lire dans divers forum ) J'étais si heureuse qu'il se présente a l'ADQ.
Il a parlé a Radio Pirate aujourd'hui. J'aimerais bien mettre son entrevue ici mais je ne sais pas comment faire. Ce topic est en double... Je ne le connais pas vraiment le gars et je ne sais pas trop de quoi il est question... Rapidement je me demande c'est quoi qui est sensé être révoltant dans ça, il doit me manquer d'information pertinante que d'autres ont accès...
Mais ce qui est clair dans ça, c'est sûr quoi Charest met son énergie dans cette campagne ;) J'ai hâte de voir si ça va encore fonctionner...
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.anthurium.
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Acrux a écrit Ce topic est en double... Je ne le connais pas vraiment le gars et je ne sais pas trop de quoi il est question... Rapidement je me demande c'est quoi qui est sensé être révoltant dans ça, il doit me manquer d'information pertinante que d'autres ont accès...
Mais ce qui est clair dans ça, c'est sûr quoi Charest met son énergie dans cette campagne ;) J'ai hâte de voir si ça va encore fonctionner...
Ça va assez bien pour l'ADQ dans deux montagnes il risque de remporter l'élection si non de faire beaucoup de tord aux libéraux Je ne sais pas si c'est vrai mais quand on entend Jean Charest demander la démission de Jeff Plante avec autant d'énergie ont peux se poser de sérieuses questions.
Mais ce qui est clair dans ça, c'est sûr quoi Charest met son énergie dans cette campagne ;) J'ai hâte de voir si ça va encore fonctionner...
Ça va assez bien pour l'ADQ dans deux montagnes il risque de remporter l'élection si non de faire beaucoup de tord aux libéraux Je ne sais pas si c'est vrai mais quand on entend Jean Charest demander la démission de Jeff Plante avec autant d'énergie ont peux se poser de sérieuses questions.
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mardi 06 mars 2007
Photo PC
Charest réclame la tête de Jean-François Plante, Dumont refuse
Malorie Beauchemin et Hugo de Grandpré
La Presse
Saguenay
Jean Charest a réclamé le retrait du candidat adéquiste Jean-François Plante hier, mais Mario Dumont a réitéré sa confiance envers ce dernier malgré les propos controversés qu'il a tenus avant la campagne électorale.
M. Dumont s'est toutefois dissocié des déclarations du candidat adéquiste dans Deux-Montagnes, faites le 6 décembre 2006 sur les ondes de la radio Internet XTREM. Le chef de l'ADQ a laissé entendre qu'il mettrait son candidat au pas. «Moi, je vais m'occuper de discipliner nos candidats, mais Jean Charest doit aussi s'occuper de répondre de quatre années d'un gouvernement qui n'a pas livré la marchandise au Québec», a dit M. Dumont.
La Presse a révélé hier que le candidat adéquiste dans la circonscrïption de Deux-Montagnes avait tenu des propos susceptibles d'être jugés offensants pour les femmes. Les déclarations remettaient en question la façon dont on commémore la tuerie de Polytechnique ainsi que les principes d'accès des femmes à l'emploi et à l'équité salariale.
Les libéraux ont fait leurs choux gras de ces déclarations, hier, en faisant circuler des transcrïptions aux journalistes pendant toute la journée. En après-midi, le chef libéral Jean Charest, ainsi que d'autres membres de son équipe, ont réclamé la tête de M. Plante. «Quand, dans une formation politique, un candidat banalise la tragédie de la Polytechnique, c'est extrêmement grave», a déclaré M. Charest à Saguenay.
La semaine dernière, Mario Dumont a dû publiquement «désapprouver» les propos homophobes tenus en 2006 par Gilles Gagnon, candidat dans la circonscrïption d'Abitibi-Est.
Jean-François Plante n'en est pas non plus à ses premiers propos controversés en ondes. Dans un clip diffusé sur YouTube, on l'entend dire que «les Québécois ont souvent un profil de petits crosseurs. (C'est comme) les Mexicains, qui sont un peu plus magouilleurs (ou les) Tunisiens, qui fonctionnent avec le bakchich.»
Dans un autre clip, il dit : «Y'a des filles que tu connais et que tu as le goût de les baiser la première fois que tu les vois. D'autres, ça prend quelques mois avant que tu te dises : «En fin de compte, elle est regardable; je lui donnerais bien un coup»«.
Confiance
Au milieu de cette controverse, Mario Dumont a tenu un point de presse extraordinaire, en soirée, afin de réitérer sa confiance en son poulain décrit sur le site de l'ADQ comme un acteur important au sein de l'équipe. «Il y a dans le Québec des animateurs de radio qui discutent ferme, c'est un métier. Faire de la politique, vouloir représenter un comté, c'est un autre métier. Je pense qu'il le comprend très bien, a affirmé M. Dumont. J'ai eu l'occasion de lui parler. Il m'a redit à quel point les valeurs, les principes de l'ADQ étaient importants pour lui. Il y adhère complètement.»
Dans la tempête, M. Plante a publié un communiqué de presse, en fin d'après-midi, dans lequel il nie qu'il avoir tenté de banaliser la violence faite aux femmes et dit ne pas remettre en question l'équité salariale.
«Si mes propos, émis dans le cadre d'une émission radiophonique qui se veut polémiste, ont pu porter à interprétation à cet égard, je m'en excuse et je tiens à réitérer mon adhésion profonde aux principes de l'égalité des personnes», peut-on lire.
En entrevue, M. Plante se décrit comme un «égalitariste» contre la violence faite aux femmes. «Ce qu'on nous rappelle tout le temps, c'est la violence des hommes faites aux femmes; la violence, ça n'a pas de sexe (...) De mettre un genre sur la violence, c'est ça l'ostracisme et ça je ne suis pas capable de tolérer ça», précise-t-il.
Le chef adéquiste a par ailleurs rappelé qu'en 1998, le candidat libéral de Jean Charest dans la circonscrïption de Richelieu, Gilles Ferlatte, avait soutenu que les Hells Angels «c'était du ben bon monde» et qu'il ne l'avait pas congédié pour autant.
Lors de son discours devant une assemblée militante, hier soir à Gatineau, le chef libéral en a remis, dressant une liste des 10 pires déclarations de candidats adéquistes. Ainsi, selon Jean Charest, Robert Émond n'avait pas lu la plateforme adéquiste avant d'accepter d'être candidat; Linda Lapointe a écrit au PLQ pour demander une circonscrïption et a déclaré qu'elle ne croyait pas en Mario Dumont et Martin Otis a admis qu'il avait été parachuté dans sa circonscrïption et qu'il n'avait l'intention de faire du porte-à-porte que les fins de semaine.
Photo PC
Charest réclame la tête de Jean-François Plante, Dumont refuse
Malorie Beauchemin et Hugo de Grandpré
La Presse
Saguenay
Jean Charest a réclamé le retrait du candidat adéquiste Jean-François Plante hier, mais Mario Dumont a réitéré sa confiance envers ce dernier malgré les propos controversés qu'il a tenus avant la campagne électorale.
M. Dumont s'est toutefois dissocié des déclarations du candidat adéquiste dans Deux-Montagnes, faites le 6 décembre 2006 sur les ondes de la radio Internet XTREM. Le chef de l'ADQ a laissé entendre qu'il mettrait son candidat au pas. «Moi, je vais m'occuper de discipliner nos candidats, mais Jean Charest doit aussi s'occuper de répondre de quatre années d'un gouvernement qui n'a pas livré la marchandise au Québec», a dit M. Dumont.
La Presse a révélé hier que le candidat adéquiste dans la circonscrïption de Deux-Montagnes avait tenu des propos susceptibles d'être jugés offensants pour les femmes. Les déclarations remettaient en question la façon dont on commémore la tuerie de Polytechnique ainsi que les principes d'accès des femmes à l'emploi et à l'équité salariale.
Les libéraux ont fait leurs choux gras de ces déclarations, hier, en faisant circuler des transcrïptions aux journalistes pendant toute la journée. En après-midi, le chef libéral Jean Charest, ainsi que d'autres membres de son équipe, ont réclamé la tête de M. Plante. «Quand, dans une formation politique, un candidat banalise la tragédie de la Polytechnique, c'est extrêmement grave», a déclaré M. Charest à Saguenay.
La semaine dernière, Mario Dumont a dû publiquement «désapprouver» les propos homophobes tenus en 2006 par Gilles Gagnon, candidat dans la circonscrïption d'Abitibi-Est.
Jean-François Plante n'en est pas non plus à ses premiers propos controversés en ondes. Dans un clip diffusé sur YouTube, on l'entend dire que «les Québécois ont souvent un profil de petits crosseurs. (C'est comme) les Mexicains, qui sont un peu plus magouilleurs (ou les) Tunisiens, qui fonctionnent avec le bakchich.»
Dans un autre clip, il dit : «Y'a des filles que tu connais et que tu as le goût de les baiser la première fois que tu les vois. D'autres, ça prend quelques mois avant que tu te dises : «En fin de compte, elle est regardable; je lui donnerais bien un coup»«.
Confiance
Au milieu de cette controverse, Mario Dumont a tenu un point de presse extraordinaire, en soirée, afin de réitérer sa confiance en son poulain décrit sur le site de l'ADQ comme un acteur important au sein de l'équipe. «Il y a dans le Québec des animateurs de radio qui discutent ferme, c'est un métier. Faire de la politique, vouloir représenter un comté, c'est un autre métier. Je pense qu'il le comprend très bien, a affirmé M. Dumont. J'ai eu l'occasion de lui parler. Il m'a redit à quel point les valeurs, les principes de l'ADQ étaient importants pour lui. Il y adhère complètement.»
Dans la tempête, M. Plante a publié un communiqué de presse, en fin d'après-midi, dans lequel il nie qu'il avoir tenté de banaliser la violence faite aux femmes et dit ne pas remettre en question l'équité salariale.
«Si mes propos, émis dans le cadre d'une émission radiophonique qui se veut polémiste, ont pu porter à interprétation à cet égard, je m'en excuse et je tiens à réitérer mon adhésion profonde aux principes de l'égalité des personnes», peut-on lire.
En entrevue, M. Plante se décrit comme un «égalitariste» contre la violence faite aux femmes. «Ce qu'on nous rappelle tout le temps, c'est la violence des hommes faites aux femmes; la violence, ça n'a pas de sexe (...) De mettre un genre sur la violence, c'est ça l'ostracisme et ça je ne suis pas capable de tolérer ça», précise-t-il.
Le chef adéquiste a par ailleurs rappelé qu'en 1998, le candidat libéral de Jean Charest dans la circonscrïption de Richelieu, Gilles Ferlatte, avait soutenu que les Hells Angels «c'était du ben bon monde» et qu'il ne l'avait pas congédié pour autant.
Lors de son discours devant une assemblée militante, hier soir à Gatineau, le chef libéral en a remis, dressant une liste des 10 pires déclarations de candidats adéquistes. Ainsi, selon Jean Charest, Robert Émond n'avait pas lu la plateforme adéquiste avant d'accepter d'être candidat; Linda Lapointe a écrit au PLQ pour demander une circonscrïption et a déclaré qu'elle ne croyait pas en Mario Dumont et Martin Otis a admis qu'il avait été parachuté dans sa circonscrïption et qu'il n'avait l'intention de faire du porte-à-porte que les fins de semaine.
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En entrevue, M. Plante se décrit comme un «égalitariste» contre la violence faite aux femmes. «Ce qu'on nous rappelle tout le temps, c'est la violence des hommes faites aux femmes; la violence, ça n'a pas de sexe (...) De mettre un genre sur la violence, c'est ça l'ostracisme et ça je ne suis pas capable de tolérer ça», précise-t-il. (fin de la citation)
C'est le genre de propos qu'on entend souvent dans sa bouche ,ce n'est pas une excuse fait par le parti. C'est du Jeff Plante tout craché
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Jeff Fillion de Montréal
06/03/2007
C'est un peu le Jeff Fillion de Montréal. Même grande gueule, même obsession pour la «liberté». Il est candidat pour Mario Dumont. Et il fait réagir les péquistes et les libéraux, parce qu'il vit à Montréal et non à Québec.
Ce n'est pas pour rien que Jean Charest a réclamé hier la tête de Jean-François Plante, candidat de l'Action démocratique du Québec dans Deux-Montagnes, en banlieue nord de Montréal. La simple présence d'un gars comme Plante dans la région de Montréal peut laisser croire que l'influence de l'ADQ - le parti de Mario Dumont - ne se limite plus à la seule région de Québec.
Ça fait réfléchir les deux «grands» partis, qui sont déstabilisés par la montée surprenante de l'ADQ hors de son terreau traditionnel de la capitale.
D'abord, qui est Jean-François Plante ? Il a été conseiller municipal de l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie, dans le centre de Montréal, de 1998 à 2005. Il est un des hauts placés du parti de Mario Dumont. L'automne dernier, il a fondé sa propre radio sur Internet, Radio XTRM.
C'est là qu'il a dénoncé la commémoration de la tuerie de Polytechnique, qui se tient chaque 6 décembre. Des propos ridicules que s'est empressé de dénoncer Jean Charest, mais qui restent inoffensifs comparativement aux énormités diffusées si longtemps par Jeff Fillion à Québec.
Drôle de hasard, quand même : «Jef» Plante a le même prénom que Jeff Fillion, le célèbre animateur qui s'est fait déloger de CHOI Radio X par Sophie Chiasson. Les deux partagent aussi la même vision de la vie. Mais jusqu'à preuve du contraire, Plante semblait assez intelligent pour éviter les dérapages qui ont détruit la grande gueule de Québec.
Les «vraies affaires»
Le site Web de Radio XTRM ressemble à une copie de Radio Pirate, le nouveau joujou de Jeff Fillion. Les deux reprennent les mêmes thèmes qu'aiment bien les partisans de Mario Dumont : la «liberté», le «gros bon sens», le gaspillage du gouvernement...
Une section du blogue s'intitule le sous-sol de Jef. «Comme dans un bon party entre amis, on y sort les crottes de fromage, la bière et on se dit nos quatre vérités... Sans bullshit !» insiste-t-il.
La même formule que Jeff Fillion : un gang de gars qui se disent «les vraies affaires» autour d'une bière. Mario Dumont connaît la recette. À une époque, Fillion aurait pu être président du fan club de l'ADQ à Québec. Le chef adéquiste a d'ailleurs été un des rares élus à défendre la grande gueule de Radio X face au CRTC, qui lui a retiré son permis.
Compte tenu de son propre engouement pour Jeff Fillion, il est étonnant que Mario Dumont ait enfermé son candidat dans un garde-robe hier (Jef Plante était introuvable). Le chef de l'ADQ lui a ordonné de se rétracter et de déclarer qu'il croit à l'égalité des sexes.
Curieuse mise au point, parce que Jef Plante s'est toujours fait un devoir de dénoncer les féministes. Quand il était conseiller municipal à Montréal, en septembre 2005, il avait endossé l'idée de créer une «journée de l'Homme». Ben oui, puisqu'il existe une journée de la Femme...
S'il avait visité le site Web de Radio XTRM, Mario Dumont aurait pourtant eu la puce à l'oreille. Jef Plante vend des T-shirts où il est écrit: «On va virer le Québec à l'envers.»
Avec des coups de gueule comme ça, Mario Dumont n'a pas fini de surveiller ses candidats.
»
ça doit etre payant pour les médias de nommer Jeff Fillion car son nom est citer presque tous les jours dans les médias.
Pour ce qui est de Jeff Plante je suis d'accord avec lui pour la journée de la femme je trouve que ca n'a pas sa place aujourd'hui.
06/03/2007
C'est un peu le Jeff Fillion de Montréal. Même grande gueule, même obsession pour la «liberté». Il est candidat pour Mario Dumont. Et il fait réagir les péquistes et les libéraux, parce qu'il vit à Montréal et non à Québec.
Ce n'est pas pour rien que Jean Charest a réclamé hier la tête de Jean-François Plante, candidat de l'Action démocratique du Québec dans Deux-Montagnes, en banlieue nord de Montréal. La simple présence d'un gars comme Plante dans la région de Montréal peut laisser croire que l'influence de l'ADQ - le parti de Mario Dumont - ne se limite plus à la seule région de Québec.
Ça fait réfléchir les deux «grands» partis, qui sont déstabilisés par la montée surprenante de l'ADQ hors de son terreau traditionnel de la capitale.
D'abord, qui est Jean-François Plante ? Il a été conseiller municipal de l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie, dans le centre de Montréal, de 1998 à 2005. Il est un des hauts placés du parti de Mario Dumont. L'automne dernier, il a fondé sa propre radio sur Internet, Radio XTRM.
C'est là qu'il a dénoncé la commémoration de la tuerie de Polytechnique, qui se tient chaque 6 décembre. Des propos ridicules que s'est empressé de dénoncer Jean Charest, mais qui restent inoffensifs comparativement aux énormités diffusées si longtemps par Jeff Fillion à Québec.
Drôle de hasard, quand même : «Jef» Plante a le même prénom que Jeff Fillion, le célèbre animateur qui s'est fait déloger de CHOI Radio X par Sophie Chiasson. Les deux partagent aussi la même vision de la vie. Mais jusqu'à preuve du contraire, Plante semblait assez intelligent pour éviter les dérapages qui ont détruit la grande gueule de Québec.
Les «vraies affaires»
Le site Web de Radio XTRM ressemble à une copie de Radio Pirate, le nouveau joujou de Jeff Fillion. Les deux reprennent les mêmes thèmes qu'aiment bien les partisans de Mario Dumont : la «liberté», le «gros bon sens», le gaspillage du gouvernement...
Une section du blogue s'intitule le sous-sol de Jef. «Comme dans un bon party entre amis, on y sort les crottes de fromage, la bière et on se dit nos quatre vérités... Sans bullshit !» insiste-t-il.
La même formule que Jeff Fillion : un gang de gars qui se disent «les vraies affaires» autour d'une bière. Mario Dumont connaît la recette. À une époque, Fillion aurait pu être président du fan club de l'ADQ à Québec. Le chef adéquiste a d'ailleurs été un des rares élus à défendre la grande gueule de Radio X face au CRTC, qui lui a retiré son permis.
Compte tenu de son propre engouement pour Jeff Fillion, il est étonnant que Mario Dumont ait enfermé son candidat dans un garde-robe hier (Jef Plante était introuvable). Le chef de l'ADQ lui a ordonné de se rétracter et de déclarer qu'il croit à l'égalité des sexes.
Curieuse mise au point, parce que Jef Plante s'est toujours fait un devoir de dénoncer les féministes. Quand il était conseiller municipal à Montréal, en septembre 2005, il avait endossé l'idée de créer une «journée de l'Homme». Ben oui, puisqu'il existe une journée de la Femme...
S'il avait visité le site Web de Radio XTRM, Mario Dumont aurait pourtant eu la puce à l'oreille. Jef Plante vend des T-shirts où il est écrit: «On va virer le Québec à l'envers.»
Avec des coups de gueule comme ça, Mario Dumont n'a pas fini de surveiller ses candidats.
»
ça doit etre payant pour les médias de nommer Jeff Fillion car son nom est citer presque tous les jours dans les médias.
Pour ce qui est de Jeff Plante je suis d'accord avec lui pour la journée de la femme je trouve que ca n'a pas sa place aujourd'hui.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Citation :«On vient de passer le 6 décembre et j'ai encore refusé de mettre le ruban blanc. Imagine-toi donc combien on est épouvantable de pas mettre ce ruban-là. Et là, on nous a encore sorti la chanson de la violence faite aux femmes. Pourquoi la violence faite aux femmes? Y a pas de violence faite aux hommes? Ça existe pas? Pourtant, y a des chiffres qui nous disent que, bon, c'est à peu près semblable»
Beurk quel con. C'est comme quelqu'un qui va dans un musée de l'Holocauste et qui chiale parce que c'est pas juste les juifs qui ont souffert dans' vie.
Beurk quel con. C'est comme quelqu'un qui va dans un musée de l'Holocauste et qui chiale parce que c'est pas juste les juifs qui ont souffert dans' vie.
Je trouve qu'il se victimise en tant qu'homme. Le ruban blanc n'est pas destiné à présenter les hommes dans leur totalité comme des monstres et des bourreaux mais de rappeler un évènement qui a eu lieu et qui a fait des victimes féminines.
Et je trouve ca un peu gros de minimiser la violence faite aux femmes. Je suis consciente que des hommes aussi en vivent, par contre c'est à l'intérieur de chaque femme cette peur qu'on s'en prenne à nous physiquement, faut pas se le cacher ce sont les plus faibles qui font toujours les frais de la violence. En tout cas, quand on parle de violence conjugale, de crime passionnel, c'est bien souvent la femme et les enfants qui en sont les victimes, beaucoup plus rarement les hommes.
Et je trouve ca un peu gros de minimiser la violence faite aux femmes. Je suis consciente que des hommes aussi en vivent, par contre c'est à l'intérieur de chaque femme cette peur qu'on s'en prenne à nous physiquement, faut pas se le cacher ce sont les plus faibles qui font toujours les frais de la violence. En tout cas, quand on parle de violence conjugale, de crime passionnel, c'est bien souvent la femme et les enfants qui en sont les victimes, beaucoup plus rarement les hommes.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 