(INFO690) - Les changements climatiques risquent d'entraîner la disparition de 20 à 30 % des différentes formes de vie sur la planète et d'inonder les zones d'habitation de millions de personnes.
C'est le constat dressé par les auteurs d'un rapport international qui sera publié vendredi à Bruxelles.
Une version préliminaire du rapport mentionne que le Canada fera face à de graves problèmes découlant de la hausse des températures.
On s'attend à ce que les feux de forêt augmentent, que le pergélisol diminue et que les vagues de chaleur fassent des victimes. Des espèces comme les ours polaires et les saumons seraient également menacées d'extinction.
Des délégués du Canada et de plus de 120 autres pays sont réunis à Bruxelles pour approuver le rapport qui sera rendu public vendredi. --Message edité par infomanII le 2007-04-05 07:06:48--
Disparition de 20 à 30 % des différentes formes de vie
La crise climatique serait pire que prévue
Bob Weber
Presse Canadienne
Edmonton
Les sombres prévisions attendues cette semaine à Bruxelles de la part du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GEIEC) pourraient bien être encore trop conservatrices, indiquent de nouvelles données sur les glaces de mer dans l'Arctique.
Une étude américaine sur le couvert de glace nordique a révélé non seulement que la superficie de la glace en 2006 était la deuxième plus faible jamais observée, mais également que la glace recule plus rapidement que les modèles climatiques l'avaient prédit.
Walt Meier, climatologue pour le National Snow and Ice Data Centre, au Colorado, estime que les prévisions des modèles climatiques pourraient sous-estimer ce qui nous attend dans le futur.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... S/70404161 --Message edité par infomanII le 2007-04-05 07:06:15--
Bob Weber
Presse Canadienne
Edmonton
Les sombres prévisions attendues cette semaine à Bruxelles de la part du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GEIEC) pourraient bien être encore trop conservatrices, indiquent de nouvelles données sur les glaces de mer dans l'Arctique.
Une étude américaine sur le couvert de glace nordique a révélé non seulement que la superficie de la glace en 2006 était la deuxième plus faible jamais observée, mais également que la glace recule plus rapidement que les modèles climatiques l'avaient prédit.
Walt Meier, climatologue pour le National Snow and Ice Data Centre, au Colorado, estime que les prévisions des modèles climatiques pourraient sous-estimer ce qui nous attend dans le futur.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... S/70404161 --Message edité par infomanII le 2007-04-05 07:06:15--
France4 a écritChaque bibitte comme vous dites ont leur utilité, sauf peut-être la coquerelle... trop c'est comme pas assez, mais la nature a besoin de toutes ses espèces vivantes, même les ost*** d'insectes.
Ben oui.......sinon , comment les grenouilles se nourriraient ?
Ben oui.......sinon , comment les grenouilles se nourriraient ?
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
et aussi les chauve souris
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
France4 a écritChaque bibitte comme vous dites ont leur utilité, sauf peut-être la coquerelle... trop c'est comme pas assez, mais la nature a besoin de toutes ses espèces vivantes, même les ost*** d'insectes.
Chaque insecte est utile sauf qu'avec le réchauffement, des insectes "nouveaux" vont apparaître au Québec et pourraient décimer les forêts... faute de prédateurs, ils pourront proliférer.
Une fois de plus, l'homme dérègle le système en place et devra en subir les conséquences...
Chaque insecte est utile sauf qu'avec le réchauffement, des insectes "nouveaux" vont apparaître au Québec et pourraient décimer les forêts... faute de prédateurs, ils pourront proliférer.
Une fois de plus, l'homme dérègle le système en place et devra en subir les conséquences...
Fabine a écritJe suis une grande optimiste. Alors je lis qu'il y a eu amélioration du couvert de glace puisque cette année la superficie est plus grande que l'an dernier.
Comment cela peut être pire si c'est mieux.
?!?!?!?!... quand on dit que la glace n'a JAMAIS été aussi mince et qu'elle fond plus rapidement que les pires prévisions, je ne vois pas où l'on peut trouver de quoi se réjouir...
Comment cela peut être pire si c'est mieux.
?!?!?!?!... quand on dit que la glace n'a JAMAIS été aussi mince et qu'elle fond plus rapidement que les pires prévisions, je ne vois pas où l'on peut trouver de quoi se réjouir...
InFoManII a écrit
?!?!?!?!... quand on dit que la glace n'a JAMAIS été aussi mince et qu'elle fond plus rapidement que les pires prévisions, je ne vois pas où l'on peut trouver de quoi se réjouir...
Je ne vois pas où j'ai sauté de joie. Je comprend la problématique mais je suis aussi lucide. Voilà que je lis un texte où on nous dit que cette année est la deuxième année la pire. Donc l'année dernière c'était pire.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
Donc, quand c'est mieux ce n'est pas pire.
?!?!?!?!... quand on dit que la glace n'a JAMAIS été aussi mince et qu'elle fond plus rapidement que les pires prévisions, je ne vois pas où l'on peut trouver de quoi se réjouir...
Je ne vois pas où j'ai sauté de joie. Je comprend la problématique mais je suis aussi lucide. Voilà que je lis un texte où on nous dit que cette année est la deuxième année la pire. Donc l'année dernière c'était pire.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
Donc, quand c'est mieux ce n'est pas pire.
Fabine a écrit
Je ne vois pas où j'ai sauté de joie. Je comprend la problématique mais je suis aussi lucide. Voilà que je lis un texte où on nous dit que cette année est la deuxième année la pire. Donc l'année dernière c'était pire.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
Donc, quand c'est mieux ce n'est pas pire.
Il faut regarder le tendance générale... on ne va pas vers un mieux, que du contraire.
La glace est plus mince d'année en année... la saison hivernale est toujours plus courte... les conséquences sont désastreuses nottament pour l'ours polaire et pour les habitants du grand Nord.
Ce sujet sera abordé lors de la prochaine émission "Découverte" dimanche prochain à Radio Canada.
Je ne vois pas où j'ai sauté de joie. Je comprend la problématique mais je suis aussi lucide. Voilà que je lis un texte où on nous dit que cette année est la deuxième année la pire. Donc l'année dernière c'était pire.
Le Centre de M. Meier mesure la superficie annuelle maximale de la glace dans l'Arctique à la fin de l'hiver nordique, soit au 31 mars. Cette année, 14,7 millions de kilomètres carrés de l'océan Arctique tout autour du pôle Nord étaient recouverts par au moins 15 pour cent de glace. C'est à peine plus que les 14,5 millions de kilomètres carrés de l'an passé, la plus faible superficie annuelle jamais enregistrée.
Donc, quand c'est mieux ce n'est pas pire.
Il faut regarder le tendance générale... on ne va pas vers un mieux, que du contraire.
La glace est plus mince d'année en année... la saison hivernale est toujours plus courte... les conséquences sont désastreuses nottament pour l'ours polaire et pour les habitants du grand Nord.
Ce sujet sera abordé lors de la prochaine émission "Découverte" dimanche prochain à Radio Canada.
