André Boisclair, ne peut désormais compter sur l'appui que d'une poignée de ses 35 députés
Le 25 avril 2007 - 06:55 | Colette Cyr [AgenceNews]
André Boisclair
Dans les coulisses du caucus péquiste, la direction du parti est questionnée par les élus. André Boisclair ne pourrait semble-t-il compter que sur une poignée de ses députés. Seulement quatre ou cinq d'entre eux appuieraient véritablement leur chef.
Parmi eux citons ceux qui ont hérité d'emploi du parti :
Diane Lemieux, leader parlementaire,
Stéphane Bédard nommé whip
Nicolas Girard et Sylvain Simard ardents défenseurs de leur chef
Parmi les autres députés, d'aucuns changeraient de chef le plus tôt possible alors que les autres plus défaitistes arguent qu'un nouveau chef n'assurerait pas la victoire du PQ à court terme. Certains députés plus influents, tels François Legault ou Camil Bouchard, s'abstiennent de tout commentaire sur le leadership de leur chef.
Lors d'une rencontre samedi à Montréal l'«exécutif» péquiste proposerait la tenue d'un congrès du PQ, et un vote de confiance à l'endroit de la direction du parti, pour l'automne 2007 ou le printemps 2008. Cette résolution suivra-t-elle son cours ? Jusqu'à maintenant l'entourage d'André Boisclair maintiendrait que, selon les règles du PQ, un congrès serait tenu en 2009.
Les députés péquistes prêteront serment ce mercredi.
André Boisclair n'a l'appui que de quelques députés
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- Seigneur de la Causerie
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Prière et chant religieux
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- Magicien des Mots
- Messages : 2389
- Inscription : mer. nov. 15, 2006 1:00 am
Je trouve regrettable qu'il y ait si peu de solidarité et de lucidité chez tant de membres et députés de ce parti.
Il y en a trop qui tombent dans la facilité, en mettant tout le blame de la défaite sur les épaules du chef, et non pas sur le programme du parti.
Aussi longtemps qu'on ne reconnaitra pas que c'est l'électeur qui a le dernier mot, le parti risque de s'auto-détruire.
Il y en a trop qui tombent dans la facilité, en mettant tout le blame de la défaite sur les épaules du chef, et non pas sur le programme du parti.
Aussi longtemps qu'on ne reconnaitra pas que c'est l'électeur qui a le dernier mot, le parti risque de s'auto-détruire.